exam final - sons, musique et voix Flashcards
(56 cards)
La voie du “quoi” (voie ventrale) :
Traitement des stimuli auditifs liés à l’identification, la reconnaissance et à la catégorisation des sons
La voie du “où” (voie dorsale) :
Traitement de l’information spatiale, l’orientation et à la localisation auditive
Quelle partie du cerveau est impliquée dans le traitement de la voie “quoi” ?
Le gyrus temporal supérieur antérieur (STG)
Quelle partie du cerveau est impliquée dans le traitement de la voie “où” ?
Le gyrus temporal supérieur postérieur (pSTG)
Comment fonctionne la localisation du son par les différences de temps intérorales ?
Différence de temps (en microsecondes) entre un son arrivant à une oreille par rapport à l’autre, la perception de cette différence nous permet de localiser le son
Qu’est-ce que l’azimut ?
L’angle d’une source sonore sur le plan horizontal par rapport à un point au centre de la tête entre les oreilles. Mesuré en degrés, 0 étant tout droit devant nous.
Quel est le sweet spot de la détection sonore dans l’azimut ?
À 1 000 Hz, les auditeurs peuvent détecter la plus petite différence de temps de 10 µs
Olives médianes supérieures (MSO) :
une station de relais dans le tron cérébral où les entrées des deux oreilles contribuent à la détection des ITD
Que font les détecteurs ITD ?
Forment des connexions à partir des entrées provenant des 2 oreilles au cours des premier mois de vie
1er modèle pour détecter les différences temporelles (axones neuronaux) :
la différence entre les longueurs des axones neuronaux provenant des 2 oreilles pourraient fournir un délai pour détecter de minuscule différences de temps pour localiser les sons (pas suffisant)
2e modèle pour détecter les différences temporelles (vitesse de fréquence) :
Le cerveau profite du temps nécessaire à l’onde sonore pour se déplacer le long de la membrane basilaire de la cochlée. Les basses fréquences atteignent leur lieu de traitement plus lentement que les hautes fréquences.
Synapses vers les MSO :
1ère : noyau cochléaire vers le tronc cérébral
2e : tronc cérébral vers les MSO
Comment fonctionne la localisation du son par la différence de niveau interorale (ILD)
La différence de niveau (intensité) entre un son arrivant à une oreille par rapport à l’autre. Les sons à haute fréquence sont partiellement bloqués par la tête, ce qui crée une différence de niveau entre les 2 oreilles.
Comment fonctionne l’ombre sonore (ILD) ?
La tête ralenti les sons à haute fréquence, donc les sons arrivent à une oreille en premier et plus fort que l’autre. Les basses fréquences sont moins affectées car elles traversent la matière plus facilement.
À quelle fréquence est-ce que la tête bloque une partie de l’énergie atteignant l’oreille opposée ?
Fréquences supérieures à 1 000 Hz
Olive supérieure latérale (LSO) :
Une station de relais dans le tronc cérébral où les entrées des 2 oreilles contribuent à la détection des ILD
Les connexions excitatrices au LSO proviennent de …
l’oreille ipsilatérale (même côté)
Les connexions inhibitrices au LSO proviennent de …
l’oreille controlatérale (l’autre côté)
Problème du cône de confusion :
Une région de propositions dans l’espace où tous les sons produisent les mêmes ITD et ILD. Les sons ne sont pas toujours situés dans l’azimut, ils peuvent varier en hauteur.
Solution des mouvements de la tête :
Dès qu’on bouge la tête, les ITD et les ILD des sources sonores changent. Une seule localisation spatiale est consistante avec les ITD/ILD précédents.
Fonction de transfert directionnel (DTF) :
chaque cerveau utilise la connaissance implicite de la forme des pavillons des oreilles qui modulent l’entrée du son pour aider à localiser le son
Composition spectrale de la distance des sons :
les hautes fréquences diminuent davantage en énergie que les basses fréquences lorsque les ondes sonores se dépalcent de la source à une oreille
Quantités relatives d’énergie directe (distance des sons) :
quantités relatives d’énergie qui provient directement de la source par rapport à l’énergie révervérante qui bondit sur diverses surfaces dans l’environnement
Harmoniques :
Sons complexes, plus riches et combinent plusieurs fréquences spectrales. Le système auditif est extrêmement sensible aux relations naturelles entre les harmoniques.