INTEG 2 EXAM 1 Flashcards

1
Q

Quelle imagerie faire pour : Cholangite aigüe?

A
  • Si haut risque : CPRE + sphinctérotomie d’emblée
  • Si risque intermédiaire : Échographie endoscopique (EE) ou cholangiopancréatographie par résonance magnétique (MRCP)
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Q

Traitement pour : Cholangite aigüe

A
  • Analgésie
  • ATB à large spectre
    • 90% répondent à ce tx : Tx de l’obstruction sous-jacent
      • Si calcul :
        • Excérèse lors d’une exploration chirurgicale
        • Sphinctérectomie endoscopique et extraction de calcul
    • 10% résiste au tx
      • Drainage urgent de la voie biliaire
        • Endoscopie préférée, si non possible drainage transhépatique
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Q

Imagerie pour :

  • Colique biliaire non compliquée
  • Cholécystite aigue
A
  • Colique biliaire non compliquée :
    • Échographie abdominale
    • Rx simple de l’abdomen (15% calcul radio-opaques)
  • Cholécystite aigue
    • Échographie abdominale
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Q

Expliquer les principes de traitement de la cholécystite aigüe.

A
  • Soins de support (hydratation, antalgiques, antibiotiques)
  • Cholécystectomie

La prise en charge comprend

  • l’hospitalisation
  • l’hydratation par voie IV
  • les analgésiques comme les AINS (kétorolac) ou les opiacés.
  • Le malade est gardé à jeun et une aspiration nasogastrique est mise en place s’il existe des vomissements ou un iléus.
  • Une antibiothérapie parentérale est habituellement donnée pour une possible infection, mais sans preuve évidente de son bénéfice.
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5
Q

Investigation dysglycémie

A
  • Glycémie
  • Gazométrie veineuse
  • Taux plasmatiques d’électrolytes
  • Taux d’acide bêta-hydroxybutyrique (bêta-OHB)
  • Taux de lactate sérique (si état hypoxiqe)
  • Bilan hydrique
  • Mesure corps cétoniques dans sérum/urine
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6
Q

Traitement diabète

A
  • Contrer acidose : Insuline (0.1 U/kg/h)
  • Acidose extrême pH < 7 : Bicarbonate
  • Normalisation VLE
    • Administrer solution physiologique salée par IV à raison de 1 à 2 L/h en cas de choc, autrement à raison de 500 mL/h pendant 4h, puis une solution iv à raison de 250 mL/h
  • Déficit potassique
    • Amorcer recharge potassique quanx K plasma < 5.5 mmol/L, une fois que diurèse établie, soit en général une fois que le patient a reçu 2L de solution physiologique salée
    • Si kaliémie N ou basse : Administrer stat sln iv
    • Si hypokaliémie franche (<3.3 mmol/L), omettre injections insuline jusqu’à ce que l’administration de potassium à raison de 40 mmol/h ait produit un taux plasma d’au moins 3.3 mmol/L
  • Acidose métabolique
    • Insuline 0.1 U/kg/h
    • Une fois glycémie 14 mmol/L : administrer glucose iv pour prévenir hypoglycémie
  • Déficit hydrique
    • Corriger concentration sodium selon glycémie
  • Déficit en phosphate
    • Administration phosphate de potassium en cas d’hypophosphatémie
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7
Q

Les examens sanguins comprennent la mesure de la bilirubine totale et directe, de l’aminotransférase et de la phosphatase alcaline chez tous les patients. Les résultats permettent de différencier une cholestase d’un dysfonctionnement hépatocellulaire. Expliquez.

A
  • Dysfonctionnement hépatocellulaire: élévation marquée des aminotransférases (> 500 U/L) et élévation modérée des phosphatases alcalines (< 3 fois la normale)
  • Cholestase: élévation modérée des aminotransférases (< 200 U/L) et élévation marquée des phosphatases alcalines (> 3 fois la normale)
  • Hyperbilirubinémie sans dysfonction hépatobiliaire: hyperbilirubinémie modérée (p. ex., < 3,5 mg/dL [< 59 μmol/L]) avec des niveaux normaux de la phosphatase alcaline et de transaminases
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8
Q

Prescrire et interpréter l’investigation pertinente d’une infection urinaire.

A

SMU-DCA : Une infection urinaire peut donner :

  • Un aspect trouble aux urines
  • Des nitrites (E. coli)
  • Leucocyturie (l’infection urinaire est la principale cause de leucocyturie)
  • Bactéries en grand nombre
  • Une infection urinaire peut causer une petite protéinurie et un peu de sang (+), mais n’est pas l’explication s’il y en a en grande quantité (+++)
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9
Q

Expliquer les principes de traitement d’une infection urinaire basse et haute.

A
  • Femme :
    • 3 Jour, ATB bactéricide > bactériostatique
      • TMP-SMX
      • Fluoroquinolone
      • Nitroflurantoïne
    • Antispasmodique vésical
      • Oxybutinine ou autre agent anticholonergique (diminue hyperactivité vésicale)
  • Si autres circonstances (hommes et enfants)
    • Tx 7 jours
    • ATB bactéricide
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10
Q

Suggérer une conduite appropriée pour une bactériurie asymptomatique : Femme en bonne santé

A

pas de traitement

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11
Q

Suggérer une conduite appropriée pour une bactériurie asymptomatique : Homme, enfant ou malade chronique

A
  • Refaire un contrôle de culture d’urine
  • Si persiste:
    • Traitement ATB
    • Rechercher une cause anatomique (échographie)
      • Rétention
      • Reflux
      • Obstruction de la jonction urétéro-pyélique
      • Lithiase coralliforme du rein
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12
Q

Suggérer une conduite appropriée pour une bactériurie asymptomatique : En cas de manipulation urologique planifiée

A

traiter

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13
Q

Suggérer une conduite appropriée pour une bactériurie asymptomatique : En cas de grossesse

A
  • Hydronéphrose se développe lors de la grossesse -> a plus tendance à causer une PNA
  • Traitement de 7 jours
    • pas de quinolones
    • nitroflurantoïne durant les 2 premiers trimestres
    • Éviter TMP-SMX durant le 1er et le 3e trimestre
    • Pénicilline/céphalosporine utilisable en tout temps
    • Contrôle de culture d’urine à la fin du traitement
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14
Q

Prescrire et interpréter l’investigation pertinente de l’insuffisance rénale (7)

A
  • Signes vitaux
  • Formule sanguine complète
    • Créatinémie : Établir d’abord si l’IR est aigue ou chronique.
    • Ratio urée/créat : si>0,1 alors = pré-rénal
    • Ions(K,Na,Cl,Ca,P): Désordres électrolytiques
    • Globules rouges : Anémie
    • Créatine kinase MM (rhabdomyolyse)
  • Échographie rénale :
    • Présence ou non d’hydronéphrose : Permet d’exclure l’obstruction urinaire s’il n’y en a pas.
    • Cortex : S’il est hyperéchogène, oriente vers une IRC
    • Taille des reins : petits et atrophique oriente vers une IRC
  • Analyse d’urine – Microscopie des urines
    • Cylindres,hématurie,protéinurie
    • Indices urinaires : Fraction d’excrétion du Na (pré-réanl ou rénal), Na urinaire, osmolarité urinaire, …
  • Gaz capillaire (acidose)
  • ECG (hyperkaliémie)
  • Selon la clinique : Toucher Rectal, TDM Abdomino-Pelvien, Pyélographie, Échographie Rénale, Angiographie Résonnance Magnétique, Biopsie Rénale
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15
Q

Prescrire et interpréter l’investigation pertinente de l’ischémie mésentérique (2)

A
  • Le diagnostic clinique est plus important que les examens complémentaires
  • Angiographie mésentérique ou angio-TDM si le diagnostic est incertain
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16
Q

Expliquer les principes de traitement de l’ischémie mésentérique :

  • Si le diagnostic est établi pendant une laparotomie exploratrice (4)
A
  • Embolectomie chirurgicale
  • La revascularisation ou
  • La résection

Une laparotomie de “ second look “ peut être nécessaire pour réévaluer la viabilité des zones suspectes de l’intestin.

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17
Q

Expliquer les principes de traitement de l’ischémie mésentérique : Si le diagnostic est établi par l’angiographie (1)

A

La perfusion de papavérine, un vasodilatateur, par le cathéter d’angiographie peut améliorer la survie dans les ischémies occlusives et non occlusives

La papavérine est utile même si une intervention chirurgicale est programmée et est parfois administrée également en préopératoire et en post-opératoire.

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18
Q

Expliquer les principes de traitement de l’ischémie mésentérique : En cas d’occlusion artérielle

A
  • Une thrombolyse ou
  • Une embolectomie chirurgicale

**L’apparition de signes péritonéaux au cours du bilan est en faveur d’une indication chirurgicale urgente.

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19
Q

Une thrombose veineuse mésentérique sans signe de péritonite peut être traitée par quoi?

A

• Papavérine – suiviea –> d’une anticoagulation par héparine, puis par la warfarine.

20
Q

Examens de laboratoire pour MII

A

Surtout aider à monitorer la réponse inflammatoire


  • Protéine C réactive est le marqueur le 
plus utilisé sinon vitesse de sédimentation (pour en aigue)
21
Q

Examens radiologiques pour MII (5)

A
  • Plaque simple de l’abdomen
    • permet de noter si dilatation des anses grêles ou côlon, signes d’obstruction, de mégacolon
  • Transit du grêle, entéro-TDM ou entéro-IRM
  • Échographie (entre autre écho ciblée sur iléon)
  • TDM : abcès surtout
  • Résonnance magnétique
22
Q

Examens endoscopiques pour MII

A
  • Gastroscopie
  • Coloscopie (examen de choix)
    • Permet de déterminer la nature des ulcérations et de distinguer dans la majorité des cas s’il s’agit de colite ulcéreuse ou de maladie de Crohn §
    • de prélever des biopsies pour analyses histologiques
    • Intubation de l’iléon
  • Vidéocapsule
23
Q

Prescrire le bilan pertinent de la maladie inflammatoire intestinale selon l’atteinte (4)

A
  • Examens de laboratoire : Protéines C
  • Examens radiologiques
  • Examens endoscopiques : Coloscopie
  • Culture de selles (éliminer origine infectieuse)
24
Q

Prescrire le bilan pertinent de la maladie inflammatoire intestinale selon les complications (7)

A
  • FSC (anémie)
  • Albumine (hypoalbuminémie)
  • Électrolytes
  • Bilan hépatique (cholangite sclérosante primitive)
  • Vitamines D et B12
  • Si malabsorption suspectée : acide folique, niacine, vitamines A, D, E, K, minéraux [Zinc, sélénium, Cu])
  • Ostéodensitométrie
25
Q

C’est quoi le tx de la maladie de Crohn?

A
  • Tx de support :
    • Arrêt tabac
    • Réduction stress
    • Loparamide pour crampes et diarrhées
  • Aigue :
    • 5-ASA = Contreversé
    • Léger : ATB
    • Modéré à sévère :
      • Corticostéroïdes et agents biologiques
  • Rémissions : Immunosuppresseurs
26
Q

C’est quoi le tx de la colite ulcéreuse?

A
  • Tx de support :
    • Probiotiques
    • Réduction stress
    • Loparamide pour crampes et diarrhée
  • Aigue :
    • Léger ou modérée : 5-ASA
    • Modéré à sévère : Corticostéorides (échec au 5-ASA) et agent biologiques
  • Rémission : Immunosuppresseurs (Azathioprine, methotrexate et cyclosporine)
27
Q

Prescrire et interpréter l’investigation pertinente des nausées et vomissements en fonction des diagnostics les plus probables.

A
  • Ionogramme
  • urée, créatinine sériques
  • Glycémie
  • Analyse d’urine
  • Parfois bilan hépatique
  • Toute femme en âge de procréer doit avoir un B-HCG
  • Pour les NoVo chroniques
    • Endoscopie digestive haute
    • Exploration radiologique de l’intestin grêle
    • Examens visant à explorer la vidange gastrique et la motricité antroduodénale
28
Q

Nommez les médicaments pour le tx de no/vo (6)

A
  • Antagonistes des récepteurs de la sérotonine
  • Antidopaminergiques, dont les antipsychotiques
  • Antihistaminiques
  • Benzodiazépines
  • Cannabionoïdes
  • Corticostéroïdes
29
Q

Expliquez l’utilisation de ces médicaments pour le tx de no/vo :

  • Antagonistes des récepteurs de la sérotonine
  • Antidopaminergiques, dont les antipsychotiques
  • Antihistaminiques
  • Benzodiazépines
  • Cannabionoïdes
  • Corticostéroïdes
A
  1. Antagonistes des récepteurs de la sérotonine (ex: ondansétron) : nausées secondaires à des médicaments, chimiothérapie, post-opératoire, troubles métaboliques, pathologies du système digestif
  2. Antidopaminergiques (ex: métoclopramide), dont les antipsychotiques (neuroleptiques) : nausées secondaires à des médicaments, chimiothérapie, troubles métaboliques, pathologies du système digestif
  3. Antihistaminiques : utile pour les problèmes vestibulaires, 8e nerf crânien, vertiges, mal des transports
  4. Benzodiazépines : pour traiter les nausées et vomissements secondaires à l’anxiété
  5. Cannabinoïdes : dans les cas réfractaires surtout dans un contexte de néoplasie
  6. Corticostéroïdes : pour les atteintes du système nerveux central (ex: métastases, hypertension intracrânienne) ou les atteintes abdominales néoplasiques (afin de diminuer l’oedème pouvant contribuer à une obstruction intestinale)
30
Q

Prescrire et interpréter le bilan initial d’une obstruction intestinale.

A
  • Radiographie abdominale : plaque simple (debout, couché, coupoles) o Dilatation

    • Niveaux hydro-aériques

    • Gaz dans côlon (pas d’air dans côlon pour obstruction grêle), Air libre?
  • TDM abdominale : meilleur examen (différentier forme d’obstruction, démontre la cause et les complications)
    • Zone de transition

    • Obstruction partielle vs complète
    • Signes de souffrance intestinale
31
Q

Prescrire et interpréter l’investigation pertinente d’une pancréatite aigüe (2)

A
  • Marqueurs sériques (amylase, lipase)
  • Une fois la pancréatite diagnostiquée, une TDM est habituellement effectuée
32
Q

Expliquer le rôle de l’imagerie dans la pancréatite aigüe :

  • l’échographie
  • la tomodensitométrie
  • Radiographie
A
  • Échographie abdominale
    • Sensibilité modérée pour le diagnostic. Puisque le diagnostic est habituellement clinique et biochimique, l’échographie est souvent l’examen de première intention parce qu’elle permet d’évaluer s’il s’agit d’une cause lithiasique; soit l’échographie confirme une cholédocholithiase, soit il y a des cholélithiases et on peut présumer d’une étiologie lithiasique en l’absence d’autre cause (ex. : alcool).
  • Tomodensitométrie
    • Examen le plus sensible pour le diagnostic. C’est aussi le meilleur examen pour évaluer la sévérité et les complications (nécrose, hemorragie, pseudokyste…). Par contre, peu sensible pour rechercher une cause lithiasique.
  • Radiographie abdominale
    • Peu utile pour le diagnostic : normal > 50% des cas. Lorsque anomale, il s’agit de signes indirects et peu spécifiques, soit un iléus localisé ou diffus.
    • Surtout utile pour exclure d’autres diagnostics (ex. : perforation).
33
Q

Expliquer les principes généraux du traitement de la pancréatite aigüe (6)

A
  • Nil per os (abstention d’aliments par voie orale)
    • Repos pancréatique
  • Hydratation IV

    • Hypovolémie est facteur de mauvais pronostic

    • Corriger l’hypotension et l’hématocrite, et maintenir un débit urinaire adéquat
  • Analgésie

  • Correction troubles électrolytiques

  • Alimentation de remplacement après 4-7 jours de jeûne
  • Traitement causal (ROH, biliaire, hyperTG)
34
Q

Tx obstruction intestinale

A

Conservateur : médical (efficace 80% du temps)

  • Si aucun signe de complications
  • Corriger les pertes hydro-électrolytiques
  • Solutés
  • Monitoring des pertes (TNG), mesure du débit urinaire, TA, FC, u/c, ions
  • Installation d’un TNG
  • Décompression des anses intestinales
  • Diminuer aspiration

  • Diminuer risque de perforation

Chirurgical

  • Si échec après 72h
  • Aussi si:
    • Obstruction complète

    • Signes de souffrance intestinale/nécrose (fièvre, septicémie, pneumopéritoine)

    • Hernie incarcérée

    • « Closed-loop syndrome » : Obstruction en amont et en avantàne se réduira pas seul
35
Q

Prescrire l’investigation pertinente pour la péricardite et la détection de l’épanchement péricardique (4)

A
  • Examen physique cardio-pneumo complet Ø Signes vitaux
  • ECG
    • Tamponnade
      • bas voltage des QRS
      • alternance électrique
    • Péricardite constrictive
      • bas voltage des QRS
      • aplatissement ou inversion diffus des ondes T
  • Échocardiographie (meilleur test d’épanchement)
    • Non invasif

    • Possible au chevet du patient

    • On peut voir la compression du cœur (plus souvent le VD puisque moins 
‘’chubby’’ à compresser)
36
Q

Tx péricardite aigue :

  • De base
  • Si le patient vient de faire un infarctus
  • Si une maladie auto-immune explique la péricar
A
  • De base :
    • Anti-inflammatoire à haute dose
      • En aigue : 1 à 2 sem, plusieurs fois par jour, jusqu’à 1 mois
      • Pour traiter l’inflammation pour les causes virale et idiopathique
    • Colchine
      • Pendant au moins 3 mois, prévenir les récidives § Anti-inflammatoire
  • Si le patient vient de faire un infarctus :
    • On veut éviter les corticostroïdes et les anti-inflammatoires
    • Aspirine 80 mg (on peut donner une plus grosse dose d’Aspirine)
    • Tylénol (contre la douleur)
  • Si une maladie auto-immune explique la péricardite
    • Corticostéroïde pour traiter la maladie auto-immune
37
Q

Tx tamponnade

A
  • Tx urgent si patient instable hémodynamiquement : péricardiocenthèse (ponction à l’aiguille) ou fenêtre péricardique (chirurgie-péricardectomie) STAT avec monitoring ECG et hémodynamique
    • Si Choc : BOLUS pour augmenter post charge (débit cardiaque)
  • Tx cause sous-jacente
38
Q

Tx péricardite constrictive

A

Chirurgical (résection péricardique)

39
Q

Tx épanchement péricardique (8)

A
  • Bolus (éviter la diminution du débit cardiaque)
  • Hospit !

  • Anti-inflammatoire

  • MONITORING ASSIDU (TA, FC et rythme)
  • Vérification de la tension veineuse assiduement
  • RX thorax et Echo

  • Si l’hémodynamie est menacée :
    • Péricardiocentèse
    • Drain péricardique

    • Fenêtre péricardiale
    • Péricardectomie

  • Tx causal si possible
40
Q

C’est quoi les mesures générales de tx du SCA? (3)

A
  • Surveillance continue de l’ECG
  • Repos complet ad stabilisation depuis 12 à 24h
  • Minimisation du stress environnemental
41
Q

Traitement médical général de SCA (5)

A
  • b-bloqueurs
  • IECA
    • IC,FE<40%,infarctusantérieurmassif,diabétique
    • ARA si indications d’IECA, mais intolérants
  • Statines
  • Nitroglycérine
    • Dlrt horacique
    • HTA ou IC
  • Morphine
    • Pt en douleur, anxieux ou œdème pulmonaire
42
Q

Traitement antithrombotique de SCA (4)

A
  • ASA
  • Clopidogrel
  • Héparine
    • IV pendant thrombolyse ad 48-72h suivant celle-ci ou ad début anticoagulothérapie per os avec INR entre 2-3 depuis 3 mois
  • Oxygène
    • Patients avec hypoxémie ou dyspnée (viser SaO2 > 92%)
43
Q

Traitement de reperfusion de SCA (3)

A
  • ICP (Intervention coronarienne percutannée)
    • Tous les pts admis dans un centre où l’ICP est dispo
  • Thrombolyse
    • Si ICP pas dispo
  • Pontage aorto-coronarien
    • MCAS touchant l’ACG ou > 3 vaisseaux coronaires
    • Échec thrombolyse et angiographie primaire
    • Choc cardiogénique
    • Arythmie ventriculaires malignes
44
Q

Prescrire une investigation appropriée pour la dissection aortique et l’anévrisme aortique.

A
  • TDM thoracique + Abdominal = Le meilleur
    • Rapide
    • Moins couteux qu’IRM
    • Dx
  • RX
    • Élargissement du médiastin supérieur possible
  • IRM = non, préfère TDM
    • prend 20 minutes
    • technicien
    • $$
  • Echo Trans-Oesophagien = Pour voir coeur
    • Désagréable
    • Technicien ou cardiologue
    • Oublier ça la nuit
    • Indiqué quand il faut voir les valves et les végétations dans l’endocarde
45
Q

Expliquer les principes généraux de traitement incluant les indications chirurgicales pour la dissection aortique et l’anévrisme aortique (3)

A
  • Diminuer la pression
    • une pression élevée augmente le risque de dissection, mais pas trop basse (éviter hypotension)
    • Nitroglycérine (vasodilatateur)
  • Diminuer l’inotropie
    • B-bloqueur ou bloqueur des canaux calcique
  • Soulager la douleur
    • Morphine ou dérivé
46
Q

Tx pour la dissection aortique et l’anévrisme aortique type A

A
  • Le plus à risque de rupturer –> Tx chirurgical
  • Bolus + Analgésie
  • Diminuer TA du patient en attendant : B-bloq ou bloquer calcique (jamais les 2)
47
Q

Tx pour la dissection aortique et l’anévrisme aortique type B (3)

A
  • Tx médical et observation (appelle chirurgien vasculaire pour prise en charge, non stat)
  • B-bloq ou bloquants calciques (jamais les 2)
  • p-t nitro