Cours 2 Flashcards

1
Q

Nomme les 3 raisons pourquoi la classification des dysfonctions sexuelles est pertinente

A
  • Vocabulaire précis et partagé entre professionnel.le
  • En ayant les mêmes définitions, on peut faire des compilations statistiques et ainsi mieux s’ajuster aux besoins de la population
  • Système reconnu pour le processus clinique : diagnostic; pronostic; traitement/intervention
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2
Q

Nomme les 2 ouvrages de classification utilisés présentement en occident

A
  • CIM-11 (Classification Internationale des Maladies, 11e édition, mise à jour en 2022)
  • DSM-5-tr (Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux, 5e édition, révisé, 2022)
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3
Q

Donne des caractéristiques du CIM-11 (Classification Internationale des Maladies, 11e édition, mise à jour en 2022) (4)

A
  • Plus libérale : présence de dysfonctions qui n’ont pas tjrs une base empirique fiable
  • Critères moins sévères
  • Publications plus fréquentes
  • Plus une liste
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4
Q

Donne des caractéristiques du DSM-5-tr (Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux, 5e édition, révisé, 2022) (2)

A
  • Davantage un guide (oui contient critère de diagnostic, mais aussi plus informations complémentaires,)
  • Classer en famille (désir, excitation, orgasme): basé sur la théorie de Kaplan
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5
Q

Dans le DSM-5, nommes les 5 grandes familles de dysfonction

A
  • Troubles désir/excitation
  • Troubles de l’orgasme
  • Trouble sexuel avec douleur
  • Dysfonction sexuelle induite par une substance ou médicament
  • Dysfonction sexuelle autre ou non spécifiée
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6
Q

Dans le DSM-5, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles désir/excitation? (3)

A

o Trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme
o Diminution du désir sexuel chez l’homme
o Trouble de l’érection

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7
Q

Dans le DSM-5, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles de l’orgasme? (3)

A

o Trouble de l’orgasme chez la femme
o Éjaculation précoce
o Éjaculation retardée

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8
Q

Dans le DSM-5, quelle dysfonction entre dans la grande famille des troubles sexuels avec douleur?

A

o Trouble lié à des douleurs génito-pelviennes ou à la pénétration chez la femme

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9
Q

Nomme les 4 critères de classification du DSM-5

A
  • Critère A: Liste des symptômes pour chaque trouble
  • Critère B : Minimum de 6 mois + 75-100 % du temps*
  • Critère C : Détresse significative
  • Critère D : Dysfonction sexuelle n’est pas mieux expliquée par une autre raison
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10
Q

Dans le DSM, quelle est l’utilité du critère B?

A

Tentative d’éliminer les situations transitoires/fluctuations normales
Ce sont des guidelines flexibles au besoin

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11
Q

Dans le DSM-V, quelle est l’utilité du critère C?

A

Nous permet de différencier un trouble d’une dysfonction
(est-ce que LA PERSONNE QUI LE VIT la situation en souffre? : pas le.la partenaire)

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12
Q

Dans le DSM, que pourraient-être les autres raisons insinuées dans critère D? (4)

A
  • Trouble mental non sexuel (anxiété, dépression, trauma) MAIS il peut avoir présence de comorbidité*
  • Effets de substance, médicament ou autre affectation médicale
  • Détresse sévère liée à une relation (ex. violence du.de la partenaire)
  • Autres facteurs de stress significatifs (deuil, perte d’emploi)
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13
Q

Énumère les 4 spécificités à ajouter au diagnostic du DSM-5

A
  • De tout temps ou acquis
  • Généraliser ou situationnel
  • Sévérité
  • Fréquence, contexte et jugement clinique
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14
Q

DSM-V, dans les spécificités à quoi fait référence la précision de “de tout temps ou acquis”

A
  • De tout temps : depuis que la personne est devenue sexuellement active (trouble plus souvent plus chronique)
  • Acquis : a débuté après une période de fonction sexuelle relativement normale : la personne peut se rappeler d’un moment où elle avait une période de fonctionnement « normal » (peut être causé par qqch ou non)
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15
Q

DSM-V, dans les spécificités à quoi fait référence la précision de “généralisé ou situationnel”

A
  • Généralisé : Présente dans toutes situations (stimulations, contextes ou partenaires).
  • Situationnel : Spécifique à certaines situations (stimulations, contextes ou partenaires).
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16
Q

DSM-V, dans la spécificité de sévérité nomme les niveau détresse par rapport aux symptômes

A

Légère, moyenne ou grave
- On n’a pas de barème clair
- Inconfort : léger, aversion totale : grave
*On se fit à ce que la personne nous rapporte

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17
Q

DSM-V, pourquoi est-il important de considérer la fréquence, le contexte et le jugement clinique?

A

Afin d’examiner s’il n’y a pas d’éléments de contexte ou d’autres causes possibles qui expliqueraient le problème afin d’éviter un diagnostic inutile
Bref, on prend un 2 minutes pour ne pas passer à coté de des éléments

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18
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles étaient les 5 grandes familles de dysfonctions sexuelles

A
  • Troubles du désir sexuelle
  • Troubles de l’excitation sexuelle
  • Troubles de l’orgasme
  • Troubles sexuels avec douleur
  • Autres dysfonctions sexuelles
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19
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles désir sexuel? (2)

A

o Trouble de baisse du désir sexuel
o Trouble d’aversion sexuelle

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20
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles l’excitation sexuelle? (2)

A

o Trouble de l’excitation sexuelle chez la femme
o Trouble érectile chez l’homme

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21
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles de l’orgasme? (3)

A

o Trouble de l’orgasme chez la femme
o Trouble de l’orgasme chez l’homme
o Éjaculation précoce

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22
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles sexuels avec douleur? (2)

A

o Dyspareunie
o Vaginisme

23
Q

Dans le DSM-IV-TR, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des autres dysfonctions sexuelles? (3)

A

o Dysf. sex. due à une affection médicale générale
o Dysf. sex. induite par substance
o Dysf. sex. non spécifiée / autrement spécifié

24
Q

Par rapport aux troubles du désir sexuel/de l’excitation sexuelle, quel est le changement important qui a eu lieu entre le DSM-IV-TR et le DSM-V?

A

Les familles des troubles du désir sexuel et des troubles de l’excitation sexuelle ont été fusionnées pour créer la famille des troubles du désir sexuel/de l’excitation sexuelle
Elle regroupe :
- Trouble de l’érection
- Diminution du désir sexuel chez l’homme
- Trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme

25
Q

Dans le DSM-V, on a fusionné le désir et l’excitation pour les personnes avec vagin, pourquoi (3)

A
  • Dans DSM-IV-TR, le trouble de l’excitation sexuelle était limité à la lubrification perçue et le trouble du désir sexuel était limité au désir perçu, mais en pratique c’était souvent difficile à différencier, car souvent ils viennent de pair
  • Comorbidité importante en contexte clinique
  • Similarité au niveau du traitement et bénéfices sur les deux plans
26
Q

Dans le DSM-V, on a fusionné le désir et l’excitation pour les personnes avec vagin, nomme la principale critique.

A

Décision critiquée car le trouble du désir seul (sans trouble de l’excitation) disparait pour la femme dans le DSM-5
- Certaines personnes rapportent qu’elles ont juste une difficulté avec l’excitation OU le désir, pas les deux

27
Q

Dans le DSM-V, on retire l’aversion sexuelle, pourquoi? (4)

A
  • très rarement diagnostiqué
  • désormais considéré comme une phobie sexuelle (mieux expliqué par un trouble mental : critère D pas respecté)
  • peu de donnés probantes
  • se traite avec l’exposition comme un phobie psychologique (bref, fait davantage partie d’un trouble anxieux et souvent d’autres phobies viennent de pairs)
28
Q

Dans le DSM-V, on retire l’aversion sexuelle des dysfonctions sexuelles, mais quel est le loophole possible et dans quel cas on l’utilise

A

On peut coder l’aversion sexuelle dans dysfonction sexuelle spécifiée
On fait cela dans des cas où l’on constate que c’est la SEULE phobie présente. Ainsi, on veut éviter que la personne aille consulter un.e psychologue qui n’est pas spécialisé.e en sexualité

29
Q

Qu’est-ce que l’aversion sexuelle?

A

L’expérience de peur, dégoût et d’évitement lors de l’exposition à des contextes ou à des signaux sexuels

30
Q

Dans le DSM-5, quel est le changement effectué dans la grande famille des troubles de l’orgasme et pourquoi l’a-t-on fait?

A

Le trouble de l’orgasme chez l’homme devient l’éjaculation retardée
Chez personne ayant un pénis, on ne parle plus d’orgasme, on parle d’éjaculat parce que les personnes avec pénis rapportait avoir des orgasme sec/éjaculation anhédonique et l’éjaculation est plus facilement observable (plus fiable)

31
Q

Par rapport aux troubles sexuels avec douleur, quel est le changement important qui a eu lieu entre le DSM-IV-TR et le DSM-V?

A

Les diagnostics de dyspareunie et de vaginisme sont fusion pour faire le trouble lié à des douleurs génito-pelviennes ou à la pénétration

32
Q

Dans le DSM-V pourquoi a-t-on fusionner la dyspareunie et le vaginsme? (3)

A
  • Comorbidité élevée; spasme sans douleur est très rare
  • Vaginisme souvent secondaire à la dyspareunie (idée de continuum)
  • Focus injustifié sur la pénétration phallo-vaginale (on se basait sur le niveau d’entrave du pénis dans la cavité vaginale)
33
Q

Qu’est-ce que la dyspareunie?

A

Douleur génitale durant pénétration (symptôme = douleur)

34
Q

Qu’est-ce que la vaginisme

A

Spasme musculaire involontaire durant pénétration (symptôme = spasme)

35
Q

Quelle critique peut-on faire à la classification des troubles sexuels avec douleur, et pourquoi est-ce ainsi? (2)

A

Dx absent chez l’homme
Pas de diagnostic présentement, car
1. difficile de déterminer si entièrement sexuel ou cause médicale
2. Pour l’instant, on n’a pas assez d’info, mais études émergentes (Sophie Bergeron)

36
Q

Par rapport aux autres dysfonctions sexuelles, quel est le changement important qui a eu lieu entre le DSM-IV-TR et le DSM-V?

A

DSM-IV-TR : famille des autres dysfonctions sexuelles qui contient (1) les dysf. sex. due à une affection médicale générale, (2) dysf. sex. induite par substance et (3) dysf. sex. non spécifiée / autrement spécifié
DSM-V : 2 familles
1- Dysfonction sexuelle induite par une substance ou médicament
2- Dysfonction sexuelle autre ou non spécifiée

37
Q

En quoi la grande famille “Dysfonction sexuelle induite par une substance ou médicament” est utile?

A

Permet d’avoir des soins pour la personne (ex. dysfonction érectile grave causée par diabète)

38
Q

Nommes les 5 grandes familles de classifications des dysfonctions dans le DSM-V

A
  • Trouble désir/excitation
  • Trouble de l’orgasme
  • Trouble sexuels avec douleur
  • Dysfonction sexuelle induite par une substance ou médicament
  • Dysfonction sexuelle autre ou non spécifiée
39
Q

Dans le DSM-V, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles désir/excitation (3)

A
  • Trouble de l’intérêt pour l’activité sexuelle ou de l’excitation sexuelle chez la femme
  • Diminution du désir sexuel chez l’homme
  • Trouble de l’érection
40
Q

Dans le DSM-V, quelles dysfonctions entrent dans la grande famille des troubles de l’orgasme (3)

A
  • Trouble de l’orgasme chez la femme
  • Éjaculation précoce
  • Éjaculation retardée
41
Q

Dans le DSM-V, quelle dysfonction entre dans la grande famille des troubles des troubles sexuels avec douleur (1)

A

Trouble lié à des douleurs génito-pelviennes ou à la pénétration chez la femme

42
Q

Quelles sont les critiques que l’on peut faire du DSM? (5)

A
  • Critères : Parfois subjectifs (plus d’incertitude, mais plus de possibilité de pouvoir de professionnel.le)
  • Peu d’études pour revalider
  • Binarité et cisnormativité (mais justifié, car plus transparent), les personnes les plus perdantes : personnes possédants pénis, et RS avec homme ex. critères de diagnostic pour éjaculation tardive ou précoce, selon pénétration vaginale
  • Vision réductrice de la sexualité : Fonctionnelle ou non
  • Peu de place pour la satisfaction sexuelle ?
43
Q

Les troubles sexuels présents dans le DSM-5 est divisés en 3 rubriques. Nomme les.

A

1) Dysfonctions sexuelles
2) Dysphorie de genre
3) Troubles paraphiliques

44
Q

Vrai ou faux, dans l’évaluation sexologique, il est adéquat qu’un.e sexologue utilise les terme trouble

A

FAUX
trouble = réservé au diagnostic des dysfonctions
Prioriser le terme difficulté (on peut évaluer le développement psychosexuel et les comportements sexuels, mais pas les dysfonctions sexuelles)

45
Q

Nomme 2 domaines d’intervention possible avec le baccalauréat en sexologie

A

Éducation à la sexualité (concevant du matériel didactique et en formant des intervenants·es.)
Relation d’aide

46
Q

Donne la définition de la psychothérapie.

A

Traitement psychologique pour un trouble mental, des perturbations comportementales ou tout autre problème entraînant une détresse psychologique.
On favorise chez le·la client·e des changements significatifs dans son fonctionnement cognitif, émotionnel ou comportemental, son système interpersonnel, sa personnalité ou son état de santé.

47
Q

Pour faire une évaluation holistique et globale de la situation des clients·es, il faut se pencher sur 3 sphères de vie. Nomme les.

A
  • Biologique
  • Psychologie : observé et rapporté
  • Social
48
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les facteurs contextuels, qu’est-ce que cela inclut? (4)

A
  • Problématique actuelle (nature et développement de la difficulté, durée/fréquence, contexte lorsque la difficulté est présente/absente, son évolution)
  • Réactions émotionnelles (de la personne et du·de la·des partenaire·s)
  • Compréhension de sa difficulté et des causes
  • Tentatives pour améliorer la situation
49
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les éléments biogènes/physiologiques, qu’est-ce que cela inclut? (5)

A
  • Blessures physiques (ex. affectation à la moelle épinière, ablation de la prostate)
  • Maladies (p. ex., diabète, hypercholestérolémie, hypertension)
  • Condition physique (dresser un portrait de l’état de santé actuel et passé ; ex., activité physique)
  • Consommation (alcool, drogues, fréquence, impacts sur la sexualité et son contexte, sécurité)
  • Médication
50
Q

BREF, quels sont les éléments à évaluer de manière transversale (tableau grosso-modo) (7)

A
  • Problème actuel (motif, détresse, impacts, causes et attentes)
  • Relation amoureuse/intime (type, histoire, impact, attachement, lutte de pouvoir)
  • Historique et vie sexuelle (bilan, imaginaire érotique, pratiques sexuelles, répertoire)
  • Historique familiale/sociale (valeurs, relation interpersonnelle)
  • Histoire de vie (conditions médicales, et psychiatrique, évènements importants)
  • Traits de personnalité (conscience de soi, compulsion, obsession, besoin de performance)
  • Autres
51
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les facteurs sexologiques, qu’est-ce que cela inclut?

A
  1. Historique sexuelle (puberté, exploration, les premières fois, image corporelle, masturbation, fréquence des comportements, imaginaire et fantasmes, préférences/aversions, orientation sexuelle, attitudes face à la sexualité, adhérence aux stéréotypes sexuels, identité et expression de genre, capacité d’affirmation de soi, connaissances)
  2. Situation actuelle :
    Activités sexuelles (fréquence actuelle vs idéale, durée, niveau de désir/d’excitation, niveau de satisfaction, buts)
    Masturbation (avec ou sans pornographie, imagerie mentale)
    Fantasmes, rêves, pulsions et pensées sexuelles (présence ou plutôt limitée, en accordance ou non avec sa sexualité actuelle)
    Relations sexuelles (communication sexuelle, script sexuels habituels dont les pratiques sexuelles et stimulations)
    Initiation (Qui le fait ? Comment est-ce fait ? Niveau différent de fréquence idéale entre les partenaires ?)
    Niveau d’attirance à l’égard du·de la·des partenaire·s
52
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les éléments psychologiques, qu’est-ce que cela inclut? (5)

A
  • Historique personnelle et passée (développement de l’enfance jusqu’à maintenant, en ressortir les moments cruciaux)
  • Histoire psychiatrique, hospitalisation·s/idéation suicidaire, santé mentale/traits de personnalité
  • Capacité à se détendre, vivre le plaisir, être dans le moment présent
  • Affects associés à la sexualité et à la difficulté actuelle (ex., stress, anxiété, honte, culpabilité, détresse)
  • Difficultés reliées / comorbidités
53
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les éléments sociologiques, qu’est-ce que cela inclut? (3)

A
  • Contextes développementaux et actuels (ex., niveau socioéconomique, identité socioculturelle, normes sociales/culturelles/entourage, religion, éducation sexuelle, scolarité, statut minoritaire ou marginalisé)
  • Aspects interpersonnels : Famille, amis·es et relations amoureuses, importance du cercle social, se sent soutenu·e/possible de compter sur les autres
  • Si en couple : dresser un portrait de leur relation (rencontre, attirance, 1 ère expérience sexuelle, changements, tabous, communication, partenaire actuel·le vs idéal·e, conflits centraux)
54
Q

Dans l’évaluation sexologique, il est important de considérer les éléments quant au suivi, qu’est-ce que cela inclut? (4)

A

Attentes et motivation face au suivi (individu vs partenaire·s)
- Qu’est-ce qui est important pour la personne/le couple quant à sa/leur sexualité ? (intimité, relation sexuelle, satisfaction relation)
- Raison·s pour consulter (propre à la personne ou seulement partenaire·s)
- Cibler ce qui cause la détresse
- Explorer avec la personne/le couple comment iel envisage le suivi (atteinte des objectifs, temps nécessairement, motivation)