cours 9 et 10 Flashcards

1
Q

Maintenant que la période préopératoire est terminé, quelles sont les avancées de la période des opérations concrètes / pensée opérationnelle concrète (7-11 ans)?

A
  • conservation : raisonnement plus logique
  • DÉcentration : capacité de se concentrer sur plusieurs aspects d’un problème et les relier, plutôt que se concentrer sur un seul
  • Réversibilité : capacité de réfléchir à une série d’étapes, puis d’inverser mentalement la direction, en revenant au point de départ
  • classification : font la différence entre catégories générales et sous-catégories
  • La sériation : La capacité à classer des articles selon une dimension quantitative (baton plus petit au plus grand)
  • Inférence transitive : Les enfants peuvent faire des sériations mentalement. (voir grandeur et déduire quelle bâton plus long que l’autre)
  • raisonnement spacial : la compréhension de l’espace est plus précise
  • cartes cognitives : représentations mentales des espaces (salle de classe, école)
  • environnements extérieurs à grande échelle : relation proportionnelle entre un espace et sa représentation cartographique.
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2
Q

Le contexte culturel semble influencer la création de cartographie, pourquoi?

A

1) Dans plusieurs communautés non occidentales, les gens utilisent rarement des cartes pour trouver leur chemin, se fient plutôt aux informations données par d’autres. (bcp de points de repères)

2)Les enfants non occidentaux roulent moins en voiture et marchent plus souvent = connaissance intime du quartier.

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3
Q

Quelles sont les limites de la pensée opérationnelle concrète?

A

1) Les enfants ne pensent de manière organisée et logique QUE QUAND ils traitent des informations concrètes qu’ils peuvent percevoir directement.
(difficulté avec opérations mentales abstraites ou hypothétiques, doivent voir direct la chose)
2) Ils maîtrisent les tâches opérationnelles concrètes étape par étape, pas toutes en même temps (maitrise progressive)

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4
Q

Vrai ou faux, en d’autres mots, le développement de la pensée opérationnelle c’est l’expansion de la capacité de traitement de l’information. Les schémas cognitifs demandent moins d’attention et sont appliqués plus rapidement

A

vrai

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5
Q

Vrai ou faux, la période scolaire est une période de développement continu du cortex préfrontal.
Il y a donc des améliorations des capacités de planification, de réflexion stratégique et de contrôle de soi. Il y a aussi une influence génétique substantielle sur les fonctions exécutives.

A

vrai

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6
Q

Vrai ou faux, la sélectivité et la flexibilité de l’attention deviennent mieux contrôlées et plus efficaces tout comme l’inhibition de réponses non pertinente.

A

vrai

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7
Q

Qu’en est-il de la mémoire de travail dans la période opérationnelle concrète?

A
  • Au primaire, les enfants qui ont une mémoire de travail limitée réussissent souvent mal les devoirs utilisant ce type de mémoire.
  • Les enfants à SSE bas sont plus susceptibles d’obtenir de faibles résultats aux tâches de mémoire de travail.
  • Le stress chronique peut altérer la structure et le fonctionnement du cerveau
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8
Q

Maintenant que nous sommes dans la période opérationnelle concrète, les stratégies mnémoniques (aide la mémoire) se sont développé, explique comment.

A
  • La répétition : se répéter l’information.
  • L’organisation : regroupement d’éléments connexes.
    L’association : Relier des éléments par association (carotte, lapin)
  • L’élaboration : création d’une relation entre deux éléments d’information ou plus qui n’appartiennent pas à la même catégorie.
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9
Q

Qu’en est-il de la théorie de l’esprit dans la période opérationnelle concrète?

A
  • Les enfants considèrent l’esprit comme un agent actif et constructif qui sélectionne et transforme l’information
  • sont conscients que les gens peuvent étendre leurs connaissances non seulement en observant directement les événements et en parlant aux autres, mais aussi en faisant des inférences mentales.
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10
Q

théorie de l’esprit dans la période opérationnelle concrète étudie les fausses croyances du second ordre, c’est quoi?

A

C’est ce qui permet aux enfants d’identifier les raisons pour lesquelles une autre personne est arrivée à une certaine croyance. Elle nécessite la pensée récursive : capacité de voir une situation sous au moins deux perspectives et aide les enfants à comprendre que les gens peuvent avoir des interprétations différentes de la même situation.

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11
Q

Vrai ou faux, durant la période opérationnelle concrète, les enfants ont souvent de la difficulté à mettre en pratique ce qu’ils savent de la pensée.
Ils ne sont pas encore doués pour l’autorégulation cognitive = surveiller de près les progrès vers un objectif, vérifier les résultats et réorienter les efforts au besoin

A

vrai

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12
Q

Vrai ou faux, les concepteurs de tests utilisent une technique statistique complexe, “l’analyse factorielle”, pour identifier les différentes capacités que mesurent les tests d’intelligence.

A

vrai

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13
Q

Que permettent les tests d’intelligence fait en groupe?

A
  • permettent de tester de grands groupes.
  • nécessitent peu de formation pour les administrer.
  • sont utiles pour la planification pédagogique.
  • permettent d’identifier les élèves qui ont besoin d’une évaluation plus approfondie
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14
Q

Que permettent les tests d’intelligence fait individuellement?

A
  • permettent de déterminer si un résultat de test reflète avec précision les capacités de l’enfant.
    (souvent utilisés pour identifier les enfants très intelligents et ceux qui ont des problèmes d’apprentissage)
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15
Q

Que mesure le test d’intelligence nommé le Stanford-Binet “Intelligence Scales”?

A

mesure l’intelligence générale et cinq facteurs intellectuels : les connaissances générales, le raisonnement quantitatif, le traitement visuospatial, la mémoire de travail et le traitement de l’information de base.

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16
Q

Que mesure le test d’intelligence nommé Wechsler pour les enfants–V (WISC–V)?

A

Il mesure intelligence générale et cinq facteurs intellectuels : la compréhension verbale, le raisonnement visuospatial, le raisonnement fluide, mémoire de travail et vitesse de traitement

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17
Q

Qu’est ce que la théorie triarchique de l’intelligence de Sternberg?

A

C’est l’ensemble de trois grandes intelligences interactives :
- l’intelligence analytique = compétence de traitement de l’info
- l’intelligence créative = capacité de résoudre un problème
- l’intelligence pratique = application des compétences intellectuelles dans situations quotidiennes

  • Un comportement intelligent consiste à équilibrer ces trois intelligences pour réussir dans la vie en fonction de ses objectifs personnels et des exigences de sa communauté culturelle
  • Cette théorie met l’accent sur la complexité du comportement intelligent et les limites des tests d’intelligence actuels pour l’évaluer.
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18
Q

Qu’est ce que la théorie des intelligences multiples de Gardner?

A
  • Gardner définit l’intelligence comme des ensembles distincts / séparé de traitements permettant de s’adonner à un large éventail d’activités culturellement valorisées
  • il propose au moins huit intelligences indépendantes
  • Il pense que chaque intelligence dans les 8 a une base neurologique unique
  • La liste des capacités de Gardner n’a pas encore été solidement ancrée dans la recherche
  • plusieurs intelligences ne sont pas exploitées par les scores de QI selon lui
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19
Q

Quelles sont les 8 types d’intelligences de la théorie des intelligences multiples de Gardner?

A

1- Linguistique : sensible au son, rythme, langage
2- Logicomathématique : détecter longue chaine logique
3- musicale : capacité d’apprécier rythme / mélodie
4- Visuospatiale : recréer aspects visuelle en l’absence de stimuli pertinents
5- Kinesthésique : manier habilement des objets
6- Naturaliste : reconnaitre animaux
7- Interpersonnelle : détecter humeur
8- Intrapersonnelle : discriminer émotions intérieures

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20
Q

Selon Diana Baumrind 3 caractéristiques différencient systématiquement un style parental efficace d’un style moins efficace, lesquelles?

A

1 - L’acceptation et l’implication
2 - Le contrôle
3 - le soutien à l’autonomie

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21
Q

Parmi les 3 caractéristiques qui différencient systématiquement un style parental efficace d’un style moins efficace, il y a l’acceptation, c’est quoi?

A

Les parents démocratiques sont chaleureux, attentifs et sensibles aux besoins de leur enfant.

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22
Q

Parmi les 3 caractéristiques qui différencient systématiquement un style parental efficace d’un style moins efficace, il y a le contrôle, c’est quoi?

A

les parents exercent un contrôle ferme et raisonnable sur le comportement de l’enfant

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23
Q

Parmi les 3 caractéristiques qui différencient systématiquement un style parental efficace d’un style moins efficace, il y a l’autonomie, c’est quoi?

A

Les parents démocratiques utilisent un soutien à l’autonomie graduel et approprié, permettant à l’enfant de prendre des décisions où et quand il est prêt à le faire.

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24
Q

Quelle est l’effet du style parental démocratique sur un enfant?

A

Ce style parental est lié à plusieurs aspects positifs de la compétence et de l’ajustement scolaire et social

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25
Q

Explique le style parental AUTORITAIRE.

A

1 - Acceptation : Niveaux bas, parents semblent froids et « rejetants »
2 - Contrôle : Niveaux élevés de contrôle coercitif
3 - Autonomie : Niveaux faibles de soutien à l’autonomie

Effets sur les enfants : plus susceptibles d’être anxieux, malheureux ET manquer d’estime de soi et d’autonomie, réussissent généralement mal à l’école.

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26
Q

Explique plus en détail le contrôle psychologique qu’il existe dans un style parental autoritaire.

A
  • Parents tentent de tirer avantage des besoins psychologiques des enfants en sapant et manipulant leurs expressions verbales, leur individualité et leurs attachements aux parents.
  • Lorsqu’ils ne sont pas satisfaits, les parents retirent leur amour et font preuve d’amour conditionnels et utilisent la honte avec l’enfant.
  • Effets sur les enfants : peuvent présenter des problèmes d’adaptation = forte réactivité au stress, anxiété, défiance et de l’agressivité.
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27
Q

Explique maintenant le style parental permissif, toujours selon le modèle de Diana Baumrind (acceptation, contrôle, autonomie).

A

Acceptation : chaleureux, tolérant, mais non impliqué
Contrôle : parents permissifs sont soit trop indulgents, soit inattentifs, donc peu de contrôle
Autonomie : Au lieu d’accorder progressivement de l’autonomie, ils en donnent trop, permettent aux enfants de prendre leurs propres décisions à un âge trop jeune pour en être capable.

Effets sur les enfants : Les enfants de parents permissifs sont dépendants des adultes, impulsifs, désobéissants et rebelles. - bon résultats scolaire

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28
Q

Explique maintenant le style parental désengagé, toujours selon le modèle de Diana Baumrind (acceptation, contrôle, autonomie).

A

Acceptation : Niveaux faibles
Contrôle : Niveaux faibles. Peu de contrôle.
Soutien à l’autonomie : Une indifférence générale aux questions d’autonomie.
** Souvent, parents émotionnellement détachés et déprimés, et donc tellement submergés par le stress de la vie qu’ils ont peu de temps et d’énergie pour les enfants. À l’extrême, ce style est une forme de maltraitance : la négligence. **

Effets sur les enfants : mauvaise autorégulation émotionnelle, difficultés de réussite scolaire, dépression et antisocial.

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29
Q

De quoi dépend l’efficacité du style parental démocratique? Quels en sont les bienfaits?

A
  • Il y a une relation bidirectionnelle entre les caractéristiques des enfants et les styles parentaux :
    si enfants impulsifs, hyperactifs, provocateurs ou agressifs, sont plus susceptibles d’évoquer une parentalité autoritaire (contrôle coercitif et psychologique).
  • ce style parental est associé à une diminution des problèmes de comportement extériorisés,
    alors que les styles parentaux autoritaires et permissifs prédisent une aggravation des comportements extériorisés / intériorisé
30
Q

Explique la conception de soi chez les enfants.

A
  • C’est le produit des capacités cognitives et des commentaires des autres.
  • les descriptions de soi évaluatives résultent des fréquentes comparaisons sociales des enfants d’âge scolaire.
  • Alors que les enfants de 4 à 6 ans peuvent comparer leur propre performance à celle d’un seul pair, les enfants plus âgés peuvent comparer plusieurs individus, y compris eux-mêmes.
  • Le développement cognitif affecte la structure changeante du soi
  • Les enfants comprennent que les traits sont liés à des désirs spécifiques et, par conséquent, sont des causes du comportement. (aspect social) ex : désir de partager
31
Q

Vrai ou faux, George Herbert Mead a proposé qu’un “moi psychologique” bien organisé émerge quand les enfants adoptent une vision de soi qui ressemble aux attitudes des autres envers eux.

A

vrai

32
Q

Vrai ou faux, la pensée récursive permet aux enfants d’âge scolaire de « lire » les messages des autres avec plus de précision et d’intérioriser leurs attentes.

A

vrai

33
Q

Vrai ou faux, les enfant utiliseront un moi “idéal” pour évaluer leur propre moi “réel”. L’ecart entre les deux peut baisser l’estime de soi, causer dépression etc.

A

vrai

34
Q

Vrai ou faux, À l’âge de 6 à 7 ans, les enfants ont formé au moins quatre grandes auto-évaluations : la compétence scolaire, la compétence sociale, la compétence physique/athlétique et l’apparence physique.

A

vrai

35
Q

Vrai ou faux, l’apparence physique est plus fortement corrélée à l’estime de soi globale que tout autre facteur d’estime de soi.

A

vrai

36
Q

Vrai ou faux, Les enfants d’âge scolaire qui ont un attachement sécurisés et dont les parents utilisent un style parental démocratique se sentent particulièrement bien dans leur peau. (++ estime) et sont plus susceptibles de faire preuve d’auto- compassion.

A

vrai

37
Q

Vrai ou faux, Les enfants soumis au style parental autoritaire ont une faible estime de soi

A

vrai

38
Q

Vrai ou faux, Un style parental permissif est associée à une estime de soi irréaliste, ce qui nuit au développement.

A

vrai

39
Q

Vrai ou faux, les éloges gonflés (trop de compliments) ont l’effet inverse : prédisent une baisse de l’estime de soi au fil du temps.

A

vrai

40
Q

Comment favoriser l’estime de soi d’un enfant?

A

Encourager les enfants à s’efforcer d’atteindre des objectifs atteignables. Au fil du temps, une relation bidirectionnelle entre la performance et l’estime de soi émerge.

41
Q

Il y a des attributions liées à la réalisation, qu’est ce que l’attributions axées sur la maîtrise? (cmt enfant vont percevoir les choses)

A
  • ont estime de soi et une motivation académiques élevées
  • attribuent leurs succès à la capacité
  • peuvent compter sur leurs capacités lorsqu’ils sont confrontés à de nouveaux défis.
  • Ces attributions permettent l’amélioration grâce à l’effort et à des stratégies efficaces.
  • L’échec est attribué à des facteurs qui peuvent être modifiés et contrôlés. (ps donner assez effort)
  • se concentrent sur les objectifs d’apprentissage
42
Q

Il y a des attributions liées à la réalisation, qu’est ce que l’impuissance acquise? (cmt enfant vont percevoir les choses)

A
  • attribuent leurs échecs, et non leurs succès, à leurs capacités.
  • Lorsqu’ils réussissent, susceptibles de conclure que c’est a cause des facteurs externes
  • ont une vision fixe sur la capacité
43
Q

Vrai ou faux, Lorsqu’un enfant réussit, les adultes peuvent offrir des éloges centrés sur la personne, qui mettent l’accent sur les traits de l’enfant, ou des éloges de processus, qui mettent l’accent sur le comportement et l’effort.

A

vrai

44
Q

Qu’est ce que les éloges centrés sur la personne?

A

enseigner aux enfants que les capacités sont fixes, ce qui les amène à remettre en question leur compétence face à l’échec (impuissance acquise)

45
Q

Qu’est ce que les éloges de processsus?

A

enseigner aux enfants que la compétence se développe grâce à un travail acharné et à des stratégies efficaces (attributions axées sur la maîtrise).

46
Q

Vrai ou faux, les parents qui perçoivent les échecs comme étant affaiblissantes ou démoralisantes réagissent à l’échec de l’enfant avec des doutes sur ses capacités et tentent de le réconforter de ne pas avoir les capacité qu’il faut. (correct de ne pas être bon en math)

A

vrai

47
Q

Vrai ou faux, le désir d’appartenance à un groupe conduis à une « culture des pairs » : vocabulaire spécialisé, code vestimentaire et lieu pour « se tenir ensemble ». Ces coutumes créer un sentiment d’identité de groupe.

A

vrai

48
Q

Vrai ou faux, avec l’âge, les enfants sont moins susceptibles d’approuver l’exclusion de quelqu’un pour son apparence ou un comportement non conventionnel. Les enfants rejettent tout de même injustement, en utilisant des tactiques relationnelles agressives.

A

vrai

49
Q

Vrai ou faux, le désir des enfants d’âge scolaire d’appartenir à un groupe peut être satisfait par des liens de groupe formels, tels que les scouts et les groupes religieux.

A

vrai

50
Q

Vrai ou faux, les amitiés contribuent au développement de la confiance et de la sensibilité. Une fois qu’une amitié se forme, la confiance devient sa caractéristique déterminante où avec l’âge, devient une grosse violation

A

vrai

51
Q

Vrai ou faux, grâce aux amitiés, les enfants apprennent l’importance de l’engagement émotionnel, les enfants apprennent à tolérer les critiques et résoudre les conflits de manière à répondre aux besoins des deux partenaires.

A

vrai

52
Q

Qu’est ce que l’acceptation par les pairs?

A

C’est l’appréciabilité : quand l’enfant est considéré par un groupe de pairs comme un partenaire digne socialement.

53
Q

Il existe 5 catégories générales d’acceptation par les pairs, lesquelles?

A

1- enfants populaires : plusieurs votes positifs (très appréciés).
2- enfants rejetés : plusieurs votes négatifs (détestés).
3- enfants controversés : plusieurs votes, positifs et négatifs (à la fois aimé et détesté)
4- enfants négligés : rarement mentionnés, positivement ou négativement.
5- enfants moyens : reçoivent nombre moyen de votes positifs et négatif

54
Q

Quelle est la différence entre les enfants rejetés-agressifs et les enfants rejetés-retirés?

A

Les enfants rejetés-retirés sont passifs et socialement maladroits, ont des attentes négatives quant aux interactions avec leurs pairs et craignent d’être méprisés, sont exclus par leurs pairs dès la maternelle.

Les enfants rejetés-agressifs constituent le plus grand sous-type et le plus inquiétant et présentent des taux élevés de conflits, d’agressivité physique et relationnelle, et de comportement hyperactif, inattentif et impulsif. Antagoniste des enfants antisociaux populaires

Les deux types d’enfants rejetés risquent d’être harcelés par leurs pairs.

55
Q

Qu’est ce que les enfants controversés?

A
  • affichent un mélange de comportements sociaux positifs et négatifs.
  • hostiles et perturbateurs, mais font aussi des actes positifs et prosociaux.
  • ont beaucoup d’amis et sont satisfaits de leurs relations avec les pairs
56
Q

Qu’est ce que les enfants négligés?

A
  • sont généralement bien adaptés.
  • plupart sont tout aussi compétents socialement que les enfants moyens et ne semblent pas être mécontents de leur vie sociale.
  • peuvent interagir avec d’autres enfants ou bien jouer seuls.
  • peuvent nouer des amitiés positives et stables
57
Q

Qu’est ce que la corégulation des parents?

A

une forme de supervision dans laquelle les parents exercent une surveillance générale tout en laissant les enfants prendre en charge une certaine prise de décision.

58
Q

Vrai ou faux, quand la fratrie s’entend bien = meilleure réussite scolaire, bonnes relations avec les pairs. Mais, les problèmes de conduite de l’enfant prédisent une détérioration de la qualité de la relation fraternelle avec le temps.

A

vrai

59
Q

Vrai ou faux, pour réduire la rivalité, les frères et sœurs s’efforcent souvent d’être différents les uns des autres.

A

vrai

60
Q

Vrai ou faux, les parents homoparentaux sont aussi engagés et efficaces dans l’éducation des enfants que les parents hétérosexuels. Les enfants ne diffèrent pas matière de santé mentale, de relations avec les pairs, de comportement lié au genre, de qualité de vie ou de santé mentale.

A

vrai

61
Q

Vrai ou faux, les enfants de familles homoparentales se distinguent principalement par des problèmes liés au fait de vivre dans des contextes discriminatoires.

A

vrai

62
Q

Vrai ou faux, plusieurs enfants vivant dans des familles monoparentales présentent des problèmes d’adaptation associés à un désavantage économique.

A

vrai

63
Q

Vrai ou faux, puisque les désavantages éducatifs et économiques augmentent la fragilité de la famille, les taux de divorce sont plus élevés chez les couples de minorités ethniques à faible revenu.

A

vrai

64
Q

Vrai ou faux, suite à un divorce, les ménages dirigés par la mère connaissent généralement une forte baisse de revenu. Cette transition conduit généralement à du stress maternel, à de la dépression, à de l’anxiété et à une vie de famille désorganisée.

A

vrai

65
Q

Vrai ou faux, les pères qui voient moins leurs enfants sont enclins à être permissifs et indulgents.

A

vrai

66
Q

Vrai ou faux, plus les enfants sont exposés aux conflits parentaux, et à une chaleur et une implication inadéquates, plus l’adaptation des enfants est faible.

A

vrai

67
Q

Pourquoi les enfants de familles recomposées ont généralement plus de problèmes d’adaptation?

A

Passer aux nouvelles règles et attentes des beaux-parents peut être stressant, et les enfants considèrent souvent les beaux-parents comme des intrus. De plus, leur degré d’adaptation est lié à la qualité du fonctionnement familial.

68
Q

Explique l’arrangement mère + beau-père dans les famille recomposées.

A
  • garçons ont tendance à s’adapter rapidement.
  • frictions des mères avec leurs fils diminuent.
  • filles ont souvent des difficultés avec le remariage de leur mère.
  • Les beaux-pères perturbent leurs liens étroits avec leur mère.
  • Les beaux-pères qui se marient sont plus impliqués dans la parentalité.
    ** l’âge affecte ces résultats : Les enfants d’âge scolaire plus âgés affichent un comportement plus irresponsable et plus agressif **
69
Q

Explique l’arrangement père + belle-mère dans les famille recomposées.

A
  • Le remariage des pères non gardiens entraîne souvent une réduction des contacts avec enfants biologiques, surtout quand ils se remarient rapidement.
  • quand pères ont la garde, les enfants réagissent généralement négativement au remariage :
    1) Ceux qui vivent avec leur père ont déjà plus de difficultés psychologiques et comportementales.
    2) père a la garde en raison d’une relation très étroite avec l’enfant, et son remariage rompt ce lien.
  • Les filles ont du mal à s’entendre avec leur belle-mère :
    1) soit parce que le remariage menace le lien de la fille avec son père
    2) soit parce qu’elles se sentent en conflits de loyauté entre les deux figures maternelles.
    ** plus les enfants vivent dans ces familles, plus ils se sentent proches de leurs belles- mères **
70
Q

Vrai ou faux, les mères qui aiment leur travail et qui restent engagées dans la parentalité ont des enfants qui s’adaptent favorablement car un emploi stable est lié à une meilleure réussite et moins de problèmes de comportement à l’école primaire.

A

vrai

71
Q

Vrai ou faux, les conséquences négatives sont amplifiées quand les mères à faible SSE passent de longues journées dans des emplois peu rémunérés et physiquement épuisants.

A

vrai