Cours 20 Novembre 2019

Question 1

Quelle est la prévalence de la violence dans les relations amoureuses Chez les adolescents ?

Answer 1

Chez les jeunes qui on été en couple durant la dernière année 1 jeune sur 2 a vécu de la violence

Pas des cas rares

La plupart sont des comportements psychologiques

Question 2

Quels-sont les 6 stratégies de gestions de conflits chez les adolescents ?

Answer 2

1. compromis
2. évitement
3. réactivité
4. séparation
5. domination
6. soumission

Mes notes :

La principale source de conflit à la jalousie et au contrôle

Contacts et activités : tu es trop avec tes amis, j’aimerais que tu sois plus avec moi

Importance d’enseigner des gestions de conflits : comment nommer comment on se sent

Le compromis était capacité de gestion le plus utilisé

Réactivité : être affirmatif et dire son point fort
Séparation : stratégie temporaire qui permet de revenir pour le compromis après

Question 3

Quelle est l’état de la situation concernant la violence dans les relations amoureuses chez les ados LGBTQ ?

Answer 3

Puisqu’il y a plusieurs défis liés à l’évaluation de la violence, il est difficile de stipuler à quel point les personnes LGBT sont plus à risque d’en subir.

Violence conjugale:
L seraient autant à risque
G et B seraient plus à risque
On en connaît peu sur T, mais seraient plus à risque

Question 4

qu’en est-il pour les femmes des minorités sexuelles ?

Answer 4

Selon une recension d’Andréanne Leclerc de la Chaire de recherche sur
l’homophobie, les groupes les plus à risque de vivre de la violence conjugale
seraient:

Les femmes bisexuelles
Les personnes trans
Les femmes lesbiennes ou bisexuelles afro-américaines

Importance de faire des programmes de prévention et des campagnes de sensibilisation adaptés à ces populations et sensibles aux enjeux intersectionnels.

Mes notes :
Femmes bisexuelles + à risque que les femmes hétérosexuelles :
Nombre de personnes pour être jalouse sont multiplier
Vivre plus de stigmatisation
Théorie du stress minoritaire = statut de minorité  plus à risque de vivre de la violence
Statut de diversité sexuelle et à la fois peuvent avoir des partenaires hommes (font plus de violence que les femmes)
On les sexualise plus dans la société donc plus à risque de vivre

Question 5

Qu’en est-il pour la violence sexuelle en milieu universitaire ?

Answer 5

Lors de l’Enquête ESSIMU qui a recensé la violence sexuelle en milieu
universitaire:

Les personnes trans et non-binaires étaient plus à risque que les personnes
cis

Les femmes cis bisexuelles, pansexuelles et queer étaient plus à risque que les femmes hétérosexuelles

Les hommes cis gais étaient plus à risque que les hommes hétérosexuels

Mes notes :

Surtout les personnes trans et non binaire

En général, diversité sexuelle plus à risque de vivre de la violence dans un milieu universitaire

Autres facteurs qui les rendent plus à risque:

Manque de modèles de la diversité sexuelle qui ont vécu de la violence conjugale…
Éducation à la sexualité qui n’est pas adaptée…
Pas beaucoup de ressources spécifiques…
Isolement social est plus grand chez ses personnes-là
Peur de pas trouver meilleurs partenaires… retrouve seul et recommencer la démarche…
Désir de bien faire paraître la communauté… donc plus à risque d’en subir
Contrôle par rapport au dévoilement de l’orientation, donc crée un contrôle
Menacer de dévoiler le statut de la personne qui a le VIH
Se faire dire de trouver personne de mieux puisqu’on est trans, genre dire que personne d’autre va nous accepter

Question 6

Quels sont les facteurs pouvant expliquer que les personnes LGBT sont plus
vulnérables à la violence dans les relations intimes?

Answer 6

1. Isolement social
   Partenaire est souvent la principale source de soutien
2. Pressions sociales
   Désir de bien faire paraître la communauté
3. Homonégativité intériorisée
   Honte par rapport à son orientation sexuelle
4. Contrôle hétérosexiste (plus ado)
   Menaces de révéler l’orientation sexuelle
5. Présence du VIH (plus adulte)
   Blâmer le statut séropositif, menacer de le dévoiler,
   empêcher d’avoir accès à des services médicaux
6. Manque de modèles LGBT
   Peu de modèles de personnes LGBT survivants.es de violence
7. Ressources insuffisantes
   Peu de ressources adaptées aux personnes LGBT