APP 4 nouveaux objectifs Flashcards

1
Q

Comportement sexuel le plus répandu à l’adolescence?

A

Masturbation

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Q

V ou F?

Les jeunes qui atteignent l’âge adulte sans avoir eu de relation sexuelle avec un partenaire représente un groupe tout aussi hétérogène que les jeunes précoces.

A

Vrai.

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3
Q

Nomme 2 facteurs expliquant la virginité à l’âge adulte

A
  • Retrait social
  • Anxiété
  • Perçu comme non attirant
  • Peu de soutien social
  • IMC élevé

(la virginité peut révéler un manque d’intégration sociale et d’opportunités sexuelles)

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4
Q

Vrai ou Faux?

Les adolescents exposés à du contenu sexuellement explicite et qui interprètent ces messages médiatiques comme endossant la sexualité adolescente ont plus l’intention d’avoir des relations sexuelles et deviennent sexuellement actifs plus tôt.

A

Vrai

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5
Q

V ou F

La consommation régulière de pornographie est associée à davantage de croyances soutenant la violence envers les femmes, ainsi qu’un regard moins critique face aux mythes associés aux agressions sexuelles.

A

Vrai

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6
Q

V ou F

Les jeunes faisant un usage plus fréquent des médias sociaux rapportent recevoir davantage de rétroaction sur leur apparence et être plus insatisfaits de leur corps. Les jeunes filles américaines qui affichaient plus de photos d’elles-mêmes ou de leurs amis sur leur profil Facebook® étaient moins satisfaites de leur poids, avaient des idéaux de minceur plus prononcés et plus de comportements d’auto-objectification

A

Vrai

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7
Q

Quels sont les impacts positifs des médias sociaux à l’adolescence 3

A
  • la transmission d’informations relatives à la sexualité et à la santé sexuelle (aide puberté et sexualité précoce)
  • la visibilité de modèles positifs (relations amoureuses saines)
  • le réseautage (minorités sexuelles)
  • réduction de solitude
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8
Q

L’usage des médias et la sexualité est une relation …

A

Bidirectionnelle

Les adolescents américains qui étaient plus exposés à des médias sexuellement explicites au premier temps de mesure étaient plus actifs sexuellement au deuxième temps de l’étude. De la même façon, les adolescents qui étaient plus actifs sexuellement au premier temps rapportaient plus d’exposition à des médias sexuellement explicites au deuxième temps.

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9
Q

Stratégie pour utiliser les médias sociaux

A
  • Encadrer et superviser l’ado
  • Présenter des modèles de corps diversifiés
  • Adopter un regard critique par rapport au contenu auquel on est exposé
    • Ex. Les filles qui avaient une meilleure connaissance des rouages et stratégies mises en place par les médias avaient moins intériorisé cet idéal de minceur et se comparaient moins, résultant en une image corporelle d’elles-mêmes plus positive.
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10
Q

Des chercheurs (contesté) font le lien entre l’augmentation des usages des médias sociaux et une augmentation des taux de dépression, d’idéations suicidaires et d’automutilation observée chez les adolescents et les jeunes adultes – en particulier les … (sexe)

A

Filles

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11
Q

v ou f

Que les médias sociaux soient devenus leur principal lieu de sociabilité est un sous-produit d’une dynamique culturelle qui n’a rien à voir avec la technologie, mais bien plus avec les restrictions parentales et les agendas trop remplis. Les adolescents se tournent vers n’importe quel environnement qui leur permet de rester connectés avec leurs amis, et en deviennent obsédés

A

vrai

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12
Q

Quand est-ce qu’un usage des médias sociaux est considéré comme problématique ou excessif?

A

Un usage peut être qualifié d’excessif ou de problématique lorsque la personne n’adapte pas son comportement malgré les conséquences négatives de celui-ci.

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13
Q

V ou F

Tout d’abord, d’un point de vue démographique, les hommes et les jeunes sont plus concernés par les usages excessifs des médias sociaux que les femmes

A

Faux, les femmes sont plus concernées

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14
Q

V ou F

Les usages excessifs des MS sont souvent associés à certaines caractéristiques individuelles comme une faible estime de soi ou des traits de personnalité narcissique.

A

Vrai

Autrement dit, ils seraient mobilisés avec plus d’intensité pour compenser une auto-évaluation négative ou pour nourrir les égos les plus gourmands

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15
Q

Vrai ou Faux

Un lien statistique a aussi été établi entre les usages excessifs des médias sociaux et la présence de troubles psychologiques comme la dépression et l’anxiété, mais aussi le stress, les troubles déficitaires de l’attention (TDAH) et les troubles obsessionnels compulsifs

A

Vrai

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16
Q

L’ensemble de ces constats ont amené de nombreux auteurs à envisager ces usages excessifs comme …

A

des stratégies de coping

17
Q

Comment bien se servir des médias sociaux? Quelles sont les recommandations? 7

A
  1. Soutenir et développer sur internet les initiativessolidaires qui offrent aux adolescents du soutien entre pairs et avec des professionnels.
  2. Utiliser les potentialités des médiassociaux pour lancer des dynamiques participatives avec les adolescents concernés par des difficultés de santé mentale
  3. Soutenir la concertation intersectorielle et multidisciplinaire concernant les usages et les usages problématiques des médiassociaux, notamment pour développer un savoir qui ne soit pas biaisé par un tropisme psychopathologique.
  4. Soutenir lesinitiatives de formation et de médiation dessavoirsscientifiques et cliniques adressées aux professionnels des secteurs concernés
  5. Soutenir l’éducation aux médias pour relever les nombreux défis auxquels nous confrontent les médiassociaux et leurs usages par les adolescents.
  6. Soutenir les parents, les enseignants et les éducateurs quisont des acteurs clés dansle soutien aux adolescents. Ils’agit de les aider à développer une curiosité bienveillante concernant ces nouvelles dynamiques autour des médiassociaux, mais aussi de leur donner confiance dansleur capacité à être une ressource pour les adolescentssur ce sujet.
  7. Porter une attention particulière aux inégalités de genre quitrouvent dans les médias, nouveaux et anciens, des lieux d’expression. Il s’agit en priorité de veiller à ce que les projets développés autour de l’éducation aux médias ne les véhiculent pas eux-mêmes. Il s’agit également de promouvoir un regard critique et de la solidarité entre pairs pour lutter contre ces stéréotypes et leurs effets.
18
Q

À retenir des réseaux sociaux selon la tutrice 6

A
  • Réseaux sociaux - ce que le responsable du cours a dit: L’impact sur la santé mentale n’est pas claire, chez certains bénéfique ou pas
  • Possible diminution modeste de la diminution du sommeil
  • Association plus établie entre trouble alimentaire et réseaux sociaux mais en même temps body positivity
  • Certains effets bénéfiques dans la crise d’identité vs confusion des rôles en voyant des modèles sur les réseaux
  • Plus de communication entre les pairs pour les groupes
  • Comment définir un usage excessif (pas tant clair) - excessif effet négatif
19
Q

Qu’est-ce que la désinhibition alimentaire?

A

Comportement qui entraîne une surconsommation de nourriture en réponse à des stimulus autres que la faim (situationnels. habituels ou émotionnel.)

ex. manger à la vue ou l’odeur de la nourriture

20
Q

Vrai ou Faux

Les individus atteints d’obésité auraient plus de difficulté à ressentir leurs signaux de faim et de satiété

A

Vrai (cercle vicieux)

21
Q

Est-ce que la restriction alimentaire peut ultimement mener à une prise de poids?

A

Oui

22
Q

Manger pour des raisons émotionnelles participerait à l’association entre … (3)

A

Affects négatifs, IMC et prise de poids

23
Q

Comment reconnaître le trouble d’accès hyperphagique? 5

A
24
Q

À quels troubles mentaux l’obésité est-elle associée? 4

A
  • Troubles de l’humeur
  • TDAH
  • Troubles anxieux
  • Troubles de personnalité
25
Q

Qu’est-ce qu’un trouble d’accès hyperphagique?

A

Trouble caractérisé par des crises récurrentes de boulimie et marqué par un sentiment de perte de contrôle par rapport à la consommation de nourriture et s’accompagne par une détresse significative, souvent associé à un sentiment de honte. Ils ne s’accompagnent pas de comportements compensatoire visant à éviter la prise de poids.

26
Q

V ou F

Les accès hyperphagiques touchent plus les femmes.

A

Les hommes sont presqu’autant touchés que les femmes (3,5% F vs 2% H)

27
Q

Quels sont les 5A de la méthode de prise en charge de l’obésité?

A

Autorisation

Analyse

Avis

Accord

Aide

(p 4.79 codex)

28
Q

Comment soutenir le patient dans son changement de comportement?

A

Chercher une compréhension globale du problème et viser l’amélioration de la qualité de vie générale, sans axer à outrance la perte de poids, en visant le changement de comportement.

(Alimentation et activité physique)

29
Q

Ainsi, dès la naissance, les bébés … , de même que les nouveau-nés de petit poids ayant une accélération rapide de la prise pondérale post-natale, sont à risque d’embonpoint, d’obésité, d’hypertension artérielle et de diabète de type 2.

A

macrosomes

30
Q

Avant l’âge de … ans, le statut pondéral des parents est largement prédictif d’une obésité future

Après l’âge de … ans, le statut d’enfant obèse est un facteur prédictif plus important que l’obésité parentale.

A

2 ans

7 ans

31
Q

La majorité (95%) des obésités sont exogènes ou endogènes?

A

Exogènes: elles se développent en raison d’un déséquilibre entre la consommation alimentaire et la dépense d’énergie

(aucune cause organique)

32
Q

quels sont des facteurs environnementaux prédisposant à l’obésité

A
  • mauvaises habitudes alimentaires
  • mode de vie sédentaire
  • facteurs sociofamiliaux et économiques défavorables
  • prise de certains médicaments
33
Q

Éléments à investiguer lors de l’examen physique pour déceler une obésité

A
  • signes cutanés (ex. acanthosis nigricans, pour l’hyperinsulinisme, vergetures, intertrigo, xanthomes)
  • pression artérielle.
  • rechercher une hépatomégalie
  • établir le stade de Tanner
  • évaluer l’impact du surpoids sur la colonne vertébrale (hyperlordose) et sur les membres inférieurs, sous forme de coxa plana des hanches, d’épiphysiolyse des genoux et de pieds plats.
34
Q

Stratégie de traitement la plus efficace en pédiatrie pour ll’obésité

A

Une combinaison d’interventions alimentaire, comportementale et d’antisédentarité

35
Q

Types d’approches interventionnelles pour l’obésité 5

A
  • Nutritionnelle: privilégier les aliments à faible teneur calorique, mais à grande valeur nutritionnelle, comme les légumes.
  • Physique: sport-natation , moins d’écrans
  • Compotementale: : interpréter les vrais signaux de la faim et de la satiété, rechercher autres sources de plaisirs que la nourriture
  • Médicamenteuse: à éviter le plus possible
  • Chirurgicale-Bariatrique: exceptionnel chez ado
36
Q

Parce que les résultats des interventions chez les enfants présentant un excès pondéral sont modestes et que le risque de rechute est élevé, la … demeure d’une importance cruciale

A

prévention primaire