Cours 5 Flashcards
(19 cards)
Les trois types d’approches en santé
trans auprès de jeunes et enfants
- Coercitive
- D’attente vigilante
- Transaffirmative
Coercitive
bcp USA et Canada, relié à la droite suprématiste blanc masculin, vu comme tr maladie mentale, sinon que c’est une depression/crise/phase, l’idée que l’ado ne peut pas s’auto-déterminer car c’est un ado (existe depuis longtemps avec camp et religion)
Attente vigilante
Peggy Cohen-Kettewis, Amsterdam
a pousser à tx les jeune trans à l’époque, mise au point du protocole de bloqueurs (utilise encore), avant était rigide, maintenant on a commencé à l’adapter à l’enfant et l’âge de la puberté. L’idée que ne pas être trans serait mieux. À été repris par Ducker CAHH Toronto challenger par l’app 3
Transaffirmative
Tous le systeme doit plus s’adapter au p.trans, les conséquences d’être trans socialement leur font vivre des diff et s’est pas être trans qui les rends malade, c’est le système.
Stat trans
3% chez les 13 à 18-25ans
Jeunes tg en questionnement l’avait dit à personne avant de répondre à l’étude cb %?
65.2%
vivre dans le secret = pas de lien de confiance dans enviro donc ça affect bcp les capacités de résilience
il semble y avoir plus de x assignées à la
naissance (59.1% vs 40.9%)
il semble y avoir plus de filles assignées à la
naissance (59.1% vs 40.9%)
■ Les jeunes TG rapportent presque x fois plus de
tentatives de suicide dans les 12 derniers mois, soit
une prévalence de 19.8% en une année
■ Chez TG presque x fois plus de comportements
auto-agressifs, boivent x fois plus souvent de
l’alcool
■ Les jeunes TG rapportent presque 5 fois plus de
tentatives de suicide dans les 12 derniers mois, soit
une prévalence de 19.8% en une année
■ Chez TG presque deux fois plus de comportements
auto-agressifs, boivent deux fois plus souvent de
l’alcool
Ce que l’on sait,
on le sait à partir
de
- Expérience clinique auprès enfants (parents
inquiets et soutenants) - Recherches sur les enfants, jeunes, et familles
qui soutiennent - Recherches qualitatives rétrospectives sur des
adultes trans et expérience clinique - Recherches quantitatives sur population
générale représentative - Recherche auprès de parents d’adolescents qui
ne soutiennent pas
■ Des x à x ans expression binaire trans peut être visible et vers x à x ans les enfants le savent (1,2,3,4) ■ 2 types de récits (3): ■ Puberté = moment de déclenchement dx et cx (1,2,3,4) ■ Expressions x apparaissent plutôt à la puberté (1,2,4) ■ Coming out en moyenne vers x ans (2,4) ■ Changements récents: – Apparition soudaine, x (5) – Plus de personnes assignées x, x (2,4,5)
■ Des 3-4 ans expression binaire trans peut être visible
et vers 5-8 ans les enfants le savent (1,2,3,4)
■ 2 types de récits (3):
– Toujours su mais caché et tenté de le réprimer
– Pressenti mais devenu clair au moment où iels ont
été confrontés à l’existence d’autres personnes
trans
■ Puberté = moment de déclenchement dysphorie et
compréhension (1,2,3,4)
■ Expressions non binaires apparaissent plutôt à la
puberté (1,2,4)
■ Coming out en moyenne vers 17 ans (2,4)
■ Changements récents:
– Apparition soudaine, internet (5)
– Plus de personnes assignées filles, non binaires
(2,4,5)
Type A : affirmé
toujours su et moment de la révélation indéfini
3 ans : pas de conscience sociale, je suis moi
5 ans: intériorise norme sociale, s’affirme en fx de leur caractère
dépends énormément de la famille, réaction fait toute la différence, besoin de soutient des parents
4 ans révolte
7 ans monde magique ex va être fille chez maman mais gars chez papa car ne veut pas être rejeté
entente familiale est le souci NUMÉRO 1
donc si le genre est perçu comme créant des problèmes, ils vont trouver d’autres moyens pcq peut pas s’affirmer.
Type B : silencieux
toujours su sans pouvoir mettre les mots
coming out entre 12 et 16 ans
tjr un peu adulte, voulait pas que ça soit ça
pense beaucoup
Type C: agenré
su entre 10 et 12 ans
coming out entre entre 14 et 17 ans
Le genre a pas vrm de sens, pouvait ne pas avoir vrm de genre à l’enfance. Performait leur genre. Puberté là où ça se passe prob = + pour les afab car c’est la que c’est plus fort, devenir une femme n’est plus possible.
Pour amab commence plus jeune car la pression sociale commence plus tôt.
Jeune pt résiliants quand :
soutenu par famille, cognitivement les JPT se différencie qu’un petit peu des autres jeunes, donc ne serait pas à risque à chance égale en réalité
mettre des mots
important du TX à TEMPS : question d’accès (quoi l’éval, cb?)
■ Ils peuvent mettre des mots, se comprendre, se dire
■ Soutien parental fort
■ Accès aux soins et aux transitions médicales de confirmation de
genre, à temps
■ Sécurité dans environnement scolaire et vie quotidienne
■ Possibilité de vivre dans le genre désiré et d’être respecté dans leur
genre, y compris non binaire et neutre
■ Accès à des modèles positifs
Les jeunes trans sont plus à risque de..
■ Idéations suicidaires et tentatives de suicide ■ Dépression ■ Anxiété ■ Troubles alimentaires ■ Abandon scolaire ■ Violences subies, harcèlement par les pairs, cyberintimidation ■ Violences sexuelles ■ Conduites à risque, drogue, alcool ■ Marginalisation
Les parents face au coming out de leur
enfant
■ De l’étonnement à l’évidence
■ Un soulagement de comprendre pourquoi le jeune va mal
■ Une famille à rééquilibrer, des rôles et places à retrouver, des
deuils de projections/futur à faire
■ Des adaptations à des rythmes différents
■ Ne pas savoir si on fait la bonne chose, devoir faire face aux critiques
■ Le début de l’implication pour défendre les droits de son enfant !
Soutenir son enfant
■ Affirmer le genre de son enfant ■ Apprendre de lui ■ Mobiliser activement pour la défense des droit de l’enfant – École – Famille élargie, entourage – Monde médical – Accès aux soins de transition et assurances ■ Besoin d’être soutenus dans le soutien, de savoir qu’on fait la bonne chose
Des structures de soin adaptées sont nécessaires
■ Une structure de soin adaptée doit offrir un
accompagnement respectueux et acceptant la
différence de genre, donc
■ Le jeune = expert de son genre
■ La professionnelle de santé mentale évalue
– l’importance et l’urgence de la dysphorie
– consentement éclairé
– Pas de traitements avant puberté et pas de
psychothérapie des enfants qui vont bien
– Accompagnement pour familles qui ont
besoin de soutien
– Dès Tanner 2 et pour ceux ayant une
dysphorie de genre : retard de puberté pour
éviter de devoir faire de lourds traitements
postpubertaires et leur permettre de vivre de
manière invisible dans le genre souhaité
Réflexions éthiques, pratiques et scientifiques à avoir comme professionnel.le.s
■ ROGD (rapid onset gender dysphoria) ou la création idéologique de nouvelles catégories
■ Discours et réalités sur le phénomène de «désistance» … de quoi parle-t-on ?
■ De quoi les jeunes et leur famille ont réellement besoin et comment mettre en place une réponse adaptée dans l’accompagnement sexologique