Le comportement dans les groupes Flashcards
Un groupe est formé d’au moins deux personnes qui :
- Ont des buts communs.
[But réellement commun, pas simplement apparence commune (avoir même emploi n’en fait pas partie) ] - Entretiennent une relation relativement stable.
[1 min ou 2 de relation n’est pas un groupe. Possiblement pas des heures non plus. Il y a une certaine durée. On parle plus de semaines / années. ] - Présentent une certaine interdépendance.
[Une des raisons pq forme des gr c’est pour collaborer (Ex : travail de gr à l’uni ; sort commun dépend de collaboration des autres) Y’a tjrs un certain degré interdépendance -> Amène la cohésion. C’est important, mais relatif. ] - Se perçoivent comme faisant partie d’un groupe.
[On ne peut pas être membre d’un gr et subir son influence sans avoir conscience qu’on en fait partie. (On ne peut pas être membre d’un gr sans le savoir) ]
Qu’est-ce qu’un groupe?
2 personnes, on peut techniquement dire que c’est un groupe, mais caractéristiques sont spéciales… on parle d’une diade.
C’est vrm à 3 qu’on commence à observer certaines dynamiques de groupes, tel que le conformisme. (Il faut qu’il y ait une normes, règles)
- Conformisme augmentera avec
la taille du groupe.
- Norme de gr pas toujours la
réponse du pq ce gr est plus
fort
- Difficile d’assurer l’unanimité
dans un gr (baisse
conformisme, pcq il y a une
minorité)
Une famille peut avoir les caractéristiques d’un gr, mais c’est un cas particulier - les gr n’ont pas certaines caractéristiques de la famille.
Les groupes, même informels, ont une structure, ce qui implique que les membres ont un :
Rôle :
Fonction que chaque individu exerce dans un gr.
[Expériences de Zimbardo. Schéma mentaux.
Quand on met chapeau X ou Y, on se met à agir de cette maniière. Il y a un certain degré de rôle. Dans un gr informel, le rôle est vrm minimum. ]
Statut :
Position qu’occupe un individu dans une hiérarchie.
[Même si dans un gr informel, si on se voit comme membre du gr, c’est un statut.
Certains peuvent en avoir plus ou moins, il y a cette idée de continuum, hiérarchie. ]
(Ces deux éléments d’organisation sont régis par des normes plus ou moins explicites.)
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Définit les classifications des groupes
Une gr formel, c’est un gr clairement identifié/définit. Les autres savent que ce gr extiste. Généralement définit par des règles explicites. (Par exemple, règles claires pour pouvoir être membre du gr)
Ex : Pour faire partie de l’ordre des psychologue du Québec
- Profession est un type de gr formel : pas tout le monde qui peut devenir membres
- Règles, comportements, code de déontologie, organismes, formation, sanctions, etc.. Fait que profession est un gr formalisé (c’est un processus).
Un gr informel : souvent un gr à son début.
Un exemple est le gr d’amis, amis ce n’est pas tout le monde peut s’y joindre.. Donc formel incomplet.
L’ex informel parfaitserait donc la foule : pas de règles, de critères, de processus pour s’y joindre.
La classe du cours est un gr informel (prérequis ne serait pas suffisant pour classer un gr comme formel, pcq facile à obtenir)
Formel ou informel, il y a généralement une certaine organisation/structure (rôle/statut)
La cohésion
Définition :
Degré d’attraction que les membres ressentent à l’égard du groupe auquel ils appartiennent.
Elle se manifeste par:
- une meilleure communication.
- une participation plus élevée aux activités du groupe.
- un meilleur esprit de collaboration et plus d’influence mutuelle entre les membres.
- un plus grand respect des normes du groupe.
- une meilleure performance, sauf si le plaisir prend toute la place!
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Se percevoir comme membre du gr : a mesure que gr a un effet sur vous, c’est que volontairement, on est influencé par le gr gr, conformisme.
Si haut niveau d’appartenance au gr : cohésion plus élevé (niveau d’attachement, degré d’identification)
Elle se manifeste par :
Flow de l’organisation de communication, sentiment d’appartenance, interdépendance. Souvent communication sert au individu pour se protéger de se faire remplacer dans un gr.
Participation : généralement, gr cohésif participent plus. Une des raisons principales pour se joindre à un gr (très interelié)
Collaboration : + de cohésion = + de conformisme. (+ influence mutuelle)
Normes : Expérience de Shérif |. Plus grand respect des normes.
Performance : les gr + cohésifs sont plus performants. (+ on a de fun, + c’est comme si on avait mieux perfromer)
La proximité reste un grand facteur même dans se domaine ; Gr formé par PSY1075 plus de cohésion que le gr formé par le Canada, - choésif, X communiqué avec toute la pop.
Exemple sur la profession de psychologue au Québec - Processus de la professionnalisation
Au départ, il y avait seulement quelques gr de professionnalisation. On voit apparaître les 1er diplômes de doctorat (médecine, lois, philo – X de sciences à l’époque)
Aujourd’hui, profession ce sont établies comme des gr distincts. Par exemple, auj on a un doc en psychologie, fait partie de l’ordre des psychologues ; gr distinct.
Auparavant, les infirmières n’était pas grand-chose, faisait ce que les médecins leurs disaient de faire. Il y a eu professionnalisation. Avec un diplôme en sciences infirmières, commencent à argumenter qu’elles sont une professions indépendantes.
Une des choses importante d’une profession, c’est qu’elle a sont propre contrôle sur elle-même.
Il y a des conflits entre professions : qd certaines commencent à émerger, d’autres veulent l’écraser.
Ordre des psychologues au Québec, pas très reluisante comme position… mais n’importe qui pouvait ouvrir un bureau et se dire psychothérapeute (VRAIMENT N’IMPORTE QUI, AUCUNE RESTRICTION) – Introduction de la loi de la psychothérapie, restriction de la possibilité d’exercer. Même si ca a été restreint, c’est encore comme du gruillère (plein de trous), infirmière, éducatrices, médecin, etc peuvent faire. «Coach de vie» aujourd’hui si pas de diagnostic.
Pas pour rien qu’un gr se formalise : par devenir plus puissant.
Les facteurs qui favorisent la cohésion de groupe
- La correspondance entre les buts de chacun des membres et ceux du groupe.
[Les objectifs de membres de certains ne correspondent pas toujours à ceux des autre. (Dans des gr à forte cohésion, les buts sont souvent communs) Normal que membres entrent et repartent. Certains pour leur intérêt personnel.] - Le fait de s’engager dans des activités synchrones (tous les membres font la même activité ensemble: danser, chanter, etc.).
[Exemple de sectes et du chalet dans le Nord pour séparer l’influence sociale, et faire activités communes. Tout ce qui est commun au terme activité (faire même chose, comportement). De manière répété, membres deviennent fatigués, + réceptifs à la cohésion, capacité de raisonnement amoindrie. Important de faire du team building (Amène tous ces employés faire du miniputt -> Augmenter la cohésion) ] - Le succès (s’il y a échec, et que la cause est attribuée à un facteur interne, la cohésion s’effrite).
[Béhaviorisme de base, + y’a de succès dans le groupe, mieux c’est (+ de cohésion). Certains échecs peuvent avoir un effet, lorsque par exemple, échec est causé par un membre extérieur (gr se sent attaqué), + de cohésion. ] - La présence d’une compétition intergroupe: on serre les rangs face à un ennemi commun.
[Ramène a la situation d’échec rapporter a interférence d’un autre gr : compétition. Cohésion + facile à un petit niveau (petits gr + cohésifs, ne sont pas formel, sentiment d’appartenance) ]
La facilitation sociale
La présence d’un auditoire entraîne une stimulation physiologique, qui favorise chez l’individu l’apparition de la réponse dominante.
- Si la tâche est familière et peu complexe, la réponse dominante est la bonne réponse, et la présence d’un auditoire favorise la performance.
- Si la tâche est peu familière et est complexe, la réponse dominante est la mauvaise réponse, et la présence d’un auditoire nuit à la performance.
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C’est une réduction de performance (négatif)
Une personne bonne dévient meilleure, un personne moins bonne devient pire.
Influence sur le comportement.
Expérience de Cotrelle sur les coquerelles.
En général, quand on allume les lumières, les coquerelles vont se cacher. Inventé un corridor, au bout il y a une ombre. Construit piste de course et mesure vitesse de la coquerelle. Répète expérience avec plein de corridors en plexiglass ou les coquerelles peuvent se voir. Résultats : les coquerelles courrent plus vite (dans un contexte de surie, celui qui répond + intensément à plus de chance de survivre)
La simple présence des autres intensifie notre comportement à nous.
Comme athlète lors de compétition, le fait que d’autres regardent suffit pour produire cet effet.
Le fait que les gens réagissent différemment à la présence des autres = comp influencé par présence des autres.
On réagit physiquement : une autre personne entre dans la pièce, notre rythme cardiaque augmentera.
Dernier point : Athlète performe très bien en pratique. Quand il arrive, sa 1ère fois aux Jeux Olympiues, sa performance crash. (Stress, anxiété observer induit par la foule)
Gens en situation nouvelle
Les effets de la présence des autres selon Zajonc
Les effets de la présence des autres selon Zajonc (Théorie de l’activation physiologique)
Dans les 2 cas, la réponse dominante serait augmentée.
La paresse sociale
- La paresse sociale est la tendance à fournir un effort moindre lorsqu’une tâche est effectuée en groupe plutôt qu’individuellement.
- Darley et Latané expliquent la paresse sociale par la diffusion de la responsabilité.
[Gens se joignent à des gr pcq ils peuvent faire plus que lorsqu’ils sont seuls. Des tâches sont irréalisables sans autres personnes. Une fois qu’on se joint à u gr, a-t-on besoin de faire autant d’efforts?
Ex de jeux : le tiré à la corde sur la place. Somme des efforts physiques font que l’autre équipe tombent, ou pas. (Cas extrême Maya où la vie en dépend, une personne de l’équipe perdante était saccrifiée.)
De cette équipe, on peut pas savoir qui a tirer plus. ]
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Expérience :
4 cordes d’un côté / 4 cordes de l’autre, toutes accrochées au bout du mur.
On dit au participants que c’est une mesure d’effort de groupe.
On mesure la force déployé
Quand ils performent seuls, tirent à X (effort max)
Quand ils tirent à 4, performent à X-.
Les humains déploieront immédiatement – d’effort en gr, pcq ils arriveront quand même à faire ce qu’ils voulaient faire à plusieurs que ce qu’ils feraient seuls -> Quand même réussite
Économie d’énergie
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« Ne jamais faire tout de suite quelque chose qu’on pourrait faire faire par quelqu’un d’autre demain »
On accuse les gens, par exemple, qui sont sur le bien être sociale/ chômage de paresse sociale.
Les gens dans un gr cohésif font plus d’efforts.
Diffusion de responsabilité : je me sens moins responsable, donc je réagis moins fort (les autres peuvent faire le reste)
Si on peut identifier la contribution des autres (expérience), on regarde celui qui y a mis – d’effort et dire c’est de ta faute si on a perdu. Peut faire un effet de réduction de paresse sociale.
La facilitation sociale et la paresse sociale
La facilitation sociale et la paresse sociale
Effets sociales sur notre performance
Dépend de :
Évaluation (effet présence des autres sur nous)
Éveil (motivation, activation)
Complexité tâches (Difficle ou facile)
Efforts individuels peuvent être évalués : performance + haute, puisqu’elle est jugée.
On devient meilleur aux choses qu’on fait bien.
On devient pire aux choses qu’on est moins bon.
Efforts individuels peuvent X être évalués :
Performance baisse un peu.
Tâches simples deviennent moins bonne (besoin d’être stimulé)
Tâches complexes deviennent meilleures (+ de capacité à se concentrer, besoin de ne pas trop être stimulé)
Réduire la paresse sociale
- Lorsque l’effort ou la performance de certains laisse à désirer, les autres membres du groupe ont tendance à compenser en fournissant plus d’efforts.
- Lorsqu’il est possible de percevoir ou d’évaluer l’effort individuel, les membres du groupe fournissent plus d’efforts et obtiennent de meilleurs résultats.
[ Rapidement, gens réalisent qu’ils peuvent en tirer avantage.
Mais toujours un certain degré de démotivation en gr.]
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Ex :
Système soviétique impose des fermes collectives/villages où tout le monde doivent travailler en gr là. Mode de vie en commune : pas le mode le plus dominant (le + dominant est le mode familial/traditionnel).
Bases du système communiste, tout le monde à ce dont il a besoin. On peut tout de même spcécialisé les gens, à la fin tout le monde se divise en parts égales. Tout le monde est cohésif.
Le système d’exploitation communal plante, à cause de la paresse sociale : de travailler ensemble et de tout partager, mmmh.
Pas de cohésion, pas de syst pour savoir qui a fait quoi (manque de contrôle), ça va mal.
Exeption : Permet aux fermiers d’exploiter un morceau de terre, faites 8-10h de travail par jour, et le petit morceau de terre est a vous.
–> La performance des petits lopains de terre est extrêmement efficaces (++ performance)
Pas vrai que le syst communiste est mauvais, c’est qu’il faut adresser et maintenir la cohésion.
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Sentiment de finir quelque chose au complet bcp + favorisant pour les êtres humains, contrairement à la séparation des tâches.
(Papa qui travaille dans un conscessionnaire qui dit a son kid : Regarde, aujourd’hui j’ai monté 7 voitures! VS regarde j’ai posé toutes ces portes sur ces voitures…)
Les gens réalisent leur contribution
Parfois, guerre produire démarée pour augmenter la cohésion dans le pays en se trouvant des ennemis à l’extérieur… ça marche
En général, les groupes prennent de meilleures décisions que les individus, parce que…
- la probabilité est plus élevée que les groupes trouvent la bonne réponse (quand il y en a une) ou rejettent les réponses incorrectes ou peu plausibles.
[Pensée de groupe à plusieurs, on trouve plus facilement des solutions, rejettent plus facilement les erreurs.
Brainstorming, génération d’idées. Diminue inhibition, limites, tout ce qui pourrait interférer avec cérativité. Puis, on repasse. On ne pourrait pas faire ce processus aussi bien tout seul : des choses auxquels les autres pensent auxquelles on ne peut pas penser. ] - ils permettent de mettre en commun les compétences individuelles.
[Phénomène de collaboration, équipes multidisciplinaires. (Bio, psycho, économie ] - ils permettent de partager, de consolider et de retrouver, le cas échéant, un ensemble de connaissances et d’événements qui constituent la mémoire transactive.
[Mémoire transactionnelle : mémoire qui existe durant le processus d’interaction entre individus. Création d’un espace de collaboration virtuel. ]
[Phénomène de la pensée de groupe
Évaluation qualitative de la performance, et non plus uniquement quantitative.
Pensée de groupe est une forme de processus cognitif qui fonctionnent uniquement dans une forme d’interaction.]
Les remue-méninges, une stratégie efficace?
Peut être inefficace si :
- les membres du groupe cherchent les informations qu’ils ont en commun.
- les membres du groupe tendent à se censurer :
- pour éviter les conflits.
- par peur d’être ridiculisés ou
rejetés par le groupe.
Peut-être efficace si :
- les membres du groupe ont préalablement travaillé individuellement.
- un membre du groupe agit comme facilitateur afin d’éliminer les influences qui nuisent à la créativité.
(Thérapie de groupe)
Exemple de Brainstroming
La polarisation de groupe
- C’est la tendance à prendre des décisions plus radicales en groupe qu’individuellement. Le groupe accentue la tendance de départ de ses membres.
- Pourquoi?
- À cause de l’influence
informationnelle. - À cause de l’influence normative.
- À cause du processus
d’identification sociale au cours
duquel la personne perçoit la
position du groupe comme plus
extrême qu’elle ne l’est.
- À cause de l’influence
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« On est meilleurs, on a pas tord »
Gr tellement cohésif, tjrs ensemble, pensent ensembles ; développent une pensée unique.
Polarisation des pensées
Et par extension, les comportements qui viennent avec.
Individuellement, on est plus nuancé.
Polarisation plus rare dans des groupes informels que formels, mais quand même possible.
Le danger, principalement source de polarisation de groupe est celle du nombre.
On ne devrait pas tjrs suivent ce que tout le monde fait (sauter en bas d’une falaise, lemmings)
Le groupe renforce les tendances individuelles
On vous avait dis qu’il y aurait pt une grève, mais y’en aura pas, il y a eu une entente de principes : le gens ont été mis ensemble et on pu faire un consensus.
Personne en est ressorti totalement satisfaits, compromis.
Ces gens on pu se regrouper, se parler, et s’entendre.
Empêcher que les partis se polarisent permet la négociation.
Le modèle interactionniste de Fiedler
Théorie de la contingence:
- Théorie selon laquelle l’efficacité d’un leader dépend de l’interaction entre ses caractéristiques personnelles et celles de la situation.
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Modèle expliquant l’idée qu’il n’y a pas vrm de leader. Un leader n’est pas né, un leader est fait.
Ex : Churchill
Au début, les gens l’adorait, c’était pendant une crise. Quand la situations a changé, après la crise/guerre, les gens n’en voulait plus, ce n’est plus ce qu’ils cherchaient chez un leader.
Parfois, des gens sont précipités dans ce rôle (recherche d’un volontaire) – On choisi un tel pcq les autres on refusé, abandonné responsabilité.
D’autres facteurs AVEC l’interaction de la personne, joue là-dessus.
L’efficacité des leaders selon leur type et la situation
Certaine vedette on le statut de charisme pcq ils sont dit vedettes.
D’autres sont charismatique, donc deviennent vedettes.
Certains sont capables de survivrent à des vagues de changement, s’adapte, se réoriente : était vedette en 70-80’s et le sont toujours aujourd’hui.
Ex : Madonna, encore considérée comme vedette. Continue à être une sorte de leader, MAIS pas pour tout le monde.
Taylor Swift le sera-t-elle encore dans 10-20 ans?
Pt que oui, pt que non
Orienté sur la tâche : très efficace
Aussi affichage dans les tâches ou on a peu de contrôle, vont restaurer. Efficace en situations extrêmes
Orienté vers les relations : globalement oui, moins efficace. Mais la majorité des situation se trouve dans le moyen (des situations modérées). Moins bon en situations extrêmes.
