Cours 10_ Troubles de l'humeur et suicide Flashcards

1
Q

dépression et problèmes psychosociaux à l’adolescence

A

L’adolescence est une période de changements intenses pas necéssairement négatifs, mais difficile pour certains

Toutefois, 15 % des adolescents auraient obtenu un diagnostic de santé mentale.

1,1% des adolescents de 10 à 14 ans souffrent de dépression et ce % augmente à 3 % chez les adolescents de 15 à 19 ans.

V : Les symptômes anxieux et dépressifs sont fréquemment concomitants chez les adolescents?

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2
Q

catégories prob psychosociaux

A

Rappel : Catégories des problèmes psychosociaux à l’adolescence :
Problèmes intériorisés : Symptômes tournés vers l’intérieur. Exemples? idéations suicidaires, tristesse, désespoir

Problèmes extériorisés : Symptômes tournés vers l’extérieur. Ex: mutilation, se battre, crise de colère

Abus de substance : Utilisation abusive de substances légales (p.ex. alcool, tabac, marijuana), illégales (p.ex. cocaïne et ecstasy) ou prescrites (p.ex. antidépresseurs et stimulants). Différents des deux types de problèmes

*À noter : Il existe une forte comorbidité entre ces catégories et l’abus de substances. Quel peut bien être le lien entre ces variables? Faire de l’évitement pour un moment x et être moins en contact avec ce qu’on ressent

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3
Q

différences entre les genres

A

Différences marquées entre les genres :
Les symptômes dépressifs chez les adolescents s’expriment davantage de manière extériorisé que chez les adolescentes.

V : Avant l’adolescence (à l’enfance), il n’y a pas de différence quant à la prévalence de détresse psychologique selon le genre? À partir de l’adolescence oui = filles plus problèmes extériorisées

V : Les adolescentes présentent davantage de problèmes intériorisés que les adolescents?
Pourquoi en est-il ainsi? 3 hypothèses…
1- filles plus affectées par le relationnel
2- puberté plus difficile à vivre pour les filles, encontre des stéréotypes sociaux
3- filles plus appel à la rumination

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4
Q

Principales causes des problèmes intériorisés chez la population adolescente

A
  • Facteurs de risque génétiques : parents (si tx intériorisé ou antécédent de suicide), traits de personnalité (névrosisme élevé), genre (femmes plus que les hommes),…
  • L’utilisation des médias sociaux par les adolescents est-elle corrélée à des symptômes dépressifs? Oui mais bcp moins qu’on pensait = plus l’utilisation abusive et une faible estime de soi > empire et plus de symptômes
  • Facteurs de risque familiaux : Parent dépressif
    Un parent dépressif expose l’enfant/l’adolescent à un stress chronique, pourquoi?
    Plus de conflits, environnement pas stable, difficulté financière, pas de modèle sur comment bien gérer les émotions et le stress alors pas accès à des outils
    De quelles façons les adolescents souffrant de dépression décrivent-ils généralement leurs parents? Rejetant, hostile alors peu tendance à se tourner vers leurs parents pour du soutien
  • Facteurs de risque familiaux : L’adversité vécue pendant l’enfance
    V : L’adversité vécue pendant l’enfance consiste en le facteur de risque le plus corrélé à tous troubles mentaux confondus, autant à l’enfance, à l’adolescence qu’à l’âge adulte?
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5
Q

adversité familiale

A

L’adversité peut se définir comme de la maltraitance, de l’abus sévère, mais aussi par des pratiques parentales coercitives.

Autre définition : Exposition à la violence familiale sous forme verbale ou physique, l’abus émotionnel, la négligence ou la présence de trouble de santé mentale chez les parents.

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6
Q

infos %

A

11% des parents au Québec rapportent avoir utilisé la punition corporelle envers leur enfant

50% des parents au Québec rapportent avoir déjà crié et/ou menacé leur enfant
Environ combien de signalements d’abus ou de négligence on été traités à la DPJ de 2021 à 2022 au Québec? 132 000 et le 1/3 44 000 retenus alors c’est énorme

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7
Q

2 explications vulnérables après maltraitance

A

Les enfants ayant vécu de la maltraitance, une fois devenus adolescents, seraient plus vulnérables aux événements stressants négatifs, pourquoi?
Deux explications :
1) Explication d’ordre cognitif; = représentation mentales, schéma, il est constamment à l’affut à ce qui est négatif
2) Explication d’ordre psychoneuroendocrinologique. = au niveau des enfants maltrraités, a fait en sorte que l’individu était en mode survie = certaines znes cérébrales ont vu leur développement altéré (hippocampe qui permet de protéger contre les stresseurs)

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8
Q

conséquences des problèmes intériorisés

A
  • À l’âge adulte, recevoir un diagnostic de trouble mental;
  • Consommer des substances;
  • Abandonner l’école;
  • Fortement corrélés aux conduites suicidaires
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9
Q

V/F Mythe ou réel

A

V : Les hommes ont 3 fois plus de risque de se suicider que les femmes?
Ils utilisent des moyens plus létaux
F : Les personnes suicidaires sont formellement décidées à mourir?
Elles sont décidées à arrêter de souffrir, et ne connaisse pas d’autres options
F : Il faut être lâche ou courageux pour se suicider?
La personne ne voit plus de moyens de se sentir mieux
F : Le suicide se produit sans avertissement?
Il y a souvent des signes avant (le dire, tannée, donner des objets)
F : Toute personne suicidaire paraît déprimée?
Certaines continuent à être autant fonctionnelle
F : Les personnes qui menacent de se suicider veulent attirer l’attention ou manipuler? Faut voir comme un appel à l’aide

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10
Q

interrogrations existentielles vs idées suicidaires

A

Interrogations existentielles
La présence de préoccupations plus ou moins morbides pour la mort est normale à cet âge. Ces pensées peuvent être structurantes et nécessaires puisque l’adolescence est une période caractérisée par de nombreux deuils. Avez-vous des exemples?

Idées suicidaires
Elles émergent lorsque la pensée se désorganise et que l’adolescent n’arrive plus à mentaliser sa souffrance. Dans ce contexte, la mort peut devenir une solution qui viserait à mettre un terme à une douleur psychique insupportable.

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11
Q

autres concepts liés au suicide

A

Suicide : acte de s’enlever la vie volontairement.

Idéations suicidaires : idées à propos du désir de mourir et de mettre fin à sa vie.

Plan suicidaire : Élaboration d’une méthode spécifique pour s’enlever la vie (comment, où et quand).

Tentative(s) de suicide : Acte(s)s posé(s) par une personne dans l’intention de mourir, mais qui ne parvient pas à la mort.

Geste(s) suicidaire(s) : Automutilation sans intention de mourir.

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12
Q

stats suicide

A

Au Canada
Le taux de suicide par 100 000 habitants chez les garçons de 10 à 14 ans = 0,5 alors que ce taux atteint 11,1% chez les jeunes hommes de 15 à 19 ans.

Le taux de suicide par 100 000 habitants chez les filles de 10 à 14 ans =1,9 alors que ce taux atteint 3,5% chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.

V : Le suicide est la deuxième cause de décès chez les 15-24 ans?

V : Les adolescents Inuits et des Premières Nations présentent un taux de suicide plus élevé que les adolescents canadiens en général? 5 à 7x plus élevé

Le groupe le plus touché par le suicide au Québec ne serait pas les adolescents, mais les adultes âgés de 35 à 65 ans.

Le suicide représente 1/4 des décès des adolescents et 1/5 des décès des adolescentes = 2e cause de mortalité chez les adolescents…

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13
Q

1e cause déces ado

A

accidents de la route

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14
Q

différences suicide genres

A

V : Les adolescents sont plus à risque de décéder par suicide que les adolescentes?
Plus hospitalisé aussi

Comment expliquer ces faits?
La létalité du moyen… plus de risque de mourir (femme intoxication médoc vs hommes gun) et suffocation pour les deux
L’expression de la détresse…les hommes les expriment moins, moins acceptés

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15
Q

facteurs de risque

A

Comment les identifier?
L’autopsie psychologique : Consiste à reconstruire le fil des événements après un suicide afin d’identifier les facteurs de risque et les éléments déclencheurs. Entrevues auprès des proches une fois que l’individu s’est enlevé la vie.

1) Présence d’un trouble de santé mentale
2) Tentatives de suicide antérieures = 27% chance de reproduire (avez-vous déjà fait une tentative)
3) Consommation abusive de drogues, d’alcool ou d’autres substances
4) Vulnérabilités personnelles (p.ex. impulsivité)
5) Historique des comportements suicidaires dans la famille
6) Événements de vie stressants (p.ex. pression de réussite scolaire ou échec amoureux)
7) Relations familiales conflictuelles et/ou rejets parentaux
8) Disponibilité d’une arme à feu
9) Intimidation par les pairs

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16
Q

antécédents familiaux = risque

A

Le passé suicidaire dans la famille… un prédicteur du comportement suicidaire…
Le risque est 6 fois plus élevé chez les enfants de parents qui ont tentés de mettre fin à leur jour…! 9x si fratrie

Comment expliquer ces faits?
L’apprentissage des stratégies d’adaptation (modeling)
Présence de problèmes de santé mentale dans la famille
Transmission «génétique» des comportements suicidaires

17
Q

tx mental + maltraitance et négligence = risque

A

Troubles de santé mentale :
90 % des adolescents qui mettent fin à leur jour souffrent d’un trouble de santé mentale.

Forte corrélation entre dépression et suicide? Oui mais pas direct

Quel est l’affect le plus fréquemment ressenti chez les personnes à haut risque suicidaire? Le déespoir = perception que pas de solutions à notre problème

Maltraitance et négligence au cours de l’enfance :
Les adolescents les plus à risque sont ceux qui auraient vécus de la maltraitance en enfance, notamment des abus sexuels. La pire fortement corrélé au passage à l’acte suciidaire

18
Q

LGBTQ2+ = Risque

A

La violence perpétrée envers les jeunes de la diversité sexuelle est toujours présente dans les écoles secondaires.

Face à ces difficultés, les adolescents LGBTQ2+ sont plus exposés à des expériences négatives…

1/3 de la communauté LGBTQ2+ représentent les jeune de 15 à 24 ans?

Quel % des jeunes Québécois des minorités sexuelles affirment avoir subi une forme d’intimidation (verbale, psychologique, homophobe)? 60%, mais on peut penser à plus car les jeunes ressentent une honte

plus de risque CAR
- Parce qu’ils sont plus susceptibles de vivre du rejet et/ou de l’intimidation / discrimination;
- Sentiment durable d’avoir moins de valeur; autodépréciation
- De ces difficultés découlent fréquemment la consommation de drogues et l’adoption de comportements sexuels à risque…
- De ces difficultés découlent aussi une prévalence plus élevée de troubles anxieux et dépressifs

19
Q

conso et stress vie = risque

A

Consommation d’alcool et autres drogues :
Quel % des actes suicidaires sont commis sous l’influence de l’alcool ou de drogue? Pourquoi? 50% car les substance viennent alterner notre perception de la réalité (se sent invincible, impulsif)

La combinaison entre l’abus de substances, un trouble de l’humeur et l’impulsivité semble prédire les agirs suicidaires.

Les événements de vie stressants :
Tout type d’événement peut déclencher des comportements autodestructeurs.

Pourquoi les personnes qui semblent « tout avoir » sont aussi à risque de présenter des idées suicidaires? Affaire de perception

20
Q

facteurs de protection

A
  • Flexibilité psychologique (capacité d’adaptation)
  • Être ouvert à demander de l’aide
  • Avoir un bon réseau social et bénéficier d’un soutien social adéquat
  • Absence d’événements stressants (modèle diathèse-stress)
    Prédisposition au stress
    Faible c’est un facteur de protection = bonne prédisposition et peu de stress
  • Accessibilité des ressources et des traitements… exemples? milieux précaires plus difficile
  • Avoir un sentiment d’espoir
21
Q

évaluation du risque suicidaire

A

F : Parler du suicide va inciter une personne à passer à l’acte?

L’importance du contexte de la discussion :
- Éviter de minimiser et de banaliser le suicide et la souffrance
- Éviter de mettre au défi quelqu’un de se suicider
- Éviter de suggérer que le suicide est quelque chose d’héroïque

Que faut-il faire si l’on soupçonne la présence d’idéations suicidaires?
Investiguer davantage avec le COQ : Permet d’évaluer le degré de planification
Comment

Quand

22
Q

variables liées au risque suicidaire

A

Spécificités du plan : Quels sont les coq du plan suicidaire?
Létalité de la méthode : Quel moyen la personne envisage-t-elle d’utiliser?
Disponibilité du moyen : Est-ce que la personne doit se rendre quelque part ou le moyen est à portée de main?
Proximité des ressources : Est-ce que l’aide disponible est proche et facile d’accès pour la personne?

23
Q

Loi P-38

A

Si la personne présente un risque imminent : Loi P-38
Cette loi s’applique lorsque la personne présente un danger grave et imminant pour elle-même ou pour autrui.

24
Q

évaluation : historique, désespoir, conso, impulsivité, proche et personne

A

L’historique de la personne :
Est-ce que la personne a un diagnostic de santé mentale?
Est-ce que la personne a fait d’autres tentatives de suicide dans le passé?

Le désespoir joue un rôle central dans le suicide :
Voici les éléments qui doivent attirer votre attention :
L’absence de raisons de vivre
L’absence d’espoir et de sens à la vie
Se sentir inutile
Voir peu d’options autres que le suicide
Le sentiment d’impuissance et le doute de ses compétences

L’usage de substances…
Pas de thérapie si intoxiqué

Évaluer l’impulsivité (l’auto-contrôle) de la personne :
Est-ce qu’elle se sent en sécurité par rapport à elle-même? Ou a-t-elle peur d’être impulsive?

Présence de proches :
Est-ce que la personne accepte de parler à un proche? A-t-elle un bon lien de confiance avec son entourage? Est-ce que ses proches sont investis? Est-elle seule en ce moment?

La stigmatisation peut avoir des effets pervers chez la personne suicidaire…

Personne suicidaire :
Sentiment de culpabilité/honte/fardeau
Ne parle pas de ses idées suicidaires

25
Q

ambivalence : élément clé

A

Explorer et valider la souffrance, tout en travaillant l’ambivalence :
Pourquoi a-t-elle des idées suicidaires?

Quelle est l’intensité, la durée et la fréquence de ses idéations suicidaires?

L’empathie et l’écoute sont des atouts essentiels! Un puissant outil d’intervention est l’alliance thérapeutique. Les personnes suicidaires sont souvent isolées et manquent de soutien social.

Travailler l’ambivalence
Quelles sont ses raisons de vivre? Qu’est-ce qui l’a gardé en vie?
Le processus suicidaire n’est pas linéaire…souvent des up et des downs, faut faire de la prévention sur les down et se rattacher au up

26
Q

cotation du risque

A

La cotation à l’aide d’une grille
Risque inexistant : Pas d’idées ou de plan suicidaire.

Risque léger : Présence d’idéations suicidaires, mais pas de motivation ou de plan concret. La personne arrive à identifier des raisons de vivre et peu de facteurs de risque sont présents.
Travailler l’ambivalence et le sentiment de controle
Risque modéré : Présence d’idéations suicidaires et le plan général est élaboré, mais la personne a une bonne maitrise (peu impulsivité) d’elle-même.

Risque sévère : Les idéations suicidaires sont fréquentes et intenses, le plan est spécifique et disponible .
On appelle un proche, contrat de non suicide?
Risque imminent : Le client exprime clairement son intention de s’enlever la vie dès que l’occasion se présentera, ou il est train de passer à l’acte.
Loi P38

27
Q

3 types de prévention du suicide

A

Les types de prévention du suicide
Prévention universelle : Offerte à l’ensemble d’une population. Elle vise à combattre le risque avant que les conduites suicidaires n’apparaissent. Exemples? couverture médiatique, pubs gouvernement à titre préventif

Prévention sélective : Cible le groupe le plus vulnérable +/- plutôt groupes avec le plus de vulnérabilités. Les personnes ciblées n’adoptent pas nécessairement des conduites suicidaires, mais sont plus susceptibles de le faire à cause des facteurs de risque prédominants.
Exemples de prévention sélective? Auprès des femmes, le groupe d’âge

Prévention indiquée : Spécifiquement adressée aux personnes à risque élevé qui démontrent des signes précoces de conduites suicidaires ou qui ont déjà fait une tentative de suicide.
Exemples de prévention indiquée? Pharmaco, suivi post hopitalisation, psychothérapie

28
Q

programmes prévention psychoéducatif

A

objectifs:
1) Améliorer les connaissances sur les causes du suicide;
2) Conscientiser les étudiantes en ce qui a trait aux problème de santé mentale;
3) Changer les attitudes envers la recherche d’aide;
4) Renseigner les participants quant aux attitudes à adopter face aux personnes suicidaires;
Par exemple :
- Le suicide n’est pas « contagieux ».
- Une couverture médiatique inadéquate peut favoriser des comportements « d’imitation » pas aller parler du trouble de santé mentale, pas parler de lésions graves

29
Q

+/- programmes prévention psychoéducatif

A

Avantages :
- Augmentation des connaissances face au suicide;
- Favorise la recherche d’aide chez les adolescents présentant des pensées suicidaires.

Principale limite :
- Effets iatrogènes!!! Ça génère des effets inverses, contraires à ceux qu’on souhaitait seulement chez certaines personnes (ceux déjà des conduites
suicidaires par le passé) = augmente leur risque de passage à l’acte

30
Q

dépistage en milieu scolaire

A

Étape 1 : Passation d’un questionnaire

Étape 2 : Rencontre un à un

Principal avantage? Recherche des étudiants
qu’on aurait peut-être pas détecter sans ça

Limites :
- Faux négatifs? Faut s’assurer que le questionnaire est bon et que les résultats font du sens
- Ressources et leur mobilisation = faut des gens qui prennent en charge après le questionnaire

31
Q

formation de sentinelles

A
  • Formation d’aidants naturels, généralement des adultes, afin d’agir de façon appropriée auprès des élèves suicidaires.

De quoi dépend l’efficacité de cette mesure? La disponibilité et de l’accessibilité des ressources

32
Q

résilience à l’adolescence

A

Pourquoi certains adolescents s’en tirent bien même s’ils sont exposés à des conditions de vie difficiles comme la pauvreté, la négligence, des agressions physiques et sexuelles?
Rép. : La résilience.

Malgré les difficultés, c’est une capacité de se relever et de se développer. Facteur de protection +++

V : Il y a un jugement social sur le concept de résilience? Selon la culture et le concept, de l’âge, il y a un stéréotype sur c’est quoi être résilient

Par exemple, dans notre société on s’attend généralement à ce que les adolescents développent des compétences telles :
- Développer leur autonomie;
- Assurer graduellement des rôles d’adulte (p.ex. intégrer le marché du travail);
- Créer des liens amicaux et amoureux avec les autres, etc.

Est-ce que les critères socioculturels de résilience sont adéquats selon vous? Non, ca leur laisse pas le temps de vivre le passage à l’adolescente… trop vite