Immunologie Clinique Flashcards
(74 cards)
Lequel est FAUX ?
a) La doxorubicine (hydroxydanaurubicin ou Adriamycine) démontre parfois comme effet secondaire aigu chez le chien des arythmies ventriculaires détectés à l’ECG.
b) La vincristine IV, par l’entremise de son produit de dégradation l’acroléine, peut engendrer des cystites hémorragiques stérile (SHC) chez le chien lorsque le furosémide (diurétique) n’est pas administré de manière concomitante.
c) La lomustine (CCNU) est potentiellement hépatotoxique (élévation de l’ALT) chez le chien mais ne semble pas l’être chez le chat. Chez ce dernier, nous surveillons plus la possibilité de toxicité rénale (élévation de la créatinine).
d) La doxorubicine (hydroxydanaurubicin ou Adriamycine) démontre parfois comme effet secondaire chronique chez le chien un cardiomyopathie dilatée iatrogénique. Cette cardiomyopathie résulte des dommages oxydatifs aux cardiomyocytes et peut progresser en insuffisance cardiaque.
b) La vincristine IV, par l’entremise de son produit de dégradation l’acroléine, peut engendrer des cystites hémorragiques stérile (SHC) chez le chien lorsque le furosémide (diurétique) n’est pas administré de manière concomitante.
réponse :
- cyclophosphamide : cystite hémorragique stérile → donner en combinaison avec furosémide
- doxorubicine : cardiotoxicité aiguë et chronique chez le chien, toxicité rénale chez le chat
- lomustine : hépatotoxique chez le chien et le chat, néphrotique chez le chat
- vincristine : vésicant tissulaire et néphropathique
L’oncologie vétérinaire est une spécialité en plein essor. L’utilisation d’agents chimiothérapeutiques humains amène un contrôle des tumeurs malignes chez nos patients tout en conservant la qualité de vie de ceux-ci. Plusieurs classes d’agents chimiothérapeutiques sont couramment utilisées en clinique. Concernant l’utilisation d’agents chimiques humains, lequel de ces énoncés est clairement FAUX ?
a) La vincristine et la vinblastine sont des agents anti-microtubules qui inhibent la mitose. Elles sont, utilisées chez les patients atteints de lymphome et de mastocytome, respectivement.
b) La cytarabine (cytosine arabinoside) est une enzyme bactérienne qui diminue la synthèse des protéines. Elle est seulement utilisée chez les patients atteints de lymphome.
c) La doxorubicine et la mitoxantrone sont des antibiotiques antitumoraux qui inhibent la synthèse de l’ADN. Elles sont utilisées chez les patients atteints de lymphome et de certains carcinomes.
d) Le melphalan et la cyclophosphamide sont des agents alkylants qui inhibent la synthèse de l’ADN. Ils sont utilisés chez les patients atteints de myélome multiple et de lymphome, respectivement.
b) La cytarabine (cytosine arabinoside) est une enzyme bactérienne qui diminue la synthèse des protéines. Elle est seulement utilisée chez les patients atteints de lymphome.
réponse :
ALKYLANTS :
- melphalan → myélome multiple, lymphome, adénocarcinome glandes aprocrines des sacs anaux
- cyclophosphamide → lymphoma, sarcome des tissus mous
- lomustine → lymphome, sarcome post-vx chez le chat, martocytome, sarcome histiocytaire
ANTIBIOTIQUES ANTITUMORAUX :
- doxorubicine → lymphome, sarcome, carcinome
- mitoxantrone → lymphome, carcinome
ANTIMÉTABOLITES : cytarabine → lymphome SNC, leucémie, myélodysplasie, méningoencéphalite non infectieuse
ANTI-MICROTUBULES :
-vincristine → lymphome, TVT
- vinblastine → mastocytome, TCC système urinaire
Dès qu’une tumeur atteint quelques mm en taille, elle requiert son propre apport sanguin pour importer les nutriments et l’oxygène, exporter les déchets métaboliques et potentiellement métastaser. Des cellules endothéliales progénitrices circulantes, recrutées de la moelle osseuse, semblent contribuer à la néovascularisation des tumeurs. Ce processus est la néoangiogenèse néoplasique. La thérapie métronomique semble cibler cet aspect de la tumorigenèse. Concernant la thérapie métronomique, lequel de ces énoncés est clairement FAUX ?
a) Elle semble stabiliser la maladie plutôt qu’induire une rémission complète (ex. : cyclophosphamide ou chlorambucil à petite dose orale périodique).
b) Elle est peu dispendieuse et bien tolérée.
c) Elle augmente la production de nouveaux capillaires tumoraux.
d) Elle diminue le nombre de cellules endothéliales progénitrices en circulation.
c) Elle augmente la production de nouveaux capillaires tumoraux.
réponse : thérapie métronomique
- ↓nombre de cellules endothéliales progénitrices
- ↓nombre de cellules néoplasiques (↓production VEGF *récepteur impliqué dans l’angiogenèse a/n cellules endothéliales)
- ↑production de thrombospondin-1
- ↓nombre de cellules Treks (CD4+CD25+Foxp3+)
- but : stabiliser la maladie
- molécules : cyclophosphamide, chlorambucil
Le toceranib phosphate (Palladia™️) est un inhibiteur des récepteurs à tyrosine kinase couramment utilisé en clinique. Il a été développé à l’Ohio State University par la Dre London, vétérinaire oncologue et a été homologué pour le contrôle des mastocytomes cutanés récidivants chez le chien. Concernant le toceranib phosphate, lequel de ces énoncés est clairement FAUX ?
a) Il est utilisé pour le contrôle des mastocytomes, GISTs (Gastrointestinal Stromal Tumors) et la plupart des tumeurs neuroendocriniennes (telles que l’adénocarcinome des glandes apocrines des sacs anaux chez le chien).
b) Il inhibe, entre autres, le récepteur KIT qui possède un rôle clé dans la carcinogenèse de plusieurs mastocytomes chez le chien.
c) Il inhibe les récepteurs de la classe des « split kinases » KIT, VEGFR, PDGFR, FLT3 et CSF1R.
d) Il a un taux de réponse de près de 98,8 % et est surtout utile chez les Boston Terrier ayant une charge tumorale élevée. Son administration IV doit se faire sur 15 minutes pour éviter les réactions anaphylactoide.
d) Il a un taux de réponse de près de 98,8 % et est surtout utile chez les Boston Terrier ayant une charge tumorale élevée. Son administration IV doit se faire sur 15 minutes pour éviter les réactions anaphylactoide.
réponse : taux de réponse 42.8%
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Bactérine : il s’agit des cultures (en général lavées) de bactéries, qui sont ensuite inactivées et mélangées à un adjuvant. C’est un vaccin qui n’utilise pas des antigènes vivants.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
c) En général, les bactérines ont un large spectre contre le pathogène concerné (antigènes multiples).
d) Un toxoïde : il s’agit d’une toxine inactivée, utilisée comme vaccin. L’induction d’anticorps va neutraliser les toxines produites in vivo.
e) En général, la production d’une bactérine est peu sophistiquée et peu dispendieuse.
b) Les animaux vaccinés avec une bactérine induisent en général des anticorps contre des antigènes produits par la bactérie in vitro et in vivo.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
b) L’immunisation passive artificielle, si elle est bien administrée, donne une protection immédiate.
c) Les anticorps employés lors d’une immunisation passive artificielle peuvent être produits chez une espèce animale différente (sérum hyperimmun) de celle où ces anticorps seront utilisés. Exemple : anticorps produits chez le cheval pour être utilisés chez le chien.
d) On peut utiliser l’immunisation passive artificielle pour neutraliser les toxines.
e) En général, et à l’exception de certaines infections, l’application de l’immunité passive (des anticorps) en même temps que l’application du vaccin contre lequel les anticorps passifs ont été produits est contre-indiquée.
a) La protection obtenue grâce à l’immunisation passive artificielle dure, en général, peu de temps. Par contre, il existe une certaine mémoire immunologique (réponse secondaire) lors d’une deuxième immunisation passive artificielle.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est VRAI.
a) Dans un vaccin (seulement bactérien), un adjuvant est une substance qui stimule, active, prolonge, renforce ou module la réponse du système immunitaire.
b) Le diagnostic clinique (signes cliniques) d’une infection chez le porc est habituellement suffisant pour décider du vaccin à utiliser.
c) Les anticorps générés par un vaccin sont normalement suffisants pour la protection contre des infections causées par des bactéries intracellulaires.
d) Il est possible d’utiliser des antibiotiques chez les animaux qui viennent d’être vaccinés avec un vaccin vivant viral.
a) Dans un vaccin (seulement bactérien), un adjuvant est une substance qui stimule, active, prolonge, renforce ou module la réponse du système immunitaire.
d) Il est possible d’utiliser des antibiotiques chez les animaux qui viennent d’être vaccinés avec un vaccin vivant viral.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un vaccin vivant ne nécessite pas, en général, d’être combiné à un adjuvant et il peut être appliqué, parfois, à une seule dose (pas de « boost ») afin d’obtenir de bons résultats.
b) Par définition, un autovaccin possède la ou les souche(s) isolée(s) à partir de l’animal ou à partir d’une ferme de production. On l’utilise lorsqu’on a la certitude qu’un vaccin commercial n’est pas disponible ou qu’il ne sera pas protecteur (sérotype différent, par exemple).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
d) Parmi les avantages d’un vaccin vivant, on retrouve : 1. le fait qu’il pourrait générer une immunité contre des antigènes sécrétés (s’il s’agit d’une bactérie); 2. Il peut générer une immunité locale et systémique; 3. Il génère une immunité en général à long terme (immunité mémoire plus importante).
c) L’avantage d’un vaccin vivant atténué par passages in vitro est qu’il est facile de savoir pourquoi il est moins virulent.
réponse : vaccin vivant atténués au laboratoire génétiquement modifiés
Diagnostic: choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Dans certaines circonstances, un animal peut toujours avoir des anticorps (sérologie positive) même si l’antigène contre lequel ces anticorps réagissent n’est plus présent chez l’animal (élimination du pathogène mais présence d’anticorps).
b) En général, dans une infection sous-clinique, l’animal élimine dans l’environnement beaucoup moins d’antigènes que pendant une infection aiguë.
c) Un test de « screening » (exemple : SNAP test) doit être surtout très spécifique.
d) Un conjugué peut être des anticorps produits chez une espèce (exemple : lapin) contre les anticorps de l’espèce d’intérêt (exemple : chien) et liés, par exemple, à une enzyme. Un conjugué peut aussi être des anticorps dirigés contre l’antigène d’intérêt et lié à une enzyme ou autre agent rapporteur.
e) Un test avec 90 % de sensibilité diagnostique : si l’on teste 100 animaux malades, 90 sont positifs au test.
c) Un test de « screening » (exemple : SNAP test) doit être surtout très spécifique.
réponse : test de screening
- doit toujours être hautement sensible
- doit toujours être confirmé par ELISA ou immunoblot
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Certains animaux pourraient exceptionnellement ne pas produire d’anticorps même s’ils ont été infectés 4-5 semaines auparavant.
b) La détection directe d’antigènes est, en général, moins rapide que l’isolement du microorganisme.
c) La détection d’un antigène avec un test ELISA « sandwich » utilise un anticorps de capture pour reconnaître l’antigène.
d) Le test d’immunoblot n’est pas, en général, un test de « screening », mais plutôt un test de confirmation.
e) On pourrait obtenir un résultat faux négatif (pour la recherche d’antigène) quand la sensibilité analytique est trop faible.
b) La détection directe d’antigènes est, en général, moins rapide que l’isolement du microorganisme.
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un porcelet qui ne prend pas du colostrum n’aura pas d’anticorps maternels en circulation, car la transmission d’anticorps transplacentaire est inexistante. Ces animaux ne présenteront pas d’interférence avec des anticorps maternels s’ils sont vaccinés très jeunes.
b) Un vaccin à ADN est composé par un plasmide qui possède une séquence codante pour l’antigène d’intérêt. Ce plasmide peut se répliquer autant chez E. coli que chez les cellules eucaryotes de l’animal. L’antigène est ensuite produit in vivo par les cellules de l’animal vacciné et présenté au système immunitaire.
c) Un vaccin contre une bactérie qui n’élimine pas complètement l’infection (non stérilisante), mais qui réduit significativement les signes cliniques et la prévalence de l’infection est quand même utile en médecine porcine.
d) La réponse immunitaire contre un vaccin viral pourrait éventuellement éliminer complètement le virus seulement si l’infection naturelle induit une immunité qui est stérilisante.
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN (ou DNA) est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.
e) Le désavantage d’un vaccin à ADN (ou DNA) est que celui-ci sera incorporé dans le noyau de la cellule et transmis aux générations suivantes.
réponse : utilisation vecteur comme Escherichia coli
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) La détection d’anticorps pendant la présence de signes cliniques et deux-trois semaines après (sérologie pairée) est un outil intéressant pour le diagnostic d’une infection aiguë.
b) Le sérum d’un patient qui a un titre de 1/1000 par ELISA lors d’un test sérologique a plus d’anticorps que celui d’un autre patient qui a un titre de 1/100.
c) La détection d’anticorps est un diagnostic indirect d’une infection car on ne détecte pas directement la présence de l’agent infectieux chez le patient.
d) La perte de l’épitope recherché (recherche d’antigènes) pendant la conservation de l’échantillon pourrait être à l’origine d’une fausse réaction positive dans notre test.
d) La perte de l’épitope recherché (recherche d’antigènes) pendant la conservation de l’échantillon pourrait être à l’origine d’une fausse réaction positive dans notre test.
réponse : faux négatif (et non faux positif)
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
b) Un animal vacciné pourrait (pour certains vaccins) donner une réaction faussement positive en sérologie (détection d’anticorps).
c) Un animal vacciné avec un antigène vivant pourrait donner une fausse réaction positive (test de détection d’antigènes).
d) Un antigène (utilisé dans notre test) qui présente des réactions croisées avec plus d’un pathogène pourrait être à l’origine d’un test sérologique (détection d’anticorps) peu spécifique (faux positif).
e) Un animal testé en sérologie (détection d’anticorps) trop tôt après l’infection pourrait donner une réaction faussement négative.
a) Un test sérologique avec une sensibilité analytique très faible pourrait présenter une haute sensibilité diagnostique.
réponse :
- sensibilité analytique : capacité d’un test à révéler des faibles quantités de la substance recherchée
- sensibilité diagnostique : probabilité qu’un individu malade ait un résultat positif avec le test
- un test avec une très haute sensibilité analytique n’aura pas toujours une haute sensibilité diagnostique
- un test avec une très faible sensibilité analytique aura généralement une faible sensibilité diagnostique
Diagnostic sérologique : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Les anticorps produits dans un sérum hyperimmun contre une bactérie et produit chez une souris sont des anticorps monoclonaux
b) Un facteur de virulence est un facteur présent ou produit par un microorganisme et qui collabore significativement avec sa virulence.
c) Les sérotypes sont des variantes antigéniques d’une même espèce bactérienne.
d) Un facteur de virulence peut être associé à plus d’un sérotype.
e) Un test basé sur des anticorps monoclonaux a moins de variation et il est en général plus spécifique que le même test basé sur des anticorps polyclonaux.
a) Les anticorps produits dans un sérum hyperimmun contre une bactérie et produit chez une souris sont des anticorps monoclonaux
réponse : polyclonaux
Vaccins : choisir l’énoncé qui est FAUX.
a) Vaccins sous-unitaires : comme peu d’épitopes sont visés, la protection induite (dans certains cas) peut être restreinte.
b) Certains vaccins sous-unitaires possèdent une faible immunogénicité.
c) Ce n’est pas tous les antigènes sous-unitaires qui sont produits facilement à grande échelle et à faible coût.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
e) Un candidat à vaccin sous-unitaire est souvent un facteur de virulence qui est, à la fois, un antigène protecteur. Cependant, certains facteurs protecteurs pourraient ne pas être un facteur de virulence critique.
d) Avec la « vaccinologie inverse » ou « reverse vaccinology » on peut prédire un antigène seulement si le microorganisme est cultivable.
réponse : utilisation séquençage du génome pathogène pour identification Ag potentiels (aucune nécessité de cultiver l’agent pathogène)
Parmi les maladies suivantes, laquelle est considérée comme un vaccin essentiel, c.a.d devant faire partie de tout programme de vaccination, chez les bovins ?
a) La kératoconjonctivite infectieuse bovine due à Moraxella bovis
b) La diarrhée à Salmonella typhimurium
c) La mammite aiguë à Escherichia coli
d) La diarrhée virale bovine (BVD)
e) La campylobactériose
d) La diarrhée virale bovine (BVD)
Laquelle de ces affirmations est vraie pour la vaccination chez le veau ?
a) Chez le veau, la vaccination par voie intranasale n’est possible que pour le virus respiratoire syncitial bovin (BRSV), virus le plus impliqué dans les maladies respiratoires.
b) Chez le veau, il est possible de conférer une immunité passive à la naissance par l’administration d’anticorps monoclonaux dirigés contre Escherichia coli et coronavirus.
c) Chez les bovins, la vaccination des jeunes veaux est inutile en raison de la présence des anticorps maternels qui inhibent la réponse vaccinale et qui les protègent durant toute la période à risque.
d) Chez le veau, il existe des vaccins qui peuvent être donnés oralement uniquement pour la prévention des diarrhées virales à rotavirus, coronavirus.
b) Chez le veau, il est possible de conférer une immunité passive à la naissance par l’administration d’anticorps monoclonaux dirigés contre Escherichia coli et coronavirus.
d) Chez le veau, il existe des vaccins qui peuvent être donnés oralement uniquement pour la prévention des diarrhées virales à rotavirus, coronavirus.
Pour laquelle des bactéries suivantes, il n’existe pas de vaccin homologué pour aider à la prévention de la mammite chez les bovins au Canada ?
a) Klebsiella pneumoniae
b) Staphylococcus aureus
c) Escherichia coli
d) Mycoplasma bovis
e) Eptococcus uberis
d) Mycoplasma bovis
L’immunité conférée par les vaccins contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR), particulièrement les vaccins intranasaux, confèrent une immunité rapide, ces vaccins peuvent donc être utilisés en réaction à une épidémie dans un troupeau.
a) Certains vaccins vivants utilisés pour la prevention des infections au virus de la BVD ou de la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) n’entraînent pas d’avortement chez les femelles gestantes si l’animal à préalablement été immunisée selon les directives de l’étiquette.
b) Un syndrome appelé pancytopénie néonatale bovine est apparu au début des années 2010 en Europe, suite à la commercialisation d’un vaccin dirigé contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR).
c) Pour les infections au virus de la diarrhée virale bovine (BVD), il est important que le vaccin confère une protection contre le BVD type -1 et type -2 ainsi qu’une protection foetale.
b) Un syndrome appelé pancytopénie néonatale bovine est apparu au début des années 2010 en Europe, suite à la commercialisation d’un vaccin dirigé contre la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR).
Lequel est FAUX ?
a) La détection d’Ac est la méthode la plus efficace pour évaluer l’efficacité des vaccins chez les vaches.
b) Il faut administrer les vaccins minimum 2 semaines avant la période à risque.
c) L’homologation des vaccins bovins est plus souvent (aide à la prévention de la maladie) plutot que (prévient la maladie).
d) Un programme de vaccination établit avec son médecin vétérinaire est obligatoire dans les troupeaux laitiers au Canada.
a) La détection d’Ac est la méthode la plus efficace pour évaluer l’efficacité des vaccins chez les vaches.
Quel vaccin est inoculé dans l’œil chez la volaille de basse-cour ?
Laryngotrachéite infectieuse
Quel vaccin est souvent donné in ovo chez les poules commerciales ?
Maladie de Marek
Quelle maladie peut laisser une trace rose sur les poussins ?
Coccidiose
Quels défis sont présents pour les vaccins d’oiseaux de basse-cour ?
- format de vente : le plus petit format étant 1,000 doses
- entreposage : azote liquide pour vx Maladie de Marek
- durée de vie du vx : 2 heures suivant reconstitution
- durée de l’immunité : rappel nécessaire pour Salmonelles
- retrait dans la viande ou les œufs