Cours 10 Flashcards
(14 cards)
C’est quoi un psychopathe ?
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Froid, calculateur, peu ou pas d’empathie réelle.
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Capable de simuler des émotions, mais sans les ressentir.
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Généralement plus intégré socialement, souvent charmeur, manipulateur, difficile à détecter.
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Peut occuper des postes de pouvoir.
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Planifie ses crimes avec soin, sans remords, dans une logique stratégique.
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Motivation égoïste, s’en prend à des individus pour quête de bénéfices personnels.
C’est quoi un sociopathe ?
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Plus impulsif, moins capable de contrôler ses émotions.
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Peut nouer des attachements à certains proches.
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Plus marginal, comportement souvent délinquant ou instable, avec une difficulté à maintenir des relations ou un emploi.
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Actes souvent impulsifs et désorganisés, avec des explosions de colère ou de violence.
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Clivage avec les valeurs/normes sociétales.
C’est quoi un délinquant accidentel
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N’a pas de profil criminel.
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N’a pas planifié son geste.
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A souvent agi sous l’effet de facteurs contextuels extrêmes.
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Ne récidive généralement pas.
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Intention criminelle : Non.
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Planification : Non.
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Récidive probable : Non.
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Lien avec une théorie : Contextualisation / émotion.
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Culpabilité : Oui.
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Exemple-type : Collision mortelle en situation de panique.
Délinquant souffrant de troubles mentaux
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Commets un acte en lien direct avec une pathologie psychiatrique, souvent grave.
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Est généralement désorganisé, délirant, ou en rupture avec la réalité.
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N’a pas nécessairement une intention criminelle.
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Peut représenter un danger réel, mais nécessite une prise en charge spécifique.
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Le trouble mental n’excuse pas tout, mais il modifie l’analyse de la responsabilité.
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Le système judiciaire québécois prévoit la non-responsabilité criminelle pour cause de trouble mental — mais ce n’est pas un acquittement.
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Une personne jugée non criminellement responsable peut être internée sans limite de temps, tant qu’elle représente un risque.
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La coopération entre psychiatres, juges, et intervenants est essentielle pour protéger et traiter, sans nier les besoins de justice.
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Intention criminelle : Non (souvent).
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Planification : Non.
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Récidive probable : Variable.
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Lien avec une théorie : Approche clinique.
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Culpabilité : Non.
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Exemple-type : Vol sous délire paranoïde.
Délinquant névrosé conflictuel
Le passage à l’acte est le symptôme d’un tiraillement interne, et la réponse ne peut pas être purement punitive.
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Profil cliniquement fragile, souvent réceptif à une prise en charge psychothérapeutique ou communautaire.
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Intention criminelle : Ambivalente.
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Planification : Faible.
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Récidive probable : Par rechute.
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Lien avec une théorie : Psychanalyse / addiction.
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Culpabilité : Forte.
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Exemple-type : Vol dans la famille pour consommer.
Délinquant occasionnel
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Agit sans projet criminel à long terme.
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Est souvent très sensible aux réactions sociales post-acte.
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Ne récidive généralement pas.
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Interaction entre l’influence des pairs et le contexte : Le groupe pousse, Le contexte autorise, Et la personne cède… pas par projet criminel, mais par adaptation sociale.
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Intention criminelle : Faible.
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Planification : Non.
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Récidive probable : Rare.
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Lien avec une théorie : Apprentissage / influence.
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Culpabilité : Oui.
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Exemple-type : Vol à l’étalage en groupe.
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Motivation : Appartenance.
Délinquant professionnel
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Planifie ses actes.
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Agit avec une certaine rationalité, parfois avec sang-froid.
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Est souvent organisé, structuré, discret.
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Peut être intégré socialement tout en maintenant des activités illégales régulières.
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La préméditation est centrale.
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Une éthique propre, mais souvent totalement dissociée de la loi.
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Faible culpabilité, rationalisation fréquente.
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Souvent très adaptables, peu détectés, et parfois valorisés dans certains milieux.
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Intention criminelle : Oui.
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Planification : Forte.
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Récidive probable : Élevée.
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Lien avec une théorie : Rational choice / carrière.
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Culpabilité : Faible.
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Exemple-type : Cyberfraude organisée.
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Motivation : Gain.
Délinquant antisocial
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Transgresse de manière répétée les normes sociales et les droits d’autrui.
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Présente souvent une absence de remords, une froideur affective, et un manque d’empathie.
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Peut parfois répondre aux critères cliniques du trouble de la personnalité antisociale.
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Intention criminelle : Oui.
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Planification : Variable.
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Récidive probable : Très élevée.
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Lien avec une théorie : Personnalité / Psychopathie.
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Culpabilité : Aucune.
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Exemple-type : Ted Bundy, tueurs organisés.
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Motivation : Hostilité.
Délinquant idéologique/politique
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Commets des actes criminels motivés par une croyance.
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Son acte est planifié.
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Croit souvent agir pour le bien commun, pour une justice supérieure.
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Peut agir seul ou en groupe, et parfois avec un fort sentiment d’appartenance identitaire.
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Ne cherche ni profit personnel, ni destruction gratuite, ni gratification émotionnelle immédiate.
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Exemple-type (d’après le tableau de synthèse) : Attentat écologique.
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Motivation (d’après le tableau de synthèse) : Cause morale.
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Planification (d’après le tableau de synthèse) : Oui.
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Récidive probable (d’après le tableau de synthèse) : Moyenne.
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Lien avec une théorie (d’après le tableau de synthèse) : Apprentissage + cognition.
Délinquant chronique/habitude
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Agit par habitude ou réflexe, parfois même par automatisme social.
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Normalisation du crime comme mode de vie quotidien.
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C’est un profil souvent peu spectaculaire, mais très représenté dans les prisons.
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Question soulevée : Faut-il continuer à incarcérer ces personnes à répétition pour des délits mineurs ? Ou faut-il intervenir sur le style de vie, les conditions sociales, la marginalité qui entretient cette récidive ?.
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Exemple-type (d’après le tableau de synthèse) : Vols répétés sans violence.
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Motivation (d’après le tableau de synthèse) : Habitude.
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Planification (d’après le tableau de synthèse) : Non.
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Récidive probable (d’après le tableau de synthèse) : Élevée.
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Lien avec une théorie (d’après le tableau de synthèse) : Mode de vie.
Délinquant victime/coercé
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Ce profil met en tension deux logiques : La responsabilité individuelle, au cœur du droit pénal ; Et la prise en compte des dynamiques de pouvoir et de victimisation, plus proches des approches sociales ou féministes.
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Les femmes, les personnes exploitées ou migrantes sont surreprésentées dans cette catégorie.
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Exemple-type (d’après le tableau de synthèse) : Homicide sous emprise.
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Motivation (d’après le tableau de synthèse) : Survivre.
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Planification (d’après le tableau de synthèse) : Non (ou partielle).
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Récidive probable (d’après le tableau de synthèse) : Faible à moyenne.
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Lien avec une théorie (d’après le tableau de synthèse) : Féministe / trauma
Instrumental vs Expressif (Typologie transversale)
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Utile pour : Comprendre la fonction de l’acte criminel, Adapter l’intervention, Différencier les risques.
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Expressif : Motivation principale - Émotion forte, impulsion, explosion.
◦Exemples : Agression lors d’une dispute, vandalisme impulsif.
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Instrumental : Motivation principale - Objectif concret, planifié, stratégique.
◦Exemples : Vol prémédité, braquage, sabotage.
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Vandalisme impulsif (exemple Expressif dans le tableau de synthèse).
◦Motivation : Colère.
◦Planification : Non.
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Récidive probable : Faible.
◦Lien avec une théorie : Contrôle de soi.
Approche développementale - Adolescence limitée
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Début des comportements : Adolescence.
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Gravité des actes : Mineure à modérée.
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Motivation : Statut social, imitation.
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Trajectoire : Discontinue.
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Réponse à l’intervention : Bonne.
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Risque de stigmatisation : Élevé si mal orienté.
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Exemple-type (d’après le tableau de synthèse) : Vol planifié à 15 ans, puis plus rien.
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Motivation (d’après le tableau de synthèse) : Statut social.
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Planification (d’après le tableau de synthèse) : Oui.
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Récidive probable (d’après le tableau de synthèse) : Non.
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Lien avec une théorie (d’après le tableau de synthèse) : Moffitt.
Approche développementale - Persistant à vie
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Début des comportements : Petite enfance.
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Gravité des actes : Modérée à grave.
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Motivation : Dysrégulation, hostilité.
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Trajectoire : Continue.
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Réponse à l’intervention : Plus difficile.
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Risque de stigmatisation : Élevé si intervention tardive.
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Exemple-type (d’après le tableau de synthèse) : Profil antisocial violent depuis l’enfance.
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Motivation (d’après le tableau de synthèse) : Hostilité.
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Planification (d’après le tableau de synthèse) : Oui/Non.
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Récidive probable (d’après le tableau de synthèse) : Élevée.
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Lien avec une théorie (d’après le tableau de synthèse) : Personnalité antisociale.
