Examen 1 Flashcards

1
Q

Quels sont les deux processus cognitifs reliés à la perception d’autrui?

A
  1. La formation d’une impression

2. L’intégration de l’information

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2
Q

Qu’est-ce que la formation d’une impression?

A

C’est l’organisation de l’information se rapportant à une personne afin de former un tout.

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3
Q

Quels sont les trois composantes qui aident à la formation d’une impression d’une personne?

A
  1. Le comportement de la personne;
  2. La situation;
  3. Son apparence physique.
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4
Q

Qu’est-ce que l’intégration de l’information?

A

C’est la combinaison des traits d’une personne afin d’en avoir une perception unifiée.

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5
Q

Combien de temps est-ce que ca prend se faire une impression de quelqu’un?

A

Une fraction de seconde ; la formation d’une impression est AUTOMATIQUE, parce que c’est une fonction d’adaptation et de survie. Notre cerveau est une «machine à faire du sens», c’est donc très rapide.

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6
Q

Donnez un exemple de formation d’impression d’une personne à partir de son comportement.

A

Par exemple, j’ai vu au premier cours que notre professeur aime bien socialiser avec les élèves, ce qui porte à croire qu’il aime interagir avec ceux-ci.

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7
Q

Donnez un exemple dans lequel le contexte peut influencer l’impression que vous aurez d’un individu quelconque.

A

Par exemple, si vous rencontrez un homme bien bâti dans un party de Noël, vous aurez tendance à le juger positivement. Par contre, si vous rencontrer le même homme dans une ruelle la nuit, vous n’aurez pas la même expérience, et par conséquent pas la même impression de ce même individu.

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8
Q

Quelles sont les étapes de la perception d’autrui menant à la formation d’une impression?

A
  1. Éléments perçus (contexte, apparence physique, comportement) ;
  2. Processus d’attribution ;
  3. Traits ;
    1. Communication des traits d’autrui par la personne qui observe ou par une tierce personne ;
  4. Processus d’intégrations ;
  5. Impression (perception globale).
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9
Q

Expliquez la façon dont une impression se forme.

A

À partir d’indicateurs comme l’apparence physique, le comportement et le contexte, une personne explique le comportement d’autrui grâce au processus d’attribution.

Cette explication fait généralement appel à des traits de caractère lesquels, intégrés à ceux communiqués par les tiers, permettent de se faire rapidement une impression.

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10
Q

Qu’est-ce que le processus d’attribution dans les étapes de la perception d’autrui?

A

C’est ce qu’on pense qu’une personne pense ou veut faire. Par exemple, je vois un homme qui a l’air louche, donc je pense qu’il veut me tuer. Le cerveau se fait toujours des scénarios.

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11
Q

Qu’est-ce qu’on entend par les traits dans les étapes de la perception d’autrui?

A

Que la formation de notre impression dépend de notre personnalité, de nos traits de caractère.

Par exemple, si vous êtes une personne qui est plus peureuse, vous aurez peut-être tendance à avoir une moins bonne impression d’un homme que vous croisez dans une ruelle la nuit.

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12
Q

VRAI OU FAUX? Nos impressions sont le fruit de notre propre personne uniquement.

A

FAUX.
On est influencé par les gens autour de nous, car nous sommes des êtres sociaux. Par exemple, si on avait jamais entendu parler de Donald Trump, peut-être que notre impression de lui serait différente.

Ainsi, notre avis «n’appartient» pas qu’à nous, elle provient aussi des autres. C’est la somme de ce que l’environnement nous donne et de nos propres impressions.

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13
Q

VRAI OU FAUX? Les impressions peuvent changer.

A

VRAI.
Bien évidemment, l’impression peut changer avec le temps. C’est donc un PROCESSUS DYNAMIQUE, qui peut être appelé à changer. Il y a en qui vont être dures comme fer, il y a en d’autres qui vont se modifier : certaines peuvent même dicter nos vies.

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14
Q

Qu’est-ce qu’une croyance?

A

C’est une conviction relative à un objet psychologique :

  • Ça peut être une chose, une situation, une personne ;
  • Ça peut être concret ou abstrait, réel ou imaginaire.
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15
Q

De quelle façon se fait l’acquisition de croyances?

A
  1. Par l’expérience personnelle ;
  2. Par l’information donnée par autrui (interactions sociales) ;
  3. Par inférence, supposition (cognition, réflexion, manière dont on pense, réfléchi).
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16
Q

Qu’est-ce qu’un objet psychologique?

A

Tout ce qui existe ou ce qui peut être imaginé, donc VRAIMENT tout (chose, situation, personne, etc.).

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17
Q

VRAI OU FAUX? Plus on expérience de choses, plus nos croyances vont être justes, véridiques.

A

Nos croyances ne seront pas plus justes ni véridiques, CAR ELLES SONT SUBJECTIVES. Elles sont donc vraies, mais selon notre propre point de vue SEULEMENT. Une même croyance peut être fausse du point de vue de quelqu’un d’autre.

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18
Q

À quel moment une croyance devient un fait?

A

JAMAIS, car les croyances sont subjectives. Même si elles peuvent s’appuyer sur des statistiques, elles demeurent subjectives.

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19
Q

Quels sont les trois aspects du «triangle de l’amour» ?

A
  1. Passion
  2. Engagement
  3. Amitié
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20
Q

Quels sont les deux types de croyances?

A
  1. Croyances neutres

2. Croyances évaluatives

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21
Q

Quelle est la différence entre une croyance neutre et une croyance évaluative?

A

La croyance neutre est une description ou une simple constatation de la réalité environnante, tandis que la croyance évaluative est un jugement.

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22
Q

Qu’est-ce que l’inférence?

A

C’est le fait de se servir d’indices provenant de d’autres situations pour déduire une information.

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23
Q

Donnez un exemple de croyance neutre.

A

Faire la description de quelqu’un pourrait être une croyance dite neutre. Par exemple, Christophe Fortin est un prof d’université - cette croyance s’approche d’un fait.

Néanmoins, la neutralité ne reste pas très longtemps et on passe vite aux croyances évaluatives (le prof dit que la neutralité n’existe pas vraiment).

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24
Q

Donnez des raisons possibles pour lesquelles une personne en serait venue à croire que se faire tatouer est douloureux selon les trois sources de croyances.

A
  1. Expérience personnelle : la personne s’est elle-même fait tatouer et elle a eu mal.
  2. Interaction sociale : un amie de la personne lui a décrit les souffrances atroces qu’elle a endurées lorsqu’il s’est fait tatouer.
  3. Inférence : le tatouage suppose une série de piqûres, et les piqûres font mal, donc le tatouage est douloureux.
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25
Q

De quelle façon s’organisent les croyances?

A

En schémas (voir le schéma dans le powerpoint).

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26
Q

Quels sont les deux façons dont on peut expliquer les agissements des individus?

A
  1. C’est l’individu (à cause de sa personnalité, de ses motivations ou de ses intentions).
  2. C’est la situation (à cause du contexte, des circonstances ou du hasard).
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27
Q

De quelle façon est-il possible de connoter positivement ou négativement des croyances en apparence neutres?

A

Par le langage non-verbal.

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28
Q

(Question provenant du manuel) Quel peut être un des effets pervers de la communication électronique (textos, courriels, etc.) quant à la communication?

A

La perte d’indicateurs non-verbaux, qui permettent de connoter une information, ce qui pourrait nuire considérablement à sa compréhension par le récepteur.

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29
Q

Qu’est-ce qu’une inférence correspondante?

A

C’est l’attribution d’une disposition, d’un trait qui correspond directement à la nature du comportement observé.

En d’autres termes, afin de nous expliquer un comportement, surtout s’il est inhabituel, nous établissions souvent une correspondance avec un ou plusieurs traits de personnalité.

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30
Q

VRAI OU FAUX? Plus un comportement défie les attentes sociales, plus nous l’attribuons à des dispositions internes.

A

VRAI.

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31
Q

Quels sont les deux types d’attribution de causes au comportement?

A
  1. Attribution à partir d’un seul comportement (inférence correspondante);
  2. Attribution à partir de plusieurs comportements (théorie de covaritation).
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32
Q

(Question provenant du manuel) Quelle est la principale différence entre l’attribution à partir d’un seul comportement et l’attribution à partir de plusieurs comportements?

A

L’un décrit notre comportement lorsque nous nous appuyons sur une seule observation, tandis que l’autre repose sur le fait que nous possédons plus d’une donnée sur le comportement observé.

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33
Q

De quelle façon faisons-nous une inférence correspondante?

A

EN RÉPONDANT À TROIS QUESTIONS:

  1. L’individu avait-il la possibilité d’agir autrement?
  2. Se comporte-t-il conformément à ce qu’on attend de lui dans de telles circonstances?
  3. S’il avait agi autrement, les conséquences auraient-elles été différentes?
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34
Q

Si nous répondons «non» à la question «l’individu avait-il la possibilité d’agir autrement?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution externe.

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35
Q

Si nous répondons «oui» à la question «l’individu avait-il la possibilité d’agir autrement?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution interne.

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36
Q

Si nous répondons «non» à la question «l’individu se comporte-t-il conformément à ce qu’on attend de lui dans de telles circonstances?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution interne.

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37
Q

Si nous répondons «oui» à la question «l’individu se comporte-t-il conformément à ce qu’on attend de lui dans de telles circonstances?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution externe.

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38
Q

Si nous répondons «oui» à la question «si l’individu avait agit autrement, les conséquences auraient-elles été différentes?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution interne.

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39
Q

Si nous répondons «non» à la question «si l’individu avait agit autrement, les conséquences auraient-elles été différentes?», attribuerons-nous le comportement à la situation (externe) ou à l’individu (interne) ?

A

Attribution externe.

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40
Q

Qu’est-ce que la théorie de covaritation?

A

C’est la théorie qui explique l’attribution par la perception d’un lien entre le comportement et la cause avec laquelle il varie systématiquement dans le temps.

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41
Q

Quels sont les trois critères à partir desquels la théorie de covaritation se fait?

A
  1. Constance
  2. Consensus
  3. Caractère distinctif
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42
Q

VRAI OU FAUX? Plus l’échantillon de comportement est grand, plus l’opinion est développée.

A

VRAI.

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43
Q

Qu’est-ce que le critère de constance dans la théorie de la covaritation?

A

La personne agit-elle toujours de cette façon dans cette circonstance particulière?

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44
Q

Qu’est-ce que le critère de caractère distinctif dans la théorie de la covaritation?

A

La personne agit-elle de cette façon dans toutes les circonstances?

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45
Q

Qu’est-ce que le critère de consensus dans la théorie de la covaritation?

A

La personne agit-elle de cette façon avec toutes les personnes?

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46
Q

De quelle façon comblons-nous les vides lorsqu’il nous manque l’un ou l’autre des trois critères de la théorie de la covaritation?

A

Par des inférences.

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47
Q

On cherche à savoir pourquoi Pascale dort toujours dans ses cours de psychologie. Si on sait qu’elle dort toujours pendant ce cours, que les autres dorment aussi, et que c’est le seul cours dans lequel elle dort, quel sera le verdict? Quelle pourrait être un exemple de conclusion?

A

Verdict : attribution externe à l’entité.

Conclusion : ce cours en particulier est VRAIMENT ennuyant.

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48
Q

On cherche à savoir pourquoi Pascale dort toujours dans ses cours de psychologie. Si on sait qu’elle dort toujours pendant ce cours, que les autres ne pas dorment, et que c’est le seul cours dans lequel elle dort, quel sera le verdict? Quelle pourrait être un exemple de conclusion?

A

Verdict : attribution interne.

Conclusion : Pascale n’aime pas ce cours.

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49
Q

Quels sont les biais d’attribution possibles?

A
  1. Biais d’attribution de l’acteur : le biais de complaisance
  2. Biais de l’observateur : erreur fondamentale d’attribution
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50
Q

Qu’est-ce que le biais de complaisance? Donnez un exemple.

A

Le fait que nous trouvons des causes internes à nos succès et des causes externes à nos échecs.

Par exemple, si j’ai une bonne note, c’est grâce à moi ; si j’ai une mauvaise note, c’est la faute du prof.

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51
Q

Qu’est-ce que l’erreur fondamentale d’attribution?

A

C’est la tendance à sous-estimer l’influence de la situation et à surestimer celles des facteurs internes en tant que cause du comportement d’autrui.

En d’autres termes, c’est le fait qu’on va davantage attribuer des caractéristiques, des traits de personnalités négatifs aux comportements des autres que des facteurs contextuels ou environnement pour les expliquer.

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52
Q

Quelle est la différence entre le biais de complaisance et l’erreur fondamentale d’attribution?

A

Dans le biais de complaisance, on attribue PAR RAPPORT À NOUS-MÊMES les situations négatives à des causes externes et les situations positives à des causes internes.

Dans l’erreur fondamentale d’attribution, on attribue À AUTRUI les situations négatives davantage à des causes internes qu’à des causes externes.

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53
Q

Complétez la phrase suivante.
«L’erreur d’attribution fondamentale est une tendance propre aux cultures valorisant la _______________ et ____________.»

A

La liberté individuelle.

L’autonomie.

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54
Q

Complétez la phrase suivante.

«L’erreur d’attribution fondamentale est une tendance qui est plus marquée chez les ___________ et les ______________.»

A

Jeunes adultes.

Personnes âgées.

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55
Q

Pourquoi l’erreur d’attribution fondamentale est-elle courante?

A

Car il est plus facile d’attaquer la personne : c’est un réflexe. Quand on voit la personne, il est plus vite de prendre des raccourcis intellectuels en faisant un jugement. C’est plus simple considérer que c’est la faute de la personne plutôt la faute du contexte.

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56
Q

Quelles sont les trois dimensions du modèles tridimensionnel de Weiner pour expliquer notre propre comportement et celui des autres?

A
  1. Les causes sont-elles externes ou internes?
  2. Les causes sont-elles contrôlables ou non?
  3. Les causes sont-elles stables ou instables?
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57
Q

Donnez une raison pouvant expliquer pourquoi Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives selon des causes contrôlables, internes et stables.

A

Elle n’étudie jamais.

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58
Q

Donnez une raison pouvant expliquer pourquoi Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives selon des causes incontrôlables, externes et instables.

A

Elle avait quatre examens en une semaine.

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59
Q

Donnez une raison pouvant expliquer pourquoi Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives selon des causes incontrôlables, internes et stables.

A

Elle n’est vraiment pas douée en mathématique.

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60
Q

Donnez une raison pouvant expliquer pourquoi Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives selon des causes contrôlables, internes et instables.

A

Elle a passé une session «sur le party».

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61
Q

Dites si les causes dans la situation suivante sont internes/externes, contrôlables ou incontrôlables, stables ou instables :
«Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives parce qu’elle n’avait plus le goût de rien à la suite d’une rupture amoureuse.»

A

Interne ;
Incontrôlable ;
Instable.

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62
Q

Dites si les causes dans la situation suivante sont internes/externes, contrôlables ou incontrôlables, stables ou instables.
«Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives parce qu’elle a accepté trop d’heures de travail rémunéré pendant la période d’examens.»

A

Externe ;
Contrôlable ;
Instable.

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63
Q

Dites si les causes dans la situation suivante sont internes/externes, contrôlables ou incontrôlables, stables ou instables.
«Pascale a raté son examen de méthodes quantitatives parce qu’elle vient d’un milieu pauvre et doit travailler pour payer ses études.»

A

Externe ;
Incontrôlable ;
Stable.

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64
Q

Complétez la phrase suivante.

«Dans la recherche des causes d’un comportement, nous privilégions ____________ plutôt que _____________.»

A

L’efficacité.

La rationalité.

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65
Q

Pourquoi privilégions-nous davantage l’efficacité plutôt que la rationalité dans la recherche des causes d’un comportement?

A
  • Car nous avons un besoin d’asseoir nos relations avec autrui sur certaines certitudes, de mettre de l’ordre dans nos jugements et de prévoir la réaction des autres.
  • Car nous privilégions les attributions internes parce qu’elles demandent moins d’effort cognitif.
  • Car cette tendance relèverait de la désirabilité sociale: c’est ce qui est valorisé socialement dans notre culture.
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66
Q

Qu’est-ce que la «loi du hot-dog» tel que mentionné par le prof durant le cours?

A

C’est le fait que, si tu as faim, le but est de répondre au besoin de façon optimale le plus rapidement possible pour un maximum d’effets. Ainsi, la faim devrait être satisfaite même s’il s’agit d’un hot-dog plutôt qu’un plat ayant nécessité beaucoup de temps et de préparation (plus «fancy»).

C’est pour illustrer le fait que nous privilégions l’efficacité à la rationalité.

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67
Q

L’intégration des traits perçus se fait en fonction de quoi?

A
  1. L’effet de centralité ;
  2. L’effet de primauté ;
  3. Le modèle de la moyenne.
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68
Q

Qu’est-ce que l’effet de centralité?

A

Les traits importants organisent l’impression et influent sur le sens retenu pour les autres traits de la personne.

En d’autres termes, il y a des caractéristiques chez certaines personnes qui nous dérangent plus que d’autres (par exemple, une fille qui a été trompée va davantage rechercher quelqu’un de fidèle ; une personne infidèle va plus la déranger). Certaines caractéristiques prennent tellement d’importance que les autres ne sont plus importantes, ou du moins beaucoup moins.

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69
Q

Qu’est-ce que l’effet de primauté?

A

Tendance à accorder plus d’importance aux premières informations reçues dans la formation d’une impression.

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70
Q

Qu’est-ce que le modèle de la moyenne?

A

L’impression générale est la somme des évaluations de chaque trait en fonction de son importance, divisé par le nombre de traits retenus.

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71
Q

Quels sont les deux systèmes utilisés dans la formation d’une impression?

A
  1. Automatique ;

2. Réfléchi.

72
Q

Qu’est-ce que le système automatique dans la formation d’une impression?

A
  • Processus inconscient et échappant à notre contrôle.

- Permet de traiter beaucoup d’informations en peu de temps.

73
Q

Qu’est-ce que le système réfléchi dans la formation d’une impression?

A
  • Démarche plus rationnelle, formelle et contrôlée.

- Surtout pour prendre des décisions dont les conséquences sont cruciales.

74
Q

Qu’est-ce qu’un schéma en terme de perception?

A

C’est une structure cognitive.

75
Q

À quoi servent les schémas?

A

Ils permettent d’organiser l’information complexe se rapportant aux personnes et aux situations.

76
Q

Qu’est-ce qu’orientent les schémas? (3)

A
  • La perception de l’environnement;
  • L’organisation des informations dans la mémoire;
  • Les inférences.
77
Q

Quels sont les caractéristiques des schémas? (5)

A
  • Nous aident à définir, à transformer et à interpréter les informations en fonction de ce que nous savons déjà.
  • Nous permettent de traiter l’information non verbale: l’expression du visage, la physionomie, la démarche…
  • S’appuient sur un ensemble d’idées reçues, sur des stéréotypes et des catégorisations.
  • S’appuient sur des scénarios acquis en fonction des normes culturelles.
  • S’appuient aussi sur des scénarios élaborés en fonction de nos expériences et de nos attentes personnelles.
78
Q

Qu’est-ce que la théorie implicite de la personnalité?

A

C’est un type de schéma utilisé pour inférer des traits de personnalité qui s’accordent généralement. À partir d’un seul trait perçu, s’ajoutent des traits apparentés découlant de nos expériences personnelles et de notre culture.

En d’autres termes, on peut, à partir que d’un seul trait, inventer une vie à une personne quelconque dans notre tête, la «deviner».

79
Q

VRAI OU FAUX? Si de nouvelles informations ne concordent pas avec nos schémas, nous les ignorons ou les transformons pour les accorder avec notre perception.

A

VRAI.

80
Q

Qu’est-ce les règles heuristiques?

A

Ce sont processus cognitifs permettant de faire des estimations rapides.

81
Q

Quels sont les trois aspects des règles heuristiques?

A
  1. La disponibilité ;
  2. La représentativité ;
  3. L’ancrage et le rajustement.
82
Q

Qu’est-ce que la disponibilité dans les règles heuristiques?

A
  • Pour juger de la fréquence ou de la probabilité d’un événement à partir de la facilité de se remémorer des exemples apparentés.
  • Des souvenirs puissants, frappants, mais rares ont plus de chances d’être rappelés.
83
Q

Qu’est-ce que la représentativité dans les règles heuristiques?

A
  • Pour estimer la probabilité d’appartenance d’un objet à une classe donnée selon sa ressemblance avec un prototype.
  • En fonction des similitudes perçues dans l’apparence immédiate d’un individu et d’une catégorie sociale.
84
Q

Qu’est-ce que l’ancrage et le rajustement dans les règles heuristiques?

A
  • Pour estimer une grandeur (fréquence, nombre) en se fondant sur une quantité connue relative à un événement donné.
  • Afin d’ajuster ensuite cette grandeur pour tenir compte des particularités d’un nouvel événement semblable.
85
Q

Quels sont les cinq biais dans la cognition sociale?

A
  1. LA POSITIVITÉ ;
  2. LA NÉGLIGENCE DE LA LIGNE DE BASE ;
  3. LA PERSISTANCE DES CROYANCES ;
  4. LE RAISONNEMENT CONTRE-FACTUEL ;
  5. LA COMBINAISON INEXACTE DES PROBABILITÉS.
86
Q

Qu’est-ce que le biais de positivité?

A

C’est la tendance à exprimer des propos positifs plutôt que négatifs à l’égard des personnes.

87
Q

Qu’est-ce que le biais de négligence de la ligne de base?

A

C’est la tendance à sous-estimer les informations statistiques dans nos jugements des personnes et des objets.

88
Q

Qu’est-ce que le biais de la persistance des croyances?

A

C’est la tendance à ne pas tenir compte des informations qui contredisent nos croyances; les autres ne sont pas dignes de foi.

89
Q

Qu’est-ce que le biais du raisonnement contre-factuel?

A

C’est la tendance à reconstruire la réalité en tentant de prévoir comment des actions différentes auraient mené à des conséquences différentes; cette tendance peut être ascendante (positive) ou descendante (négative).

90
Q

Qu’est-ce que le biais de la combinaison inexacte des probabilités?

A

C’est la tendance à croire qu’un scénario se produira d’après notre conviction de la probabilité d’apparition des événements qui le composent.

91
Q

Qu’est-ce que le concept d’attitude?

A

C’est une évaluation générale, positive ou négative d’une personne à l’égard d’un «objet» …

  • Situation
  • Personne
  • Action
  • Opinion
92
Q

Quelle est la différence entre attitude et croyance?

A

Un croyance est une conviction relative à un objet psychologique, tandis qu’une attitude est une évaluation générale, positive ou négative, d’une personne à l’égard d’un objet.

Entre d’autres termes, la croyance relève plus de l’idée que l’on se fait, tandis que l’attitude relève davantage de la sphère comportementale.

93
Q

Quelles sont les trois dimensions de la nature des attitudes?

A
  1. La direction (positive, négative)
  2. L’intensité (le degré ou la puissance)
  3. La force (la durabilité ou la résistance).

Par exemple, je suis très fâchée que mon équipe de football préférée ait perdu (négative) et je n’en suis VRAIMENT pas contente (degré d’intensité élevée), et je n’aimerai probablement pas plus cette équipe de football 10 ans plus tard (durabilité).

94
Q

Qu’est-ce qui peut modifier les trois composantes de l’attitude?

A
  • L’expérience personnelle ;
  • La diffusion sociale (réseaux sociaux auxquels nous appartenons) ;
  • Le lieu ;
  • Le passage du temps.
95
Q

Complétez la phrase suivante.

«Les attitudes sont généralement déduites du ____________________.»

A

Comportement verbal.

96
Q

Comment mesure-t-on les attitudes?

A

Avec des échelles d’attitudes dans lesquelles on demande aux individus de se prononcer sur une affirmation. L’échelle peut être…

  1. Nominale (pour, contre)
  2. Ordinale (fortement en désaccord, neutre, d’accord, etc.)
97
Q

VRAI OU FAUX? Les choses qui sont proches de nous, qui nous touchent directement et dont on a fait l’expérience nous-mêmes créent des avis plus polarisés.

A

VRAI. Si on compare la neutralité des gens par rapport à l’ALÉNA contrairement à la hausse des frais de scolarité, c’est parce que l’expérience personnelle a une influence directe sur notre opinion et son intensité.

98
Q

De quoi découle la force des attitudes?

A
  1. La certitude subjective ;

2. La centralité.

99
Q

Qu’est-ce que la certitude subjective?

A
  • Conviction d’être dans le vrai ou d’avoir raison

- Surtout lorsqu’on a eu une expérience directe avec l’objet

100
Q

Qu’est-ce que la centralité?

A
  • Position occupée par une attitude dans la hiérarchie de l’ensemble de nos attitudes
  • Attitude «générique» d’où découlent un certain nombre d’attitudes associées
101
Q

Quels sont les deux types d’attitudes?

A
  1. Explicite (accessible à la conscience, contrôlable, facilement exprimable)
  2. Implicite (association inconsciente entre l’objet d’attitude et l’évaluation qu’on en fait).
102
Q

Quels sont quatre processus d’acquisition des attitudes?

A
  1. Conditionnement évaluatif
  2. Simple exposition
  3. Apprentissage social
  4. Conditionnement opérant
103
Q

Qu’est-ce que le conditionnement évaluatif?

A

C’est l’association entre un stimulus neutre et un autre stimulus positif ou négatif (i.e. conditionnement classique, soit la combinaison d’un stimulus inconditionnel ayant une réponse inconditionnelle avec un stimulus neutre).

104
Q

Qu’est-ce que la simple exposition?

A

La répétition d’un stimulus rend son traitement automatique et produit un sentiment plaisant.

Par exemple, les gens ont davantage tendance à écouter des émissions bien connues et qu’ils ont déjà vues que de nouvelles émissions.

105
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage social?

A

C’est l’observation des attitudes et des comportements des autres qui influence les attitudes et les comportements d’une personne.

Par exemple, arriver dans une ville et prendre pour une équipe sportive donnée parce que tout le monde prend pour celle-ci.

106
Q

Qu’est-ce que le conditionnement opérant?

A

C’est l’expression d’une attitude qui est renforcée ou punie.

Par exemple, les Allemands étaient récompensés pour tuer des juifs.

107
Q

Quelles sont les étapes du conditionnement évaluatif (ou classique) ?

A
  1. Un stimulus inconditionnel engendre une réponse inconditionnelle.
  2. Un stimulus neutre est associé au stimulus inconditionnel qui engendre une réponse inconditionnelle.
  3. Le stimulus neutre devient un stimulus conditionnel qui engendre une réponse conditionnelle, sans avoir besoin du stimulus inconditionnel de départ.
108
Q

Quels sont les quatre facteurs dont il faut tenir compte pour changer des attitudes?

A
  1. Qui? (La personne qui livre le message)
  2. Quoi? (Le contenu même du message)
  3. À qui? (Les caractéristiques du public-cible)
  4. Comment? (Le type de média utilisé)
109
Q

De quoi relève la crédibilité du messager («qui parle?») ?

A
  • La compétence ou l’expertise dans le domaine (réelle ou simulée)
  • L’attrait suscité et la similarité encouragent l’identification
  • La qualité de la communication
  • Cache son intention de convaincre
  • Utilise des arguments contraires à nos intérêts (semble plus désintéressé)
110
Q

VRAI OU FAUX? Pour qu’un message ait un impact, il faut impérativement que la personne SOIT crédible.

A

FAUX. Il peut suffire d’avoir L’AIR compétent pour que le message ait un impact. Par exemple, en milieu hospitalier, les personnes portant un sarrau ont l’air plus compétentes que celles qui n’en portent pas. On dit souvent que l’habit ne fait pas le moine, mais il arrive quand même que l’on juge un livre par sa couverture.

111
Q

Qu’entend-t-on par la qualité de la communication dans la crédibilité du messager?

A

Qu’un mauvais niveau de langage peut sembler peu crédible, et peut par conséquent être moins apte à influencer notre opinion.

112
Q

Qu’entend-t-on par l’utilisation d’arguments contraires à nos intérêts dans la crédibilité du messager?

A

Le fait que, parfois, la peur de perdre fait en sorte qu’on va agir de façon contraire à ce qui est suggéré.

Par exemple, «dépêchez-vous, cette offre est d’une durée limitée». On va vouloir profiter de cette offre pendant qu’il est encore temps. C’est de la «psychologie inversée».

113
Q

Quelles sont les quatre dimensions du contenu du message?

A

DES ARGUMENTS RATIONNELS
Auprès d’un public informé ou scolarisé

FAIRE APPEL AUX ÉMOTIONS
Auprès d’un public peu informé ou scolarisé
Vaut mieux susciter des émotions positives

UN OU DEUX CÔTÉS DE LA MÉDAILLE?
UN: lorsque le public est peu informé ou concerné
DEUX: lorsque le public est concerné ou informé

RÉPÉTER – RÉPÉTER – RÉPÉTER
Améliore la mémorisation.
Attention à ne pas susciter l’ennui ou l’agacement.

114
Q

Quelles stratégies pourrait-on employer auprès d’un public informé/scolarisé pour transmettre un message dans le but de changer des attitudes?

A
  • Des arguments rationnels.
  • Montrer les deux côtés de la médaille.
  • Répéter, en faisant attention de ne pas susciter l’ennui ou l’agacement.
115
Q

Quelles stratégies pourrait-on employer auprès d’un public peu informé/scolarisé pour transmettre un message dans le but de changer des attitudes?

A
  • Faire appel aux émotions
  • Ne montrer qu’un seul côté de la médaille.
  • Répéter, en faisant attention de ne pas susciter l’ennui ou l’agacement.
116
Q

Pourquoi est-il nécessaire de présenter les deux côtés de la médaille à un public informé et scolarisé?

A

Si on ne présente pas les deux côtés de la médaille, on s’expose à une perte de crédibilité et par le fait même la possibilité de modifier l’opinion des gens.

117
Q

Pourquoi le fait de répéter un message peut susciter l’agacement ou l’ennui?

A

Car il faut laisser le temps au message de s’ancrer par lui-même.

118
Q

Dans quelles conditions l’usage de la peur est-elle utile?

A
  • La menace soit plausible
  • L’on propose un moyen crédible, sûr et facile d’accès pour éviter le danger
  • Ce soit assez puissant pour faire réagir
  • Ce ne soit pas trop fort pour susciter l’évitement (zappage)
119
Q

Quels sont les divers types de public auxquels il est possible de s’adresser?

A
  • Public instruit / moins instruit

- Public favorable / hostile

120
Q

Comment va-t-on s’adresser à un public instruit? À un public moins instruit?

A

Instruit : messsage complexe

Moins instruit : message simple

121
Q

Comment va-t-on s’adresser à un public favorable? À un public hostile?

A

Favorable : avec distraction, i.e. lorsque le message que l’on fait ne cible pas l’idée que l’on vise ou l’idée dont on veut faire la promotion (ex. : la bierre – on vous vend le fun de celle-ci, pas celle-ci en tant que tel).

Hostile : sans distraction, il faut aller droit au but, i.e. si je veux obtenir le taux d’intérêts pour mon hypothèque, ne me parle pas de la pluie et du beau temps.

122
Q

Quel serait les caractéristique du contenu d’un message qu’on adresse à un public hostile?

A

Pour un public hostile, on fait appel à des arguments rationnels pour convaincre, on montre les deux côtés de la médaille et on ne répète pas le message incessamment.

123
Q

Quels sont deux types de médias utilisés pour faire passer un message?

A
  1. Média électronique

2. Par écrit

124
Q

VRAI OU FAUX? Plus de 75% de l’information des messages télévisées est comprise.

A

FAUX. Seulement 30 à 40% de l’information des messages télévisés est comprise.

125
Q

Complétez la phrase suivante.

«Plus d’importance est accordée à _____________ qu’au _______________ pour garder l’attention.»

A

L’enrobage.

Contenu.

126
Q

Complétez la phrase suivante.

«Les médias écrit sont plus utiles pour faire passer des message plus ____________.»

A

Complexes.

127
Q

VRAI OU FAUX? Les gens préfèrent lire pour mieux comprendre les choses, car ils préfèrent avoir un contenu plus approfondi.

A

FAUX. Le fait que le moteur de recherche le plus utilisé soit Youtube le démontre bien : les gens préfèrent voir pour se faire expliquer que de le lire.

128
Q

Qu’est-ce que la consistance cognitive?

A

C’est le besoin de garder une cohérence interne.

129
Q

Selon la théorie de l’équilibre, l’équilibre est menacé lorsque…

A
  • Deux personnes qui s’estiment mutuellement sont en désaccord
  • Deux personnes qui ne s’estiment pas sont en accord
130
Q

Que peut-on faire pour maintenir l’équilibre? (3)

A
  • Changer son attitude pour maintenir l’harmonie dans la relation
  • Changer son opinion de l’autre pour maintenir son attitude
  • Se convaincre que la différence d’attitude n’est pas importante
131
Q

Qu’est-ce que la dissonance cognitive et qu’entraîne-t-elle?

A

Deux éléments cognitifs sont dissonants lorsque l’affirmation de l’un entraîne la négation de l’autre.

Cela entraîne un changement d’attitude, car elle cause une perturbation.

132
Q

La dissonance cognitive est vécue lorsqu’un individu vit un conflit…

A
  • Entre 2 éléments cognitifs liés au même objet d’attitude

- Entre son attitude et son comportement

133
Q

Que peut-on faire lors de dissonance cognitive?

A

RATIONALISER
Trouver de bonnes raisons pour garder son idée ou son comportement

CHANGER D’IDÉE
Trouver que, après coup, ce que l’on a fait n’était pas si grave ou si ennuyeux

RÉÉVALUER
Une fois un dilemme résolu, valoriser l’option choisie et dévaloriser l’autre

134
Q

Quelles sont les deux voies de la persuasion selon l’auditoire?

A
  1. BASSE capacité/motivation, voie périphérique, persuasion

2. ÉLEVÉE capacité/motivaiton, voie centrale, persuasion

135
Q

Qu’est-ce qu’un stéréotype?

A

Croyance partagée sur certaines caractéristiques de personnes appartenant à un groupe; c’est une simplification portant surdes traits de personnalité, des comportements, etc.

136
Q

Quels sont les deux types de stéréotypes?

A
  1. Autostéréotype (stéréotype à l’égard de son propre groupe) ;
  2. Métastéréotype (ce qu’on croit que les autres pensent de son propre groupe).
137
Q

Qu’est-ce qu’un groupe?

A

Ce sont des gens qui ont des intérêts et caractéristiques communes.

138
Q

Complétez la phrase suivante.

«Les stéréotypes sont des ___________. Ça relève davantage de la __________ que de ____________.»

A

Croyances.
Cognition.
L’émotion.

139
Q

Donnez un exemple d’un autostéréotype et d’un métastéréotype.

A

Autostéréotype : par exemple, les étudiants universitaires sont pauvres. On a généralement tendance à avoir des stéréotypes plus positifs envers les gens de notre groupe.

Métastéréotype : par exemple, je pense qu’une personne qui étudie en génie va dire de moi, qui est en psycho, que j’ai la vie facile, que je ne suis pas intelligente, etc. C’est ce que l’on croit que les autres pensent de notre propre groupe.

140
Q

VRAI OU FAUX? Les stéréotypes sont stables dans le temps.

A

FAUX. Les évènements qui se produisent peuvent avoir de grands impacts sur les métastéréotypes et les autostéréotypes. Ils ne sont donc pas stable à travers le temps. Par exemple, le drame qui vient de se produire dans une mosquée de Québec l’illustre bien.

141
Q

Que sont les préjugés?

A
  • Attitude (habituellement négative, mais parfois positive) à l’égard des membres d’un groupe
  • Jugement fondé sur un stéréotype
  • Idée préconçue simplifiée et appliquée à tous les membres du groupe
142
Q

Nommez quelques types de préjugés.

A
  • Racisme
  • Sexisme
  • Âgisme
  • Anti-sémitisme
143
Q

Qu’est-ce que la discrimination?

A
  • Comportement négatif à l’égard des membres d’un groupe

- Atteinte au droit à l’égalité et à l’équité

144
Q

Complétez la phrase suivante.

«Comme pour les stéréotypes et les préjugés, les cibles varient dans le ________ et selon ____________.»

A

Temps.

Les cultures.

145
Q

Quels sont les trois types de racisme? Expliquez-les brièvement.

A
  1. Traditionnel («Pas de… ici!»)
  2. Moderne («Je suis contre la discrimination positive!»)
  3. D’aversion («Je suis pour l’égalité, mais je n’aime pas les…»)
146
Q

Donnez un exemple de racisme d’aversion et de racisme moderne.

A

Racisme moderne – pensez à l’exemple de la discrimination positive que l’on fait à l’égard des autochtones et une personne qui est contre celle-ci.

Racisme d’aversion – la mère du prof qui se dit très féministe, mais qui dit que les hommes qui embarquent dans le mouvement ne sont pas de «vrais» féministes.

147
Q

Comment peut-on mesurer le racisme?

A

Avec l’échelle de distance sociale de Bogardus.
Les sujets doivent indiquer le niveau d’intimité qu’ils seraient prêts à accepter avec des personnes provenant d’un autre pays. Leurs réponses sont un bon indice de leur niveau de tolérance à l’égard d’un étranger.

148
Q

Quelles sont les diverses formes de sexisme? (5)

A
  1. Traditionnel : au fourneau!
  2. Bienveillant : pauvre petite…
  3. Ambivalent : ce n’est pas de leur faute…
  4. Moderne : ça n’existe plus!
  5. Hostile : pas de femmes ici!
149
Q

Sur quoi s’appuie le sexisme? Donnez quelques exemples.

A

Sur des traits universellement associés aux deux sexes selon une étude qui a été menée dans quelque 25 pays.

Traits associés aux hommes :

  • actif ;
  • fort ;
  • dominant ;
  • audacieux ;
  • masculin ;
  • etc.

Traits associés aux femmes :

  • affectueuse ;
  • douce ;
  • gentille ;
  • peureuse ;
  • dépendante ;
  • sensible ;
  • etc.
150
Q

Nommez des causes de préjugés, du plus au moins lointain.

A
  1. Histoire ;
  2. Contexte socio-culturel ;
  3. Pression sociale ;
  4. Personnalité ;
  5. Perception ;
  6. Stimulus.
151
Q

VRAI OU FAUX? On peut discriminer quelqu’un sans avoir de préjugés envers cette personne.

A

Bien que cela soit plutôt rare, les Allemands, par exemple, n’avaient pas nécessairement tous réfléchi à la cause des juifs, mais ils les discriminaient quand même.

152
Q

Donnez les causes de préjugés selon le contexte.

A

HISTORIQUE:
La domination de certains peuples sur d’autres (les Français contre les Anglais).

SOCIO-CULTUREL:
Les conflits entre groupes qui convoitent les mêmes ressources (le pouvoir, par exemple).

PSYCHO-SOCIAL:
La socialisation via les divers modèles (parents, médias, etc.) et l’influence sociale.

153
Q

Quel lien peut-on faire entre la situation économique et la violence raciale aux États-Unis?

A

La violence raciale augmente quand la situation économique n’est pas bonne. Par exemple, Hitler répétait que l’Allemagne était en mauvaise posture économique à cause des juifs.

154
Q

Quelles sont les caractéristiques des personnes autoritaires?

A

Elles se démarquent par différents traits typiques, notamment…

  • La soumission à l’autorité ;
  • La dureté ;
  • La superstition
155
Q

Donnez quelques croyances entretenues par les personnes autoritaires.

A
  1. Une personne qui a de mauvaises manières, de mauvaises habitudes, et qui a été mal élevée peut difficilement s’attendre à vivre en harmonie avec les gens biens.
  2. L’obéissance et les respect de l’autorité sont les principales vertus que les enfants devraient acquérir.
  3. Les crimes sexuels tels que les viols et les abus contre les jeunes méritent plus que l’emprisonnement ; ceux qui les commettent devraient être flagellés publiquement ou pire encore.
  4. Quand une personne a des problèmes ou des inquiétudes, il est préférable qu’elle n’y pense pas et qu’elle s’occupe en faisant quelque chose d’agréable.
  5. Même si beaucoup de gens se moquent de l’astrologique, on se rendre compte un jour qu’elle explique bien des choses.
  6. Notre pays a besoin de moins de lois et d’organismes gouvernement et de plus de chefs courageux, infatigable et dévouée, en qui le peuple pourra placer sa confiance.
  7. La nature humaine étant ce qu’elle est, il y aura toujours des guerres et des conflits.
  8. De nos jours, en raison de la libre circulation des personnes, on doit être particulièrement prudent pour se protéger contre les infections et les maladies.
156
Q

Qu’est-ce que l’ethnocentrisme?

A

Croyance selon laquelle son groupe ethnique est supérieur aux autres.

157
Q

Donnez quelques exemples d’ethnocentrisme.

A
  • Les fondements de l’esclavagisme
  • Les puissances coloniales face aux habitants des pays occupés
  • La race aryenne selon les partisans du régime nazi
  • L’attitude de certains Québécois à l’égard des populations autochtones
  • L’islamisme radical face aux nations et aux coutumes occidentales
158
Q

VRAI OU FAUX? Des études ont réussi à établir que certaines races étaient supérieures à d’autres.

A

FAUX. On a JAMAIS réussi à démontrer qu’une race était supérieure à une autre ; toutes les recherches ont lamentablement échoué.

159
Q

VRAI OU FAUX? Les personnes ayant une orientation à la domination sociale auront davantage tendance à développer des préjugés.

A

VRAI.

160
Q

Qu’est-ce qu’un amalgame?

A

C’est la tendance à vouloir regrouper les gens en une catégorie, car c’est bcp moins forçant quand les gens sont catégorisés, rangés selon certains concepts ou caractéristiques, puisque ça nous évite d’avoir à y penser davantage.

161
Q

Qu’est-ce que la catégorisation?

A

C’est le fait de percevoir les personnes en tant que membres d’un groupe ou d’une catégorie, plutôt qu’en tant qu’individu ; oublier l’individualité au profit de la considération du groupe.

162
Q

Qu’est-ce que le favoritisme à l’égard de l’endogroupe?

A

C’est le fait d’avoir une meilleure opinion de son groupe d’appartenance.

163
Q

Qu’est-ce que le biais de l’homogénéité de l’exogroupe?

A

C’est le fait de réduire au minimum les différences entre les membres des autres groupes ; de penser que les gens des autres groupes sont nécessairement pareils entre eux.

164
Q

Qu’est-ce qu’une corrélation illusoire?

A
  • Associer sans fondement deux phénomènes
  • Associer le groupe d’appartenance d’un individu qui commet un geste se démarquant à ce genre de geste

Par exemple, «Usain Bolt (un Jamaïcan) gagne le 100m en battant un record, donc tous les Jamaïcans courent vite».

165
Q

Qu’est-ce que le déplacement de la norme?

A

C’est le fait d’évaluer des individus en utilisant les mêmes critères alors que leur signification est différente selon le groupe d’appartenance. C’est le fameux «double standards».

Par exemple, un homme qui s’affirme a du leadership, une femme qui s’affirme est agressive.

166
Q

Qu’est-ce qu’une prophétie autoréalisatrice?

A

C’est la tendance des personnes à se comporter selon les attentes qu’on a d’elles, d’où la confirmation du préjugé de départ.

Par exemple, à force d’entendre que les femmes ne sont pas douées pour la mécanique, peu de filles s’orientent dans ce domaine.
«Vu qu’on voit peu de filles mécaniciennes, ce doit être parce qu’elles ne sont pas douées pour cela…»

167
Q

Qu’est-ce que la menace du stéréotype?

A

C’est l’appréhension éprouvée par les membres d’un groupe minoritaire parce que leur comportement pourrait confirmer un stéréotype entretenu à leur égard.

168
Q

Nommez quelques effets négatifs que peut avoir la discrimination.

A
  • Estime de soi plus faible.
  • Dépression
  • Stress plus élevé.
169
Q

De quoi dépendent les effets négatifs de la discrimination chez la victime?

A

De la valeur accordée à l’identité de groupe de la victime. Si elle est positive, l’individu est mieux protégé ; si elle est négative, l’individu est affecté.

170
Q

Qu’entend-t-on par le contact intergroupe?

A

Le fait de réunir des groupes hostiles pour collaborer à un projet commun. Néanmoins, ce n’est qu’utile qu’en case de réussite seulement. Dans 94% des cas, il y a relation inverse entre être en contact et avoir des préjugés.

171
Q

Comment est-il possible de modifier les catégories ou de défaire la catégorisation «nous» et «eux» ?

A
  • En prenant conscience des points communs entre les deux groupes.
  • En prenant conscience des différences individuelles de chaque membre des deux groupes.
172
Q

Pour quelle raison est-il difficile de modifier et défaire la catégorisation «nous» et «eux» ?

A

C’est difficile, car les stéréotypes sont présents de longue date, et les gens résistent parce qu’ils ont peur du rejet et croient que les autres sont fermés.

173
Q

Quelle est la différence entre attribution interne et externe?

A

L’attribution interne explique le comportement par des dispositions personnelles de l’individu observé, et l’attribution externe s’explique par la situation dans laquelle se trouve l’individu.

174
Q

Quels sont les deux ordres possibles des attributions internes?

A
  1. L’entité (i.e. le stimulus auquel l’individu est soumis)
  2. Des circonstances particulières
  3. Combinaison de facteurs internes et externes
175
Q

VRAI OU FAUX? Nous avons tendance à attribuer une influence plus importante aux personnes qui sont perceptiblement en évidence.

A

VRAI.

176
Q

Qu’est-ce que la cognition sociale?

A

La façon dont l’être humain arrive de façon efficace et rapide (avec de nombreuses erreurs logiques) à donner un sens à son environnement social.