Cours 8 Flashcards

(46 cards)

1
Q

Qu’est-ce que la résilience?

A
Capacité de la matière à reprendre
sa forme originale lorsqu’elle a été stressée ou
testée.
Terme provenant des sciences
physiques.
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2
Q

Pourquoi est-il important d’identifier les enfants résilients?

A

Ça peut nous aider à développer des techniques pour ceux qui n’en manifestent pas.

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3
Q

Quelle était la première hypothèse quand aux variations dans l’adaptation des enfants face à des situations à risque?

A

Au début, on pensait que certains enfants avaient des
caractéristiques, qu’ils étaient « tough », invulnérable sur le plan psychologique, génétique, physiologique, etc. Il s’agissait d’une explication constitutionnelle.

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4
Q

Qu’est-ce qui a été tiré de la première hypothèse?

A

Elle s’est avérée fausse. La « résistance » au stress varie selon chaque enfant, chaque contexte.
Certaines caractéristiques peuvent toutefois appartenir à cette
explication constitutionnelle qui font en sorte qu’ils sont moins sensibles à des circonstances de risque aigus.

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5
Q

Quels sont les idées qui soutiennent la résilience? (4)

A
  1. Focus sur éléments positifs de la personne et de son
    environnement
  2. Facteur de protection
    3.Focus sur le processus de développement, plutôt que sur son résultat
  3. Coping/Stratégies d’adaptation personnelles
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6
Q

Expliquez l’idée “Focus sur éléments positifs de la personne et de son
environnement” qui supporte la résilience.

A

La plupart de la recherche met l’accent sur les aspects négatifs en essayant de prévenir les troubles du comportement (beaucoup d’études sur les troubles et les facteurs de risque).
Une idée centrale du phénomène de résilience et de son étude est d’essayer de cibler les éléments positifs. (Ex: Compétence sociale, etc)

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7
Q

Expliquez la difficulté à décrire les éléments positifs ou négatifs de la personne et de son environnement.

A

Chaque élément positif nous amène des éléments négatifs.
Qu’est ce qui est positif? Qu’est ce qui est valorisé?
Pour les éléments négatifs, on sait ce qu’on veut éviter et c’est clair. Malheureusement, pour décrire ce qui est positif c’est de faire une sorte de jugement de valeur. Ex: Être le meilleur de la classe ou accepté que d’autres seront meilleurs?

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8
Q

Expliquez l’idée “Facteurs de protection” qui supporte la résilience.

A

Y a t’il des facteurs qui, lorsqu’ils sont présents, ont un impact positif (favorisant le développement) sur l’enfant ? Et lorsqu’ils
sont absents, ne causent pas de préjudice à l’enfant et ne
constituent pas des facteurs de risque?

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9
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de protection?

A

Facteur qui est présent et, de ce fait, favorise le développement.

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10
Q

Quel est le problème avec les facteurs de protection?

A

Ça devient difficile de dire que l’absence du facteur de protection n’ajoute pas un facteur de risque. Est-ce que c’est plutôt l’absence d’un facteur de risque au lieu de la présence d’un facteur de protection?

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11
Q

Expliquez l’idée “Focus sur le processus de développement, plutôt que sur son résultat” qui supporte la résilience.

A

Basé sur la compréhension des processus de développement afin de pouvoir soutirer l’information nécessaire pour décelér les caractéristiques qui influencent la résilience.

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12
Q

Quel est la difficulté lié au “Focus sur le processus de développement, plutôt que
sur son résultat” du concept de la résilience?

A

Difficulté se situe au niveau de la compréhension des processus
pour lesquels il faut aussi comprendre les facteurs de
développement (Ex. trouble du comportement).

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13
Q

Expliquez l’idée “Coping/stratégies d’adaptation personnelles” qui supporte la résilience.

A

Les enfants résilients ont intégré certaines stratégies d’adaptation
face aux évènements difficiles auxquels ils sont confrontés.
Fait aussi parti de l’idée des processus.
Face à des difficultés, l’enfant a des stratégies d’adaptation qui
l’aide (Ex. difficultés scolaires). Certaines portent sur la résolution de problème, de ne pas focuser seulement sur ses sentiments, etc.
Les stratégies d’adaptation sont associés à la question du risque. Les enfants qui développent des stratégies d’adaptation plus favorables/positives sont des enfants qui normalement viennent de milieu à risque moins élevé. Donc on a pas nécessairement compris. On parle d’une caractéristique qu’on doit prédire et notre prédiction fonctionne comme les autres stratégies du développement. Les enfants moins à risque ont des meilleurs stratégies.

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14
Q

Résumez les points communs des quatre grandes idées de la résilience. (4)

A

(1) Chacune présente des avantages par rapport à l’étude du développement de l’enfant surtout dans un contexte de résilience.
(2)Chacune présente une préoccupation sur le plan psychologique
(3) Débat sur l’existence ou non de la résilience (Ex. se noyer).
(4) La résilience n’implique pas un fonctionnement supérieur. Elle porte sur un
ensemble de caractéristiques du développement humain.

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15
Q

Expliquez les préoccupations sur le plan psychologique de la résilience.

A

(1) Les enfants résiliences sont-ils les enfants qui sont exposés au même niveau de
risque ou ont-ils été exposés à moins de risque ce qui leur permet de mieux s’en
sortir?
(2) Les enfants résilients dans nos études sont-ils vraiment résilients, ont-ils été
exposés au même degrés de risque que les autres enfants qui n’ont pas réussi à
s’en sortir?
(3) Dans un tel cas, les enfants résilients sont des erreurs de prédiction.

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16
Q

Si ce sont des enfants réellement résilients […].

A

Si ce sont réellement des enfants résilients, on devrait pouvoir documenter un processus qui ne prend pas compte des facteurs de risques. Si ce sont les facteurs de protection, il y a beaucoup plus d’aspects qui doivent être intégrés dans nos modèles, dans nos réflexion et donc le phénomène de résilience est plus difficile à comprendre.

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17
Q

Expliquez pourquoi le phénomène de résilience est tant attrayant.

A

C’est aussi quelque chose qui habite notre littérature/culture général. On valorise beaucoup l’idée que lorsqu’on est face à des obstacles importants, on peut s’en sortir avec assez de création, forces, etc. Elle nous permet de penser qu’on est en mesure d’aider les gens, de les aider en moments difficiles.

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18
Q

Quels sont les considérations méthodologiques de la résilience?

A

(1) La présence d’un risque
substantiel au développement
(2)Il ne suffit pas de trouver des « liens » entre des variables. Il est important de trouver des explications portant sur des processus de développement.
(3) Problèmes de mesures
(4) Difficulté d’avoir convergence dans les mesures du développement de l’enfant.

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19
Q

Expliquez la considération méthodologique “Présence d’un risque substantiel au développement” de la résilience.

A

(1) S’il n’y a pas ou peu de risque, on ne peut parler de résilience. Si les enfants « s’en sortent » lorsqu’il y a moins de risque, ce n’est pas la résilience. C’est l’absence de risque.Très important dévaluer des enfants qui se sortent de situations difficiles étaient exposé à des situation de risque égaux. Il faut bien qualifier le risque auquel l’enfant est exposé.
(2) Est-il possible de concevoir qu’un facteur de risque puisse avoir un impact sur un enfant sans d’abord affecter le fonctionnement familial et/ou les comportements parentaux?
(3) Modèle médical : Cherche à attribuer à un problème donné, une cause unique. Toutefois, chaque problème a rarement lieu seul.

20
Q

Expliquez la considération méthodologique “Liens/explications entre des variables” de la résilience.

A

En l’absence de ce type d’explication, nous sommes dans le monde de la spéculation et non de la science.
La distinction entre les indicateurs de risque et les mécanismes de risque: Il ne suffit pas juste de faire de la prédiction, il faut réfléchir au mécanisme qui font en sorte qu’un facteur de risque mène à un problème. Les médiateurs des mécanismes de risque sont très importants à prendre en compte.

21
Q

Expliquez la considération méthodologique “Difficulté de convergence” de la résilience.

A

Il est plutôt habituel d’avoir des informations divergentes (plutôt que concordantes) lorsqu’on utilise différentes sources d’info (parent, pairs, etc). Dans ce cas, comment on fait pour s’assurer qu’on mesure bien la bonne chose?

22
Q

Pourquoi est-il important d’utiliser des études longitudinales lorsqu’on étudie la résilience?

A

(1) Il peut y avoir des changements dans l’adaptation d’une personne à travers le temps et selon les circonstances.
(a)Changement dans: Mesure du milieu familiale, mais aussi des autres aspects de l’environnement de l’enfant.
(2) Ces études montrent que les changements positifs peuvent avoir lieu longtemps après l’établissement de l’état de risque chez
l’enfant.
(a) Il faut donc regarder plusieurs choses autre que le risque lorsqu’on regarde le développement.
(3) Les facteurs de risque s’enchainent dans le temps. (Statistique et probabilité)
(4) Séries de question méthodologiques importantes:
(a)Démontrer la présence de risque.
(b) Élaborer des mécanismes par lesquels les facteurs de risque
donnent lieu à des problèmes de développement.
(c) Être sensible aux problèmes de mesure.

23
Q

Pourquoi l’étude de la résilience est si difficile?

A

Il est très difficile d’être certain d’avoir circonscrit l’ensemble des facteurs qui peuvent jouer sur le développement.

24
Q

Quelles sont les 4 études qui ont suggérés la présence de la résilience dans le développement?

A

(1) L’étude de Kaui (Werner, 1982)
(2) L’étude Christchurch
(3) L’étude Stockholm
(4) L’étude Isle of Wright (Rutter, 1979)

25
Qu'est-ce que l'étude de Kaui (Werner, 1982)?
Étude qui a eu lieu sur l'île de Kaui où il y a beaucoup de pauvreté. Elle a été impressionnée que tant d'enfants vivent dans des milieux très difficiles mais s'en sorte bien sur le plan du développement. Elle a abordé la résilience selon 4 facteurs. Elle a posé la questions "Quelles sont les caractéristiques des enfants qui se développent bien malgré le fait qu'ils étaient exposés à ses 4 grands facteurs de risques?"
26
Quelle a été le résultat de l'étude de Kaui?
Elle a suivi les enfants jusqu'à l'adolescence et à vue que même les enfants qui étaient exposé à ses 4 facteurs de risque arrivaient à avoir un développement relativement harmonieux.
27
Par quoi les enfants résilients se caractérisaient selon Werner (1982)?
(1) Intelligence moyenne, suscitant des réponses positives des autres (intelligence sociale). Elle permettait aux enfants de tisser des lieux plus positifs avec d'autres. (2) Semblaient plus en mesure de tisser des liens affectueux avec des figures parentales substituts (grand parents, enseignants). (3) Soutien social autre que familial.
28
Quel est la limite principale de l'étude de Kaui?
3 facteurs de protection: On pourrait aussi dire que ce sont des facteurs qui diminuent le risque. L'étude ne nous permet pas de savoir si c'est vraiment de la résilience.
29
Qu'est-ce que l'étude de Christchurch?
Évaluation de 39 facteurs de risque. Les enfants les plus à risque ont été ciblé pour l'étude, soit 20% des enfants les plus à risque.
30
Quelles ont été les caractéristiques des enfants résilient déceler dans l'étude Christchurch?(4)
(1) Moins d’adversité familiale. (2) Plus d’intelligence (échelles de QI). (3) Groupes de pairs moins délinquants. (4) Moins de recherche de nouveauté (contraire des enfant impulsifs).
31
Qu'est-ce que l'étude de Stockholm?
Étude rétrospective (va questionner les adultes sur leur enfance) qui a démontré les mêmes résultats que l'étude de Christchurch.
32
Quel est le point commun entre l'étude de Christchurch et de Stockholm?
Dans ces deux études, on ne sait pas si les enfants résilients sont moins à risque et on revient à la vieille idée constitutionnel de l'enfant.
33
Expliquez en quoi la recherche de la nouveauté affecte la résilience.
La recherche de nouveauté de sensation forte est lié à la recherche de réconfort dans les drogues et aux expériences à risque.
34
Qu'est-ce que l'intelligence et la recherche de la nouveauté ont en commun?
Ces caractéristiques comportent un aspect génétique. On repose la question "Est-ce que les enfants résilients le sont pour des caractéristiques qui leur appartiennent, qui leur ont été transmis par leur parents par la génétique, qui joue au niveau de l'intelligence et de l'impulsivité?"
35
Qu'est-ce que l'étude de Kaui, de Christchurch et de Stockholm ont en commun?
(1) Les enfants résilients sont-ils moins à risque? (2) Aspect constitutionnel de l'enfant. Présence de caractéristiques qui appartiennent à l'enfant? (a) Dans toutes ces études, les enfants qui ont une intelligence moyenne semblent avoir plus de chance de s'en sortir. L'intelligence correspond un peu à cette vieille idée d'une caractéristique qui appartient à l'enfant, mais on sait que l'intelligence est influencée par la génétique et que c'est quelque chose qui joue beaucoup sur comment l'enfant interpelle les autres autour de lui. (b) La recherche de nouveauté est influencée par la génétique et l'environnement de l'enfant
36
Qu'est-ce que l'étude Isle of Wright (Rutter, 1979)?
L'île de Wirght est une île du Royaume Uni caractérisé par une population relativement pauvre dans une situation de métier ouvrier et ou un certain nombre de problèmes sociaux ont émergé. C'est dans cette étude que cette notion de facteur de risque a été le mieux élaboré. Cette étude a établi le principe de “Facteurs de risque” sur le plan psychosocial ainsi que l’idée que le risque agit de manière non-linéaire.
37
Que veut-on dire par l'idée que le risque agit de manière non-linéaire?
On veut dire que l'être humain est capable de gérer une certaine capacité de facteurs de de risque. Les capacités d'adaptation font en sorte qu'un certain nombre de facteurs de risques dans l'environnement joue très peu sur le développement de l'enfant et, qu'à un moment donné, l'ajout de certains facteurs va augmenté exponentiellement le risque que des problèmes se développe.
38
Qu'est-ce que l'idée que le risque agit de manière non-linéaire veut dire pour la recherche?
Il est important de savoir comment fonctionne les différentes sortes de risque auxquels les enfants sont exposés? Même impact lors de tel ou tel contexte avec tel ou tel facteur de risque?
39
Quelles sont les implications de la résilience pour la politique sociale?
L'étude de résilience nous aide à mieux comprendre comment on peut agir dans une communauté afin d'aider les enfants qui sont face à un certain nombre de facteurs de risque. C'est une façon heuristique de comprendre l'environnement de l'enfant et son impact qui est très utile.
40
Une politique social de prévention et d’intervention doit tenir compte d'une série de facteurs provenant de l’étude du risque et de la résilience. Quels sont-ils? (2)
(1) Toutes les formes de psychopathologie et de troubles d’adaptation sont déterminés par une multitude de facteurs, agissant ensemble pour la plupart, à travers le temps. (2) Différences individuelles quant à la sensibilité au risque. (a) Exemple: Certains enfants beaucoup plus sensible à la nouveauté, beaucoup plus impulsifs.
41
Qu'est-ce qu'un trouble d'adaptation?
Troubles qui jouent sur un ensemble de facteurs socio-économique et humains.
42
Quels sont les 5 objectifs de la politique social en matière de résilience?
(1) Réduire le nombre de facteurs de risque auxquels sont exposés les familles et les enfants. (2) Évaluer la sensibilité au risque, s’assurer de mesurer le contexte familial, les antécédents génétiques, estime, QI, etc. (3) Réduire l’impact des contextes difficiles sur le développement. (a) Est-ce qu’il faut créer des situations pour « sortir » l’enfant de son contexte de risque? Ou de leur faire côtoyer des contextes normatifs? (4) Réduire les effets en chaîne négatifs. (a) Planification, résolution de problème, coping (5) Démarrer des effets en chaîne positifs. (a) Promouvoir la présence d’agents de changement dans la vie des gens, dans une perspective positive, afin d’améliorer la fréquence d’événements positifs.
43
VRAI ou FAUX. On a, au Québec, une stratégie d'intervention qui s'appelle les soins d'intervention (?)[...] en périnatalité et en petite enfance et qui partage le 4e objectif de la politique social en matière de résilience.
FAUX. On a, au Québec, une stratégie d'intervention qui s'appelle les soins d'intervention (?)[...] en périnatalité et en petite enfance et qui partage le 5e objectif de la politique social en matière de résilience.
44
En quoi consiste la stratégie d’intervention au Québec qui cherche à démarrer des effets en chaîne positifs?
Quand une famille a des caractéristiques qui les placent à risque sur le plan social, on souhaite les rencontrer, les appuyer dans leur rôle de parent et dans un ensemble d'autres rôles. Pour se faire, il faut que quelqu'un, impliqué avec la famille, ait un style relationnel de mentorat. Très souvent dans les programmes québécois ce sont des psychoéducateurs, des infirmières, etc. qui travaillent avec ces personnes.
45
Qu'est-ce qu'un tuteur de résilience selon Michael Rogers?
Personnes qui sont en place, qui sont relativement stable/bien ancrés et qui permettent ce point de repère à la famille à risque afin de l'aider à réfléchir à un ensemble d'enjeu sur le développement personnel et autres. Ça peut aussi être d'autres personnes, des écoles (formateurs et enseignants) particulièrement bien formés et au fait de la situation de leur milieu. Ce sont des agents qu'on place de manière intentionnelle dans la vie des gens pour aider à favoriser un développement plus harmonieux pour les enfants et familles
46
De manière plus général, qu'est-ce que les tuteurs de résilience encouragent?
D'identifier la présence de personnes clés, stables, pouvant jouer le rôle de personnes aidantes. Le tuteur de résilience va être un genre d'interface pour la communauté. Il y a des personnes dans la communautés qui par définition sont là pour soutenir les gens et on veut aider les familles qui ont tendance à se retirer, à reconnaître et consulter ses gens. On veut promouvoir cette recherche d'aide en créant des endroits de rencontre entre la famille et ses personnes aidantes.