Cours 5 - Concept de soi et motivation Flashcards

1
Q

Définit c’est quoi le concept de soi

A

Définition: Ensemble des connaissance qu’une personne à sur elle-même

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Q

Le concept de soi est influencé par quoi?

A

Relation bidirectionnel entre l’environnement et le concept de soi

La culture influence l’environnement et, ainsi, influence le concept de soi

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3
Q

Quel test est super populaire dans les études sur les cultures et le concept de soi?

A

Test permettant de mesurer le concept de soi (Kuhn & McPartland, 1954)

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4
Q

Explique le fonctionnement du Test permettant de mesurer le concept de soi (Kuhn & McPartland, 1954)

A

Instructions habituelles: Veuillez s.v.p écrire 20 réponses différentes à la question « Qui suis-je ». Écrivez comme si vous répondiez à vous-même, et non à quelqu’un d’autre. Écrivez les réponses dans n’importe quel ordre. Ne prenez pas plus de 5-6 minutes.

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5
Q

Dans le test permettant de mesurer le concept de soi nomme un exemple de réponses qui démontre des caractérsitiques personnelles

A

curieuse

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6
Q

Dans le test permettant de mesurer le concept de soi nomme un exemple de réponses qui démontre des rôle familiaux

A

ainé de famille

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7
Q

Dans le 20 statement test, Est-ce que la structure des réponses varie d’une culture à l’autre?

A

Oui

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8
Q

Ma & Schoeneman (1997) ont comparé des cultures africaines à la culture américaine.
Quatre cultures africaines variaient au niveau de leur exposition à la culture américaine: Deux peuples traditionnels (Samburu, Massaïs), Travailleurs à Nairobi, Étudiants universitaires à Nairobi.

Les participants remplissent le Twenty-Statement Test.

Les réponses sont comptabilisées dans 30 catégories différentes.

Décris les résultats

A

Plus les cultures étaient exposés à la culture occientale plus les individus se décrivaient avec des caractéristiques personnel

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9
Q

Dans l’étude de Ma & Schoeneman (1997) qui ont comparé des cultures africaines à la culture américaine nomme les 2 conclusions

A

Les américains et les groupes africains les plus exposés à la culture occidentale donnaient davantage de caractéristiques personnelles.

Les groupes africains les moins exposés à la culture occidentale donnaient davantage de réponses « sociales ».

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10
Q

Suite aux résultats de l’étude de Ma & Schoeneman quel sont les 2 types de concept de soi que Markus & Kitayama (1991) ont proposé

A
  1. Concept de soi indépendant
  2. Concept de soi interdépendant
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11
Q

Le concept de soi indépendant est basé sur quoi?

A

L’identité est basée sur les traits de l’individu

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12
Q

Quel sont les 3 traits principaux du concept de soi indépendant

A

Stables (à travers les situations et le temps).
Uniques. (à chaque personne)
Sont perçus comme à la base du comportement.

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12
Q

Modèle du Concept de soi indépendant
Explique la modélisation de l’individu

A

Il n’a pas de traits qui se chevauche avec les autres
Frontière solide autour de l’individu
Ses caractéristiques ne changent pas d’un individu à l’autre

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13
Q

Modèle du Concept de soi indépendant
Explique la modélisation de l’endogroupe et l’exogroupe

A

Frontière fluide entre l’endogroupe et l’exogroupe
Un étranger peur devenir facilement un ami
Un ami peut devenir facilement un inconnu

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13
Q

Modèle du Concept de soi indépendant
Décris les traits les plus importants

A

Les traits les plus importants sur seulement chez la bulle de l’individu

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14
Q

Modèle du Concept de soi interdépendant
Explique comment est décrit l’individu

A

Se chevauche avec la bulle des autres
La personne se conçoit comme étant toujours en relation avec les autres

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15
Q

Modèle du Concept de soi interdépendant
Décris les traits les plus importants

A

Sont ceux qui se chevauche avec les autres
Ex: je suis timide avec ma mère, je suis extravertie avec mon amie

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16
Q

Modèle du Concept de soi interdépendant
Décris les différences entre l’exo et l’endogroupe

A

Puisque l’individu se décrit comme étant en relation avec les autres, il est plus difficile de laisser quelqu’un entrer ou sortir de l’exogroupe

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17
Q

Modèle du Concept de soi interdépendant

A
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18
Q

Donnes des exemples de catégorie (rôle, membership)

A
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19
Q

Donne des exemple de catégorie (caractéristiques personnelles)

A
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20
Q

Décris c’est quoi le concept de soi interdépendant

A
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21
Q

Quels sont les 4 dimensoons qui recouvrent les systèmes de valeurs à travers les pays étudier par Hofstede

A
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22
Q

Nommes les 4 différences entre l’individualisme et le collectivisme

A
22
Q

Explique comment le concept de soi indépendant vs. Interdépendant est un continuum.

A
22
Q

Expliques la source de nombreuses variabilité sur le continuum d’interdépendance- indépendance

A

Varie selon l’individu, la culture et les sous-groupes

23
Q

C’est quoi l’auto-consistance

A
24
Q

Comment est ce que l’auto-consistence à été mesuré dans l’étude de Kanagawa

A

Demandent à des participants de remplir le « Twenty-Statement Test ».
Manipulent le contexte dans lequel les participants remplissent le questionnaire.

25
Q

Quel sont les 4 situation que les participants ont été exposé dans l’ étude de Kanagawa et al. (2001)

A
  1. Dans le bureau d’un professeur.
  2. Dans la même pièce qu’un autre étudiant.
  3. Dans une pièce avec 20-50 autres personnes.
  4. Seuls.
26
Q

Dans l’étude de Kanagawa comment est ce que les américains se sont décris?

A

Les américains sont consistants dans leur degré de positivisme à travers les situations

27
Q

Dans l’étude de Kanagawa comment est ce que les japonais se sont décris?

A

Le degré auquel les Japonais sont positifs par rapport à eux-mêmes varie en fonction du contexte dans lequel ils remplissent le questionnaire.
Généralement moins positifs que les américains

28
Q

les individus avec un concept de soi interdépendant ont quel type de perception d’eux même?

A

fluide et varie selon le contexte.

29
Q
A
30
Q

C’est quoi la dissonance cognitive

A

état émotionnel aversif (i.e. la dissonance) est vécu par un individu lorsqu’il y a inconsistance entre ses attitudes et son comportement.

31
Q

La dissonance cognitive mène à l’individu à modifier quoi?

A

Cet état émotionnel aversif motive ensuite l’individu à mettre en place les efforts pour rétablir la consistance.
Une façon d’y arriver est de modifier son attitude pour qu’elle soit consistante avec le comportement.

32
Q

Étude de Knox & Inkster (1968)
Mise en situation;
Questionnent des individus lors d’une course de chevaux.
Question posé:
« Quelles sont les chances que votre cheval gagne? »
Quel était le niveau de confiance des individu en ligne pour faire leur pari

A

moyen

33
Q

Étude de Knox & Inkster (1968)
Mise en situation;
Questionnent des individus lors d’une course de chevaux.
Question posé:
« Quelles sont les chances que votre cheval gagne? »
Quel était le niveau de confiance des individu après avoir fait leur pari

A

haute

34
Q

Étude de Heine & Lehman (1997)
Étape 1: Demandent à des participants japonais et canadiens de coter une liste de 10 CD de musique
Étape 2: Leur font faire un test de personnalité, puis leur donne un « faux feedback »
Étape 3: On dit au participant qu’il peut partir avec un CD, et on le fait choisir entre les CD qu’il avait coté 5e et 6e.
Étape 4: On lui demande à nouveau de coter la liste des 10 CD.
Décris les résultats des canadiens

A

Chez les canadiens, l’attitude devient plus positive pour le CD qu’ils ont reçu.
D’autant plus vrai s’ils ont en plus reçu un feedback négatif par rapport à leur test de personnalité.

35
Q

Étude de Heine & Lehman (1997)
Étape 1: Demandent à des participants japonais et canadiens de coter une liste de 10 CD de musique
Étape 2: Leur font faire un test de personnalité, puis leur donne un « faux feedback »
Étape 3: On dit au participant qu’il peut partir avec un CD, et on le fait choisir entre les CD qu’il avait coté 5e et 6e.
Étape 4: On lui demande à nouveau de coter la liste des 10 CD.
Décris les résultats des japonais

A

l’attitude ne change pas après avoir reçu le CD.

36
Q

Étude de Hoshino-Browne et al. (2005)
Étape 1: Demandent à des participants japonais ou canadiens de coter 25 plats dans un menu de restaurant. On leur fait croire qu’un restaurant chinois ouvrira probablement sur leur campus et que l’étude vise à décider du menu
Deux conditions (inter-sujet):
1. Cotent les plats en fonction de leur préférence
2. Cotent les plats en fonction des préférences d’un ami de leur choix.
Étape 2: On leur remet un certificat cadeau pour un repas spécifique dans le futur restaurant: soit le repas coté 5e, soit le repas coté 6e (le participant doit choisir).
Étape 3: On leur demande à nouveau de coter les repas d’un nouveau menu, dans lequel leur 5e et 6e choix se retrouvent aussi.

Explique les résultats pour les Européens - Canadiens

A

Plus de différence de cote pour les choix individuel et un peu moins pour le choix de son ami

37
Q

Étude de Hoshino-Browne et al. (2005)
Étape 1: Demandent à des participants japonais ou canadiens de coter 25 plats dans un menu de restaurant. On leur fait croire qu’un restaurant chinois ouvrira probablement sur leur campus et que l’étude vise à décider du menu
Deux conditions (inter-sujet):
1. Cotent les plats en fonction de leur préférence
2. Cotent les plats en fonction des préférences d’un ami de leur choix.
Étape 2: On leur remet un certificat cadeau pour un repas spécifique dans le futur restaurant: soit le repas coté 5e, soit le repas coté 6e (le participant doit choisir).
Étape 3: On leur demande à nouveau de coter les repas d’un nouveau menu, dans lequel leur 5e et 6e choix se retrouvent aussi.

Explique les résultats pour les Asiatique - Canadiens

A

Pas de dissonance cognitive pour son choix, mais grande dissonance pour le choix par rapport à leur ami

38
Q

Explique comment la dissonance varie selon la culture

A

Asiatiques: situations où leurs relations sociales sont en jeu, et non leur propre personne.

Canadiens: situations où leurs relations avec eux même est en jeu

39
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    C’est quoi l’autovalorisation?
A

motivation à se percevoir positivement

40
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    Quelles sont les 3 stratégies qui permettent le maintient de l’estime de soi
A
  1. Comparaison sociale vers le bas
  2. Auto-valorisation compensatoire
  3. Diminuer l’importance de l’échec
41
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    Explique c’est quoi la compairaison sociale
A

La théorie de la comparaison sociale propose que l’on s’évalue par le biais de la comparaison aux autres.

42
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    Dans l’exemple suivant décris comment une personne pourrait se comparer socialement (vers le haut ou vers le bas)
    «Est-ce que je suis bonne en course à pied?»
A

En absolu, difficile à dire.
Si je me compare à Haile Gebrselassie, je suis complètement nulle!
Si je me compare à une personne complètement sédentaire, oui!

43
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    C’est quoi la comparaison sociale vers le bas
A

on se compare à quelqu’un de moins bon que nous.
Nous donne l’impression d’être bon, et peut ainsi gonfler l’estime de soi.

44
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    C’est quoi la comparaison sociale vers le haut
A

on se compare à quelqu’un de meilleur que nous.
Nous donne l’impression d’être faible, et peut ainsi diminuer notre estime de soi.

45
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    Étude de White & Lehman (2005)
    Vérifie l’impact d’un échec sur la tendance à vouloir se comparer aux autres vers le haut vs. vers le bas.

Les participants font une tâche décrite comme mesurant les habiletés visuo-spatiales.
Présenté comme une mesure pure de l’intelligence.

Reçoivent ensuite un feedback négatif, i.e. ont performé en dessous de la moyenne.

Se font ensuite offrir la possibilité de voir les réponses de 1 à 7 autres individus (voient les scores de ces individus).

Décris les réponses chez les candiens

A

Chez les canadiens, même nombre comparaisons vers le haut que vers le bas après l’échec.

46
Q
  1. Motivation pour l’auto-valorisation et l’estime de soi
    Étude de White & Lehman (2005)
    Vérifie l’impact d’un échec sur la tendance à vouloir se comparer aux autres vers le haut vs. vers le bas.

Les participants font une tâche décrite comme mesurant les habiletés visuo-spatiales.
Présenté comme une mesure pure de l’intelligence.

Reçoivent ensuite un feedback négatif, i.e. ont performé en dessous de la moyenne.

Se font ensuite offrir la possibilité de voir les réponses de 1 à 7 autres individus (voient les scores de ces individus).

Décris les résultats des asiatiques

A

Chez les asiatiques, beaucoup plus de comparaisons vers le haut que vers le bas après l’échec.

47
Q

Dans l’étude de White & Lehman (2005) pourquoi les asiatiques se comparent vers le haut après un échec?

A

Les auteurs de cette étude proposent que les asiatiques font des comparaisons vers le haut lorsqu’ils vivent un échec parce qu’ils ont une motivation d’amélioration

48
Q

Explique l’hypothèse qui explique pourquoi les asiatiques utilisent moins de stratégies pour maintenir une évaluation positive d’eux-mêmes

A

Dans la culture collectiviste, les objectifs du groupe passent avant les objectifs personnels. Un individu doit donc être en mesure de bien comprendre son rôle et sa place au sein d’un groupe.
A pour effet de favoriser une motivation à s’améliorer, pour jouer son rôle de manière optimale (et non pour devenir meilleur que les autres).

49
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
    C’est quoi la motivation pour l’amélioration?
A

La motivation pour l’amélioration est un désir de détecter ses propres faiblesses et de tenter de les corriger.

50
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
    Étude de Heine, Kitayama, et al. (2001)
    Participants font une tâche qui mesure la créativité.
    Reçoivent un feedback soit positif, soit négatif.
    Les participants se faisaient dire que le but de l’expérience était d’examiner le lien entre la créativité et l’intelligence émotionnelle.
    Donc, après le test de créativité, on entamait un test de quotient émotionnel.

Décrit la performance des canadiens

A

Passe plus de temps à travailler sur cette autre tâche quand ils ont recu un feddback positif

51
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
A
52
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
A
53
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
A
54
Q
  1. Motivation pour l’amélioration
A