cours 10 - développement cognitif de l'âge scolaire Flashcards

1
Q

pp. 4

théorie de Piaget - le stade opératoire concret

A

stade opératoire concret : 7 - 11 ans : pensée est plus logique, souple et organisée

conservation
déconcentration : capacité. à se concentrer sur plusieurs aspects d’une problème
réversibilité : capacité de faire mentale une opération en sens inverse

classification
entre 7-10 ans, enfants réussissent le problème d’inclusion de Piaget (fleurs rouges et bleus, vont dire que les fleurs sont celles dont la couleurs est la plus nombreuse, n’arrive pas à les classer comme toutes des fleurs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

pp. 5

stade opératoire concret, sériation

A

Sériation : capacité à ordonner des éléments selon une dimension quantitative, comme la longueur ou le poids.
Inférence transitive : la capacité de reconnaître une relation entre deux objets si l’on connaît la relation existante entre chacun d’eux et un troisième objet (processus mental)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

pp. 6

stade opératoire concret (Piaget)

cartes cognitives

A

cartes cognitives : représentations mentales d’espaces (ex. école. classe, quartier…)

capable de lire une carte d’une pièce si dans le bon sens

9 ans, dans grands espaces extérieurs, capacité d, identifier un point de repère

10-12 ans saisissent de mieux en mieux les échelles

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

pp. 8

limites de la pensée opératoire concrète

A

Les enfants pensent de façon logique et organisée… surtout quand l’information est perçue directement, apparente et concrète (≠ abstraite)

continuum d’acquisition

  • ne maitrise pas toutes les tâches opératoire concrètes d’un seul coup
  • maitrise graduellement (ex. conservation nombre, ensuite taille, ensuite liquide, poids, etc)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

pp. 9

études récentes sur la pensée opératoire concrète

A

impact de la culture et scolarité

La fréquentation scolaire favorise la maîtrise des tâches piagétiennes (p. ex., inférence transitive).
Certaines expériences informelles, non scolaires, peuvent également favoriser la pensée opérationnelle.

vision du traitement de l’info

  • Les théoriciens néo-piagétiens soutiennent que la pensée opérationnelle représente une expansion de la capacité de traitement de l’information.
  • Les approches néopiagétiennes expliquent l’inégalité du développement cognitif (mémoire de travail et expériences).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

pp. 10

évaluation du stade opératoire concret

A

Piaget avait raison de dire que les enfants abordent les problèmes de manière plus organisée et rationnelle

désaccord persiste quant à savoir s’il s’agit d’une amélioration continue ou d’une restructuration discontinue de leur pensée

nombreux chercheurs soupçonnent que les deux types de changements contribuent à la progression des enfants d’âge scolaire vers ue compréhension plus complète des principes sous-adjacents de la pensée logique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

pp. 11

traitement de l’informations

A

la fonction exécutive s’améliore

  • favorise les gains en matière de planification, réflexion stratégique et d’autocontrôle
  • influencé par une combinaison de facteurs héréditaires et environnementaux

inhibition et flexibilité de l’attention

  • inhibition s’améliore grandement entre 6-10 ans
  • Le tri de carte à changement dimensionnel est utilisé pour évaluer la capacité des enfants à changer de règle lors du tri.
  • déplacement flexible de l’attention bénéficie des gains en matière d’inhibition
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

pp. 12

traitement de l’information : mémoire de travail MT

A

traitement plus rapide et efficace
- plus rapide donc peut en gérer plus
Ex. temps pour traiter de l, info diminue entre 6-12 ans

différences individuelles prédisent QI et performance académique

  • Une mémoire de travail limitée est associée à des difficultés d’apprentissage persistantes en lecture et en mathématiques.
  • Pauvreté (enfance) liée une MT réduite (jeunes adultes): impact néfaste du stress chronique sur le cortex préfrontal et ses liens avec hippocampe.
  • échafaudage
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

pp. 13

entrainement des fonctions exécutives et planification

A

entrainent possible (direct et indirect) pour améliorer les fonctions

Le développement de la planification illustre comment l’attention se coordonne avec d’autres processus cognitifs:
Inhiber une action en faveur de l’évaluation des alternatives
Organiser une séquence d’étapes efficaces
Se souvenir des étapes du plan (puis porter attention à chacune d’elle)
Suivre de près comment le plan fonctionne
Le réviser si nécessaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

pp. 13

entrainement des fonctions exécutives et planification

A

entrainent possible (direct et indirect) pour améliorer les fonctions

Le développement de la planification illustre comment l’attention se coordonne avec d’autres processus cognitifs:
Inhiber une action en faveur de l’évaluation des alternatives
Organiser une séquence d’étapes efficaces
Se souvenir des étapes du plan (puis porter attention à chacune d’elle)
Suivre de près comment le plan fonctionne
Le réviser si nécessaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

pp. 15

enfants avec un TDAH

A

symptômes

  • incapacité à rester concentré lorsqu’un effort mental est requis pendant plus de quelques minutes
  • ignore souvent les règles sociales et se déchaine lorsqu’il est frustré

origine ?
hautement héréditaire mais aussi lié à des facteurs environnementaux (Ex. vie familial stressante)

meilleure approche thérapeutique est interventions qui modèlent et renforcements entre le comportement approprié combiné à de la médication

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

pp. 16

stratégies de mémoire

A

répétition : répéter des éléments (liés aux compétences langagière) 6/7 ans

organisation : regrouper des éléments connexes à 8-9 ans

élaboration : créer une relation entre des informations de différentes catégories , à partir de 10-11 ans

Plus les enfants appliquent des stratégies simultanément, mieux ils se souviennent.

L’organisation et l’élaboration combinent les éléments en ensembles significatifs, élargissant la mémoire de travail.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

pp. 17

connaissance et mémoire

A

La base de connaissances générales des enfants, soit la mémoire sémantique, s’élargit et devient plus élaborée :

  • Les enfants très bien informés organisent les informations dans leur domaine d’expertise avec peu ou pas d’effort, en associant rapidement de nouveaux éléments au grand nombre qu’ils connaissent déjà.
  • Des connaissances approfondies et l’utilisation de stratégies de mémoire se soutiennent mutuellement.
  • Non seulement ils acquièrent des connaissances plus rapidement, mais ils utilisent également activement ce qu’ils savent pour en ajouter davantage.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

pp. 18

Traitement de l’information : Stratégies, écoles et cultures

A

Dans les cultures villageoises, les gens ne voient aucune raison pratique d’utiliser des stratégies de mémorisation.

L’utilisation de stratégies est motivée par des tâches qui exigent un rappel isolé, comme dans les salles de classe.

Les enfants des pays développés ne tendent pas à utiliser d’autres techniques de mémorisation, comme la localisation spatiale ou la disposition des objets.

modernisation de la société prédit

  • étendue de la scolarisation
  • les résultats des enfants aux mesures cognitives, y compris la mémoire
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

pp. 19

Traitement de l’information : Théorie de l’esprit à l’âge scolaire

A

Les enfants en viennent à considérer l’esprit comme un agent actif et constructif qui sélectionne et transforme les informations :
- inférences mentales permettent la connaissance de fausses croyances et fausses croyances de second ordre

  • pensée récursive : capacité à envisager une situation sous au moins deux angles
  • scolarisation contribue à une vision de l’esprit plus réfléchie et axée sur le processus

les enfants comprennent mieux comment et pourquoi les stratégies mentales fonctionnent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

pp. 20

fausses croyances de second ordre

A

Ex. d’histoire complexe présentée à l’enfant1 qui doit penser à ce qu’une personne2 (Lisa) croit qu’une autre personne3 (Jason) pense.
jason a une lettre provenant d’un ami. Lisa veut lire la lettre mais Jason ne veut pas. Il la cache sous l’oreiller.

Jason quitte la pièce pour aider sa mère

Lisa recueille la lettre, la lit. Elle ne la replace pas en dessous de l’oreiller mais dans son bureau (pendant que Jason la regarde à travers le cadre de porte puisqu’il est revenu)

ou est-ce que jasons va regarder et pourquoi

16
Q

pp. 21

traitement de l’information : auto-régulation cognitive

A

autorégulation cognitive implique

  • suivi continu des progrès vers un objectif
  • vérifier les résultats
  • redirigier les efforts infructueux

favoriser l’autorégulation (rôle des parents et enseignants )

  • souligner les caractéristiques importantes d’une tâche
  • suggérer des stratégies et expliquer leur efficacité

L’acquisition de compétences efficaces en matière d’autorégulation favorise un sentiment d’auto-efficacité, c’est-à-dire la confiance en ses propres capacités, scolaire.

17
Q

pp. 22

traitement de l’information et apprentissage scolaire

A

lecture fait appel à de nombreuse capacités de traitement de l’informations à la fois

apprendre à lire aux enfants

  • La méthode de lecture globale présente les textes dans leur forme complète (reconnaître mots sans les décomposer)
  • L’approche phonétique enseigne d’abord les règles de base pour traduire les symboles écrits en sons.
  • Les enfants apprennent mieux en combinant les deux approches

passage de la l’apprentissage de la lecture à la lecture pour apprendre se passe autour de 7-8 ans

18
Q

pp. 24

traitement de l’information et apprentissage scolaire

A

mathématiques

La qualité de la ligne mentalenumérique des enfants prédit les résultats actuels et ultérieurs en mathématiques.

Enseignement des mathématiques à l’école primaire :

  • Exercices de calcul vs. compréhension conceptuelle
  • un mélange des deux est + bénéfique

Les classes d’Asie de l’Est consacrent plus de temps à l’exploration des concepts mathématiques et moins aux exercices et aux répétitions.

19
Q

pp. 26

différences individuelles en développement mental

A

6 ans, Q! devient + stable et permet de prédire

  • performances scolaires
  • niveau de scolarité

tests de QI actuels

  • fournissent un scoire global représentant l’intelligence générale et des scores séparés mesurant les capacités mentales spécifiques
  • ne mesure pas tous les aspect de l’intelligence
20
Q

pp. 28

test de groupe vs test individuel

A

test de groupe

  • tester les grand groupes.
  • peu informations pour administrer
  • utile pour une planification éducative
  • identifiant les élèves nécessitant une évaluation individuelle

test administré individuellement

  • examinateurs ont besoin d’expérience et formation
  • permet de savoir si le rsltat reflète fidèlement les capacités
  • identifient les jeunes à intelligence supérieure et ceux avec des problèmes d’apprentissage
21
Q

pp. 29

échelles d’intelligence

A

Échelles d’intelligence de Stanford-Binet, 5e Ed.

Évalue les connaissances générales, le raisonnement quantitatif, le traitement visuo-spatial, la mémoire de travail, et le traitement de l’information
De 2 ans à l’âge adulte

Échelles d’intelligence pour enfants Wechsler-V

Mesure le raisonnement verbal, le raisonnement perceptuel (ou visuo-spatial), la mémoire de travail, et la vitesse de traitement de l’information
De 6 à 16 ans

22
Q

pp. 30

définir l’intelligence (selon Sternberg)

A

Sternberg insiste sur la complexité du comportement intelligent et sur les limites des tests d’intelligence actuels pour évaluer cette complexité.

La théorie triarchique de l’intelligence de Sternberg réussie :

  • Intelligence analytique : traitement de l’information
  • Intelligence créative : générer des solutions utiles à de nouveaux problèmes
  • Intelligence pratique : s’adapter à un environnement, le façonner ou le sélectionner.

Cette théorie considère l’intelligence comme un produit à la fois des forces intérieures et extérieures.

23
Q

pp. 33

théories des intelligences multiples (gardner)

A

Selon Gardner, chaque intelligence a sa propre base biologique, son propre développement et une longue éducation est requise pour transformer le potentiel brute (la culture influence).

Peu de soutien scientifique pour aspect «distinct»

  • Des individus très doués ont habiletés plutôt larges
  • Certaines intelligences ont des aspects en commun

Attire attention vers habiletés non-évaluées par tests

P. ex., intelligence émotionnelle (intra- et inter-personnelles) est associée à l’ES, l’empathie, la prosocialité, le leadership, performance académique.

24
Q

pp. 34

expliquer les différences de QI

A

En termes de résultats scolaires, d’années d’études et de situation professionnelle, certains secteurs de la population sont avantagés par rapport à d’autres.

nature VS culture

  • Les preuves les plus solides de l’héritabilité du QI reposent sur des comparaisons entre jumeaux.
  • Environ la moitié des différences de QI entre les enfants peuvent être attribuées à leur bagage génétique.
  • La pauvreté réduit considérablement l’intelligence.
25
Q

pp. 35

expliquer les différences de QI (influences culturelles)

A

influences culturelles
- biais des tests peut y contribuer
- Les styles de langue et de communication ne correspondent pas toujours aux salles de classe et aux situations de test :
anglais afro-américain
style de communication collaboratifs ou hiérarchique
- Les élèves à faible revenu ont tendance à obtenir des résultats plus faibles parce qu’ils ont moins de possibilités d’apprentissage.
- la menace du stéréotype : la crainte d’être jugé sur la base d’un stéréotype négatif peut déclencher une anxiété qui nuit à la performance.

26
Q

pp. 36

réduire le biais culture en situation d’évaluation

A

Les scores de QI peuvent sous-estimer l’intelligence des enfants issus de groupes ethniques minoritaires.

Des procédures de test flexibles améliorent les performances des enfants issus de minorités

Évaluation dynamique : une forme de test dans laquelle un adulte introduit un enseignement ciblé dans la situation de test (zone de développement proximal de Vygotsky).

La recherche montre que la réceptivité des enfants à l’enseignement et leur capacité à transférer ce qu’ils ont appris à de nouveaux problèmes ajoutent considérablement à la prédiction des performances futures.

27
Q

pp. 38

développement langagier

A

conscience métalinguistique : capacité de considérer le langage comme un sytème
se développe

vocabulaire est quadriplé

  • La lecture y contribue énormément (vocabulaire diversifié, complexe: prédit taille future du vocabulaire)
  • Les enfants saisissent les doubles sens et apprennent à apprécier les énigmes et les jeux de mots.
28
Q

pp. 39

développement langagier

A

Des gains spectaculaires se produisent dans le domaine de la pragmatique :

  • Les enfants peuvent s’adapter aux besoins de leurs interlocuteurs dans des situations de communication difficiles.
  • La capacité à évaluer la clarté des messages des autres s’améliore.
  • Les récits sont mieux organisés, plus détaillés et plus expressifs.

Dans les familles qui mangent régulièrement ensemble, les enfants sont avancés dans le développement du langage et de la littératie.

29
Q

pp. 40

apprendre deux langues

A

les bilingues simultané

  • séparent les deux systèmes de language
  • atteignent la plupart des jalons linguistiques
  • ont un bon niveau dans la 2e langue aussi, selon le degré exposition

les bilingues séquentiels issus de familles immigrantes

  • Le temps nécessaire pour maîtriser la deuxième langue au niveau des locateurs natifs du même âge varie considérablement, de 1 à 5 ans ou plus.
  • Les facteurs influents sont la motivation de l’enfant, la connaissance de la première langue (qui favorise la maîtrise de la seconde) et la qualité de la communication et des expériences de littératie dans les deux langues à la maison et à l’école.
30
Q

pp. 41

apprendre deux langues

A

Les enfants bilingues font parfois de l’alternance codique - le passage d’une langue à une autre dans une même conversation, sans violer la grammaire des deux langues.

Il existe une période sensible pour le développement d’une seconde langue, bien qu’un âge limite précis n’ait pas été trouvé.

31
Q

pp. 42

apprendre deux langues

A

Plus le degré de bilinguisme est élevé, plus les gains cognitifs sont importants.

  • Plus de matière grise et blanche dans aires langagières de l’hémisphère gauche
  • Plus grande activité cérébrale dans ces aires et cortex préfrontal pendant tâche linguistique (inhiber, décider)
  • Dév. cognitif : bénéfices en attention soutenue et sélective, fausse croyances, raisonnement analytique, flexibilité, conscience métalinguistique, conventions, lecture
32
Q

pp. 43

apprentissages scolaires

A

dans les classes traditionnelles l’enseignants est las seule autorité
- léger avantage dans les résultats de test de réussite

Dans les classes constructivistes, les enfants sont des agents actifs qui réfléchissent et coordonnent leurs propres pensées plutôt que d’absorber celles des autres.
- Des gains en matière de pensée critique, une plus grande maturité sociale et morale et des attitudes plus positives envers l’école.

33
Q

pp. 44

apprentissages scolaires

A

Les approches récentes de l’éducation, fondées sur la théorie socioculturelle de Vygotsky, tirent parti du riche contexte social de la classe pour stimuler l’apprentissage des enfants.

Classe socioconstructiviste : les enfants construisent conjointement des compréhensions avec les enseignants et leurs pairs.

  • Enseignement réciproque : les groupes questionnent, résument, clarifient et prédisent le contenu d’un passage de texte au travers de dialogues coopératifs.
  • Communautés d’apprenants : les contributeurs adultes et enfants définissent et résolvent des problèmes ensemble.
34
Q

pp. 45

apprentissages scolaires

Signes d’un enseignement de haute qualité à l’école primaire:

A

Signes d’un enseignement de haute qualité à l’école primaire:

  • Le cadre physique est divisé en centres d’activités richement équipés
  • Le curriculum aide les enfants à atteindre les normes et à donner un sens à leur apprentissage
  • Les activités quotidiennes encouragent l’apprentissage coopératif
  • Les enseignants favorisent le progrès avec des stratégies intellectuellement engageantes et démontrent, expliquent, encadrent et assistent
  • Des évaluations régulières des progrès aident les enfants à réfléchir sur leur travail et à décider comment l’améliorer
  • Les enseignants forgent des partenariats avec les parents
35
Q

pp. 46

apprentissages scolaires et groupes de classe homogènes / hétérogènes

A

Des groupes ou des classes homogènes peuvent être une source puissante de prophéties auto-réalisatrices.

Des contextes d’apprentissage hétérogènes peuvent réduire les différences de réussite entre les groupes socio-économiques et les élèves des minorités ethniques et de la majorité.

Pour que la collaboration entre pairs hétérogènes réussisse, les enfants ont besoin d’une formation approfondie et de conseils en apprentissage coopératif:

  • petits groupes travaillent vers des objectifs communs
  • Les camarades de classe prennent en compte les idées des autres, se remettent mutuellement en question de façon appropriée, corrigent les malentendus et résolvent les différences d’opinion.
36
Q

pp. 47

troubles d’apprentissages scolaires

A

Troubles de l’apprentissage : grande difficulté avec un ou plusieurs aspects de l’apprentissage, généralement la lecture.

Dans les classes inclusives, les enfants ayant des difficultés d’apprentissage apprennent aux côtés d’élèves «typiques» :

  • P. ex., les élèves présentant une légère déficience intellectuelle sont parfois intégrés.
  • Si des mesures sont prises pour promouvoir des relations positives avec les pairs, l’inclusion peut favoriser un comportement prosocial.
  • Certains élèves ne bénéficient pas de l’inclusion ; les résultats dépendent à la fois de la gravité du trouble/handicap et des services de soutien disponibles.
37
Q

pp. 48

apprentissages scolaires niveau de forces intellectuelles

A

Surdoué : qui fait preuve de forces intellectuelles exceptionnelles (QI de plus de 130)

Créativité : production d’un travail à la fois original et approprié.

Talent : performance exceptionnelle dans un domaine spécifique