Cours 4 Flashcards

1
Q

Def. autonomie

A

Capacité et pouvoir de prendre soi-même des décisions qui nous concernent et en assumer la responsabilité (et les conséquences).

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2
Q

Quel est un concept que les adolescents utilisent (inconsciemment) pour atteindre l’autonomie? Nomme le.

A

Le concept violation-réaménagement.

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3
Q

Explique le concept violation-réaménagement.

A

Il y a d’abord une violation d’une règle par l’adolescent, puis un réaménagement de cette règle par le parent.
-> Ex. adolescent revient après le couvre feu = mène à une discussion avec son parent = changement de l’heure du couvre-feu.

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4
Q

Il y a 3 types d’autonomies. Nomme les. (3)

A
  • Émotionnelle
  • Comportementale
  • Cognitive/idéologique
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5
Q

Def. autonomie comportementale

A
  • Maitrise des actions et des conséquences.
  • Décider, assumer, sans supervision et en dépit des pressions extérieures.
    -> Ça ressemble à l’autonomie classique (ce qu’on pense quand on entend le mot autonomie).
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6
Q

Il y a deux dimensions à l’autonomie comportementale. Nomme les. (2)

A
  • Habiletés décisionnelles
  • Sensibilité aux pressions extérieures
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7
Q

Explique les deux dimensions de l’autonomie comportementale :
a) Habiletés décisionnelles
b) Sensibilité aux pressions extérieures

A

a) Ça vient avec le développement des habiletés cognitives (on prend des décisions plus éclairées).
b) C’est le fait de se laisser influencer dans notre prise de décision par ce que les autres disent, en lien avec notre capacité à défendre nos choix (il faut se laisser influencer à un certain niveau, mais Ø trop).

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8
Q

Qu’est-ce que la sensibilité aux pressions des autres?

A
  • Disposition mentale particulière à se laisser influencer dans sa prise de décision.
  • Capacité dʼaffirmer ses choix (pour Ø se faire complètement influencer).
  • Il y a un lien avec lʼautonomie émotionnelle.
  • Il y a un lien avec lʼimportance du regard des autres (si le regard des autres est plus important à nos yeux, j’imagine qu’on va davantage se laisser influencer).
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9
Q

Vrai ou faux : À l’adolescence, seulement les autres adolescents ont une influence sur nous.

A

Faux.
- Les parents peuvent être plus influents sur certains domaines (ex. valeurs, choix de carrière, etc.).
- Les pairs sont plus influents sur ce qui est cool (musique, vêtements, etc.).

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10
Q

D’où viennent les différences individuelles concernant la sensibilité aux pressions des autres (qu’est-ce qui fait en sorte que certains adolescents sont plus influençables que d’autres)?

A

Les différences individuelles viennent du style parental = certains styles parentaux vont faire en sorte que les adolescents seront +/- influençables.

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11
Q

Def. autonomie émotionnelle

A
  • Maitrise des affects, pulsions, sentiments, frontières personnelles (capacité de reconnaître ses émotions, auto-régulation des émotions, être capable de valider ses émotions).
  • Les liens de dépendance affective de lʼenfance doivent évoluer pour laisser la place à la différenciation personnelle sur le plan émotionnel.
  • Établir des frontières entre ce qui est soi et ne l’est pas.
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12
Q

Qu’est-ce qui arrive si les adolescents ne sont pas capable de différencier leurs émotions des émotions de leurs parents?

A

Ils auront de la difficulté avec l’auto-régulation de leurs émotions (autonomie émotionnelle).
-> Ex. ado veut voyager, mais mère a peur et lui partage ses peurs. Autonomie = l’ado veut voyager quand même.

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13
Q

Qu’est-ce que les parents doivent faire pour aider leur enfant à gagner leur autonomie émotionnelle?

A

Les parents doivent valider les émotions de leur enfant (sinon le parent = invalidant).

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14
Q

L’autonomie émotionnelle dépend de quoi? (4)

A
  • La désidéalisation des parents (ressemble au concept d’ambivalence mature de Peter Blos = on peut remettre en question les émotions de nos parents face à une situation).
  • La compréhension que les parents sont des êtres multidimensionnels = aide à les désidéaliser (mes parents ne sont Ø juste des parents = ils sont les enfants de mes grand-parents, des amis, des collègues, etc.).
  • La non dépendance (le fait de ne Ø dépendre de nos parents pour tout = aide à l’autonomie émotionnelle).
  • Du besoin de préserver son intimité (d’avoir une certaine forme de jardin secret = Ø normal de tout dire à nos parents à l’adolescence).
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15
Q

Quʼest-ce qui favorise lʼatteinte de lʼautonomie émotionnelle? (2)

A
  • Une bonne relation avec les parents (+ facile de se séparer quand on a une bonne relation avec eux = on sait qu’ils vont être encore là et que leur image de nous sera la même, même si on fait des erreurs).
  • Un lien dʼattachement sécurisant.
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16
Q

Quel est le plus grand facteur social de protection de la santé mentale?

A

La famille.
-> Faire partie d’une famille dans laquelle c’est sain = grand facteur de protection au niveau social pour éviter d’avoir un trouble de santé mentale.

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17
Q

La famille a un rôle majeur dans quoi?

A

La famille a un rôle majeur dans la socialisation.

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18
Q

Les rapports qu’on entretient avec notre famille sont un prototype de quoi (permettent de prédire quoi)?

A

Des rapports dans le futur (c’est là qu’on apprend comment aimer, comment être aimé, comment se chicaner, comment régler nos conflits, etc.).

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19
Q

Def. styles parentaux

A

Constellation dʼattitudes qui créent un climat émotif à travers lequel se manifestent les comportements parentaux (on doit regarder plusieurs comportements (global) pour déterminer le style parental).

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20
Q

Deux dimensions nous permettent de connaître le style parental. Nomme les. (2)

A
  • Sensibilité
  • Contrôle
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21
Q

Explique les deux dimensions qui nous permettent de connaître le style parental :
a) Sensibilité
b) Contrôle

A

a) Chaleur, affection, support, acceptation, etc. = à quel point les parents sont sensibles aux besoins de l’enfant (capable de les identifier et d’y répondre).
b) Prescription des règles et des conventions sociales (règles et valeurs à la maison, supervision, stratégies disciplinaires).

22
Q

Il y a deux types de contrôle. Nomme les. (2)

A
  • Contrôle psychologique
  • Contrôle comportemental
23
Q

Explique les deux types de contrôle :
a) Contrôle psychologique
b) Contrôle comportemental

A

a) Contrôle par la culpabilisation, la manipulation, le chantage émotif, etc.
b) Contrôle par la mise en place de règles par exemple.

24
Q

Vrai ou faux : Les deux types de contrôle ont le même objectif.

A

Vrai. Ils ont comme objectif de faire changer le comportement de l’enfant/l’adolescent.

25
Concernant les deux dimensions, soit la sensibilité et le contrôle, laquelle est davantage universelle et laquelle varie d'une culture à l'autre?
a) La sensibilité est davantage universelle = c'est clair que c'est essentiel pour un bon parenting. b) Le contrôle varie d'une culture à l'autre = il n'est Ø mis en place de la même façon pour chaque culture (parfois le contrôle doit être très strict, ex. en raison de l'environnement : quartier défavorisé).
26
Nomme les 4 styles parentaux.
- Style autocratique (ou autoritaire) - Style désengagé - Style permissif - Style démocratique
27
Indique pour chaque style parental s'il y a un contrôle parental actif ou s'il y a un faible contrôle parental et si les parents sont peu sensibles aux besoins de l'adolescent (centrés sur eux-mêmes) ou s'ils sont sensibles aux besoins de l'adolescent : a) Style autocratique (ou autoritaire) b) Style désengagé c) Style permissif d) Style démocratique
a) Contrôle parental actif (vu péjorativement ici, car c'est associé avec peu de sensibilité) et parents peu sensibles aux besoins de l'adolescent. b) Faible contrôle parental et parents peu sensibles aux besoins de l'adolescent. c) Faible contrôle parental et parents sensibles aux besoins de l'adolescent. d) Contrôle parental actif et parents sensibles aux besoins de l'adolescent. -> Voir diapo 12 pour le tableau.
28
Décris le style autocritique (autoritaire). (5)
- Exigeant. - Obéissance (je suis ton parent, donc tu dois m'obéir). - Punitions (devrait presque jamais être utilisé pour avoir le meilleur parenting possible) et mesures disciplinaires. - Restrictif (peu de liberté, assez contrôlant). - Ne favorise pas la responsabilisation ni lʼauto-contrôle (parce que le contrôle a toujours été à l'extérieur d'eux et qu'on ne leur a jamais expliqué pourquoi telle chose n'est Ø correcte).
29
Quel est l'avantage du style autocritique (autoritaire) pour l'enfant/l'adolescent?
L'enfant/l'adolescent sait à quoi s'attendre (les parents sont constants/cohérents).
30
Quel est impact du style autocritique (autoritaire) sur l'estime de soi de l'enfant/l'adolescent?
L'enfant/l'adolescent a une moins bonne estime de soi, car ses parents ne sont Ø dans le renforcement positif (leurs disent lorsqu'ils font quelque chose de mal, mais pas lorsqu'ils font quelque chose de bien) et ils sont très exigeants.
31
Décris le style désengagé (négligent). (4)
- Le parent est débordé par ses propres problèmes (consommation, santé mentale). - Sans supervision - Pas capable de jouer son rôle parental (Ø capables d'être des parents, n'ont Ø les outils, ils font ce qu'ils peuvent). - Les limites ne sont pas claires = parents Ø cohérents (des fois c'est correct, des fois ils pognent les nerfs). -> Des fois ne savent Ø comment gérer leur enfant.
32
Quel est le résultat d'un style parental désengagé (négligent) (qu'est-ce que ça donne comme adolescents)? (2)
- Souvent ces adolescents vont se retrouver dans le 1/5 de ceux qui font une crise d'adolescence. - Souvent ce sont des cas de DPJ. -> Pourquoi communiquer, partager, informer son parent? -> ils ne voient Ø à quoi ça sert.
33
Décris le style permissif (indulgent). (6)
- Grande importance aux besoins. - Ne veut pas utiliser son autorité parentale (car a peur d'être moins aimé par son enfant). - Non punitif et peu exigeant donc pas plein potentiel (tout ce que son enfant fait = c'est extraordinaire). - Quelles sont les limites? (c'est anxiogène pour les enfants parce qu'on a besoin de limites). - Pas dʼapprentissage de lʼauto-contrôle (parce qu'il n'y a juste Ø de contrôle autour d'eux). - Sʼattend à recevoir ce quʼil désire (enfant roi).
34
Qu'est-ce qui arrive chez les enfants dont les parents ont un style permissif, lorsqu'ils arrivent dans le monde extrafamilial?
Ils vivent un choc, parce que ça ne se passe Ø comme ça dans la vraie vie = ils ne peuvent Ø avoir tout ce qu'ils veulent et tout ce qu'ils font n'est Ø extraordinaire.
35
Concernant les parents qui ont un style permissif, souvent leurs parents à eux avaient un style soit a) _______ ou b) _______.
a) Permissif (donc ils font comme leurs parents). b) Autoritaire (donc ils font le contraire d'eux, ils les ont trouvé trop sévère).
36
Décris le style démocratique. (7)
- Flexibilité (selon les besoins = style qui répond le mieux au concept de violation-réaménagement). - Le parent est le guide (lien avec le rôle de psy = phare qui éclaire le bateau, laisse l'enfant conduire son bateau). - Acquisition de lʼautonomie. - Beaucoup de soutien sur le plan émotionnel (les écouter + valider leurs émotions, mais Ø leur dire qu'ils ont toujours raison = expliquer qu'il y a des règles et pourquoi il y en a = expliquer ce que l'enfant aurait pu faire à la place). - Attention : démocratique, mais pas de poids égal dans les décisions (c'est le parent qui décide au final). - Les limites sont claires, mais expliquées (pourquoi c'est ça la limite). - Lʼenfant est encouragé à discuter.
37
Quels sont les avantages du style démocratique (qu'est-ce que ça a comme effet positif sur les enfants)? (7)
- Meilleures performances scolaires. - Plus grand sens des responsabilités/autonomie (délégation graduelle). - Meilleures compétences sociales (ont + d'amis, sont + appréciés des autres), jugement moral, empathie. - Meilleure estime de soi. - Facteur protecteur pour la santé mentale. - Meilleures habiletés dʼautocontrôle. - La chaleur et lʼengagement rendent lʼadolescent plus réceptif à lʼinfluence des parents (a le + de contrôle sur son enfant indirectement).
38
Vrai ou faux : Ce sont les comportements des parents qui permettent d'identifier le style parental.
Faux. Ce ne sont pas les comportements en soi qui permettent dʼidentifier le style parental, mais lʼintention, le climat et le contexte.
39
Quelles sont les limites de la typologie (les limites au fait de classer les différents styles parentaux dans différentes catégories)? (4)
- Il nʼexiste pas de “parent pur”. - Style différent selon les enjeux (ex. famille qui habite dans un quartier dangereux). - Style du père et de la mère possiblement différents. - Le jeune exerce une influence (ex. avec prof et son frère = leurs parents n'ont Ø eu le même style parental avec les deux).
40
Vrai ou faux : Le style parental optimal est semblable entre les différentes cultures.
Vrai. Le style parental optimal est toujours quelque chose qui ressemble au style démocratique, peu importe la culture.
41
Vrai ou faux : La façon dont les différents styles parentaux se manifestent est semblable entre les différentes cultures.
Faux. La façon dont le style se manifeste varie d'une culture à l'autre (parce que ex. la sensibilité varie d'une culture à l'autre). -> Ex. le style démocratique n'est Ø pareil dans chaque culture.
42
On a parlé de deux types de contrôle qui sont mal exercés (versions péjoratives du contrôle). Pour chacun de ces types de contrôle, associe les termes : a) SSE élevé b) SSE faible 1. Contrôle psychologique 2. Punitions physiques
a) 1. b) 2.
43
Lorsque les parents utilisent un des contrôles mal exercés, soit le contrôle psychologique ou les punitions physiques, c'est parce qu'ils visent...
L'obéissance, plutôt que l'autorégulation.
44
Vrai ou faux : Un faible niveau socioéconomique entraîne plusieurs facteurs de risque pour le développement des enfants/adolescents.
Vrai. La majorité des familles qui ont un faible SSE sont les mères monoparentales = elles n'ont Ø le temps, ni l'énergie d'avoir un style démocratique.
45
Comment est-ce que les relations entre les adolescents et leurs parents vont se transformer au fil du temps (à force que les adolescents vieillissent)? (3)
- La relation sera moins asymétrique (l'adolescent prend plus de contrôle sur sa vie et sur ses décisions), plus de mutualité (les parents et les adolescents vont davantage échanger), plus de réciprocité et plus de coopération (ex. tâches dans la maison). - La figure parentale sera moins idéalisée (aide à l'autonomie). - Il y aura une compréhension réciproque parents-ado (les adolescents comprendront plus le rôle de parent et les parents comprendront que leur enfant est rendu un adolescent et n'est plus un enfant = doivent changer leur façon d'interagir avec lui et doivent changer leurs attentes).
46
Vrai ou faux : Les conflits sont plus nombreux à l'adolescence que durant l'enfance.
Vrai. Surtout au début/milieu de l'adolescence (12-15 ans).
47
Vrai ou faux : Les conflits entre les adolescents et leurs parents sont, la plupart du temps, majeurs.
Faux. On parle plus de conflits mineurs (l'adolescent n'a pas rangé sa chambre, n'a pas fait sa vaisselle, etc.). -> On retrouve davantage de conflits majeurs (graves = en lien avec les valeurs, comme le vol) chez le 1/5 des adolescents qui ont une crise d'adolescence.
48
Les conflits et la manière dont on les résout vont avoir un effet sur quoi?
Ils vont avoir un effet très important sur les relations futures de l'adolescent. -> Ex. si on ne revient jamais sur nos conflits avec nos parents = on ne saura pas comment régler un conflit par ex. avec notre amoureux.
49
Quel est le lien entre les conflits et les habiletés cognitives?
Les habiletés cognitives permettent aux adolescents d'argumenter durant un conflit et leurs permettent de vouloir comprendre et de demander des explications et des justifications.
50
Quelles sont les causes des conflits les plus fréquentes à l'adolescence? (4)
- Le partage des tâches - Les vêtements - L'heure d'entrée - Les responsabilités dans la maison
51
Les disputes cachent souvent quoi?
Elles cachent souvent le fait que les adolescents et les parents ne disputent Ø sur le même niveau. -> Ex. avec une chicane sur l'heure d'entrée = les adolescents pensent au fait que leurs amis ont le droit de rentrer plus tard et se demandent pourquoi pas eux -> les parents pensent au fait que c'est plus dangereux de revenir après telle heure (sens plus caché).
52
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