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Examen final 2065 > Catégorisation et traitement parallèle distribué > Flashcards

Catégorisation et traitement parallèle distribué Flashcards

1
Q

Décrivez la mémoire sémantique.

A

Permet de stocker les faits et les connaissances.

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2
Q

Qui suis-je?
Connaissance qui nous permet de reconnaître des objets et des évènements et de faire des inférences sur leurs propriétés.

A

Connaissance conceptuelle.

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3
Q

Décrivez le terme concept.

A

Représentation mentale utilisée pour une variété de fonctions cognitives.

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4
Q

Qu’est-ce que la catégorisation?

A

Processus par lequel les choses sont placées dans des groupes appelés catégories.

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5
Q

Comment sont organisées les connaissances que nous avons du monde?

A

Elles sont organisées en catégories pour faciliter l’encodage, la représentation, la récupération et le raisonnement.

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6
Q

À quoi servent les catégories?

A

À comprendre les cas individuels non rencontrés précédemment.

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7
Q

Que veut-on dire par les « pointeurs de la connaissance»?

A
  • Catégories fournissent une mine d’informations générales sur un objet.
  • Nous permettent d’identifier les caractéristiques particulières d’un item particulier.
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8
Q

Définissez l’approche définitionnelle de la catégorisation.

A

Détermine l’appartenance à une catégorie selon que l’objet répond à la définition de la catégorie;

  • Plusieurs critères qu’un membre d’une catégorie doit posséder.
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9
Q

Est-ce que l’approche définitionnelle fonctionne bien? Pourquoi?

A

Non; tous les membres des catégories quotidiennes n’ont pas les mêmes caractéristiques qui les définissent.

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10
Q

Qu’est-ce que la ressemblance de famille?

A

Les choses d’une catégorie se ressemblent de plusieurs façons.

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11
Q

Décrivez l’approche des prototypes dans la catégorisation.

A
  • Une représentation moyenne du membre « typique » d’une catégorie.
  • Caractéristiques spécifiques qui décrivent les membres de ce concept.
  • Une moyenne des membres de la catégorie rencontrés dans le passé.
  • Différences entre un membre et la moyenne = variation au sein d’une catégorie et différences de typicalité.
  • Faible et haute typicalité.
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12
Q

Décrivez l’expérimentation de Rosch.

A
  • Présente aux participants et 50 membres différents de cette catégorie.
  • Plus le chiffre est bas, plus le membre est similaire au prototype; haute typicalité, grande ressemblance de famille.
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13
Q

Qui suis-je?

  • Le membre de la catégorie ressemble étroitement au prototype de la catégorie.
  • Membre « typique »
  • Pour la catégorie «oiseau » = moineau.
A

Haute prototypicalité.

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14
Q

Décrivez la faible prototypicalité.

A
  • Le membre de la catégorie ne ressemble pas étroitement au prototype de la catégorie.
  • Pour la catégorie est « oiseau »= pingouin.
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15
Q

Donnez les caractéristiques de l’approche des prototypes dans la catégorisation.

A
  • Forte relation positive entre la prototypicalité et la ressemblance de famille.
  • Lorsque les éléments ont une grande quantité de chevauchement avec les caractéristiques des autres éléments de la catégorie, la ressemblance de famille de ces éléments est ÉLEVÉE.
  • Faible chevauchement = faible ressemblance de famille.
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16
Q

Qu’est-ce que l’effet de typicalité?

A

Les objets prototypiques sont traités préférentiellement.

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17
Q

Décrivez l’étude de Smith et al.

A
  • Technique de vérification des phrases.

- Objet hautement prototypiques jugés plus rapidement.

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18
Q

Décrivez l’effet de ressemblance de famille.

A

Les membres d’une catégorie se ressemble de plusieurs manières.

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19
Q

Décrivez l’effet de typicalité.

A

Les individus répondent plus rapidement pour des membres qui sont plus typiques dans la catégorie.

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20
Q

Qui suis-je?

Les personnes sont plus promptes à lister certains objets plus que d’autres.

A

Appellation.

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21
Q

Décrivez l’amorçage.

A

La présentation d’une stimulation modifie les réponses à des stimulations présentées par la suite.

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22
Q

Quels sont les résultats expérimentaux pour l’amorçage?

A
  • Les jugements sont plus rapides pour la discrimination couleur identique-différente pour des items à haute protoypicalité. (Rosch, 1975 b).
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23
Q

Décrivez les résultats expérimentaux pour la ressemblance de famille.

A
  • Évaluations + élevées pour des items à haute prototypicalité lorsque les personnes doivent évaluer à quel point un membre d’une catégorie appartient bel et bien à celle-ci (Rosch, 1975a).
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24
Q

Décrivez les résultats expérimentaux pour la typicalité.

A
  • Les temps de réaction sont plus rapides pour des phrases tel que « un moineau est un oiseau » (HAUTE PROTOTYPICALITÉ) comparé à u« une autruche est un oiseau » (FAIBLE PROTOTYPICALITÉ). (Smith, 1974).
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25
Q

Décrivez les résultats expérimentaux pour l’appellation.

A
  • Les items à haute prototypicalité sont nommés en premier lorsque les individus listent des exemples d’une même catégorie.
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26
Q

Plus la similarité intra catégorielle est forte, plus ____________ est rapide.

A

La catégorisation.

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27
Q

Plus la similarité inter-catégorielle est faible, plus la ________ est rapide.

A

La catégorisation;.

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28
Q

Décrivez la préférence pour les prototypes.

A
  • Explique les effets de typicalité.
  • Implique également des représentations abstraites.
  • Les prototypes peuvent mieux fonctionner pour les grandes catégories.
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29
Q

Décrivez la préférence pour les exemplaires.

A
  • Explique les effets de typicalité.
  • Implique des représentations concrètes.
  • Les exemples peuvent mieux fonctionner pour les petites catégories.
  • N’élimine pas des informations pertinentes.
  • Mieux pour les catégories plus variables.
  • Plus important avec l’apprentissage
30
Q

À quoi sert l’organisation hiérarchique?

A

Aide à comprendre comment les gens catégorisent les objets.

Il faut considérer les propriétés des objets et l’apprentissage et l’expérience des percepteurs.

31
Q

Décrivez le niveau supérieur de l’organisation hiérarchique.

A
  • Faible similarité intra-catégorielle.

- Très faible similarité inter-catégorielle.

32
Q

Décrivez le niveau de base de l’organisation hiérarchique.

A
  • Forte similarité intra-catégorielle.

- Faible similarité inter-catégorielle.

33
Q

Décrivez le niveau subordonné de l’organisation hiérarchique.

A
  • Très forte similarité intra-catégorielle.

- Forte similarité inter-catégorielle.

34
Q

Qu’est-ce qu’implique le fait d’aller au dessus- du niveau de base? Et au-dessous?

A
  • AU-DESSUS : perte importante d’information.

- AU-DESSOUS : peu de gain d’information.

35
Q

Qu’est-ce qui affecte les caractéristiques d’un objet?

A
  • Les connaissances, apprentissages et expériences.
36
Q

Décrivez les réseaux sémantiques.

A
  • Les concepts sont organisés en réseaux qui représentent la façon dont ceux-ci sont organisés dans l’esprit.
37
Q

Décrivez le modèle de Collins et Quillian.

A
  • Noeud = catégorie/concept.
  • Concepts sont liés.
  • C’est un modèle qui schématise la façon dont les concepts et les propriétés sont associées dans l’esprit.
38
Q

Qu’est-ce que l’économie cognitive?

A
  • Les propriétés sont uniquement stockées dans des noeuds de niveau supérieur.
  • Les exceptions sont stockées aux noeuds inférieurs.
39
Q

Comment fonctionne la transmission au niveau des réseaux sémantiques?

A

Les éléments de niveaux inférieurs partagent les propriétés des éléments de niveau supérieur.

40
Q

Selon la structure des réseaux sémantiques en modèle hiérarchique, par quoi est déterminé le temps que ça prends pour récupérer une information?

A

Le temps est déterminé par la distance qui est parcouru à travers le réseau.

41
Q

Qu’est-ce que l’activation?

A

Niveau d’excitation d’un noeud.

42
Q

Décrivez la diffusion de l’activation.

A
  • Lorsqu’un noeud est activé, l’activité s’étend sur tous les liens connectés.
  • Les concepts qui reçoivent l’activation sont amorcés et plus facilement accessibles depuis la mémoire.
43
Q

Décrivez l’expérience de Meyer et Schvaneveldt (tâche de décision lexicale).

A
  • Les participants lisent es stimuli et sont invités à dire le plus rapidement possible si l’élément est un mot ou non.
  • « Oui »si les deux chaines étaient un mot, « non » sinon.
  • Certaines paires étaient étroitement associées.
  • Le temps de réaction est plus rapide pour ces paires.
44
Q

Quelles sont les critiques du modèle de Collins et Quillian.

A
  • Impossible d’expliquer les effets de typicalité.

- Certains résultats de vérification de phrases sont problématiques pour le modèle.

45
Q

Qui suis-je?

  • Créer des modèles informatiques pour représenter les processus cognitifs.
  • Traitement distribué parallèle,
  • Connaissance représentée dans l’activité distribuée de nombreuses unités.
  • Les poids de connexion déterminent à chaque connexion à quel point un signal entrant activera l’unité suivante.
A

L’approche connexionniste.

46
Q

Par quoi est simulée une unité d’entrée?

A

Elles sont activées par la stimulation de l’environnement.

47
Q

À quoi sert les unités cachées?

A

À recevoir l’entrée des unités d’entrée.

48
Q

À quoi servent les unités de sortie ?

A

À recevoir l’entrée des unités cachées.

49
Q

De quoi dépend l’activation d’unités?

A
  • Du signal qui provient de l’unité d’entrée.

- Des poids de connexions.

50
Q

Qu’est-ce que la règle d’apprentissage d’Hebbien?

A

2 cellules activées simultanément de façon répétée tendent à devenir « associées », de sorte que l’activité d’une cellule facilite L’activité de l’autre.

51
Q

Décrivez le terme unité.

A
  • Chaque unité à un seul à partir duquel elle va envoyer de l’information via sa sortie.
  • Comme un neurone, une unité du modèle envoie de l’information ou n’en envoie pas.
52
Q

Décrivez les connexions entrantes et sortantes du modèle connexionniste.

A
  • Chaque unité reçoit de l’information via des flèches entrantes et en envoie vie des flèches sortantes.
  • Chaque connexion a un poids qui lui est attribué, il s’agit du poids de connexion;
  • Le poids peut être POSITIF ; connexion EXCITATRICE.
  • Le poids peut être NÉGATIF; connexion INHIBITRICE.
53
Q

Comment se passe l’apprentissage?

A

1) Le réseau répond au stimulus.
2) Réponse correcte fournie.
3) Modifie le pattern correspondant au pattern représentant la réponse correcte.

54
Q

Qu’est-ce qu’un signal d’erreur?

A

Différence entre l’activité réelle de chaque unité de sortie et l’activité correcte.

55
Q

Décrivez la propriété de retour et boucle de rétroaction.

A
  • Signal d’erreur retransmis à travers le circuit.
  • Indique comment les poids de connexions doivent être modifiés pour permettre au signal de sortie de correspondre au signal correct.
56
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage?

A

Le processus se répète jusqu’à ce que le signal d’erreur soit NUL.

57
Q

Qu’est-ce que le traitement parallèle?

A
  • Fonctionnement par « cycle ».
  • Chaque unité « regarde » ce qui est entrant et le compare à son seuil.
  • Fonctionnement selon l’algèbre linéaire; entrée sortie = vecteurs et mémoire = matrice.
58
Q

Qu’est-ce que l’effet d’apprentissage?

A
  • Temps : les représentations des différents concepts se ressemblent.
  • Après plusieurs essais, les poids des différentes unités sont modifiés selon l’expérience.
  • Suite à l’apprentissage, le pattern d’activation des 3 concepts DIFFÈRE.
59
Q

Qu’est-ce qu’à permis le modèle connexionniste?

A

-Développer des systèmes ayant une certaine intelligence cognitive et a reproduit le plus probablement le fonctionnement cérébral.

60
Q

Décrivez la dégradation gracieuse.

A

La perturbation de la performance se produit progressivement au fur et à mesure que certaines parties du système sont endommagées.

61
Q

Est-ce que l’apprentissage peut être généralisé?

A

Oui.

62
Q

Qu’est-ce que l’approche sensori-fonctionnelle?

A
  • Différentes zones du cerveau peuvent être spécialisées pour traiter des informations sur différentes catégories.
63
Q

Donnez des exemples en lien avec l’approche sensor-fonctionnelle.

A
  • Évidence des démences sémantiques dues à des encéphalites.
  • Double dissociation pour les catégories « choses vivantes » et «choses non vivantes ».
  • Défaut de mémoire spécifique à une catégorie : mémoire sémantique qui distingue les attributs sensoriels et mémoire qui distingue les fonctions.
64
Q

Décrivez l’approche à facteurs multiples.

A
  • Regarder comment les concepts sont divisés au sein d’une catégorie, plutôt que d’identifier des zones cérébrales spécifiques de réseaux pour différents concepts.
65
Q

Quels sont les facteurs utilisés pour identifier les ressemblances et les différences entre différents concepts ou items ?

A
  • Forme.
  • Fonction.
  • Emplacement.
66
Q

Qu’est-ce que la similarité?

A
  • Lorsque différents concepts au sein d’une catégorie partagent de nombreuses propriétés plus difficiles à catégoriser pour les gens avec problèmes sémantiques.
67
Q

Décrivez l’approche de catégorie sémantique.

A
  • Permet d’expliquer plus de variances retrouvées dans les études portant sur des patients ayant un trouble de la mémoire.
  • Les circuits neuronaux spécifiques dans le cerveau pour des catégories spécifiques.
68
Q

L’activité cérébrale félicitée par les membres appartenant à une même catégorie est distribuée à travers quoi?

A

Le cortex.

69
Q

Décrivez « The embodied approach ».

A
  • Notre connaissance des concepts est basée sur la réactivation des processus sensoriels et moteurs qui se produisent lorsque nous interagissons avec l’objet.
70
Q

Qu’est-ce que les neurones miroirs?

A
  • Ils se déclenchent lorsque nous faisons une tâche ou lorsque nous regardons quelqu’un faire cette même tâche.
71
Q

Qu’est-ce que la somatotopie sémantique?

A
  • Correspondance entre les mots liés à des parties spécifiques du corps et l’emplacement de l’activation cérébrale.

Examen final 2065 (5 decks)

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