Cours 5 - L'approche motivationnelle, l'intervention psychoéducative et des cibles de l'intervention Flashcards

1
Q

Les homme son a une approche centrée sur le genre avec eux, pourquoi?

A

Pourquoi adapter notre approche lors de la prise de contact avec des hommes?
• Les hommes sont 4 à 15X plus à risque de mourir d’un suicide;
• La majorité des hommes vont vivre avec un trouble de santé mentale au cours de leur vie; La proportion d’hommes qui souffrent d’un trouble d’abus de substance est de 30 à 47%;
• Les hommes sont plus à risque d’avoir une trouble de personnalité antisocial lorsqu’ils sont atteints d’un trouble de santé mentale
• Ils sont 2 à 3X MOINS souvent utilisateurs de ressources en santé mentale que les femmes; On estime que seulement 14 à 28% des hommes qui ont des troubles de santé mentale vont chercher l’aide dont ils ont besoin; S’assurer que le gars aura les ressources s’il vient nous voir.
• Ils sont plus à l’aise pour consulter pour des problèmes d’abus de substance et de schizophrénie, mais sont beaucoup plus réticents pour les troubles de dépression et d’anxiété… (comme si c’était correct pour eux de consulter pour la dépendance mais pas le reste)

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2
Q

À quel concept cette définition fait-elle référence: ensemble de normes qui sont culturellement spécifiques et qui comprennent des règles, des standards et des directives qui dictent les types de comportements qui sont appropriés pour les hommes

A

masculinité

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3
Q

Vrai ou faux: (tu peux choisir de prendre les normes sociales ou pas, mais y’a souvent un prix à payer si tu ne les prends pas)

A

Vrai: Si une femme décide de ne pas se raser, c’est sur que y’a une réaction sociale.

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4
Q

Qu’es que le concept d’hégémonie masculine?

A

Masculinité: ensemble de normes qui sont culturellement spécifiques et qui comprennent des règles, des standards et des directives qui dictent les types de comportements qui sont appropriés pour les hommes (trad. Libre, Primack et coll., 2010: 80). Pas juste être genre masculin, mais tous les codes derrière aussi. Peuvent être formelles comme qu’ils ne doivent pas être violents envers les femmes s’en vien universel partout. Règles informelles : un homme ça ne pleure pas exemple.
Hégémonie : modèle culturel qui devient tellement treignant qu’il devient LE modèle. Pas même chose masculinité.

Dans les sociétés occidentales, ces normes sur ce qu’est un « vrai homme » incluent: (tu peux choisir de prendre les normes sociales ou pas, mais y’a souvent un prix à payer si tu ne les prends pas) Si une femme décide pas se raser, c’est sur que y’a une réaction sociale.
• le stoïcisme (le bonheur est dans la vertu, la fermeté de l’âme); un homme ça travaille fort. Il fonce, pas peur obstacles. Invisible p/r à tout ce qui t’arrive.
• la compétitivité;
• le succès professionnel; un homme avec de l’argent, y’ont des gros char, des choses qui flash, etc.
• la force et la capacité à se défendre; à la petite enfance on voit ça déjà
• l’autonomie; ex se perdre en char, demanderont pas d’aide, veulent s’en sortir seul
• l’exploit sexuel (sexual prowess) : leur plus belle, leur nombre, etc.
• la prise de risque;

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5
Q

Voir le cycle du paradoxe de l’hégémonie masculine. Peux-tu m’expliquer ce paradoxe ?

A

En fait, plus la conception de la masculinité est rigide, plus adhère hégémonie masculine, plus il est à risque de souffrir. Rend les hommes malheureux ce modèle. Sont à haut risque de sx psychologique ou physique et plus le risque de dépression augmente. Plus se sentent dépressif, plus se sentent inadéquat. Plus ils se font traiter de tapette ou ce font dire que ça n’existe pas de consulter ou que ça sert à rien donc sont plus à risque de pas y aller.

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6
Q

Que dit LE MODÈLE DES VALEURS DE LA SANTÉ (HEALTH BELIEFS MODEL) pour qu’un personne consulte?

A

Pour qu’une personne consulte, il faut:

1) qu’elle perçoive le risque de développer un problème de santé;
2) qu’elle perçoive les conséquences négative de ce trouble de santé; doivent anticiper des gains supérieures que de se donner la peine d’y aller consulter.
3) qu’elle prenne une action pour réduire ces conséquences négatives;
4) qu’elle perçoive que les barrière et les risques associés à son action pour réduire les conséquences négatives de son problème soient basses comparées aux gains anticipés;
5) qu’elle ait suffisamment de signaux pour se mettre en action;
6) qu’elle ait suffisamment d’efficacité personnelle ou de confiance dans sa capacité à agir pour résoudre son problème;

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7
Q

Que montrent les études réalisés auprès des hommes?

A

LES ÉTUDES RÉALISÉES AUPRÈS DES HOMMES MONTRENT QUE :

1-2// Ils sont moins bon pour évaluer leur santé que les femmes: ils ont une moindre perception de leurs symptômes et une moins bonne capacité à évaluer s’ils doivent demander de l’aide; Leur seuil de souffrance est plus élevé que els femmes, et ont de la difficulté à voir qu’ils souffrent.
Lorsqu’ils ont la même perception que les femmes: ils ont tendance à consulter autant qu’elles= DONC C’EST UNE PISTE D’ACTION À ENVISAGER AVEC LES HOMMES (si on sensible les hommes au signaux, il vont les percevoir et plus demander d’aide)

3-4// Les hommes perçoivent beaucoup plus de barrières à demander de l’aide que les femmes. Le principal
est la peur d’être perçu comme « fous ». Même lorsque l’on AUGMENTE la perception des gains, cette peur du stigmate est encore trop forte pour faire diminuer la perception des risques…
Malheureusement = CE N’EST PAS LA PISTE D’ACTION À PRIORISER

5// Augmentation des signaux. On sait que 70% des personnes qui consultent ont été encouragées à le faire par des proches, des amis. Les hommes ont des réseaux sociaux plus restreints que les femmes et en plus…
Malheureusement= LES HOMMES NE DISCUTENT PAS DE SANTÉ MENTALE ENTRE EUX. Une avenue serait d’encourager les hommes à entretenir d’autres types de relations (familiales, conjugales, professionnelles) pour augmenter leur probabilité de s’EXPOSER À DES CUES.

6// on a aucune étude portant la confiance en soi ou le sentiment d’efficacité personnelle des hommes et la demande d’aide= ESSAI À RÉALISER? (Expliquer pk nos hommes ne consultent pas.)

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8
Q

À quoi fait référence la définition suivante: ce sont des gens qui ont une incapacité à exprimer verbalement les émotions et sentiments. Ils ont aussi une vie imaginaire très pauvre, sont dans le concret. Recourent à l’action pour résoudre conflits. Capacité à décrire des faits et des événements.

A

Alexithymie.

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9
Q

LORSQU’ILS VONT CHERCHER DE L’AIDE

On sait que les hommes qui correspondent plus étroitement au modèle hégémonique masculin:

  • on de très faibles alliances thérapeutiques (CONSÉQUENCE DE L’ALEXITHYMIE);
  • on de plus haut taux de ruptures thérapeutiques= (sur le schéma bleu de tantôt on est en haut à gauche « plus sa perception négative des personnes qui consultent augmente »

Difficile d’Avoir alliance thérapeutique avec ces gens, si on ne connait pas ça, l’intervenant peut dire que la personne est plate, fermé, etc. Mais y’a juste l’alexithymie, pas une résistance de la personne, c’est qqch de difficile pour eux. On doit adapter nos pratiques à ça.

A

Lire carte.

En plus, le lien du modèle des valeurs de la santé revient ici pour qu’ils consultent en plus de ces deux éléments.

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10
Q

Dans l’ENTREVUE MOTIVATIONNELLE ADATÉE DU GENRE (GENDER-BASED MOTIVATIONNAL INTERVIEW – SYZDEK ET ADDIS, 2012), on reprend les idées centrales de l’approche motivationnelle même avec les hommes, mais en l’adaptant au gentre.

A
  1. exprimer de l’empathie;
  2. souligner les contradictions entre les désirs, valeurs, aspirations des personnes et leurs comportements inadaptés;
  3. on « roule avec la résistance »;
  4. on supporte l’autonomie, l’empowerment, la prise de décision. MAIS, on l’adapte au genre…
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11
Q

À l’étape un de l’entrevue motivationnelle adaptée au genre, que veut-on dire par la première étape de «déformaliser la rencontre»

A

On créer un environnement de travail plus « amical et informel »: BUT RÉDUIRE LA BARRIÈRE INTERPERSONNELLE
• Le thérapeute s’habille de façon décontractée;
• Le local ne prévoit pas deux places pour s’assoir, mais de nombreuses places avec des magazines, des photos au mur, des articles sportifs, des snacks;
• Le thérapeute est TRÈS authentique (‘on va appeler un chat un chat’)
• Le thérapeute aborde des questions très générales sur le sport, la température, les nouvelles;
• Dès que possible de thérapeute identifie la personne comme l’experte de sa situation;
•Fait l’usage de l’humour

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12
Q

À l’étape un de l’entrevue motivationnelle adaptée au genre, que veut-on dire par la première étape de «éviter les questions directes»

A

On recommande de débuter l’entrevue par l’analyse des cartes des valeurs. Une fois les cartes de valeurs priorisées, on essaie de faire ‘sortir’ les contradictions entre ce qui est valorisé et l’impact des symptômes (qui font obstacles ou non à l’atteinte de cette valeur) sous forme de discussion;

Dès que l’homme fait la moindre allusion au désir d’aller chercher de l’aide, on reformule sa demande de façon à rejoindre les idéaux de masculinité: on utilise des phrases genre = faut être fort pour se regarder en plein face. On attaque de plein fouet le problème. Personne ne se résout des problèmes sans se salir les mains. Se rebâtir ils utilisent souvent ce terme.

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13
Q

Vrai ou faux: • Les hommes préfèrent les interventions de groupe aux interventions individuelles

A

Vrai

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14
Q

Vrai au faux: Les hommes préfèrent les thérapies aux médicaments…

A

vrai

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15
Q

À l’étape un de l’entrevue motivationnelle adaptée au genre, que veut-on dire par la première étape de «débuter l’intervention»

A

• Les hommes préfèrent les interventions de groupe aux interventions individuelles (perçues comme plus menaçantes): prioriser autant que possible selon cette préférence;

  • Les hommes préfèrent aussi les thérapies aux médicaments…
  • Se mettre en situation de « coach personnalisé » (plutôt que thérapeute)
  • Donner rapidement de l’information sur la prévalence du(des) trouble(s) mentaux chez les hommes; les personnes célèbres (idéalement des athlètes de haut niveau ou des personnalités des affaires) qui ont souffert du(des) t.ms
  • Être en mode solution, intervenir par l’action (en jouant au basket, en marchant): DOING OVER THE TALKING (aiment ce qui est par la nature genre (intervention par l’aventure), se qui est de bouger, de faire. Ex : leur faire monter une montagne. Homme aiment ça, fait appel à leur masculinité)
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16
Q

Tout au long du processus d’intervention basé sur le genre: NORMALISER ET VALIDER
CLARIFIER ET REFORMER EN TERMES MASCULINITES
RESTER CENTRÉ SUR LES OBJECTIFSET ÊTRE ACTIFS
-PAS DE JARGON/ LANGUAGE DIRECT
-PAS DE « DISCUSSION CLINIQUE »/ DISCUSSION PLUS INFORMELLE
-PAS D’INTERVENTION/FEEDBACK PERSONNALISÉ
-PAS UN THÉRAPEUTE/UN COACH
-PAS DE LA DÉPRESSION OU DE L’ANXIÉTÉ/ DU STRESS

A

Lire carte

17
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la détermination des objectifs/cibles d’intervention?

A

A- Déterminer des objectifs (cibles de l’intervention) (sur quoi on veut agir, comment et le chemin utilisé. Ce que je mets devant moi, ma cible.)
• Devraient toujours être en lien avec la personne, significatif.
• Doit avoir une adhésion aux cibles, avoir une cible intéressante et mobilisante.
• Être exprimé en termes positifs, de façon positive. De façon à susciter l’espoir.
• Tend vers le rétablissement
• Fait du sens pour la personne.

18
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la l’identification des programmes d’intervention?

A
  • Approche ou programme, même chose. Ex : CC, motivationnelle, mentalisation, centré sur les forces. Choisir le programme selon la personne et selon ses difficultés/défi plutôt que par problème.
  • Doit être ajusté aux cibles
  • Selon ressources disponibles
  • Selon forces personnes.
  • On peut faire relever de littérature pour voir ce que l’on soulève selon la clientèle. Meilleur moyen d’intervenir.
19
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la détermination des stratégies d’intervention?

A
  • Chaque programme a des techniques qui lui sont propres. Stratégies d’interventions qui correspondent à nos objectifs d’interventions.
  • Quand on pense à cette stratégie, pas possible de la mettre en place juste intervention personne, faudra lors mobiliser d’autres acteurs (intervenant classe, TES, orthophoniste, etc)
20
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la sélection des acteurs concernées?

A

• Peut être acteurs professionnels, familiaux, conjoint/enfants. Si je veux que ça fonctionne qui doit être au courant et agir pour la personne?

21
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la détermination de l’ensemble des composantes et conditions nécessaires à la réalisation du plan?

A
  • Combien de temps ça va prendre
  • Où on les fait (milieu de vie, sports, activités, OG, organisme)
  • Fréquence
  • On fait quoi et à quel moment
22
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la première compétence (DÉTERMINATION DU PLAN D’INTERVENTION), que fait-on/souhaitons dans la détermination des moyens d’évaluation?

A
  • Comment on va faire pour savoir qu’on a atteint notre cible
  • On quantifie. : dans 12 semaines, la personne sera capable de réaliser 8 activités sportives avec des amis.
  • On détermine, quantifie et nomme la cible
  • On se donne des moyens pour se dire qu’on l’atteint et passe à la cible suivante.
  • Avoir des moyens d’évaluation positif. On veut améliorer bien-être pas la réduction des sx***
23
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la deuxième compétence, soit la mise en place du plan d’intervention, que fait-on dans cette compétence?

A

A- Aménager les conditions et les ressources nécessaires; ça prend tant de temps, tu le droit d’aller à l’école, je peux tu me faire dégager de mon emploi pour aller école, etc.

B- Établir des mécanismes de coordination et d’échange entre les acteurs; qui communique quoi à qui, intervenant pivot qui communique tout?

C- Ajuster le plan d’intervention à la lumière des évaluations; continuellement se demander si on progresse vers l’objectif. Ex : Personne n’aime pas ça, trop de travail, etc. Important de s’ajuster tout de suite.

24
Q

Dans L’INTERVENTION PSYCHOÉDUCATIVE EN SANTÉ MENTALE, dans la troisième compétence, soit la démarche d’intervention, que fait-on dans cette compétence?

A

A- Animation : ce qu’on fait. Exemple : Rencontre d’une heure, activité sportive. Souvent sur le champ avec l’usager. Ce qu’on fait concrètement
B- Utilisation : on part de ce qu’on vient de faire et on fait une analyse post situationnelle (RAP UP). On aide personne à généraliser ce qu’on vient de faire, dire. Très important la personne se sert de ce qu’on vient de faire et le généralise.
C- évaluation post-situationnelle (chaque fois qu’on fait activité, on doit se demander si on a bien fait notre travail et si on a atteint nos objectifs. On doit la communiquer cette analyse.

25
Q

Dans la 3ème compétence de l’évaluation psychoéducative, soit la démarche d’intervention, on a une image d’un équilibriste, aller la voir et expliquer légèrement ce qui a en en comprendre

A

Dans notre interaction avec les personnes qu’on apprend et la personne développe une meilleure adaptation. Très important : en bas. Équilibre, etc; pour apprendre qqch, on doit déstabiliser la personne. On doit trouver des défis adaptés à la situation, on est des équilibristes et c’est ça qui est difficile dans notre travail. Niveau de convenance. Ressemble zone proximale de développement en choisissant activités dépendent de la personne.

On va se planter c’est sûr. On ne sait pas d’avance, on doit donc s’ajuster constamment. Pas tjr l’Activité qui est problématique, parfois la personne qui n’est pas disposée. Communiquer infos aux autres pour pas que les intervenants refassent la même affaire.

26
Q

Vrai ou faux: pour apprendre qqch, on doit déstabiliser la personne.

A

Vrai

27
Q

Voir l’exemple de l’enfant sur l’approche écosystémique.

L’APPROCHE ÉCOSYSTÉMIQUE, EXEMPLE D’UN ENFANT QUI A UN TROUBLE DE L’OPPOSITION. EXAMEN cette approche.

A

voir exemple

28
Q

De quel système de l’approche systémique s’agit t-il?ENSEMBLE DES CARACTÉRISTIQUES, DES ÉTATS, DES COMPÉTENCES, DES HABILETÉS OU DÉFICITS D’UN INDIVIDU QUI PEUVENT ÊTRE INNÉS OU ACQUIS.

A

Ontosystème (physique, biologique,cognitif, socio-affectif, estime de soi)

29
Q

De quel système de l’approche systémique s’agit t-il?ENDROITS ASSIDÛMENT FRÉQUENTÉS PAR LA PERSONNE OÙ L’ON PEUT DISCERNER UN SCHÉMA D’ACTIVITÉS, DE RÔLES ET D’INTERACTIONS.

A

Microsystème (famille, amis, école)

30
Q

De quel système de l’approche systémique s’agit t-il?ENSEMBLE DES RELATIONS INTER-MICROSYSTÉMIQUE (EX; LIEN MAISON/ÉCOLE; MAISON/TRAVAIL; TRAVAIL/ÉCOLE) ET QUALITÉ DES LIENS ENTRE LES CES SYSTÈMES

A

Mésosystème

31
Q

De quel système de l’approche systémique s’agit t-il? INSTITUTIONS ET CONDITIONS ÉCONOMIQUES QUI TOUCHENT LA PERSONNE

A

Exosystème (système d’éducation, lois, système de santé)

32
Q

De quel système de l’approche systémique s’agit t-il? ENSEMBLE DES VALEURS, DES NORMES, ET DES IDÉOLOGIES D’UNE COMMUNAUTÉ

A

Macrosystème

33
Q

POUR SÉLECTIONNER UNE CIBLE SELON L’ÉVALUATION ÉCOSYSTÉMIQUE

Il faut donc prendre en compte 3 types de facteurs, quels sont-ils?

A
  1. Les facteurs biologiques (génétique et physiologique) qui expliquent, en partie, l’apparition du trouble
  2. les facteurs psychologiques ou psychodéveloppementaux qui s’intéressent aux aspects affectifs, cognitifs et relationnels.
  3. Les facteurs sociaux qui réfèrent aux contextes, à l’insertion de la personne dans son milieu, à sa culture et aux relations qu’elle entretient avec la société
34
Q

Vrai ou faux: dans l’approche systèmique, La notion D’INTERACTION est centrale.

A

Vrai. Le trouble de santé mentale est la RÉSULTANTE d’une interaction dynamique et constante entre la personne et son contexte social (ça notre travail)

35
Q

Il y a compatibilité entre la compréhension des t.s.m. selon l’angle biopsychosocial et l’interprétation écosystémique des capacités et difficultés d’adaptation;

Les deux permettent de reconnaitre les problèmes de l’ontosystème, mais aussi dans les micros et mésosystèmes (agir sur l’individu et sur son environnement);

Mais l’approche écosystémique permet également de déceler les problèmes des exosystèmes oppressifs et des macrosystèmes « mentalistes ».

POUR DÉTERMINER VOS CIBLES
Vous devrez faire une interprétation écosystémique de votre avatar et choisir LA cible d’intervention soit en fonction de l’urgence ou encore de l’effet ricochet qu’elle peut avoir

Mieux vous allez saisir les interactions entre les différents niveaux, plus il sera facile d’IDENTIFIER CETTE CIBLE.

A

juste lire carte