cours 9 - le développement socio-affectif durant la période préscolaire Flashcards

1
Q

pp.4

fondement du concept de soi

A
  • enfants âge préscolaire commencent à développer un concept de soi
  • ce concept influe sur le sens d’initiative (‘empressement à s’attaquer à de nouvelles tâches, la capacité à participer à des activités avec leurs pairs et la volonté de découvrir ce qu’ils peuvent faire avec l’aide des adultes, selon la définition d’Erikson.)
  • relation parent-enfant chaleureuse et sensibles (attachement sécurisant)
  • les souvenirs élaborés qui se concentrent sur les états internes ( En mettant l’accent sur la signification personnelle des événements passés, les conversations sur les états internes facilitent le développement de la connaissance de soi) des jeunes est particulièrement important
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2
Q

pp.5

fondements du concept de soi âge 4-5 ans

A

4 ans, commencent à se considérer comme persistant dans le temps et sont capables d’anticiper les propres états et besoins futurs (développement cognitif et parler des événement significatifs )

5 ans , comprennent que les préférences futures peuvent différer des préférences actuelles

à la fin des années préscolaires, les enfants sontcapables de mettre de côté leur état d’esprit actuel et adopter une perspective future

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3
Q

pp.6

émergence de l’estime de soi (+ estime de soi fragmenté)

A

estime de soi : jugements que nous portons sur notre propre valeur et les sentiments associés à ces jugements

enfants de cet âge jugent sur

  • amis
  • apprendre à faire des choses à l’école
  • s’entendre avec ses parents
  • être gentil avec les autres

estime de soi fragmenté : pas capable d’intégrer les jugements des autres et ne peuvent pas combiner les infos sur leurs compétences dans plusieurs domaines

! enfants ont de la difficultés à faire la distinction entre leurs compétences souhaités et compétences qu’ils ont réellement = évalue leur capacités comme étant très élevé et sous-estiment la difficulté de la tâche

! une grande estime de soi contribue à l’initiative dans une période ou ils doivent maitriser pleins de nouvelles compétences

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4
Q

pp. 9

Développement affectif, compétences émotionnelle

A

développement affectif est soutenu par des progrès en matière de représentation, de langage et concept de soi

progrès des enfants d’âge préscolaire

  • compréhension émotionnelle
  • autorégulation émotionnelle
  • émotions reliés à la conscience de soi et empathie
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5
Q

pp. 10

compréhension des émotions et vision des enfants

A
  • explications privilégie les facteurs externes par rapport aux états internes (équilibre se modifie avec l’âge)

Une fois que les enfants ont compris que les désirs et les croyances motivent le comportement, ils comprennent mieux comment les facteurs internes peuvent déclencher des émotions.

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6
Q

pp. 11

compréhension des émotions (capacité à interpréter, prédire et modifier les émotions des autres)

A
  • déduisent les émotions des autres à partir des comportements
  • ils réalisent que la pensée et émotions sont interconnectés
  • se concentrer sur des pensées négatives risque d’aggraver la situation d’une personne, mais penser positivement peut l’aider à se sentir mieux et ils sont conscients que le fait de se souvenir d’une expérience passée ou d’anticiper une expérience future peut influencer leurs émotions actuelles, une compréhension qui se renforce avec l’âge.
  • ils trouvent des moyens de soulager les émotions négatives des autres

! ils ont de la difficulté à interpréter la situation lorsque les indices sont contradictoires sur les émotions de l’autre

EX. orsqu’on leur montrait la photo d’un enfant au visage heureux avec un vélo cassé, les enfants de 4 et 5 ans avaient tendance à se fier uniquement à l’expression émotionnelle :«Il est heureux parce qu’il aime faire du vélo.» Les enfants plus âgés conciliaient plus souvent les deux indices : «Il est heureux parce que son père a promis de l’aider à réparer son vélo cassé.» Les jeunes enfants se concentrent sur l’aspect le plus évident d’une situation émotionnelle complexe en négligeant les autres informations pertinentes.

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7
Q

pp.12

compréhension des émotions (rôle des parents)

A

compréhension émotionnelle plus développé lorsque les parents

  • nomment et expliquent les émotions
  • expriment de la chaleur et enthousiasme lors des conversations
  • discuter des expériences négatives
  • Ces dialogues semblent aider les enfants à réfléchir aux causes et aux conséquences de leurs émotions, tout en leur permettant d’acquérir des compétences en communication.

sécurité de l.,attachement permet une communication ouverte entre parent-enfant

la connaissance des émotions aident les enfants dans leurs efforts pour s’entendre avec les autres
* Dès l’âge de 3 ans, la connaissance des émotions est liée à un comportement amical et prévenant (partage, aide), à des réponses constructives à des conflits avec des camarades et à la capacité de prendre du recul. Les enfants semblent reconnaître que reconnaître les émotions des autres et expliquer les leurs améliore la qualité des relations.

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8
Q

pp. 13

autorégulation émotionnelle (rôle du langage et stratégies)

A
  • le langage contribue à améliorer la capacité des enfants d’âge préscolaire à gérer l’expérience et l’expression des émotions

stratégies d’autorégulation (3-4 ans)
- limiter l’apport sensoriel
EX. bloquer les yeux
- parler à soi-même
Ex. maman ma dit qu’elle reviendrait bientôt
- changer ses objectifs
Ex. décident qu’ils ne veulent pas jouer de toute façon après avoir été exclu d’un jeu
- réparer une relation
Ex. arrêter de se battre et partager pour résoudre un conflit

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9
Q

pp. 14

autorégulation émotionnelle (tempérament et parentage)

A

tempérament affectent l’autorégulation

  • enfants réactifs : difficultés à inhiber leurs émotions et détourner leur attention des événements perturbateurs
  • Plus susceptibles d’être anxieux et craintifs, de réagir avec irritation à la détresse des autres, de réagir avec colère ou agressivité lorsqu’ils sont frustrés et de mal s’entendre avec les enseignants et leurs pairs.

parentage

  • Gérer ses propres émotions, suggestions/explications de stratégies de régulation des émotions
  • Risque si parents expriment peu d’émotions positives, nient les émotions de l’enfant, gèrent mal sa propre colère
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10
Q

pp. 15

autorégulation émotionnelle (leurs peurs)

A
  • imagination et compréhension limité de distinction fantaisie-réalité = peurs courantes

peurs courantes petite enfance

  • monstres, fantômes, ténèbres, école, animaux

certaines peurs intenses peuvent nécessiter de l’aide professionnelle et les autres diminuent avec l’augmentation. autorégulation émotionnelle

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11
Q

pp. 16

émotions reliés à la conscience de soi

A

émotions liées à la conscience soi : blessure ou amélioration de la conscience de soi

  • enfants âge préscolaire ont une sensibilité accrue aux éloges et aux reproches
  • 3 ans, émotions conscience de soi sont reliés à une auto-évaluation
  • Les parents peuvent favoriser des niveaux adaptés de fierté et de honte en se concentrant sur la manière d’améliorer les performances, et non sur la valeur de l’enfant.
  • Comme les enfants d’âge préscolaire sont encore en train d’élaborer des normes d’excellence et de conduite, ils dépendent des messages des parents, des enseignants et des autres personnes qui comptent pour eux pour savoir quand ils doivent se sentir fiers, honteux ou coupables.

Important pour le parent de mettre l’accent sur ce qui peut être amélioré, changé, plutôt que de critiquer en bloc. Un niveau adéquat de culpabilité peut amener l’enfant à vouloir réparer un mauvais comportement et à bien se comporter par la suite. Toutefois, lorsque la culpabilité est trop importante, cela peut amener des symptômes dépressifs chez l’enfant, dès l’âge de 3 ans.

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12
Q

pp. 17

émotions reliés à la conscience soi et la culpabilité

A

honte intense est associée à un sentiment d’inadéquation personnelle et des difficultés d’adaptation

culpabilité lorsqu’elle survient dans des contextes appropriés, aide les enfants à résister aux impulsions nuisibles et incite l’enfant qui s’est mal conduit à avoir un comportement moral (EX. se confesser, réparer les dégâts,..)

culpabilité écrasante implique une détresse émotionnelle et lié à des symptômes dépressif

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13
Q

pp. 18

empathie cognitive et émotionnelle

A

cognitive : comprendre l’émotion des autres
= altruisme

émotionnelle : ressenti l’émotion de l’autre
= risque de détresse émotionnelle si mauvaise régulation émotionnelle

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14
Q

pp. 18

2 facteurs qui favorisent l’empathie

A
  • tempérament sociable et affirmé

- relation d’attachement parent-enfant sécurisant

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15
Q

pp. 19

relations avec les pairs : sociabilité

A

plusieurs formes de jeux à la petite enfance

  • Activité non sociale : comportement inoccupé, spectateur et jeu solitaire.
  • Jeu parallèle : jouer près d’autres enfants avec des jouets similaires, sans essayer de les influencer.
  • Jeu associatif : s’adonner à des activités distinctes, mais échanger des jouets et des commentaires.
  • Jeu coopératif : orienté vers un objectif commun, comme dans les jeux symboliques.
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16
Q

pp. 20

sociabilité avec les pairs et changement de type de jeux

A

Le type de jeu solitaire et parallèle change au cours de la petite enfance :
- Jeu fonctionnel : mouvements moteurs simples et répétitifs, avec ou sans objets (fréquent pendant les 2 premières années).

  • Jeu constructif : création ou construction de quelque chose (3-6 ans)
  • Jeu à faire semblant : jouer des rôles quotidiens et imaginatifs (2-6 ans).
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16
Q

pp. 20

sociabilité avec les pairs et changement de type de jeux

A

Le type de jeu solitaire et parallèle change au cours de la petite enfance :
- Jeu fonctionnel : mouvements moteurs simples et répétitifs, avec ou sans objets (fréquent pendant les 2 premières années).

  • Jeu constructif : création ou construction de quelque chose (3-6 ans)
  • Jeu à faire semblant : jouer des rôles quotidiens et imaginatifs (2-6 ans).
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17
Q

pp. 21

activités non sociales qui sont préoccupantes

A
  • errance sans but
  • flâner près des pairs
  • jeu fonctionnel impliquant une action motrice immature et répétitive
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18
Q

pp. 22

différences culturelles dans les jeux avec les pairs

A

Les croyances culturelles sur l’importance du jeu influencent également les premières associations de pairs:

  • Cultures villageoises/tribales : jeu interprétatif, reflétant les rôles et les expériences de la vie quotidienne.
  • Cultures industrialisées/urbaines : jeu inventif, générant des scénarios fictifs non contraints par l’expérience.
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19
Q

pp. 23

premiers amis

A

amitié n’a pas encore une qualité durable basée sur la confiance mutuelle

“je l’aime bien” et je passe beaucoup de temps avec

amis offrent un soutien social

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19
Q

pp. 23

premiers amis

A

amitié n’a pas encore une qualité durable basée sur la confiance mutuelle

“je l’aime bien” et je passe beaucoup de temps avec

amis offrent un soutien social

20
Q

pp. 24

ajustement scolaire

A

facilité à se faire des amis prédit la participation coopérative, persévérance et compétences scolaires

enfants socialement compétent dépassent les non-socialement compétent dans les résultats des premières années scolaires

21
Q

pp. 24

interactions positives avec les pairs sont influencés par 4 facteurs

A
  • tempérament
  • qualité de parentage
  • qualité des expériences scolaires
  • la chaleur/sensibilité des éducateurs/trices
22
Q

pp. 25

résolution de problèmes sociaux

A

conflit = occasion d’apprendre

Résolution de problème social : générer et mettre en pratique des stratégies pour prévenir ou résoudre des désaccords afin que les deux partis soient satisfaits.

résolutions de problèmes sociaux affectent bcp les relations avec les pairs

23
Q

pp. 27

influences parentales directes et indirectes avec les pairs

A

directes :

  • organiser des activités avec les pairs
  • monter aux enfants comment établir des contacts
  • fournir des conseils sur les interactions

indirectes :

  • attachement sécurisant
  • communication sensible et riche émotionnellement
24
Q

pp. 28

le développent moral et la conscience

A

très tôt des indications de comportements à caractères moraux

sens moral inné ?
pas encore prouvé

conscience commence à prendre forme à la petite enfance

  • contrôlé par les adultes au début
  • réguler par des normes intrinsèques par la suite
25
Q

pp. 29

le développement moral selon l’approche psychanalytique

A

surmoi se forme en s’identifiant au parent du même sexe

Freud
développement moral fini a 5-6 ans

enfant obéit au Surmoi pour ne pas ressentir de culpabilité.

enfant motivé par la peur de punition ou perte d’amour parental

amour conditionnel = culpabilité excessive

punition = moins bon développement moral

26
Q

pp. 31

approche psychanalytique : discipline inductive

A

formation de la conscience favorisé par l’induction

rôle de l’adulte dans la formation de la conscience

  • aide enfant à prendre conscience de ses sentiments en montrant les effets négatifs de son comportement
  • donner aux enfants des conseils sur la fan de se comporter pour adhérer è des normes morales
  • encourager empathie et comportements prosociaux
  • Encourage l’adoption de normes morales qui ont un sens.
  • Encourage les enfants à former un script qui dissuade les transgressions futures.

efficace dès 2 ans

27
Q

pp. 32

approche psychanalytique : contribution de l’enfant

A

caractéristiques enfants influent sur le succès des techniques parentales

enfants plus emphatiques plus réceptifs à induction

discipline douce plus efficace avec les enfants anxieux

28
Q

pp. 33

rôle de la culpabilité dans l’approche psychanalytique

A

Freud avait raison
- culpabilité= motivation de geste moraux

culpabilité fondée sur l’empathie est efficace pur influencer les enfants sans coercition

! culpabilité est pas la seule force qui pousse à agir moralement

! développement moral pas terminer à la fin de la petite enfance

29
Q

pp. 34

le développement moral, selon la théorie de l’apprentissage social

A

enfants apprennent à se comporter moralement grâce à la modélisation

caractéristiques de modèles efficaces de comportements morals

  • chaleur et réactivité
  • compétence
  • cohérence entre les paroles et actions

modèles plus influents au cours des premières années
plus tard, enfants intègrent intériorisent les règles prosociales

30
Q

pp. 35

théorie de apprentissage social et l’effet de la punition

A

punitions sévères = conformité immédiate mais pas de changement de comportement durables

31
Q

pp. 35

Des châtiments sévères répétés ont des effets secondaires indésirables

(selon la théorie de l’apprentissage sur les effets des punitions)

A
  1. punition modélise agression
  2. enfants qui réagissent avec colère on un ressentiment d’être personnellement menacé
  3. développe une relation conflictuelle et provocante avec les parents punitifs
  4. renforcement des punitions (plus sévères et fréquents avec le temps)
    5, recours aux chatiemtns corporels peut se transmettre d’une génération à l’autre
32
Q

pp. 38

théorie de l’apprentissage social et l’alternative aux punitions sévères

A
  • time out (retrait de l’enfant de l’environnement immédiat

- retrait des prévilèges

33
Q

pp. 39

Théorie de l’apprentissage social :
Relations et parentage positifs

A
  1. Voir une transgression comme une occasion d’enseigner
    EX. Lorsqu’un enfant adopte un comportement préjudiciable ou dangereux, intervenez fermement puis utilisez l’induction, qui motive les enfants à faire amende honorable et à se comporter de manière prosociale.
  2. prévenir des les occasions d’inconduite
  3. expliquer la raison derrière les règles
  4. inclure l’enfant dans les routines et tâches familiales
  5. Quand enfants obstinés, reconnaître leur émotion et suggérer compromis, résolution de problème
  6. encourager les comportements matures
  7. être sensible aux ressources physiques et émotives de l’enfant
34
Q

pp. 40

développement moral : développement de l’agressivité

A

La perspective cognitivo-développementale considère les enfants comme des penseurs actifs des règles sociales:

impératifs moraux : règles qui protègent les droits et bien-être des personnes

conventions sociales : coutumes déterminés uniquement par consensus

questions de choix personnels : ne violent pas les droits qui relèvent de l’individu

raisonnement moral a tendance à être rigide EX. mal a faire la différence entre intentionnel et accidentel

des expériences sociales moralement pertinentes sont vitales. pour le progrès moral durant la petite enfance
ex. Les disputes avec les frères et sœurs et les pairs au sujet des droits, des possessions et des biens permettent aux enfants d’âge préscolaire d’exprimer leurs émotions et leurs points de vue, de négocier, de faire des compromis et d’élaborer leurs premières idées sur la justice et l’équité

35
Q

pp. 41

2 types d’agressivité

A

agressivité proactive : agir pour satisfaire un besoin ou un désir

agressivité réactive : une réaction de colère et de défense destinée à blesser une autre personne

36
Q

pp. 42

3 formes d’agression

A

agressivité physique : nuisible aux autres par des blessures physiques

agressivité verbale : nuisible aux autres par des menaces d’agression physique, des injures ou taquineries hostiles

agressivité relationnelle : porte atteinte aux relations de l’autre avec ss pairs par exclusion sociale, commérages etc

37
Q
A

physique

  • directe ou indirecte
  • plus fréquent chez les garçons que les filles

verbale

  • directe
  • exprimée par les garçons et les filles

relationnelle

  • directe ou indirecte
  • exprimée par les garçons et les filles
  • agressivité occasionnelle normale chez enfants mais persistante est anormale et laisse entrevoir des difficulté ultérieur
38
Q

pp. 45

pratiques éducatives qui sont liés a l’agression et nuisible à l’internalisation de la morale

A
  • retrait amour
  • affirmation de pouvoir
  • punitions corporelles
  • commentaires et émotions négatifs
  • incohérence
  • garçons pus susceptibles de recevoir ce genre de pratique

Les enfants soumis à ces processus familiaux acquièrent une vision déformée du monde social. Ceux qui ont un niveau élevé d’agressivité réactive voient souvent une intention hostile là où elle n’existe pas - dans des situations où les intentions des pairs ne sont pas claires, où le mal est accidentel, et même où les pairs essaient d’être utiles. En conséquence, elles font de nombreuses attaques non provoquées, qui déclenchent des représailles agressives.

39
Q

pp. 47

exposition aux médias violents et agressivité.

A

Les contenus violents médiatiques augmentent la probabilité d’apparition de

  • de pensées et d’émotions hostiles
  • un comportement agressif sur le plan verbal, physique et relationnel

L’exposition aux médias violents dans l’enfance prédit un comportement agressif au début de l’âge adulte.

La violence dans les médias “endurcit” les enfants à l’agressivité.

Les parents sont les premiers responsables de la régulation de l’exposition de leurs enfants à la violence dans les médias.

40
Q

pp. 49

acquisition de stéréotypes sexuels

A

typage de genre : association à l’un ou autre sexe

Les enfants d’âge préscolaire associent des objets, des occupations, des couleurs et des comportements communs au sexe.

Les croyances stéréotypées liées au sexe influencent les préférences de jeu et les traits de personnalité.

41
Q

pp. 51

influences biologiques et environnementales des stéréotypes sexuels

A

biologique

  • adaptabilité. évolutive des traits masculins et féminins
  • effets des hormones prénatal (EX. testostérone)

environnementales

  • famille : attentes différentes selon fils/filles
  • enseignants : attention globale plus portée sur les garçons
  • pairs : renforcements positif pour les jeux sexués et critique our les activités.s transgenre
  • émissions, films, publicités, etc.
42
Q

pp. 52

théorie de schéma de genre

A

Schémas de genre : catégories masculines et féminines utilisées pour interpréter le monde

Certains enfants appliquent souvent des schémas de genre à leurs expériences ; d’autres le font rarement

Pour un enfant à schéma de genre, le genre est très important dans la prise de décisions

43
Q

pp. 53

styles parentaux et développement socio-affectif

A

combinaisons de comportements parentaux qui se produisent dans un large éventail de situations, créant un climat d’éducation durable.

44
Q

pp. 55

efficacité du style démocratique

A

Les enfants qui sont impulsifs, hyperactifs, provocateurs ou agressifs sont plus susceptibles d’évoquer un style parental autoritaire, y compris un contrôle à la fois coercitif et psychologique

Le stype parental démocrate est associé à une diminution de ces problèmes de comportement extériorisés, alors que les styles parentaux autoritaire et permissive prédisent qu’ils vont s’aggraver.

Pour les enfants ayant des difficultés intériorisées (peur et anxiété), les parents doivent réprimer leur tendance à être surprotecteurs et les encourager à s’affirmer et à exprimer leur autonomie.

45
Q

pp. 56

efficacité du style démocratique

A
  • Des parents impliqués et chaleureux procurent des modèles de préoccupation bienveillante, de confiance et d’auto-régulation.
  • Les enfants sont plus susceptibles de se conformer et d’intérioriser un contrôle qui semble juste et raisonnable, et non arbitraire.
  • En ajustant les exigences et autonomie aux capacités de l’enfant, les parents démocrates soutiennent son sentiment de compétence, favorisant ainsi estime de soi et maturité.
  • Les aspects de soutien (l’acceptation, l’implication, raisonnement) sont des facteurs de résilience (face au stress et à la pauvreté).
46
Q

pp. 57

maltraitante envers les enfants (abus, abus, violence, négligence)

A

Abus physique : agressions qui infligent des blessures physiques

Abus sexuel : attouchements, rapports sexuels, exhibitionnisme et autres formes d’exploitation sexuelle

Violence psychologique : actes susceptibles de causer un préjudice émotionnel grave

Négligence : manquement aux besoins fondamentaux de l’enfant en matière d’alimentation, d’habillement, d’éducation ou de surveillance

47
Q

pp. 58

maltraitante envers les enfants

A
  • caractéristiques des parents : troubles mentaux, consommation, éducation, etc.
  • facteurs liés à l’enfant : prématurité, tempérament difficile, hyperactivité
  • conditions familiales et stress parental : pauvreté, isolement social
  • communauté : caractérisée par la violence et l’isolement social, peu resources communautaires pour soutenir les familles
  • culture plus large : approbation de la force physique et de la violence comme moyens de résoudre des problèmes
48
Q

pp. 59

conséquences de la maltraitante des enfants

A
  • Problèmes d’adaptation, notamment problèmes relationnels, dépression, agressivité, toxicomanie et criminalité

La maltraitance chronique est liée à des lésions du système nerveux central (↓ corps calleux, cervelet et hippocampe).

Avec le temps, le traumatisme massif de la maltraitance persistante semble affaiblir la réponse physiologique normale des enfants face au stress.