Leçon 8 (théorie + lecture) Flashcards

1
Q

Question lecture 1 (musique):
Quelles sont les deux questions traitées dans cette revue de littérature ?

A

1) Est-ce que certaines musiques peuvent favoriser les processus suicidaires
(2) Est-ce que la musique peut être un outil pour diminuer le risque suicidaire

(p. 129 et p.132).

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Q

Question lecture 1 (musique):
Quelles sont les principaux résultats de cette revue, autrement dit les réponses aux deux questions initiales ?

A
  1. Les résultats des études ayant étudié les liens entre les préférences musicales et le processus suicidaire sont mitigés (p. 141). Certains types de musique seraient associés à une augmentation des processus suicidaires (p. 142). Il n’y a donc pas de réponse claire et univoque à la première question de recherche.
  2. La musique pourrait être utile à diminuer le processus suicidaire de façon indirecte, à travers une réduction des symptômes dépressifs (p. 142). Il n’y a toutefois pas de lien causal direct entre l’écoute de la musique et le processus suicidaire (p. 143).
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3
Q

Question lecture 1: Qu’est-ce qui peut contribuer à fausser l’estimation du nombre de suicides chez les jeunes âgés de 10 à 24 ans ?

A

Il est possible que d’autres causes de décès (par exemple les accidents de la route) soient confondues avec un suicide (p. 130).

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4
Q

Question lecture 1:
Parmi les types de musique suivants, lesquels ont été blâmés par les médias pour leurs effets négatifs sur les adolescents ? (Quels choix s’appliquent)
A. Country
B. Rock alternatif
C. Heavy metal
D.Rap
E. Emo
F. Underground

A

Toutes ces réponses

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5
Q

Question lecture 1:
Selon l’étude de Lacourse et coll. (2001), citée dans la lecture obligatoire, quelles sont les caractéristiques associées au développement de tendances suicidaires chez les jeunes âgés de 15 à 18 ans préférant la musique heavy metal ou underground ?

A

La consommation de drogues, la tendance à s’isoler et une piètre estime de soi (p 134).

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6
Q

Question lecture 1:
Expliquez brièvement ce que démontre « l’effet Velten ».

A

Cet effet démontre que (1) la valence émotionnelle du contenu de la pensée est un déterminant important de l’affect et que (2) l’humeur (positive ou négative) peut être induite expérimentalement (p. 135).

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7
Q

Question lecture 1:
Expliquez brièvement ce qu’est « l’effet Werther ».

A

Ce terme renvoie à l’hypothèse de l’imitation, selon laquelle l’exposition à un suicide factuel ou fictif peut causer des comportements suicidaires (p. 136)
(Autres personnes se suicident en réaction avec un suidide)

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8
Q

Question lecture 1:
Expliquez brièvement l’hypothèse de la désensibilisation telle que présentée dans le texte.

A

Selon cette hypothèse, l’exposition répétée à des médias violents produirait une désensibilisation physiologique à la violence en contexte réel. Cette désensibilisation impliquerait des changements dans la réponse émotionnelle aux stimuli violents se traduisant par une diminution des réponses anxieuses et une augmentation des réponses agréables (p. 138).

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9
Q

Question lecture 1:
Quelques études ont examiné le rôle cathartique de l’écoute de la musique heavy metal. Expliquez brièvement en quoi ce rôle peut avoir des effets positifs et négatifs.

A

Positif:
Écoute du heavy metal pourrait diminuer les pensées suicidaires et les émotions négatives grâce à un effet libérateur de tensions psychiques.
Négatif:
Écoute de cette musique peut être considérée comme une stratégie d’évitement des difficultés potentiellement inefficace à long terme (p. 140)

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10
Q

Questions lecture 2 (barrière pont):
Quel est l’objectif de l’étude de Perron et ses collaborateurs?
A. Vérifier si les barrières anti-suicides du pont Jacques-Cartier entraînent un déplacement des suicides vers d’autres emplacements.
B. Connaître la manière selon laquelle les personnes qui utilisent le pont Jacques-Cartier pour se suicider contournent la barrière anti-suicide.
C. Comprendre l’attrait du pont Jacques-Cartier afin de mieux prévenir les suicides.
D.Évaluer l’historique de santé mentale des personnes suicidées sur le pont Jacques-Cartier pour mieux cibler les stratégies de prévention pouvant être associées aux barrières anti-suicide.

A

A.

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11
Q

Questions lecture 2 (barrière pont):
Parmi les énoncés suivants, lequel ou lesquels explique(nt) que certains sites sont plus susceptibles d’être le théâtre de gestes suicidaires ?

A. Leur facilité d’accès.
B. Leur isolement.
C. L’attention des médias.
D.a et b.
E. a et c.

A

E.

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12
Q

Questions lecture 2 (barrière pont):
Quelle est la conclusion de l’étude de Perron et ses collaborateurs?

A

La construction de la barrière anti-suicide sur le pont Jacques-Cartier a réduit significativement le nombre de suicides commis à partir de ce pont. De plus, peu d’éléments indiquent que ces suicides se seraient déplacés vers d’autres ponts de l’Île de Montréal ou de la Montérégie (p. 1238).

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13
Q

Questions lecture 2 (barrière pont):
Parmi les énoncés suivants sur le type de suicide dont il est question dans le texte, lequel est vrai ?
A. Ce type de suicide touche davantage les femmes que les hommes.

B. Ce type de suicide touche davantage les hommes que les femmes.

C. Ce type de suicide touche autant de femmes que d’hommes.

A

B.

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14
Q

Questions lecture 2 (barrière pont):
Vrai ou faux. L’efficacité des barrières anti-suicide est notamment liée à son design.

A

Vrai

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15
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Quel est l’objectif de cet article ?

A

Présenter les principaux facteurs de risque et de protection associés au risque suicidaire chez les jeunes contrevenants et les intégrer dans un modèle explicatif (p. 254).

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16
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Classez ces populations selon leur risque suicidaire en commençant par la population la plus à risque, selon l’étude de Farand et coll. (2004) citée dans la lecture obligatoire.
1.Les jeunes hébergés en raison de troubles de comportements.

2.Les jeunes pris en charge par les centres jeunesse.

3.Les jeunes de la population générale.

A

1.Les jeunes hébergés en raison de troubles de comportements.

2.Les jeunes pris en charge par les centres jeunesse.

3.Les jeunes de la population générale

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17
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Quel est l’effet potentiellement négatif de la prise en charge de l’adolescent délinquant par le système de protection de la jeunesse ?

A

La prise en charge peut contribuer à augmenter le risque suicidaire

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18
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Quels sont les troubles et symptômes les plus souvent associés aux comportements suicidaires des adolescents ?

A

Les troubles et symptômes dépressifs

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19
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
De quelle façon est-ce que la consommation de substances psychotropes peut agir comme facteur précipitant le passage à l’acte suicidaire ?

A

En diminuant les inhibitions et en augmentant l’impulsivité. La consommation peut aussi avoir un effet dépresseur favorisant les idéations suicidaires qui peuvent précéder les gestes suicidaires (p. 258).

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20
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
En quoi l’affiliation à un groupe de pairs délinquants peut être à la fois positive et négative dans une perspective de risque de suicide?

A

L’affiliation à un groupe de pairs délinquants, bien qu’elle augmente la vulnérabilité du jeune au suicide peut dans certains cas constituer le seul réseau de soutien de l’adolescent délinquant. Il est primordial que les intervenants demeurent vigilants face au risque suicidaire pouvant être présenté par un jeune à qui on décide d’interdire tout contact avec des pairs délinquants, même si cela est fait dans un but de réhabilitation (p. 262).

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21
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Quelle est l’utilité pour l’intervention préventive d’identifier les facteurs de risque associés au suicide

A

Chacun de ces facteurs de risque constituent des possibilités d’intervention ou différentes portes par lesquelles la prévention des comportements suicidaires peut être conceptualisée (p. 264).

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22
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Nommez l’une des trois « portes » ou possibilités d’intervention préventives identifiées par les auteurs.

A

-Éviter les abus, traumas et conditions de vie défavorables pour les enfants (p. 266);
-Intervenir au plan des caractéristiques individuelles, tant au niveau de la psychopathologie que celui de la personnalité;
-Et considérer les conséquences qu’entraînent les activités délinquantes, notamment les ordonnances d’hébergement et l’hébergement en attente d’une décision du tribunal (p. 267).

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23
Q

Questions lecture 3 (modèle jeunes):
Parmi les énoncés suivants, lesquels sont des mythes et lesquels sont des réalités?
1.Le suicide est la première cause de mortalité chez les jeunes et les jeunes adultes jusqu’à 34 ans.

2.Plus que le fait de subir un événement en particulier, c’est l’accumulation d’événements difficiles pendant l’enfance qui augmente le risque de délinquance.

3.Les adolescentes sont plus nombreuses que les adolescents à faire des tentatives de suicide.

A
  1. Mythe
  2. Réalité
  3. Réalité
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24
Q

Questions lecture 4 (Individual et area-level factors):
Nommez l’un des premiers auteurs qui a suggéré un lien entre les liens sociaux, l’intégration sociale et le suicide.

A

Durkheim

25
Q

Questions lecture 4 (Individual et area-level factors):
Nommez l’une des variables incluses dans les données environnementales (area-level data)

A

Réponses possibles :

  • densité de population;
  • proportion d’hommes et de femmes;
  • index de fragmentation social;
  • revenu média des ménages;
  • pourcentage de la population âgée de 65 ans et plus;
  • pourcentage de familles monoparentales;
  • pourcentage de la population sans diplôme scolaire (p. 45).
26
Q

Questions lecture 4 (Individual et area-level factors):
Expliquez brièvement ce que signifie la « fragmentation sociale » et comment elle a été mesurée par les auteurs

A

La fragmentation sociale renvoie au degré de cohésion (ou au contraire, de fragmentation) d’une communauté, autrement dit dans quelle mesure une communauté est en mesure de fournir les ressources permettant à ses membres de s’intégrer.

La fragmentation sociale a été calculée sur la base des scores Z des variables suivantes : le nombre de logements locatifs privés, le nombre de ménages comptant une seule personne, le nombre de célibataires et le nombre de personnes ayant déménagé au cours de l’année précédente (p. 45

27
Q

Questions lecture 4 (Individual et area-level factors):
Selon les auteurs, quels types de facteurs ont une influence plus importante sur les comportements suicidaires?

A

Les facteurs environnementaux et sociaux (p. 47).

28
Q

Questions lecture 4 (Individual et area-level factors):

Expliquez brièvement comment les résultats de cette recherche peuvent aider à améliorer la prévention du suicide chez les aînés.

A

Les stratégies de prévention doivent cibler à la fois des facteurs personnels et des facteurs environnementaux ou sociaux.

29
Q

Nommez deux facteurs à évaluer dans l’urgence suicidaire

A

Réponses possibles :

présence d’idéations suicidaires;
fréquence des idéations suicidaires;
intention de passer à l’acte;
présence d’un plan;
létalité et accessibilité à un moyen de s’enlever la vie.

30
Q

Qu’est-ce que la sensibilité d’un outil d’évaluation?

A

Caractéristique d’un outil d’évaluation du risque suicidaire qui identifie correctement les vrais positifs.

31
Q

À quoi se rattache cette définition?
“Caractéristique d’un outil d’évaluation du risque suicidaire qui identifie correctement les vrais négatifs.”

A

Spécificité

32
Q

Vrai ou faux. En prévention du suicide, il est préférable d’utiliser des outils de dépistage qui produisent plus de faux positifs que de faux négatifs

A

Vrai

33
Q

Que signifie l’acronyme COQ et que permet-il de vérifier ?

A

L’acronyme COQ signifie « Comment, où et quand ». Ces questions permettent de vérifier la présence d’une planification du passage à l’acte.

34
Q

Parmi les trois types d’outils pour gérer la crise suicidaire présentés, lequel est le mieux appuyé empiriquement ?
A. Inventaires de raisons pour vivre.
B. Contrats de non-suicide.
C. Cartes d’urgence.

A

A.

35
Q

Vrai ou faux. Il est préférable d’éviter de demander à la personne si elle pense à se tuer.

A

Faux, c’est mieux de demander

36
Q

Nommez deux mesures efficaces pour prévenir le suicide

A

Réponses possibles :

Développement des connaissances;
Soutien aux citoyens en détresse;
Formation des intervenants;
Implantation de réseaux de sentinelles;
Diffusion de campagnes de prévention;
Réduction de l’accès aux moyens.

37
Q

À quel concept correspond la définition suivante :
« Activités qui visent à réduire les effets négatifs de l’exposition à un suicide et qui contribuent à prévenir le suicide chez les personnes endeuillées».

A. Soutien aux personnes endeuillées.
B. Interventions de crise.
C. Postvention

A

C.
(La postvention comprend les interventions de soutien auprès des personnes endeuillées ET l’intervention de crise dans le milieu touché par le suicide)

38
Q

Vrai ou faux. Un traitement médiatique adéquat du suicide permet de sauver des vies.

A

Vrai (parler d’un suicide d’une personne comme d’un geste héroique peit mener à des effets d’imitation ou de contagion)
Bonnes choses à faire: voir notions importantes p.4

39
Q

À quoi se rattache cette définition?
“ Tout comp suicidaire non mortel et tout acte d’auto-intoxication, d’automutilation ou d’auto-agression avec intention de mourrir ou pas”

A

Tentative de suicide

40
Q

Qu’est-ce qu’un comportement suicidaire?

A

Ensemble de comportements allant des idées suicidaires à la planification, la tentative de suicide et le suicide

41
Q

Qu’est-ce que la différence entre le suicidé et le suicidant

A

Suicidé= pour qui l’acte a été mortel
Suicidant= qui survit à son geste autodestructeur

42
Q

Qu’est-ce qu’un suicide par policier interposé?

A

Méthode de suicide par laquelle une personne agit délibérément d’une manière menaçante vis-à-vis un policier, dans l’intention claire et consciente de provoquer une réponse mortelle

43
Q

Qu’est-ce que la différence entre facteur prédisposant, contribuant et précipitant?

A

Prédisposant= Rend la personne plus vulnérable au suicide
Contribuant= Accroit le niveau de risque présent
Précipitant= Agit comme déclencheur d’un passage à l’acte

44
Q

Qu’est-ce qu’une sentinelle?

A

Personne formée et soutenue pour reconnaitre les personnes suicidaires et les accompagner vers les ressources d’aide

45
Q

Qu’est-ce la différence entre le potentiel suicidaire, le risque suicidaire et l’urgence suicidaire?

A

Potentiel= Concerne à la fois le risque et l’urgence suicidaire
Risque= Pronostic de suicide pour une pour une période de 2 ans
Urgence= Probabilité qu’une personne se suicide dans les 48h. Établie en fonction de la crise actuelle

46
Q

Qu’est-ce qu’un faux positif?

A

Dire que suicide va avoir lieu (donc on agit) mais que finalement c’était faux
ex: predire un suicide mais pas de suicide ne se produit

47
Q

Vrai ou faux, le suicide est la première cause de décès traumatique au québec et la 3ième cause de décès parmi la population âgées de 18 à 64 ans, après les cancers et les maladies du coeur

A

Vrai

48
Q

Vrai ou faux, le taux de suicide est 3 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes au québec.

A

Vrai, il atteint son max vers 50aine et diminue par la suite

49
Q

Vrai ou faux, les taux de suicide les plus hauts sont chez les dans la tranche d’âge 50 à 64 ans chez les hommes et les femmes

A

Vrai, les taux sont plus haut chez les hommes aussi

50
Q

Quels sont les moyens les + connus ajd pour s’enlever la vie?

A

Pendaison, strangulation et suffocation

51
Q

Vrai ou faux, le québec a un faible taux de décès de traumatisme d’intention indéterminée

A

Vrai, les coroner font peu d’erreur ppur déterminer suicide au québec, donc les données ne sont pas sous-déclarées

52
Q

Vrai ou faux, au US l’expression suicide risk désigne le potentiel suicidaire et ne fait pas de distinction entre le risque et l’urgence suicidaire, contrairement au Québec

A

vrai

53
Q

Quels sont les facteurs à évaluer dans l’urgence suicidaire?

A

Présence et fréquence d’idéations suicidaires
Intention de passer à l’acte
Présence d’un plan
léthalité et accessibilité au moyen de s’enlever la vie

54
Q

Que devraient faire les bons outils de dépistage?

A

Permettre de prédire un suicide par la reconnaissance des signes de détresse ou des signes avant-coureurs d’un suicide

55
Q

*Voir contrat de suicide dans les notions importantes

A
56
Q

Voir les mesures efficaces pour prévenir le suicide dans pdf leçon 8

A
57
Q

Vrai ou faux, les personnes endeuillées ne cherchent pas d’aide car elles croient que leur deuil est tellement unique que personne ne peut les aider ni les comprendre

A

Vrai

58
Q

Nommez des facteurs qui peuvent contribuer à la “contagion”.

A

*L’identification à la personne disparue
*Banalisation du geste
*Glorification et dramatisation du suicide