Examen fin de session 2 Flashcards
(17 cards)
L’ordre
A) Condition de possibilité d’un savoir possible
B) Espace relationnel entre codes ordinateurs et réflexions sur l’ordre.
C) Soumis à «A priori historique».
D) Irréductibles au sujet connaissant (x2).
En quel sens l’ordre est-il cp de savoir possible?
Ce qui fait tenir ensemble les mots et les choses. Ce en vertu de quoi les énoncés deviennent des objets de savoir possible, succeptibles d’être dits vrais ou faux.
Voire Borgès.
En quel sens l’ordre est-il un espace relationnel entre les codes ordinateur et les réflexions sur l’ordre?
A) à la fois objectif et subjectif
B) entre codes ordinateurs et réflexions sur l’ordre
En quel sens peut-on dire que Soumis à «A priori historique».
L’ordre à une époque et dans une culture donnée est une épisétmè succeptibles d’être rompue, même, si on s’en fie à l’a priori historique de Foucault: leur rupture est inévitable
En quel sens peut-on dire que l’ordre ou les épistémè sont Irréductibles au sujet connaissant (x2).
A) Le sujet n’est pas à l’origine du savoir.
B) Inconscient des énoncées vs inconscient du chercheur.
Pourquoi l’ordre n’est-il pas 100% subjectif?
Pas 100% subjectif: « L’ordre, c’est à la fois ce qui se donne dans les choses ». Pour qu’il y ait un ordre, il faut des choses, autrement, il n’y a rien d’ordonable.
Pourquoi l’ordre n’est-il pas 100% objectif?
Pas 100% objectif: « n’existe qu’à travers la grille d’un regard, d’une attention, d’un language ». (attention, il reste toujours dans le blanc de la grille, n’est jamais consciemment posée par un sujet)
Pourquoi l’ordre est-il à la fois objectif et subjectif?
Pour qu’il y ait un ordre, il faut des regards, une disposition n’est ordre ou désordonnée qu’à partir d’un regard qui lui donne une valeur selon grille d’interprétation. Mais il faut aussi des choses à ordoner, sinon, l’ordre ne peut exister, car il n’y aurait rien à interprèter.
À la fois objectif et subjectif.
Ce n’est pas le sujet qui ordonne, c’est son regard, son interprétation
Codes ordinateurs (choses):
1) Données empiriques fondamentales d’une culture dans un espace temps quelconque.
2) Passent pour des évidences, car nous précèdent toujours.
« Ceux qui régissent son language, ses schémas perceptifs, ses échanges, ses techniques, ses valeurs, la hierarchie de ses pratiques. »
Réflexions sur l’ordre (mots) :
Explication univoques « expliquent pourquoi il y a en général un ordre, à quelle loi générale il obéit, quel principe peut en rendre compte, pour quelle raison c’est plutôt cet ordre-ci et pas un autre.»
ex: Théories scientifiques, interprétations de philosophes, grammaire.
Épistémè
Épistémè: unité épistémologiquement et historiquement définie de l’ordre d’une culture.
Rupture épistémique:
le principe ordinateur du discours, qui fait qu’ils sont recevables comme objet de savoir possible, change. Lorsqu’il y a rupture épistémique, on ne considère plus les choses vraies ou fausses de la même manière.
Ex de rupture Épistémique :
À la rennaissance, métaphore constitue un support acceptable de savoir, RUPTURE à l’âge classique où c’est plutôt la catégorie/la représentation, soit disposer spatialement d’objets de connaissance. (taxonomie, genèse et mathésis)
A) Le sujet n’est pas à l’origine du savoir.
Le savoir Ǝ à cause d’un ordre: lieu de rencontre entre sujet et objet. Le sujet participe à cet ordre, sans lui, pas d’interpretation possible, pas de grille qui se pose sur les objets, bref, par d’ordre.
[Mais]
1) Sens des objets est imédiatement déterminé par l’ordre, dont l’existence nécessite de la subjectivité, mas n’est pas une création d’un sujet.
2) L’ordre est complètement irréductible à une volonté individuelle.
L’inconscient du sujet (chercheur):
Le sujet le sait.
Sujet n’en a pas cs.
Bref: L’inconscient du sujet est quelque chose qu’il sait sans pouvoir l’exprimer, en quelque sorte, c’est ce qu’un sujet sait sans savoir. Ex: Être amoureux pour la première fois.
L’inconscient positif du savoir:
Est «su» de l’énoncé, mais l’énoncé n’en a pas «conscience».
Est absolument ignoré du sujet énonciateur.
« Sans qu’ils en ussent conscience, les naturalistes, les économistes et les grammairiens utilisaient les mêmes règles pour définir les objets propres à leur champ d’étude, pour former leur concepts, construire leurs théories.» → Ces savoirs contiennent toutes les mêmes règles, mais n’ont pas conscience de les contenir, se voient très distincts les uns des autres.
le principe ordinateur du discours
« lois » dans une épistémè qui fait que les discours sont recevables comme objet de savoir possible,
