DEFINITIONS Flashcards

0
Q

OBSERVATION

A

L’observation est l’investigation d’un phénomène sans que le chercheur intervienne dans le déroulement du phénomène pour en varier les facteurs, auquel cas IL EXPÉRIMENTE.
Il existe plusieurs procédures d’observation placées sur un CONTINUUM. D’un côté, on place L’OBSERVATION LIBRE et de l’autre, L’OBSERVATION CONTRAINTE.
»> Dans l’observation libre, l’observateur n’a aucune règle ; en revanche dans l’observation contrainte qui correspond à la situation de test, le psychologue doit respecter des consignes très précises de passation et de cotation.
Ces deux méthodes sont COMPLÉMENTAIRES.

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1
Q

TESTS

A

Dispositif d’observation permettant de mettre en évidence des différences entre les individus. Sont utilisés :
»> Dans la recherche => pour vérifier des hypothèses, comparer des groupes
»> Applications : examens psychologiques
Il existe différents types de tests :
◻️ Test d’aptitudes : évaluation du fonctionnement intellectuel, de son développement et de son efficience.
Certains tests utilisés pour savoir si le sujet réussira une formation ou une activité professionnelle.
◻️ Test de personnalité
3 classes sont à distinguer :
1) Tests objectifs (Évaluation des conduites)
2) Tests projectifs (le sujet projette sa personnalité face à un matériel ambigu – évaluation verbale).
3) Questionnaires : description que le sujet fait de lui-même.
◻️ Tests de connaissances : le psychologue teste les connaissances scolaires ou professionnelles après une formation par exemple.
Les tests sont applicables de façon Individuelle ou collective
2 approches :
1) NOMOTHÉTIQUE ou NORMATIVE
=> recherche de lois générales (individus d’emblée comparables)
2) IDIOGRAPHIQUE ou IPSATIVE
=> étude d’individus de manière isolée => caractérisation des individus tout en s’attachant à décrire leur singularité.

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2
Q

DISTRACTEURS

A

Ce sont des informations qui doivent être inhibées. Elles détournent le raisonnement de la bonne réponse. Lorsque l’on rédige des questions fermées a choix multiple, les items sont composés d’une série de réponses possibles, dont une est correcte et les autres ne le sont pas. Les options de réponse incorrectes sont désignées par le terme de DISTRACTEURS.

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3
Q

CORRÉLATION

A

La corrélation permet d’étudier le lien entre 2 variables ou entre plusieurs variables. On peut calculer un coefficient de corrélation qui est compris entre –1 et +1. Plus on s’approche de 1 et plus le lien entre les variables est fort, mais il ne faut surtout pas croire que l’on étudie un lien de cause à effet entre les variables.

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4
Q

ÉCHELLE DE LIKERT

A

L’échelle de Likert est souvent utilisée dans les questionnaires. Le psychologue pose une question et le sujet doit donner son degré d’accord par rapport a la question posée :
- pas du tout d’accord
- pas d’accord
- ni en désaccord ni en accord
- d’accord
- tout a fait d’accord.
Cette échelle généralement comporte 5 à 7 niveaux.

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5
Q

ANALYSE FACTORIELLE

A

L’analyse factorielle est une méthode statistique. Les analyses factorielles permettent de détecter des liaisons entre variables, entre observations (en général des individus) et entre variables & individus. Les k variables et les n individus peuvent être représentés par des nuages de points dans un espace vectoriel de dimension n ou k.

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6
Q

VARIABLE LATENTE

A

Variable latente : variable que l’on ne peut pas mesurer directement mais on sait qu’elle existe. Donc on va essayer de la mesurer.

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7
Q

DIMENSION

A

Les individus sont situés sur des dimensions (aptitudes, traits de personnalité…).
Parfois des auteurs parlent de dimensions ou de facteurs.
Une dimension existe lorsque les items sont regroupés et donc homogènes.

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8
Q

ERREUR SYSTÉMATIQUE

A

L’erreur systématique est une erreur qui se manifeste toujours dans LE MÊME SENS et avec LA MÊME INTENSITÉ.
Elle diminue le coefficient de fidélité tout comme l’erreur aléatoire.

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9
Q

ERREUR ALÉATOIRE

A

L’erreur aléatoire se manifeste avec DES FORCES DIFFĖRENTES et PAS TOUJOURS DANS LE MÊME SENS d’une passation à une autre.
Elle joue également sur le coefficient de fidélité.

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10
Q

EFFET D’APPRENTISSAGE

A

Lorsqu’un sujet réalise plusieurs fois un même test, il va y avoir un effet d’apprentissage, soit une augmentation de ses performances entre T1 et T2, soit une diminution (par exemple par manque d’intérêt de passer 2 fois le même test !).

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11
Q

CRITÈRES VS PRÉDICTEURS

A

Différence entre critères et prédicteurs :
Quand les sujets passent un test d’aptitude pour entrer dans une société (prédicteurs), le recruteur ne gardera que les meilleurs. Ensuite, 5 ans après par exemple, le chef de service va s’interroger sur la valeur du test et va vérifier l’efficacité des sujets recrutés (l’évaluation se fera en fonction d’un critère comme le nombre de ventes).
Donc prédicteur = Test

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12
Q

ERREUR DE PRONOSTIC

A

Une erreur de pronostic s’observe lorsque la corrélation entre le prédicteur (test) et le critère n’est pas parfaite. Dans l’exemple du cours sur le taux de réussite à la formation de pilote selon le score au test d’aptitude, la majorité des sujets ayant eu 9 au test (les meilleurs) réussissent la formation de pilote, mais il y a tout de même 5,5% de sujets qui ne réussissent pas. Donc le test n’est pas valide a 100% !

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13
Q

SENSIBILITÉ

A

Il s’agit de la capacité que possèdent les items d’un test à DIFFÉRENCIER les sujets.
La sensibilité est liée au NIVEAU DE DIFFICULTÉ DES ITEMS qui est déterminé par LA FRÉQUENCE DE RÉUSSITE dans une population.
Les items faciles et difficiles correspondent à la différenciation LA PLUS FAIBLE. Toutefois les items difficiles sont intéressants pour les sélections sévères.
Les items de difficulté moyenne (50% de réussite) offrent la différenciation des individus LA PLUS FORTE.
La différenciation peut également être réalisée sur la vitesse d’exécution d’un test. On parle alors de tests de “VITESSE” alors que quand la différenciation résulte de la difficulté, on parle de tests de “PUISSANCE”.

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14
Q

FIDÉLITÉ

A

Une mesure est dite fidèle (ou fiable) lorsqu’elle n’est pas entachée d’erreurs trop importantes d’où l’utilité de calculer un COEFFICIENT DE FIDÉLITÉ.
Deux types d’erreurs de mesure sont courantes :
1) les erreurs systématiques
2) les erreurs aléatoires

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15
Q

Les erreurs systématiques se manifestent toujours dans le même [?] et avec la même [?] lors de la répétition de la mesure tandis que les erreurs aléatoires différent d’une [?] à l’autre ; elles apparaissent avec des [?] et des [?] différentes.
Le coefficient de fidélité ne s’intéresse qu’aux erreurs [?] c’est à dire qu’il cherchera à déterminer si les différences individuelles de score au test peuvent être attribuées aux caractéristiques des sujets ou si elles sont dues a des erreurs lors des passations (erreurs sur le choix des items, dues a des observateurs différents, des conditions différentes lors des passages successifs…)

A

Les erreurs systématiques se manifestent toujours dans le même [sens] et avec la même [intensité] lors de la répétition de la mesure tandis que les erreurs aléatoires différent d’une [passation] à l’autre ; elles apparaissent avec des [intensités] et des [directions] différentes.
Le coefficient de fidélité ne s’intéresse qu’aux erreurs [aléatoires] c’est à dire qu’il cherchera à déterminer si les différences individuelles de score au test peuvent être attribuées aux caractéristiques des sujets ou si elles sont dues a des erreurs lors des passations (erreurs sur le choix des items, dues a des observateurs différents, des conditions différentes lors des passages successifs…)

16
Q

Un COEFFICIENT DE CORRÉLATION entre la mesure à un test et la mesure au retest est effectué. Si le coefficient est proche de [?] alors l’erreur est peu importante si au contraire elle est proche de [?] le test n’est pas fiable puisqu’il ne permet pas d’évaluer la mesure vraie ! Dans ce cas, le chercheur doit construire un autre test.

A

Un COEFFICIENT DE CORRÉLATION entre la mesure à un test et la mesure au retest est effectué. Si le coefficient est proche de [1] alors l’erreur est peu importante si au contraire elle est proche de [0] le test n’est pas fiable puisqu’il ne permet pas d’évaluer la mesure vraie ! Dans ce cas, le chercheur doit construire un autre test.

17
Q

Test

A

Dispositif d’observations permettant de mettre en évidence des différences entre les individus. Utilisés dans :
→Recherche => vérifier hypothèses, comparer des groupes
→Applications => examens psychologiques
Différents types :
◽️ Tests d’aptitudes, évaluation du fonctionnement intellectuel, de son développement et de son efficience. Certains tests sont utilisés pour savoir si le sujet réussira une formation ou une activité professionnelle.
◽️ Tests de personnalité. 3 classes à distinguer :
▫️ Test objectifs (Evaluation conduites)
▫️ Tests projectifs (le sujet projette sa personnalité face à un matériel ambigu –> évaluation verbale).
◽️ Questionnaires : description que le sujet fait de lui-même.
◽️ Tests de connaissances : le psy teste les connaissances scolaires ou professionnelles après une formation par exemple.

18
Q

Les tests sont applicables de façon […] ou […].

A

Les tests sont applicables de façon [Individuelle] ou [Collective].

19
Q

Concernant les tests, il existe 2 approches. Lesquelles ?

A

1) L’approche NOMOTHÉTIQUE ou NORMATIVE => recherche de lois générales (individus d’emblée comparables).
2) L’approche IDIOGRAPHIQUE ou IPSATIVE => étude d’individus de manière isolée => caractériser les individus en cherchant à décrire leur singularité.

20
Q

Définissez : OBSERVATION

A

L’observation est l’investigation d’un phénomène sans que le chercheur intervienne dans le déroulement du phénomène pour en varier les facteurs, auquel cas il expérimente.
Il existe plusieurs procédures d’observation placées sur un CONTINUUM.
D’un côté, on place l’observation LIBRE et de l’autre, l’observation CONTRAINTE.
Dans l’observation libre, l’observateur n’a aucune règle, en revanche dans l’observation contrainte, qui correspond à la situation de test, le psychologue doit respecter des consignes très précises de PASSATION et de COTATION.
Ces deux méthodes sont complémentaires.

21
Q

Définissez : DISTRACTEURS

A

Ce sont des informations qui doivent être INHIBÉES car elles détournent le raisonnement de la bonne réponse. Lorsque l’on rédige des questions fermées a choix multiple (QCM), les items sont composés d’une série de réponses possibles, dont une est correcte et les autres ne le sont pas. Les options de réponse incorrectes sont désignées par le terme de DISTRACTEURS.

22
Q

Définissez : CORRÉLATION

A

La corrélation permet d’étudier le lien entre 2 variables ou plusieurs variables.
On peut calculer un coefficient de corrélation qui est compris entre –1 et +1.
Plus on s’approche de 1 et plus le lien entre les variables est fort, mais il ne faut surtout pas croire que l’on étudie un lien de cause à effet entre les variables.

23
Q

Définissez : ÉCHELLE DE LIKERT

A
L'échelle de Likert est souvent utilisée dans les questionnaires. Le psychologue pose une question et le sujet doit donner son degré d’accord par rapport à la question posée.
Cette échelle généralement comporte 5 à 7 niveaux. Exemple :
1. pas du tout d’accord
2. pas d’accord
3. plutôt pas d'accord
4. ni en désaccord ni en accord
5. plutôt d'accord
6. d’accord
7. tout à fait d’accord
24
Q

Analyse factorielle

A

L’analyse factorielle est une MÉTHODE STATISTIQUE.
Les analyses factorielles permettent de détecter des liaisons entre :
▫️ entre VARIABLES,
▫️ entre OBSERVATIONS (en général des individus) ,
▫️ entre VARIABLES & INDIVIDUS.
Les k variables et les n individus peuvent être représentés par des nuages de points dans un espace vectoriel de dimension n ou k.

25
Q

Variable latente

A

Variable latente : variable que l’on ne peut pas mesurer directement mais on sait qu’elle existe. Donc on va essayer de la mesurer.

26
Q

Dimension

A

Les individus sont situés sur des dimensions (aptitudes, traits de personnalité…).
Les auteurs parlent de DIMENSIONS ou de FACTEURS.
Une dimension existe lorsque les items sont REGROUPÉS et donc HOMOGÈNES.

27
Q

Erreur systématique

A

L’erreur systématique se manifeste toujours dans le même sens et avec la même intensité. Elle diminue le coefficient de fidélité tout comme l’erreur aléatoire.

28
Q

Erreur aléatoire

A

L’erreur aléatoire se manifeste avec des forces différentes et pas toujours dans le même sens d’une passation à une autre. Elle joue également sur le coefficient de fidélité.

29
Q

Effet d’apprentissage

A

Lorsqu’un sujet réalise plusieurs fois le même test, il va y avoir un effet d’apprentissage, soit une augmentation de ses performances entre T1 et T2, soit une diminution (par exemple par manque d’intérêt de passer 2 fois le même test !).

30
Q

Différence entre critères et prédicteurs ?

A

Quand les sujets passent un test d’aptitude pour entrer dans une société (prédicteurs), le recruteur ne gardera que les meilleurs. Ensuite 5 ans après, le chef de service va s’interroger sur la valeur du test et va vérifier l’efficacité des sujets recrutés (l’évaluation se fera en fonction d’un critère comme le nombre de ventes).
Donc Prédicteur = Test

31
Q

Erreur de pronostic

A

Une erreur de pronostic s’observe lorsque la corrélation entre le prédicteur (test) et le critère n’est pas parfaite. Dans l’exemple du cours sur le taux de réussite à la formation de pilote selon le score au test d’aptitude, la majorité des sujets ayant eu 9 au test (les meilleurs) réussissent la formation de pilote, mais il y a tout de même 5,5% de sujets qui ne réussissent pas. Donc le test n’est pas valide a 100%.

32
Q

Sur la Sensibilité

A

Il s’agit de la capacité que possèdent les items d’un test à différencier les sujets.
La sensibilité est liée au NIVEAU DE DIFFICULTÉ DES ITEMS déterminé par la FRÉQUENCE DE RÉUSSITE dans une population.
Les items FACILES et DIFFICILES correspondent à la différenciation la plus faible. Toutefois les items difficiles sont intéressants pour les sélections sévères. Les items de difficulté MOYENNE (50% de réussite) offrent la différenciation des individus la plus forte.
La différenciation peut également être réalisée sur la VITESSE D’EXÉCUTION d’un test. On parle alors de “TESTS DE VITESSE” alors que quand la différenciation résulte de la DIFFICULTÉ, on parle de “TESTS DE PUISSANCE”.

33
Q

Sur la Fidélité

A

Une mesure est dite FIDÈLE (FIABLE) lorsqu’elle n’est pas entachée d’erreurs trop importantes d’où l’utilité de calculer un COEFFICIENT DE FIDÉLITÉ. Deux types d’ERREURS DE MESURE sont courantes :
1) les ERREURS SYSTÉMATIQUES
2) les ERREURS ALÉATOIRES.
Les erreurs systématiques se manifestent toujours DANS LE MÊME SENS ET AVEC LA MÊME INTENSITÉ lors de la répétition de la mesure tandis que les erreurs aléatoires DIFFÈRENT D’UNE PASSATION À L’AUTRE : elles apparaissent avec des INTENSITÉS ET DES DIRECTIONS DIFFÉRENTES.
-> Le coefficient de fidélité ne s’intéresse qu’aux erreurs aléatoires c’est-à-dire qu’il cherchera à déterminer si les différences individuelles de score au test peuvent être attribuées aux caractéristiques des sujets ou si elles sont dues à des erreurs lors des passations, erreurs sur le choix des items, dues à des observateurs différents, des conditions différentes lors des passages successifs…
Un coefficient de corrélation entre la mesure à un test et la mesure au retest est effectué. Si le coefficient est proche de 1 alors l’erreur est peu importante si au contraire elle est proche de 0 le test n’est pas fiable puisqu’il ne permet pas d’évaluer la mesure vraie ! Dans ce cas, le chercheur doit construire un autre test.

34
Q

Sur l’Homogénéité

A

Le but est de savoir si un test mesure bien LA MÊME DIMENSION dans ses différentes parties ou items. Diverses méthodes sont utilisées :
◽️ la méthode des FORMES PARALLÈLES (2 versions d’un même test sont présentées)
◽️ la méthode du PARTAGE PAR MOITIÉ (un même test est présenté mais coupé en deux parties)
-> La méthode du partage par moitiés consiste à calculer la corrélation entre 2 parties d’un test : avec les items pairs d’une part et les items impairs de l’autre, ou bien en répartissant les items en deux parties équivalentes selon le degré de difficulté. Si la corrélation est forte, on peut dire que l’instrument mesure bien une même dimension au travers de ses différentes questions.
◽️ La méthode des COEFFICIENTS, le Coefficient de Cronbach étant le plus utilisé. Il traduit un degré d’homogénéité d’autant plus élevé que sa valeur est proche de 1.
◽️ La méthode ITEM-SCORE considère que l’homogénéité d’un test est d’autant plus élevée que le résultat de chaque item est fortement lié au score total.
-»> Ces méthodes permettent de calculer un COEFFICIENT D’ÉQUIVALENCE (dans le cas de la méthode des formes parallèles), et un COEFFICIENT D’HOMOGÉNÉITÉ (dans le cas de la méthode des moitiés) permettant de mesurer la CORRÉLATION entre les 2 mesures réalisées.