intro au ts Flashcards

1
Q

Question : En quoi consistent les approches structurelles en sociologie ?

A

Réponse : Les approches structurelles examinent comment les structures sociales, politiques et économiques façonnent les comportements individuels et collectifs, mettant l’accent sur les inégalités et les dynamiques de pouvoir.

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2
Q

Question : Comment les approches structurelles abordent-elles les inégalités sociales ?

A

Réponse : Elles analysent les inégalités comme le résultat de structures systémiques et étudient comment ces structures influencent les chances, les privilèges et les désavantages dans la société.

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3
Q

Question : Quels sont les principaux objectifs de l’approche féministe en sociologie ?

A

Réponse : L’approche féministe vise à analyser et à comprendre les inégalités de genre, à remettre en question les structures patriarcales et à promouvoir l’égalité entre les sexes.

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4
Q

Question : Comment l’approche féministe intègre-t-elle la dimension intersectionnelle dans son analyse ?

A

Réponse : Elle reconnaît que les expériences des femmes varient en fonction de facteurs tels que la race, la classe sociale, l’orientation sexuelle, et examine les multiples formes de discrimination qui se chevauchent

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5
Q

Question : Qu’est-ce que signifie une pratique anti-oppressive en sociologie ?

A

Réponse : C’est une approche qui vise à identifier, remettre en question et éliminer les structures et les comportements oppressifs, tout en favorisant l’équité, la justice sociale et le respect des droits de tous.

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6
Q

Question : Comment une pratique anti-oppressive peut-elle être mise en œuvre dans divers contextes ?

A

Réponse : Elle implique souvent une remise en question des normes sociales dominantes, la sensibilisation aux privilèges et aux désavantages, et la promotion de stratégies inclusives pour créer des espaces plus égalitaires et respectueux.

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7
Q

Question : Qu’est-ce que l’approche interculturelle en sociologie ?

A

Réponse : L’approche interculturelle étudie les interactions entre différentes cultures, mettant l’accent sur la compréhension, la tolérance et l’adaptation dans les contextes où des cultures différentes se rencontrent.

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8
Q

Question : Comment l’approche interculturelle contribue-t-elle à la sociologie ?

A

Réponse : Elle examine les dynamiques culturelles, les conflits potentiels et les processus d’adaptation entre les cultures, offrant ainsi des perspectives sur la diversité culturelle et ses implications sociales.

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9
Q

Question : Qu’est-ce que l’approche systémique en sociologie ?

A

Réponse : L’approche systémique étudie les sociétés comme des systèmes complexes composés d’éléments interdépendants, analysant les interactions entre ces éléments pour comprendre le fonctionnement global de la société.

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10
Q

Question : Comment l’approche systémique permet-elle de comprendre les sociétés ?

A

Réponse : Elle explore les relations entre les individus, les institutions, les organisations et les structures sociales pour saisir comment ces éléments interagissent et contribuent au fonctionnement de la société.

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11
Q

Question : En quoi consiste l’approche cognitivo-comportementale (TCC) en sociologie ?

A

Réponse : La TCC explore comment les pensées, les émotions et les comportements des individus sont liés, et comment ces interactions influencent la société dans son ensemble.

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12
Q

Question : Comment l’approche TCC peut-elle être appliquée dans l’étude des mouvements sociaux ?

A

Réponse : Elle peut analyser comment les croyances, les perceptions et les comportements des individus contribuent à la formation et à la dynamique des mouvements sociaux, ainsi qu’à leurs résultats.

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13
Q

Question : Qu’est-ce que l’approche centrée sur les solutions en sociologie ?

A

Réponse : L’approche centrée sur les solutions est une méthode qui se concentre sur les solutions aux problèmes sociaux plutôt que sur la cause des problèmes, mettant l’accent sur les forces, les ressources et les solutions possibles.

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14
Q

Question : Qu’est-ce que la Nouvelle Gestion Publique au Québec ?
.

A

Réponse : La Nouvelle Gestion Publique est un modèle de gestion axé sur des principes du secteur privé appliqués au secteur public. Au Québec, cela implique souvent des réformes visant à améliorer l’efficacité, la transparence et la responsabilité dans la prestation des services publics.

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15
Q

Question : Comment la Nouvelle Gestion Publique impacte-t-elle le travail social au Québec ?

A

Réponse : Elle peut introduire des changements dans les politiques sociales, influencer les ressources disponibles pour le travail social et mettre l’accent sur la mesure de la performance, pouvant ainsi modifier les pratiques et les stratégies d’intervention

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16
Q

Question : Quels sont les déterminants institutionnels et politiques qui influencent la pratique du travail social au Québec ?

A

Réponse : Les déterminants institutionnels comprennent les cadres légaux, les politiques sociales mises en place par le gouvernement, tandis que les déterminants politiques englobent les orientations politiques, les priorités et les financements dédiés au secteur du travail social, influençant ainsi la manière dont les services sont dispensés.

17
Q

Q : Qu’est-ce que le travail social implique en termes d’approche envers les personnes ?

A

R : Le travail social prend en compte la personne dans sa globalité et l’accompagne vers la réalisation de ses objectifs. Il comprend également des actions préventives tout en défendant les droits des individus et de la collectivité.

18
Q

Q : Quels sont les principaux éléments de la définition du travail social ?

A

R : Le travail social est à la fois une pratique professionnelle et une discipline. Il promeut le changement et le développement social, la cohésion sociale, le pouvoir d’agir et la libération des individus. Ses principes fondamentaux incluent la justice sociale, le respect des droits de la personne, la responsabilité sociale collective et la reconnaissance des diversités.

.

19
Q

Q : Comment l’intervention individuelle en travail social se distingue-t-elle des autres formes de relation d’aide ?

A

R : L’intervention individuelle en travail social se concentre sur les capacités des personnes, identifie leurs forces, rééquilibre les relations de pouvoir et favorise la participation active des individus dans l’intervention les concernant.

20
Q

Q : Quels sont certains des principes fondamentaux sous-tendant le travail social ?

A

R : Parmi les principes clés du travail social, on retrouve le respect de la dignité humaine, la croyance en la capacité humaine à évoluer, le respect des droits individuels et collectifs, ainsi que la promotion de la justice sociale.

21
Q

Q : Pouvez-vous expliquer la différence entre éthique, morale, vertu et déontologie ?

A

R : L’éthique se réfère aux principes généraux qui guident un comportement ou une action. La morale concerne les normes de comportement d’une société spécifique. Les vertus sont des qualités personnelles ou des caractéristiques positives. La déontologie est un ensemble de règles ou de codes professionnels qui régissent la conduite des individus dans un domaine spécifique.

22
Q

Q : Quelles étapes composent généralement le processus d’intervention en travail social ?

A

R : Le processus d’intervention en travail social comprend plusieurs étapes : la demande de service, l’évaluation du fonctionnement social, la planification de l’intervention, sa réalisation, et enfin, l’évaluation finale de l’intervention

23
Q

Question : Qu’est-ce qui différencie le travail social des autres relations d’aide ?

A

Réponse : Le travail social se distingue par sa focalisation sur la personne dans sa globalité, mettant l’accent sur l’accompagnement vers la réalisation des objectifs, la défense des droits individuels et collectifs, et la prévention, contrairement à d’autres relations d’aide qui pourraient se concentrer principalement sur des aspects individuels spécifiques.

.

24
Q

.

Question : Quelles sont les étapes principales d’une intervention en travail social ?

A

Réponse : Une intervention en travail social suit plusieurs étapes, notamment la demande de service, l’évaluation du fonctionnement social, la planification de l’intervention, sa réalisation, ainsi que la fin de l’intervention accompagnée de son évaluation.

Q

25
Q

Question : Quelle méthodologie semble prédominante en travail social et pourquoi ?

A

Réponse : L’intervention individuelle est souvent dominante en raison de son aspect médicalisé, de son processus rigoureux et systématisé, ce qui lui confère un aspect professionnalisant.

26
Q

Question : Quels événements historiques ont joué un rôle dans le développement du travail social ?

A

Réponse : Plusieurs événements ont façonné le travail social, comme la commission Montpetit sur la protection des enfants, la Cour des jeunes délinquants, la période de la Seconde Guerre mondiale qui a nécessité l’intervention des travailleurs sociaux pour l’administration d’allocations, ainsi que l’adoption de lois telles que celle sur les allocations familiales.

27
Q

Question : Comment l’émergence des premières pratiques sociales est-elle liée aux débuts du travail social au Québec ?

A

Réponse : Les premières pratiques sociales étaient associées à des efforts de charité et d’aide aux populations vulnérables, principalement dirigés par des institutions religieuses et des organisations caritatives, marquant les débuts du travail social au Québec.

28
Q

Question : Quels ont été les changements majeurs dans le travail social au Québec dans les années 1950 et 1960 ?

A

Réponse : Cette période a été marquée par l’émergence d’approches plus modernes et inclusives, reflétant les idéaux de la Révolution tranquille axés sur l’autonomisation individuelle et la justice sociale. Cela a conduit à des changements significatifs dans les politiques sociales et à une diversification des pratiques en travail social.

29
Q

qui a profiler l’intervention individuelle

A

Mary Hellen Richmond- individuelle
Désir d’organiser et d’encadrer la charité
Ne doit pas être donner sous forme monétaire exclusivement : crée une dépendance
L’aide doit être octroyé suite à une enquête approfondie de la personne et de sa condition
Offrir des visites: objectif de transformation de la personne en situation de pauvreté
Approche scientifique
Inspiré du modèle médical de l’époque
Changement de paradigme dans l’assistance publique: certitude morale à processus d’enquête rationnelle
Influence du modèle psychanalytique qui apporte un cadre théorique (et une certaine crédibilité) pour comprendre le développement humaine

30
Q

qui a partit la hull hous

A

Jane Adames- hull house Foisonnement et naissance de plusieurs mouvements sociaux
Scoutisme, YMCA, Armée du salut, etc.)
Implantation sur le plan local dans les communautés/quartiers plus pauvres
,Approche de solidarité et de collectivisation,Prends naissance en Angleterre, avec Toynbee Hall
Œuvre d’éducation populaire
Participer aux luttes sociales des gens du quartier
« Partager la vie des pauvres », fortement appuyé de l’aspect vocationnel du travail social
Le mouvement des résidences sociales vise à attaquer les conditions générales et collectives d’une oppression, et donc pas seulement aux dimensions individuelles
Les résidences sociales offrent plusieurs activités qui visent à la fois l’animation de la vie de quartier, l’éducation populaire, la mise sur pied de services structurés et la militance sociale
Visé d’action à la fois locale dans le quartier dans lequel s’implante la résidence, mais force d’attaque aux autres palliés et instances politiques;
Tient le discours de la nécessité de réformer (et non révolutionner) les structures
Origines de l’action communautaire (collective) et du travail social de groupe
Certaines critiques des résidences sociales:
Paternalisme à l’égard des immigrants
Aide surtout les pauvre « récupérables »

31
Q

les 4 méthode

A

Intervention individuelle : la résolution de problèmes qui existent entre l’individu et son environnement.

Intervention familial : intervenir avec la famille pour mieux comprendre les problématique et les lien invisible entre chaque
Intervention de groupe : L’intervention de groupe se définit comme une action réalisée auprès d’un groupe afin d’aider les personnes à satisfaire leurs besoins sociaux et émotifs ou à accomplir certaines tâches – différend sorte de groupe : goupe traitan, groupe d’éducation, groupe de soutien, groupe de croissance, groupe de socialisation

Organisation comunautaire : Idée que les villages représentent une force d’entraide et de soutien Nécessité de réitérer des systèmes d’entraide et de collectivisation suite à l’urbanisation Le mouvement des settlements comme pilier fondateur À partir des années 1960: première génération d’organismes communautaires pour répondre à la crise urbaine et les différents problèmes sociaux de l’époque

32
Q

avantage et désaventage de chacune des methode

A

ntervention individuelle :
Avantages :

Personnalisation : Adaptée spécifiquement aux besoins et aux capacités de chaque individu.
Confidentialité : Offre un espace privé pour discuter de problèmes personnels.
Profondeur : Permet une exploration approfondie des problèmes individuels.
Inconvénients :

Limitation de perspective : Peut ne pas prendre en compte l’influence de l’environnement social sur les problèmes.
Temps : Peut nécessiter plus de temps pour des progrès significatifs.
Dépendance : Risque de dépendance à l’intervenant plutôt qu’à l’autonomisation.
Intervention familiale :
Avantages :

Contextualisation : Prend en compte les dynamiques familiales et relationnelles.
Support social : Peut encourager un soutien continu entre les membres de la famille.
Compréhension holistique : Permet de saisir les interactions et les liens sous-jacents.
Inconvénients :

Complexité : Les dynamiques familiales peuvent être compliquées à comprendre et à gérer.
Résistances : Certains membres peuvent être réticents ou hostiles à l’intervention.
Confidentialité : La confidentialité peut être difficile à maintenir dans un cadre familial.
Intervention de groupe :
Avantages :

Soutien mutuel : Offre un espace pour partager des expériences et trouver du soutien entre pairs.
Apprentissage social : Les membres peuvent apprendre les uns des autres et obtenir différentes perspectives.
Effet multiplicateur : Les progrès individuels peuvent être renforcés par le soutien du groupe.
Inconvénients :

Dynamiques de groupe : Les tensions ou les conflits dans le groupe peuvent compliquer l’intervention.
Confidentialité : Plus difficile à maintenir en raison du nombre de personnes impliquées.
Adhésion : Certains membres peuvent ne pas s’engager pleinement dans le groupe.
Organisation communautaire :
Avantages :

Soutien collectif : Renforce les réseaux de soutien au sein de la communauté.
Autonomisation collective : Favorise la responsabilisation et l’autonomie des communautés.
Interventions plus larges : Peut viser à résoudre des problèmes sociaux systémiques.
Inconvénients :

Temps et coordination : Implique souvent des efforts de coordination et de mobilisation importants.
Résistance externe : Peut rencontrer de la résistance de la part d’autres groupes ou institutions.
Complexité : Les interventions communautaires peuvent être complexes en raison de la diversité des besoins et des opinions.