Cours 8 Flashcards
(79 cards)
1
Q
Quels sont les gènes qui prédisent une addiction
A
Aucun gène ni même combinaison de gêne détermine de façon définitive si un individu va développer une addiction
2
Q
Dans quel mesure le risque de développer une addiction peut-il être attribué aux facteurs génétiques?
A
Certains facteurs génétiques peuvent prédisposer les individus à développer une addiction, mais ne l’explique pas 100%.
3
Q
Études de jumeaux:
A
- Addictions ont tendance à se manifester dans les familles
- Jumeaux monozygotes = 100% bagage génétique et dizygote = 50% bagage génétique.
- Si jumeaux sont similaires pour un trait, celui-ci est souvent plus héréditaire, et s’ils diffèrent pour un trait, celui-ci est souvent plus influencé par l’environnement.
4
Q
3 catégories de facteurs de risques (quantifier le risque d’une addiction)
A
- La génétique
- Facteurs environnementaux partagés (non génétique mais environnement semblable)
- Facteurs environnementaux uniques (
5
Q
La théorie génétique (principe de base, études de jumeaux)
A
Études de jumeaux au sein de:
- Leur famille biologique (partages même environnement en même temps)
- Leur famille adoptive (partage des gènes mais évolue dans enviro différent)
But: démêler facteurs environnementaux et facteurs génétiques
6
Q
Les conclusions des études de jumeaux sur la conso de substances
A
Concordance élevée dans le cpt de conso des jumeaux monozygotes suggèrent une forte composante génétique dans le développement d’abus de substances
7
Q
5 facteurs prédisposants:
A
- Âge et développement
- Genre/ethnicité
- Désinhibition comportementale
- Drogues spécifiques
- Comorbidités psychiatriques
8
Q
- Âge et développement:
A
- Âge précoce de première utilisation (13 ans et moins) + famille qui consomme = plus grande chance d’accélérer l’expression de gènes liées à la vulnérabilité à la dépendance –» plus grande chance de dévelop addiction.
- Hypothèse de la porte d’entrée: cannabis -» initiation précoce mène à risque accru de dépendance à d’autres drogues.
9
Q
- Genre et ethnicité:
- Infos sur les études en général:
A
Genre:
- Rôle complexe et bcpt débattu
- Bcp de résultats mixtes
- Peu études sur individus de la diversité de genre
Ethnicité:
- Majorité échantillons = américains et australiens
- Peu d’études sur différences culturelles
10
Q
- Genre et ethnicité:
- Résultats des études (sur la dépendance à l’alcool)
A
Genre:
- Homme: 48% du risque est attribuable à la génétique
- Femme: 10% du risque est attribuable à la génétique
Ethnicité:
- Pour pop afro-américaines, génétique joue un rôle négligeable dans facteurs de risques.
*Hypothèse: religion décourage gens de conso et commence souvent à boire plus tard dans leur vie
11
Q
- Désinhibition comportementale
- Définition
A
- Tendance à agir de manière impulsive ou à prendre des décisions sans tenir compte des conséquences
- Manifestations: incapacité à contrôler cpt comme conso excessive, cpt à risque ou agression.
12
Q
- Désinhibition comportementale
- Résultats des études
A
- Études de jumeaux ont démontrés que trait désinhibition cpt fortement associé à abus de substances à l’âge adulte.
- Alcoolisme de type B (début précoce et fortement associé à personnalité antisociale) = hautement héréditaire
13
Q
- Usages de substances spécifiques
- Définition
A
- Certains facteurs génétiques prédisposent certains individus à développer un trouble lié à l’usages de substances en général, tandis que d’autres sont plus spécifiques à certaines substances.
- Chaque substance addictive présente une charge génétique distincte, contribuant à des degrés divers d’héritabilité.
14
Q
- Comorbidité psychiatrique:
A
- 60% des personnes ayant un trouble de l’usage rapporteraient également un autre trouble psychiatrique
- Ces personnes ayant une comorbidité sont plus susceptible d’avoir des idées suicidaires, plus d’hospitalisations et d’être sans-abris que ceux qui souffrent que d’un trouble psychiatrique.
15
Q
- Comorbidité psychiatrique:
- Trouble interne vs trouble externes
A
Troubles internes ( la détresse se vie plus de l’intérieur)
- Trouble dépressif caractérisé
- Troubles anxieux et phobies
- Trouble bipolaire
Troubles externes (cpt plus observables)
- Troubles des conduites
- Trouble perso antisociale
16
Q
Trouble dépressif caractérisé ou majeur:
- Relation bidirectionnelle entre quoi et quoi?
A
Trouble dépressif caractérisé «–» trouble de l’usage des substances
17
Q
Trouble dépressif caractérisé ou majeur:
- Explication de la relation bidirectionnelle
A
- Conso chronique alcool peut abaisser niv sérotonine et de noradrénaline = symp dépressifs
- Dépression = symp sevrage (opiacés, méth, coke)
- Conséquences négatives associées à l’abus de substances (ex: prob sociaux, juridiques et professionnels) peuvent aggraver symp dépressifs
18
Q
Trouble dépressif caractérisé ou majeur:
- vrai ou faux: l’humeur dépressive semble causer la progression d’une personne de l’initiation à l’abus ou à la dépendance.
A
Faux, cela ne semble pas influencer cette progression (pas de relation causale)
Ce serait plus corrélé avec les facteurs environnementaux ( ex: groupe d’amis, enviro familial)
19
Q
Quels sont les résultats des analyses de jumeaux quant à la relation des troubles internes/externes et l’abus de substances?
A
- Les troubles internes sont fortement influencés par l’influence génétiques
Alors que - Les troubles externes sont fortement influencés par l’environnement (surtout enviro partagé)
20
Q
- 2 facteurs de protection:
A
A. Âge avancé au premier usage
B. Fréquentation d’une institution religieuse
21
Q
B. Fréquentation d’une institution religieuse
A
- Environnement partagé joue un gros rôle dans participation aux activités religieuses.
- En vieillissant (ado), influence enviro sur fréquentation lieue de culte diminue tandis qu’influence facteurs génétiques augmentent
- Âge adulte, corrélation négative entre fréquentation lieu de culte et conso substance devient plus forte
22
Q
Pour quelle addiction le facteur de protection de fréquentation d’une institution religieuse n’est pas vrai?
A
Le trouble sexuel compulsif (TCCS)
23
Q
5 défis/limites études de jumeaux
A
- Prévalence: jumeaux + addiction = limite échantillon
- Biais de recensement: Échantillon ont souvent gravité clinique plus forte
- Hypothèse du hasard dans le choix du partenaire: assume que les gens choisissent partenaire par hasard, mais ceux-ci choisissent souvent partenaires avec addiction
- Hypothèse des environnement égaux: suppose que jumeaux sont exposés à enviro similaire, mais ce n’est pas tj le cas.
- Interaction gène environnement: Devis de recherche utilisé ne permet souvent pas de faire distinction entre les gènes et l’enviro
24
Q
Transmission intergénérationnelle principe de base:
A
- Parents auraient rôle majeur à jouer dans l’acquisition de cpt addictif chez leurs enfants
–» - Enfants de parents dépendants sont plus susceptibles de développer dépendance que ceux de la population générale.
25
3 théories de la transmission intergénérationnelle du stress
1. Théorie génétique: les cpt problématique seraient transmis par facteurs biologiques (prédisposition génétique)
2. Théorie environnementale: facteurs comme dysfonctions familiales/classe sociale expliquerait une grande partie du risque
3. Théorie cognitive: enfants acquièrent dès jeune âge infos sur addiction, surtout par observation cpt de leurs parents
26
1. Théorie génétique: étude sur les similitudes familiales (résultats en gros)
- Histoire familiale de cpt problématique est l'un des meilleurs prédicteurs de l'initiation/maintient de problèmes futurs.
27
1. Théorie génétique:
- Les enfants de parents alcoolique sont plus enclins à...
- Boire seul
- Boire dans le but de devenir intoxiqué
- Boire pour le goût de l'alcool
28
1. Théorie génétique:
- Les enfants de parents alcoolique sont plus susceptibles de boire pour:
- Gérer leur stress
- Améliorer leur humeur
- Se conformer aux normes sociales liées à la consommation d'alcool
29
1. Théorie génétique:
Résultats liés à l'alcool
- Plus il y a de proche qui ont une dépendance à l'alcool, plus d'autres membres risque d'en développer également
- Dépendance est 2-3X plus fréquente chez les proches de patient alcoolique
30
1. Théorie génétique:
Transmission: Résultats liés au tabac ( proportion)
- Enfants avec parents fumeurs ont taux tabagisme 2x plus élevé que ceux avec parents non-fumeurs
31
1. Théorie génétique:
Transmission: Résultats liés au jeu problématique (proportion)
transmission de risque modéré (personnes ayant parents ayant troubles du jeu d'argent sont 2x plus susceptible de développer un trouble que ceux qui n'en ont pas)
32
1. Théorie génétique:
Transmission: résultats liés à la dépendance à l'alcool (proportion)
- Parents bio avec antécédents d'alcoolisme augmente +++ risque de développer dépendance
- Enfants dans famille adoptées non-alcooliques ont 3x plus de chance de développer alcoolisme que ceux dont les parents bio ne sont pas alcoolique.
En gros: risque serait davantage lié à l'hérédité qu'à l'environnement.
33
1. Théorie génétique:
Transmission: résultats liés à la dépendance à l'alcool dans famille adoptive (influence environnementale)
- Les enfants étant dans des famille adoptives avec de beaux-parents adoptifs influence leur cpt d'alcoolisme, même si leurs parents biologiques n'ont pas de problème d'alcoolisme.
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1. Théorie génétique:
- Génome
Ensemble du matériel génétique d'un organisme, répartis sur des chromosomes
35
1. Théorie génétique:
- Phénotype
Ensemble des caractéristiques observables d'un individu, résultant de son interaction entre son patrimoine génétique (génotype) et l'environnement.
- Ex: taille, personnalité, couleur des yeux, etc.
36
1. Théorie génétique:
- Endophénotype
Mécanismes neurobiologiques sous-jacents aux troubles
- Généralement héréditaire et présent chez les individus atteints d'un trouble et chez leurs proches à risque.
*C'est altération du traitement des récompenses qui devient héréditaire
37
1. Théorie génétique:
- Principe de liaison des gènes
Gènes situés à proximité les uns des autres sont plus susceptibles d'être hérités d'un parent, contrairement aux gènes plus éloignés (Plus nos parents ont des gènes addictifs proche, plus on a de chance de développer une addiction)
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1. Théorie génétique:
- Certains gènes impliqués dans l'addiction comportementale et de substances
- Gène du réception m-opoide
- Gène du transporteur de la sérotonine
- gène du récepteur de la dopamine
- Gène des récepteurs GABA
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1. Théorie génétique:
Endophénotype
- Risque accru de dépendance aux substances = à quoi?
Réduction du potentiel cérébral (P300), qui reflète l'attention et la mémoire de travail
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1. Théorie génétique:
Différence d'héritabilité de la réduction du potentiel cérébral
65% chez garçons
35% chez filles (qui sont fortement influencés par l'environnement partagé)
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1. Théorie génétique:
Qu'est-ce que les études sur le génome humain et les endophénotypes suggèrent?
Que la génétique joue un rôle dans les cpt addictifs, en interaction avec l'environnement familial
42
2. Théories environnementales
- Étude allemande sur alcoolisme (découverte sur antécédents familiaux)
- pas de lien entre antécédents familiaux alcoolisme et alcoolisme chez ados
-
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2. Théories environnementales
- Effets des troubles psychiatriques des parents et le rejet parental perçu (associé à quoi?)
- Associé à agressivité et délinquance
- Cela augmente leur contact avec pairs consommateurs et (indirectement) leurs problèmes d'alcool.
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2. Théories environnementales
- Niveau du rôle des familles dysfonctionnelles dans la transmission intergénérationnelle de l'addiction
- Rôle partiel
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3. Théories génétique-environnement (GxE):
- Mécanismes derrière cette transmission intergénérationnelle? (4)
1. Individus avec risque génétique élevé sont aussi exposés à enviro à haut risque
2. Facteurs enviro partagés explique peu transmission des addictions
3. Intéraction génétique enviro sont mieux expliqués par expérience unique
4. Addiction parentale influencerait enfants manière indirecte avec effets spécifiques sur chaque enfant.
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4. Théories cognitives
- Croyance des enfants de 3 à 6 ans sur conso alcool
- Alcool est principalement consommé par adultes
- Alcool davantage conso par hommes que par femmes
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4. Théories cognitives
- Modèle de Oei et Baldwin: les 2 phases
1. Phase d'aquisition: attentes liées à alcool se forme par observation/apprentissage
2. Phase de maintien (conditionnement classique): processus conditionnés déclenchent automatiquement une réponse de conso
48
4. Théories cognitives
- Modèle de Oei et Baldwin
Développement/maintien conso prob alcool via apprentissage parental.
- Attentes liées aux effets de l'alcool
- Croyances d'auto-efficacité: contrôle de soi.
48
Théorie du conditionnement et de l'apprentissage (tableau)
1. Cue (stimulus comme boutille de vin)
2. Attentes par rapport au résultat (être relaxé)
3. Réponse (boire vin)
4. Résultat (être relaxé) --» donne feedback aux attentes
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4. Théories cognitives: attentes et auto-efficacité:
- Les 3 étapes
1. Enfants intériorise les attentes/croyances parentales sur effets de l'alcool
- Ex: si je bois je serai heureux
2. Ces cognitions guident le cpt de l'enfant lorsqu'il s'expose à élément déclencheur
- Motivé par anticipation des effets
- Influencé par leur cpt d'auto-efficacité (capacité à refusé)
3. Confirmation successive de ces attentes peut renforcer cpt, surtout si elles sont perçues comme positive
- Attente de résultats met donc individu à risque de continuer ces cpt
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Mécanismes sous-jacents commun à toutes les addictions (2)
- Diminution du contrôle de soi
- Poursuite du cpt malgré conséquence
51
Impulsivité définition (3 aspects clé)
1. Agir trop vite sans réfléchir aux conséquences de ses actes
2. Avoir du mal à retenir une action
3. Privilégie la gratification immédiate au détriment du bénéfice à long terme (tt de suite maintenant)
*Plutôt au niveau comportemental
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Désinhibition définition
Type spécifique d'impulsivité lié à des difficultés de contrôle inhibiteur (plus au niveau cognitif, moins comportemental)
- Ex: Difficulté à retenir réponse automatique
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Propension à la prise de risque définition:
Engagement dans des cpt problématiques avec des conséquences positives à l'individu, mais jugés indésirables par la société et qui comporte souvent des dangers.
- Ex: conso substances
54
Mesure de l'impulsivité: Échelle de Barratt (BIS) --» mesure autorapportée
- Les 3 sous-échelles
1. Impulsivité attentionnelle (manque d'attention)
2. Impulsivité motrice
(hyperactivité dû au besoin de mouvement)
3. Impulsivité non planifiée (attitudes et conclusions précipitées par manque de réflexion)
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Mesure de l'impulsivité: échelle d'impulsivité UPPS-P --» mesure autorapportée
- 5 dimensions
1. La préméditation (tendance à réfléchir aux conséquences acte)
2. Urgence positive (difficulté à résister aux pulsions liées à affect positif)
3. Recherche de sensation
4. Urgence négative (difficulté à résister aux impulsions liées à affect négatif)
5. Persévérance (capacité à maintenir son attention sur tâche difficile ou ennuyeuse)
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Mesure de l'impulsivité --» mesure cpt
- tâche de délai de gratification
- Mesure impulsivité en observant comment gens valorisent récompense en fonction de leur délai
- Personnes impulsives privilégies souvent petites récompenses immédiates plutôt que l'inverse
- Préfère gains rapide et tiennent pas compte des bénéfices futurs
*Penser au marshmallow test
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Mesure de l'impulsivité --» mesure cpt
- Délais de gratification et addiction (2 observations)
- Utilisateurs alcool et substances prennent + décision impulsive que les non-utilisateurs
- Personnes dépendantes aux opioïdes qui partagent aiguilles préfère récompense immédiate que ceux qui ne les partage pas
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Mesure de l'impulsivité --» mesure cpt
- Go/no go task
Mesure le temps de réaction pour appuyer sur un bouton
- Ceux qui ont de la difficulté à arrêter leur mouvement lorsque le stimuli change sont plus désinhibé
*Utilisateur d'alcool/coke ont capacité réduite à inhiber leurs réponses automatiques.
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Mesure de l'impulsivité --» mesure cpt
- Tâche de jeu d'Iowa (prise de risque)
- En gros: apprendre à éviter jeu risqué pour maximiser gains à long terme
- Personnes avec addiction montre: scores globaux plus bas et incapacité à choisir jeu de cartes plus avantageux.
60
Impulsivité et réponse au traitement d'addiction (4)
- Résultats traitements moins bon pour personnes impulsives
- Plus susceptible d'abandonner le traitement
- Reste en traitement pendant période plus courte
- Ressente plus de craving pendant sevrage et plus de chance de rechuter.
61
Impulsivité et compulsivité dans l'addicion
Font partie des traits de perso concomitants le plus étudiées pour comprendre conduites prob de nature addictive
62
Impulsivité définition
- Réactions rapides et imprévues à des stimuli de récompenses
- Conséquences négatives pas prises en compte
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Compulsivité définition
- Manifestations répétitives, à la manière d'un rituel
- Soulager sentiment de détresse
- Règles fixes que l'individu se fixe lui-même pour éviter répercussion négative (mais fausse impression de contrôle)
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Relation entre l'impulsivité et la compulsivité
- Groupe non problématiques = proportion impulsivité / compulsivité similaire
- Groupes problématiques = compulsivité est plus forte que l'impulsivité dans tous les groupes, sauf pour le jeu.
65
Impulsivité serait plus présente dans les phases de développement de l'addiction ou c'est la compulsivité?
Impulsivité présente dans phase de développement alors que compulsivité serait présente dans phases plus avamcées de l'addiction
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Dans quelles perspectives l'impulsivité et la compulsivité sont importantes à comprendre et à étudier
Pour traitement, prévention et psychoéducation.
67
Les 4 trajectoires de l'addiciton
1. Voie de la régulation de l'affect négatif
2. Voie de l'atténuation du stress
3. Voie de la mauvaise inhibition de la réponse
4. Voie de la récompense
68
1. Voie de la régulation de l'affect négatif
- Traits associés
Affect négatifs et désespoir
- Attentes négatives envers soi-même et le futur
- Tendance à s'attendre à ce qu'évènements négatifs se produisent ou que résultats désirés ne se réaliseront pas
69
1. Voie de la régulation de l'affect négatif
- Motivations associées
- Réguler ou faire face à niveau élevé affect négatif (urgence négative)
- Oublier situation difficiles
- Motivation moins associées à recherche de plaisir (plus associé à évitement)
70
2. Voie atténuation du stress
- Traits associés
Sensibilité et anxiété
- Peur des sensations physiques reliées à anxiété
- Attentes irréalistes selon laquelle ces peurs pourrait entrainer conséquences catastrophiques
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2. Voie atténuation du stress
- Motivations associées
- Sensibilité à anxiété rend individu plus sensibles aux niveaux élevés de stress dans situation normales
- Plus vulnérable au stress lié au sevrage de drogue
- Ces états physiologiques peuvent être facilement réduit par effets alcool et anxiolitiques (benzodiazépines) qui ont propriétés sédatives
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2. Voie atténuation du stress
Cercle vicieux de la voie d'atténuation du stress
- Forte sensibilité à l'anxiété
- Croyance que la substance aide à réduire la tension
- Plus grande réceptivité aux effets de la substance
- Usage chronique diminue progressivement la capacité à atténuer la tension
- Pousse les individus à consommer davantage
- Dépendance ou prob d'usage de substances
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3. Voie de la mauvaise inhibition des réponses
- Traits associés
Impulsivité
- Plus susceptible de s'engager dans une addiction continue ou sévère, en raison de déficits dans l'inhibition des réponses
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3. Voie de la mauvaise inhibition des réponses
- Motivations associées
Floues
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3. Voie de la mauvaise inhibition des réponses
- Associations longitudinales entre addiction et...
- Passé de cpt antisociaux pendant enfance
- Mauvais résultats scolaires
- Mauvaises relations interperso
- Prob d'activité ou d'attention pendant enfance
- Manque de soutien parental
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4. Voie de la récompense
- Traits associés
Recherche de sensation
- Fort besoin de stimulation
- Faible tolérance à l'ennui
- Volonté de prendre risques pour vivre expériences nouvelles et variées
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4. Voie de la récompense
- Motivations associées
- Propriétés de renforcement positif des substances
- Amplifier leurs sentiments ou émotions positives
- Améliorer la psychostimulation
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4. Voie de la récompense
- Mécanismes sous-jacents
Effets neuropharmacologiques des substances:
- Stimule activité de la dopamine
- Augmente activité des systèmes opioïdes du cerveau
