Cours 10

Question 1

Prévalence fréquente entre quel concept et les addictions?

Answer 1

Les problèmes de santé mental

Question 2

4 modèles qui expliques la comorbidités élevée entre troubles mentaux et addiction

Answer 2

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires (addiction présente et ensuite troubles)
2. Les modèle de troubles liés à la consommation de substances secondaires (troubles présents et addiction vient après)
3. Les modèles de facteurs communs (certains facteurs communs causent les 2)
4. Les modèles bidirectionnels (interaction entre addiction et santé mentale)

Question 3

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Les grandes lignes

Answer 3

• Principalement concentré sur stimulants, hallucinogènes et cannabis en raison de leurs effets psychotomimétiques (imitent effets psychoses)
• Existe pas association cohérente entre types spécifiques de substances et diagnostique trouble mental grave
• Polyconsommation est modèle le plus fréquent

Question 4

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Le cannabis comme précipitant de la psychose –» première étude

Answer 4

Conso cannabis au moment de l’enrôlement –» diagnostique ultérieur (après) de schizophrénie

Question 5

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Le cannabis comme précipitant de la psychose

Association entre schizophrénie et autres substances

Answer 5

Aucune,

Seule lien entre cannabis et développement schizophrénie (personnes doivent avoir vulnérabilité génétique)

Question 6

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Marqueurs génétiques

La relation entre schizo et cannabis dépend de…

Answer 6

• La dose
• Lien plus fort en cas de conso précoce de cannabis
• Pas modifié par conso d’autres substances

Question 7

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Marqueurs génétiques

Chez quelles personnes la conso de cannabis à l’adolescence augmente le risque de développer trouble schizophréniformes ultérieurement?

Answer 7

Chez personnes ayant marqueur génétique de risque de schizophrénie

Question 8

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Questions que les gens se posent:

Answer 8

• Si usage de cannabis provoque schizo chez certaines personnes vulnérables, autrement, n’auraient pas développé le trouble?
• Si usage de cannabis précipite l’apparition de la schizo à un âge plus précoce chez personnes qui l’auraient développé à un âge plus avancé?

Question 9

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Le cannabis pourrait influencer début psychose:

hypothèse exogène

Answer 9

• Drogue cause troubles (modifie le système)
• Apparition ou exacerbation des symptômes associés à la schizophrénie

Question 10

1. Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
   - Le cannabis pourrait influencer début psychose:

hypothèse endogène

Answer 10

• Individus ont déjà schizophrénie et cannabis vient accentuer

Question 11

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   - Définition

Answer 11

• Modèle qui postulent que maladies mentales graves augmentent la vulnérabilité individus de développer trouble lié à conso substance active

Question 12

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   - Les 3 modèles

Answer 12

A. L’atténuation des symptômes/la dysphorie

B. L’hypersensibilité

C. Le dysfonctionnement du circuit de la récompense du cerveau

Question 13

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   A. l’atténuation des symptômes/la dysphorie

Answer 13

• Personnes ayant troubles mentaux tendance à conso substances en réponse à détresse (théorie automédic) –» soulagement sensation désagréables
• Peu preuves de sélection substances spécifiques en fonction diagnostiques
• Personnes ayant troubles mentaux consomment même substances que reste pop, mais à taux plus élevés

Question 14

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   - B. hypersensibilité

Answer 14

Élaboration modèle stress-vulnérabilité

• Vulnérabilité = sensibilité bio au stress qui pourrait aussi s’appliquer aux effets substances–» personnes ayant troubles mentaux sont plus susceptibles de subir conséquences négatives suite à usage, même si ptite qt
• Personnes ayant troubles en même temps tendent à conso qt plus faible que celles

Question 15

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   - B. hypersensibilité

• Qui entre les personnes ayant des addiction en même temps (concomittantes) et addiction avant troubles (addiction primaire) consomme le moins?

Answer 15

Les personnes ayant troubles concomittants consomme qté plus faible

Question 16

2. Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
   - B. hypersensibilité

• Qui entre les personnes ayant des addiction en même temps que leur trouble (concomitantes) et addiction avant troubles (addiction primaire) ont le plus de chance de développer dépendance physique?

Answer 16

personnes ayant troubles concomitants

Question 17

2. C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
   - Explication

Answer 17

Chevauchement dans circuits neuronaux supposément impliqués à la fois dans addictions et schizo = vulnérabilité bio des addictions a lien direct avec neurobio de la schizo

Question 18

2. C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
   - Qu’est-ce que cause une dérégulation du circuit de la récompense chez les personnes schizophrènes?

Answer 18

Des réponses émoussées aux stimulais récompensants (plus de difficulté à ressentir émotions positives)

Question 19

2. C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
   - Pourquoi est-ce que personnes schizophrènes sont plus vulnérables aux addictions?

Answer 19

• Susbtances stimulent directement stimuli de la récompense
  -» réponse de récompense plus forte
  -» Répétition compulsive du cpt d’usage problématique

Question 20

3. Modèle de facteurs communs
   - Définition

Answer 20

Le taux élevé de comorbidité résultent de vulnérabilité partagées entre les 2 troubles

Question 21

3. Modèle de facteurs communs
   - 2 facteurs de risques étudiés en détail

Answer 21

a. Génétique
b. Trouble de la personnalité antisociale

*D’autres facteurs ont été identifiés mais moins approfondis

Question 22

3. Modèle de facteurs communs
   a. la génétique

Answer 22

Facteurs génétiques contribuent au développement de la schizo et des addictions

*Causes génétiques uniques et communes restent inconnues

Question 23

3. Modèle de facteurs communs
   a. la génétique

• Qui est plus susceptible d’avoir parents atteints d’un trouble de l’usage de substances entre les personnes ayant troubles comorbides et personnes ayant seulement un trouble?

Answer 23

Personnes ayant troubles comorbides

• Vulnérabilité génétique aux addictions joue un rôle dans le développement de certains cas de comorbidité
  *Certains facteurs génétiques sont propres aux deux, et certains à un des deux.

Question 24

3. Modèle de facteurs communs
   a. la génétique

modèles interactions gènes environnement def proposé

Answer 24

Modèles génétiques plus complexes expliquant la relation entre la schizo concomitante avec les addictions

Question 25

3. Modèle de facteurs communs - Le trouble de la perso antisociale Lien avec addictions

Answer 25

- Vulnérabilité accrue aux addictions et les troubles mentaux et à leur évolution plus sévère - symptôme d'impulsivité

Question 26

3. Modèle de facteurs communs - Le trouble de la perso antisociale Personnes ayant trouble mental + trouble conduite/trouble antisocial sont plus susceptible de...

Answer 26

D'avoir des addictions comorbides que personnes avec troubles mentaux sans trouble perso antisociale

Question 27

Facteur commun qui contribue à l'augmentation du taux d'addiction dans un groupe de personnes ayant troubles mentaux graves

Answer 27

Personnalité antisociale

Question 28

4. Les modèles bidirectionnels - Définition

Answer 28

Interactions constantes entre troubles mentaux graves et addictions sont à l'origine de l'augmentation des taux de comorbidité

Question 29

4. Les modèles bidirectionnels - Qu'est-ce qui est à l'origine de l'augmentation des taux de comorbidité?

Answer 29

Cette interaction constante entre troubles mentaux graves et addictions.

Question 30

4. Les modèles bidirectionnels - Mécanisme

Answer 30

Conso substances peut déclencher trouble mental grave chez individus biologiquement vulnérables Maintenu par la poursuite de conso de substances en raison de facteurs cognitifs socialement appris Addiction aggrave évolution trouble mental Aggravation des symptômes est liée à plus grande conso substances

Question 31

Taux des troubles mentaux au cours de la vie

Answer 31

46% des personnes vivent des troubles mentaux au cours de leur vie

Question 32

Le trouble le plus fréquent (l'année dernière)

Answer 32

Le tabac avec 22% *Tabac pas tj inclus dans études car peu d'altération du fonctionnement et pas illégal. C'est aussi plus facile d'accès

Question 33

Exemple de troubles de l'humeur

Answer 33

Troubles dépressifs: - Troubles dépressifs caractérisé Troubles bipolaires et apparentés: - Trouble bipolaire de type 1 - Trouble bipolaire de type 2

Question 34

Lien entre trouble de l'humeur et consommation de substances

Answer 34

- Envie de s'automédicamenter avec substances psychoactive pour diminuer affect négatif

Question 35

Prévalence de la comorbidité entre les troubles mentaux et l'usage de substances (3 proportion)

Answer 35

- 1/4 des personnes ayant troubles mentaux en ont plus d'un Les adultes avec troubles mentaux sont.. - 2x plus susceptible de présenter des troubles liés à la conso d'alcool - 4x plus susceptibles d'avoir des troubles liés à la conso de drogues

Question 36

La prévalence et la comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en générale Troubles les plus fréquents chez les personnes ayant troubles de l'humeur:

Answer 36

La consommation alcool, cannabis, amphétamines et de coke (peu conso hallucinogènes car peut empêcher de dormir)

Question 37

La prévalence et la comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en générale Prévalence trouble de l'humeur + trouble lié à substances

Answer 37

20%

Question 38

La prévalence et la comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en générale Prévalence trouble de l'humeur + conso alcool

Answer 38

20%

Question 39

La prévalence et la comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en générale Le trouble de l'humeur avec le taux de comorbidité le plus élevé avec l'usage de substances:

Answer 39

Les troubles bipolaire (60% vont vivre trouble conso de substances au cours de leur vie)

Question 40

La prévalence et la comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en traitement (pop clinique) Prévalence de l'addiction chez les personnes traitées pour leur trouble de l'humeur

Answer 40

40%

Question 41

comorbidité entre l'usage de substances et les troubles de l'humeur - Chez la population en traitement (pop clinique) Trouble de l'humeur le plus fréquent chez les personnes traitées pour leur addiction à la coke + prévalence

Answer 41

60% ont des troubles dépressifs

Question 42

Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l'humeur - Proportion des personnes ayant consommé pour soulager leurs symptômes

Answer 42

1/4

Question 43

Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l'humeur - La prévalence la plus élevé d'automédication a été observée chez personnes ayant quel trouble?

Answer 43

Personnes ayant troubles bipolaires

Question 44

Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l'humeur - Qui des hommes ou des femmes est plus susceptible de déclarer un automédication de leur trouble de l'humeur par l'alcool ou d'autres substances

Answer 44

Les hommes sont 2x plus susceptible que les femmes de le faire. (hommes plus impulsifs, moins support social, tendance à vouloir trouver solutions par eux-même)

Question 45

Modèle artéfactuel - Définition

Answer 45

Aucun lien entre le l'addiction et les troubles mentaux car ce serait exactement le même problème

Question 46

Évolution au fil du temps - Est-ce la dépression qui déclenche la conso d'alcool ou l'inverse?

Answer 46

Les deux peuvent se produire à différents moments

Question 47

Évolution au fil du temps - Résultats cliniques longitudinaux

Answer 47

- Les personnes qui sont passées d'une conso faible à une conso plus élevée semblent boire pour soulager la tension et la détresse - Personnes qui buvaient bcp à la base semble avoir développé habitudes de conso chronique qui contribuent à leur épisode dépressif (et non l'inverse)

Question 48

Évolution au fil du temps - Résultats cliniques longitudinaux Résumé en ordre

Answer 48

1. boire pour soulager humeur négative 2. Conso d'alcool peut devenir prob chronique 3. Épisodes dépressifs plus sévères *Grande interaction entre symptômes dépressifs et conso de substances

Question 49

Impact des troubles comorbides: addiction + troubles de l'humeur - Pour la personne

Answer 49

- Symptômes cliniques bcp plus graves - Taux élevés troubles anxieux - Cpt suicidaires plus marqués - Hospitalisation plus fréquente - Antidépresseurs peuvent être mois efficaces - Évolution clinique/résultats moins bons - Mortalité de 12 à 34 ans plus tôt

Question 50

Impact des troubles comorbides: addiction + troubles de l'humeur - Pour la population

Answer 50

- Risque accrue de criminalité - Niveaux élevés d'incapacité - Grand nbre de jours d'inactivité - Contribution significative à la charge globale de la maladie *Comorbidité présente un ensemble de difficultés uniques à chaque troubles

Question 51

Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l'utilisation de substances - Pop générale - Prévalence des personnes qui font de l'anxiété qui ont une comorbidité avec troubles de conso substances psychoactives

Answer 51

13%

Question 52

Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l'utilisation de substances Pop générale Prévalence des personnes qui ont un trouble de substances ayant une comorbidité avec l'anxiété

Answer 52

19%

Question 53

Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l'utilisation de substances Pop générale - Susceptibilité des personnes ayant trouble d'alcool de développer troubles anxieux

Answer 53

2x plus susceptible

Question 54

Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l'utilisation de substances Pop générale - Combien de personnes atteintes d'un trouble anxieux généralisé présente un trouble comorbide lié à la conso de substances psychoactives?

Answer 54

près de la moitié des personnes ayant trouble anxieux

Question 55

Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l'utilisation de substances Pop clinique

Answer 55

- Bcp plus élevés que dans pop générale - Parmis personnes traités pour troubles alcool 2/3 avaient prob avec anxiété - Parmi personnes traités pour troubles anxieux: 1/3 avait également troubles conso alcool

Question 56

Auto-traitement/automédication trouble anxieux: Combien de personnes répondant aux critères d'un trouble anxieux font de l'auto-médic dans pop générale?

Answer 56

Environ 20%

Question 57

Auto-traitement/automédication trouble anxieux: - Qui des hommes ou des femmes font plus d'automédoc avec alcool?

Answer 57

Même taux d'automédoc avec alcool *homme font plus d'automédoc avec autres substances

Question 58

Association entre troubles anxieux et addiction? - Est-ce que ce sont les troubles anxieux qui cause troubles conso alcool ou vice-versa?

Answer 58

Les deux peuvent survenir

Question 59

Auto-traitement/automédication trouble anxieux - Association entre troubles anxieux et addiction? - Modèle du feed-foward définition

Answer 59

Automédication anxiété avec conso susbtances, tout de suite après la survenue des symptômes. Cela peut exacerber les prob de conso substances + augmenter symptômes de l'anxiété.

Question 60

Auto-traitement/automédication trouble anxieux - Automédication anxiété avec conso susbtances, tout de suite après la survenue des symptômes. - Mécanisme derrière le modèle du feed-foward

Answer 60

- Bien que conso soit immédiatement anxiolitique, conso peut devenir anxiogène sur longues périodes de temps - Conso empêche l'expérience de l,anxiété de se produire = empêche d'apprendre qu'expérience est moins effrayante qu'on l'imagine - Symptôme sevrage peuvent imiter symptômes anxiété --» nouveaux cas automédoc

Question 61

Comment alcool affecte-t-il anxiété: - Résultats études expérimentales

Answer 61

- Résultats ambigus sur si alcool diminue réellement anxiété

Question 62

Comment alcool affecte-t-il anxiété: - Conso alcool peut temporairement réduire anxiété (éthanol) mais...

Answer 62

N'implique pas que conso alcool n'augmente pas également anxiété (modèle feed-foward)

Question 63

Comment alcool affecte-t-il anxiété: - Importance des médiateurs et modérateurs (exemple)

Answer 63

- Alcool lorsqu'on est concentré sur anxiété: exacerbe attention sur anxiété (ex: conso avant exam) - Alcool lorsqu'on est heureux: focus attention sur émotion positive (ex: conso pendant une fête)

Question 64

Impacts des troubles comorbides: addiction + troubles anxieux

Answer 64

- Utilise davantage service de santé mentale - Présente symptomatologie + incapacité + grave - Durée trouble + longue - Qualité de vie plus faible - Risque accrue idée/tentative suicide

Question 65

Pourquoi est-ce important d'évaluer la comorbidité? - 3 raisons

Answer 65

1. Présence de 2 troubles ou += moins bons résultats de traitement et + utilisation services santé 2. + personnes présente de troubles, + impact sur son fonctionnement est important 3. Prob de maintenir une personne en traitement pendant période optimale dépend de la prise en compte des troubles cooccurrents --» approche de traitement intégrée est nécessaire

Question 66

Identification des liens entre les troubles - Qu'est-ce qui doit être attentivement évalué lorsqu'une personne présente une ensemble de symptômes qui pourraient être liés à une substance et également influencé par présence d'un autre trouble?

Answer 66

- L'évolution dans le temps - Les symptômes associés des troubles coexistant - Différencier les symptômes du trouble de l'humeur de ceux du sevrage

Question 67

Identification des liens entre les troubles - Les différentes possibilités (5):

Answer 67

1. Les symptômes sont-ils causés par le sevrage ou par l'intoxication? 2. La conso de substances est-elle à l'origine des troubles mentaux ou des symptômes cooccurrents? 3. Conso de substances se produit elle uniquement lorsque les symptômes de santé mentale sont présents? 4. Les symptômes concomitants de conso substances et prob santé mentale ont-ils des effets synergiques (multiplié en étant mis ensemble) mutuels? 5. Plusieurs troubles peuvent être présents sans relation de cause à effets

Question 68

Identification des liens entre les troubles 1. Les symptômes sont-ils causés par le sevrage ou par l'intoxication?

Answer 68

- Si c'est les symptômes sont causés par l'un ou l'autre, il n'y a pas de comorbidité avec les autres troubles - Si symptômes reliés à une substance, ils devraient disparaitre rapidement après le sevrage/intoxication

Question 69

Identification des liens entre les troubles 2. La conso de substances est-elle à l'origine des troubles mentaux ou des symptômes cooccurrents?

Answer 69

- Si conso cause trouble mentaux, ceux-ci sont appelés troubles induits par conso de substances - Les symptômes du trouble concomitant disparait généralement quelques semaines après l'arrêt de la conso de substances

Question 70

Identification des liens entre les troubles 3. Conso de substances se produit elle uniquement lorsque les symptômes de santé mentale sont présents?

Answer 70

Ex: personne anxieuse vie anxiété car elle va sans évènement social et consomme donc de l'alcool. - Au fil du temps, conso devient plus importante (exacerbation prob santé lié à l'alcool) *Si symptôme d'addiction disparait après thérapie troubles anxieux, ce n'était pas une vrai addiciton.

Question 71

Identification des liens entre les troubles 4. Les symptômes concomitants de conso substances et prob santé mentale ont-ils des effets synergiques (multiplié en étant mis ensemble) mutuels?

Answer 71

Les symptômes concomitants de conso substances et de santé mental peuvent se produire indépendamment de la relation causale initiale. Cela veut dire qu'un premier épisode peut être causé par une substances, et les autres symptômes ultérieurs vont être causés indépendamment de la substances..

Question 72

Identification des liens entre les troubles 5. Plusieurs troubles peuvent être présents sans relation de cause à effets (ex)

Answer 72

Personnes ayant problème d'alcool toute sa vie vit évènement traumatisant et développe PTSD. Deux troubles sont indépendants. - Le premiers peut cependant exacerber le deuxième.

Question 73

Dépistage des troubles mentaux chez les personnes ayant une addiction. - À quoi servent les instruments de dépistage

Answer 73

À signaler l'existence d'autres problèmes important qui pourrait nécessiter: - Une évaluation plus approfondie - l'inclusion dans un plan de traitement.

Question 74

Dépistage des troubles mentaux chez les personnes ayant une addiction. - Qualité des instruments de dépistages

Answer 74

- Brefs - Facile à administrer - Notés et développer pour être utilisés dans différents contextes

Question 75

Fonctionnement du dépistage pour le trouble addictif chez les personnes ayant des troubles mentaux

Answer 75

1. Identifier les domaines à traiter pour évaluation plus approfondie et traitement. 2. Plusieurs catégories d'instruments d'évaluation pour identifier les troubles addictifs.

Question 76

Les 5 différentes catégories d'instruments d'évaluation pour troubles addictifs:

Answer 76

1. Instrument de dépistage 2. Habitudes de consommation 3. Mesures de niveau de l'addiction et les symptômes 4. Mesures des problèmes liés à la consommation de substances 5. Tests médicaux. **Plupart des mesures auto-évalués par client

Question 77

L'entrevue clinique - Pour quelles raisons sont-elles fortement recommandé?

Answer 77

Pour différencier les addictions des autres troubles mentaux

Question 78

L'entrevue clinique - Qualité

Answer 78

Précis et grande fiabilité

Question 79

L'entrevue clinique Désavantage

Answer 79

- Prennent bcp + de temps qu'autres instruments - Pas d'indice de gravité des symptômes - Nécessite formation à l'administration et à la notation de l'entretien clinique.

Question 80

Le diagnostique de comorbidité - utilité

Answer 80

Planifier un traitement

Question 81

Le diagnostique de comorbidité - Quand peut-on dire qu'un trouble mental est diagnostiqué?

Answer 81

Quand un ensemble de critère clairement spécifiés pour la présence d'un trouble ont été remplis

Question 82

Le diagnostique de comorbidité - Pourquoi est-ce que le diagnostique d'addiction et des autres troubles mentaux sont difficiles à établir?

Answer 82

- Car symptômes se chevauchent souvent *Évaluation diagnostique devrait idéalement avoir lieue après période d'abstinence

Question 84

Certains problèmes dans le diagnostique de comorbidité - Ont empêchés notre compréhension et notre capacité à quoi?

Answer 84

Notre compréhension de l'étiologie (origine) des troubles comorbides et notre capacité à les traiter efficacement

Question 85

Certains problèmes dans le diagnostique de comorbidité - Les diagnostiques cliniques peuvent ne pas être fiable en fonction de 5 sources d'erreurs:

Answer 85

1. Variance du sujet: 2. Variance d'occasion: 3. Variance d'observation 4. Variance d'information 5. Variance de critère

Question 86

1. Variance du sujet

Answer 86

individus ont diagnostiques différentes à moment différents de leur vie (personnes peut avoir trouble anxieux pendant enfance et trouble addiction plus tard)

Question 87

2. Variance d'occasion:

Answer 87

les individus peuvent se trouver à différents stades d'un même trouble à différents moments (personnes bipolaire se trouve dans sa phase dépressive)

Question 88

3. Variance d'observation

Answer 88

cliniciens remarquent choses différentes à propos du même client (regard clinicien est subjectif)

Question 89

4. Variance d'information

Answer 89

Les cliniciens ont des sources d'informations différentes

Question 90

5. Variance de critère

Answer 90

Les critères diagnostiques peuvent varier selon les manuels utilisés par les cliniciens