!! Microbiologie Final (bible) COMPLET Flashcards
2022-23-24 non vérifié (102 cards)
1
Q
Quel énoncé décrit correctement les règles de la nomenclature binomiale pour nommer une bactérie ?
a) Le nom complet doit être en italique avec la première lettre du genre en minuscule
b) Seule la première lettre du nom de l’espèce doit être en majuscule
c) Le nom complet doit être en italique avec la première lettre du genre en majuscule et le reste en minuscule
d) Le nom de genre et le nom de l’espèce doivent être écrits entièrement en majuscules pour indiquer leur importance
e) Aucune des réponses précédentes n’est correcte
A
c) Le nom complet doit être en italique avec la première lettre du genre en majuscule et le reste en minuscule.
2
Q
Quel est le rang taxonomique directement supérieur à l’espèce?
a) famille
b) genre
c) classe
d) ordre
A
b) genre
3
Q
Lesquelles de ces caractéristiques ne sont pas des caractéristiques phylo-génotypiques des bactéries.
- qqch ADN-ADN
- séquençage complet d’ADN
- qqch ARNr
- Le pourcentage de G+C
- taille de la cellule
A
- Le pourcentage de G+C
4
Q
Quel énoncé ne correspond pas aux fongi ?
a) Ils peuvent être unicellulaires ou multicellulaires
b) Certains fongi peuvent faire de la photosynthèse
c) Ils peuvent décomposer la matière organique
d) Ils démontrent une croissance apicale et par embranchement latéral
e) Aucune de ces réponses
A
b) Certains fongi peuvent faire de la photosynthèse
5
Q
Quelle est la principale composante de la paroi des fongi?
a) cellulose
b) chitine
c) lignine
d) peptidoglycanes
e) aucune de ces réponses
A
b) chitine
6
Q
Quel énoncé est correct concernant la reproduction des levures?
a) Les levures ne se reproduisent pas
b) Les levures se reproduisent uniquement par division binaire
c) Les levures se reproduisent que sexuellement
d) Les levures se reproduisent principalement par bourgeonnement
e) Aucune de ces réponses
A
d) Les levures se reproduisent principalement par bourgeonnement
7
Q
V ou F
On peut traiter des infections fongiques avec la pénicilline car les fongi possèdent une paroi cellulaire comportant du peptidoglycane
A
Faux
8
Q
V ou F
Les azoles inhibent la synthèse de l’ergostérol
A
Vrai
9
Q
V ou F
Les polyènes agissent au niveau de la synthèse des acides nucléiques
A
Faux
10
Q
V ou F
La cible des échinocandines est les glycanes
A
Vrai
11
Q
V ou F
La majorité des fongi pathogènes pour les animaux ne possèdent pas de cycle sexuel, ou leur cycle sexuel est inconnu
A
Vrai
12
Q
V ou F
Saccharomyces cerevisiae alterne entre les stades haploïdes et diploïdes. lors de la transition du stade haploïde à diploïde, il y a d’abord fusion cellulaire et finalement fusion nucléaire
A
Vrai
13
Q
A
13
Q
Quel est la caractéristique principale de l’immunité adaptative
a) Elle est innée et présente dès la naissance
b) Elle est spécifique à un pathogène et a une mémoire immunologique
c) Elle agit immédiatement contre tout type de pathogène
d) Elle ne distingue pas entre différents pathogènes
e) Aucune de ces réponses
A
b) Elle est spécifique à un pathogène et a une mémoire immunologique
14
Q
Quel est le rôle de l’anticorps (comment agit-il?)?
a) Il phagocyte les pathogènes.
b) Il détruit les cellules infectées.
c) Il se lie à l’antigène spécifique pour neutraliser ou phagocyter le pathogène.
d) Aucune de ces réponses
A
c) Il se lie à l’antigène spécifique pour neutraliser ou phagocyter le pathogène.
15
Q
Quel est le rôle des macrophages dans l’immunité innée ?
- Coordonner la réponse immunitaire adaptative humorale
- Détruire les cellules infectées par un pathogène
- Phagocyter les pathogènes et les débris cellulaires
- Éliminer les parasites et les fongi par dégranulation
- Produire des anticorps spécifiques à un pathogène
A
- Phagocyter les pathogènes et les débris cellulaires
16
Q
Comment est-ce que les lymphocytes T reconnaissent les cellules infectées?
- En se liant aux cellules présentatrices d’antigènes via le complexe majeur d’histocompatibilité
- En se liant aux cytokines produites par les macrophages
- En se liant aux cellules tumorales via les récepteurs CD64
- En se liant aux anticorps produits par les lymphocytes B
- En se liant directement aux antigènes du pathogène
A
- En se liant aux cellules présentatrices d’antigènes via le complexe majeur d’histocompatibilité
17
Q
Quel est le rôle principal de l’immunoglobuline IgA dans l’immunité?
- Elle est impliquée dans les réponses immunitaires allergiques
- Elle protège les surfaces muqueuses des infections bactériennes et virales
- Elle circule dans le sang et peut, en conditions normales, traverser la barrière hémato-encéphalique donc elle protège le système nerveux central
- Elle n’a pas de rôle défini dans l’immunité
- Elle active les cellules tueuses naturelles pour détruire les cellules infectées
A
- Elle protège les surfaces muqueuses des infections bactériennes et virales
18
Q
Quelle est l’unité de base de la taxonomie? Veuillez choisir une réponse
a. La famille
b. L’espèce
c. La classe
d. L’embranchement
e. Aucune de ces réponses.
A
b. l’espèce
19
Q
Dans le laboratoire de microbiologie, pour l’identification d’une espèce bactérienne on peut utiliser. Veuillez choisir une réponse.
a. Des milieux de culture, des tests biochimiques et des caractéristiques phénotypiques
b. La spectrométrie de masse MALDI-TOF
c. Le séquençage de l’ARN 16S
d. Des systèmes miniaturisés telles que les galeries API
e. Toutes ces réponses
A
e. Toutes ces réponses
20
Q
Laquelle des suivantes n’est pas une méthode de typage moléculaire. Veuillez choisir une réponse
a. La lysotypie à l’aide de bactériophages
b. La détection par PCR de gènes codant pour des facteurs de virulence
c. Le « multilocus sequence typing » ou MLST
d. La digestion du génome avec des enzymes de restriction suivi d’électrophorèse à champs pulsés (aussi connu comme « pulse field gel electrophoresis » ou PFGE)
e. Aucune de ces réponses
A
a. La lysotypie à l’aide de bactériophages.
21
Q
Les fongi forment un groupe très diversifié comprenant
a. Veuillez choisir une réponse.
b. Des organismes procaryotes
c. Des champignons, des levures et des bactériophages
d. Des moisissures, des champignons et des levures
e. Des organismes macroscopiques possédant de la chlorophylle
f. Aucune de ces réponses
A
d. Des moisissures, des champignons et des levures
22
Q
De ces cellules, lesquelles sont impliquées dans l’immunité adaptative ?
a. Les neutrophiles
b. Les basophiles et les mastocytes
c. Les lymphocytes B et les lymphocytes T
d. Les cellules tueuses naturelles.
e. Les monocytes et les éosinophiles
A
c. Les lymphocytes B et les lymphocytes T
23
Q
Quel énoncé est vrai?
a. Le mycélium aérien peut comprendre des spores
b. Certain fongi possèdent de la chlorophylle
c. Les fongi n’ont jamais été considéré comme des plantes
d. Les fongi sont des organismes strictement multicellulaires
e. Aucune de ces réponses
A
a. Le mycélium aérien peut comprendre des spores.
24
Qu'est-ce qui caractérise l'immunité innée ?
a. Elle est rapide et non spécifique
b. Elle est acquise au cours de la vie
c. Elle est spécifique à un pathogène viral particulier
d. Elle est principalement médiée par les lymphocytes T
e. Elle implique la production d'anticorps
a. Elle est rapide et non spécifique.
25
Quel est le rôle du complément dans l'immunité innée ?
a. Il aide les lymphocytes T à reconnaître les cellules infectées
b. Il peut déclencher une cascade enzymatique qui conduit à la lyse de certaines bactéries, notamment celles à Gram négatif
c. Il facilite la phagocytose des pathogènes par les macrophages en opsonisant les bactéries et en favorisant leur reconnaissance et leur ingestion par les cellules phagocytaires
d. b et c
e.Il stimule la production d'anticorps spécifiques à un pathogène
d. b et c
25
Quel est le rôle des cellules tueuses naturelles (Natural killers ou NK)?
a. Elles coordonnent la réponse immunitaire adaptative
b. Elles phagocytent les cellules infectées par un pathogène
c. Elles produisent des anticorps spécifiques à un pathogène
d. Elles détruisent directement les cellules infectées et les cellules tumorales
d. Elles détruisent directement les cellules infectées et les cellules tumorales.
26
Quel est le rôle des cytokines dans l’immunité?
a. Elles présentent des antigènes aux lymphocytes B pour détruire les cellules infectées
b. Elles activent la voie alternative du complément
c. Elles agissent comme des opsonines pour favoriser la phagocytose des pathogènes par les macrophages
d. Elles neutralisent les toxines produites par les bactéries
e. Elles stimulent la prolifération et la différenciation des cellules immunitaires
e. Elles stimulent la prolifération et la différenciation des cellules immunitaires
27
Quel énoncé est faux :
a. Les fongis sont des hétérotrophe vivant comme des saprophytes ou des parasites
b. Les levures ont des exigences nutritives similaires aux bactéries
c. Les fongi imparfaits ne possèdent pas de cycle sexuel
d. Les fongi démontrent une croissance apicale et par embranchement latéral
e. Les spores contiennent des pigments qui donnent la couleur caractéristique à certains fongis
f. Les spores asexuées sont produites en moins grand nombre que les spores sexuées
g. Tous les énoncés sont vrais
f. Les spores asexuées sont produites en moins grand nombre que les spores sexuées.
28
Quel est le rôle des macrophages dans l’immunité innée
a. Éliminer les parasites et les fongi par dégranulation
b. Détruire les cellules infectées par un pathogène
c. Produire des anticorps spécifiques à un pathogène
d. Phagocyter les pathogène et les débris cellulaires
e. Coordonner la réponse immunitaire adaptative humorale
d. Phagocyter les pathogène et les débris cellulaires
29
Comment les lymphocytes T reconnaissent-ils les cellules infectées par un pathogène?
a. En se liant aux cytokines produites par les macrophages
b. En se liant aux cellules tumorales via les récepteurs CD64
c. En se liant aux anticorps produits par les lymphocytes B
d. En se liant aux cellules présentatrices d’antigènes présentant les antigènes du pathogène via le complexe majeur d’histocompatibilité
e. En se liant directement aux antigènes du pathogène
d. En se liant aux cellules présentatrices d’antigènes présentant les antigènes du pathogène via le complexe majeur d’histocompatibilité
30
Quelle est la fonction principale des molécules du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH, ou MHC dans la sigle anglaise) de classe I ?
a. Elles régulent la réponse inflammatoire locale en recrutant des cellules immunitaires sur le site de l'infection
b. Elles présentent des antigènes exogènes aux lymphocytes B pour la production d'anticorps
c. Elles régulent la prolifération des lymphocytes T CD4 dans la réponse immunitaire adaptative
d. Elles présentent des antigènes endogènes aux lymphocytes T cytotoxiques pour la reconnaissance et la destruction des cellules infectées par des virus
e. Elles activent les neutrophiles pour la phagocytose des pathogènes opsonisés
d. Elles présentent des antigènes endogènes aux lymphocytes T cytotoxiques pour la reconnaissance et la destruction des cellules infectées par des virus.
31
Quel est le rôle principal de l’immunoglobuline IgA dans l’immunité?
a. Elle est impliquée dans les réponses immunitaires allergiques
b. Elle protège les surface muqueuses des infections bactériennes et virales
c. Elle circule dans le sang et peut, en conditions normales, traverser la barrière hémato-encéphalique donc elle protège le système nerveux central
d. Elle n’a pas de rôle défini dans l’immunité
e. Elle active les cellules tueuses naturelles pour détruire les cellules infectées
b. Elle protège les surface muqueuses des infections bactériennes et virales
32
Quel est le rôle principal des cellules B dans la réponse immunitaire adaptative?
a. Elles activent les cellules T CD4 pour la reconnaissance des pathogènes et la production de cytokines pour coordonner la réponse immunitaire adaptative
b. Elles activent les cellules T CD8 pour la destruction des cellules infectées par des virus
c. Elles phagocytes les pathogènes pour les éliminer du corps
d. Elles activent les macrophages pour la phagocytose des pathogènes opsonisés
e. Elles produisent des anticorps spécifiques pour neutraliser les pathogènes
e. Elles produisent des anticorps spécifiques pour neutraliser les pathogènes
33
Diagnostic des infections : choisir un énoncé qui soit FAUX
a. Les anticorps présent dans un sérum d’un animal hyperimmunisé (sérum hyperimmun) sont toujours des anticorps polyclonaux
b. Les anticorps monoclonaux sont en général moins spécifiques que les anticorps polyclonaux
c. Les tests immunologiques pour la détection d’antigènes sont plus faciles à être adaptés en test rapide (utilisés en clinique) que les tests moléculaires comme le test « PCR »
d. Les immunoglobulines de type « G » (IgG) sont surtout présentes lors d’une réponse immunitaire secondaire, et elles présentent habituellement une haute spécificité.
b. Les anticorps monoclonaux sont en général moins spécifiques que les anticorps polyclonaux.
33
Parmi les énoncés suivants, lequel est faux:
a. Tous les antigènes sont immunogènes
b. Quand on parle d’antigènes, des fois on réfère au micro-organisme complet, à une partie du micro-organisme ou à un seul épitope
c. Fonction de reconnaissance d’un anticorps: domaine variable qui permet de distinguer un nombre illimité d’antigènes différents
d. Les immunoglobulines de type A sont présentes surtout dans les muqueuses
a. Tous les antigènes sont immunogènes
34
Parmi les énoncés suivants, lequel est faux:
a. Un conjugué anti-espèce est un anticorps produit contre les anticorps de l’espèce d’intérêt. On peut, par exemple, immuniser un chien pour produire des anticorps anti-chien
b. La détection d’anticorps est très utile quand il est difficile de détecter la présence d’antigènes
c. Si l'antigène utilisé dans notre test et contre lequel on cherche des anticorps chez des patients est présent dans une faible proportion de souches du terrain, nous allons avoir des faux négatifs en sérologie
d. La détection d’anticorps est un diagnostic indirect de l’infection: nous détectons le contact au préalable (au moins deux semaines avant) du patient avec l’antigène utilisé dans le test
a. Un conjugué anti-espèce est un anticorps produit contre les anticorps de l’espèce d’intérêt. On peut, par exemple, immuniser un chien pour produire des anticorps anti-chien.
35
Parmi les énoncés suivants lequel est faux:
a. Dans le cas d’une infection aigüe, une seule prise de sang au moment de la présence des signes cliniques est suffisante pour effectuer un diagnostic sérologique
b. Test ELISA pour la détection d’antigènes : nous avons besoin d’un anticorps de capture pour éviter autant des faux négatifs que des faux positifs
c. Dans le cas d’une infection chronique, la quantité d’anticorps reste stable ou elle est en déclin
d. La détection d’anticorps n’est pas nécessairement faite toujours avec des sérums comme échantillon : on peut parfois utiliser d’autres fluides: salives, colostrum, fluide musculaire, etc
a. Dans le cas d’une infection aigüe, une seule prise de sang au moment de la présence des signes cliniques est suffisante pour effectuer un diagnostic sérologique
36
Laquelle de ces étapes ne fait pas partie des 5 grandes étapes de la pathogenèse bactérienne?
a) dommages à l’hôte
b) formation du biofilm
c) dissémination à d’autres sites
d) entrée dans l’hôte
b) formation du biofilm
37
Quel est le rôle du biofilm ?
a) Facilite l’échappement de la bactérie aux défenses immunitaires de l’organisme
b) Protège contre les agents antimicrobiens
c) Favorise l’adhésion aux surfaces
d) Toutes les réponses sont vraies
d) Toutes les réponses sont vraies
38
Qu’est ce qu’une bactérie opportuniste ? (J’ai un peu oublié les choix de réponses mais la bonne réponse est pareille tel qu’elle était formulée)
a) Une bactérie qui infecte l’hôte selon son état physiologique
b) Une bactérie du microbiote
c) Une bactérie qui cause toujours une maladie
d) Une bactérie qui ne cause jamais de maladie
a) Une bactérie qui infecte l’hôte selon son état physiologique
39
Quelles sont les trois types de dissémination d’une infection à travers le corps?
a) Lymphatique, directe, sang
b) Aérosol, direct, lymphatique
c) Vertical, sang, zoonotique
a) Lymphatique, directe, sang
40
V ou F
On peut classifier les virus en fonction du mode de transmission : les virus respiratoires, entériques, les arbovirus, etc. Cette définition purement épidémiologique ne préjuge en rien de leur position taxonomique
Vrai
41
V ou F
Les arbovirus sont des virus transmis biologiquement d’un vertébré à un autre par un arthropode hématophage (moustique, simulie, puce, taon, etc.) qui joue le rôle de vecteur
Vrai
42
V ou F
Les virus peuvent coder leurs propres enzymes virales
Vrai
43
V ou F
Dans la plupart des cas, l’assemblage des protéines de la capside virale se fait dans le noyau pour les virus à ARN
Faux
44
IMAGE DU CYCLE DE RÉPLICATION VIRALE
VA VOIR
45
V ou F
Toutes les particules virales libérées par une cellule infectée sont infectieuses
Faux
46
V ou F
L’information génétique est proportionnelle à la taille du virus et à la taille du génome viral
Vrai
47
Le système universel de classification des virus (par Lwoff, Horne et Tournier) utilise les quatres critères suivants
a) La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe et le nombre de capsomères pour les virus à nucléocapside icosaédrique ou bien le diamètre de la nucléocapside pour les virus hélicoïdaux
b) Le tropisme cellulaire, la nature de l’acide nucléique, l’antigénicité et le diamètre de la nucléocapside
c) La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe, et le mode de transmission (entérique, respiratoire, etc.)
a) La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe et le nombre de capsomères pour les virus à nucléocapside icosaédrique ou bien le diamètre de la nucléocapside pour les virus hélicoïdaux.
48
V ou F
La multiplication virale se fait par un processus de division
Faux
49
Comment appelle-t-on les molécules ou structures présentes à la surface du virus qui reconnaissent des récepteurs cellulaires de l’hôte?
a) Matrice
b) Capsomère
c) Spicule
d) Génome
c) Spicule
50
V ou F
Pour accéder à la cellule, les virus enveloppés peuvent fusionner directement avec la membrane plasmique, ou bien ils sont internalisés par endocytose dans les endosomes
Vrai
51
V ou F
Les virus enveloppés sont dotés d’une enveloppe en bicouche lipidique qu’ils obtiennent par bourgeonnement à travers une membrane de la cellule hôte. Dans certains cas, les virus bourgeonnent à travers la membrane plasmique, mais dans d’autres cas l’enveloppe peut être dérivée des membranes cellulaires internes telles que les membranes de l’appareil de Golgi ou le noyau
Vrai
52
V ou F
L’entrée de tous les virus nus implique la fusion de la capside avec l’une des membranes de la cellule hôte.
Faux
53
V ou F
Le taux de mutation des virus à ADN est plus élevé que celui des virus à ARN
Faux
54
V ou F
On appelle oncovirus les virus capables de causer des cancers
Vrai
55
V ou F
Les bactéries pathogènes sont toujours hôte spécifique
Faux
56
V ou F
Les bactéries pathogènes peuvent être pathogènes dans une espèce animale et non-pathogènes dans une autre espèce animale
Vrai
57
V ou F
Les bactéries pathogènes sont considérées comme opportunistes si présentes dans le microbiote des animaux sains
Vrai
58
V ou F
Les bactéries pathogènes sont toujours les commensales
Faux
59
V ou F
Les stratégies d’acquisition du Fe par les bactéries pathogènes sont nécessaires parce que le Fer est séquestré dans l’hôte par les molécules comme la transferrine
Vrai
60
V ou F
La production de sidérophore s’avère avoir une haute affinité pour le Fe
Vrai
61
V ou F
Lorsque les bactéries pathogènes résistent à la phagocytose, elles doivent être à l’intérieur du phagocyte
Faux
62
V ou F
Lorsque les bactéries pathogènes résistent à la phagocytose, elles doivent toujours produire des toxines.
Faux
63
V ou F
Lorsque les bactéries pathogènes résistent à la phagocytose, la résistance peut être due à la capsule ou le polysaccharide O des bactéries
Vrai
64
V ou F
Les bactéries peuvent résister à la phagocytose en produisant des enzymes
Vrai
65
Quel(s) énoncé(s) sont vrais concernant E. Coli ETEC F4?
1) E. coli ETEC colonisent la muqueuse intestinale
2) E. coli ETEC envahissent la muqueuse intestinale
3) L’adhésion de l’E. Coli ETEC F4 est non spécifique aux cellules entérocytes
4) E. coli ETEC F4 ne produisent pas de toxines
Seulement 1)
66
V ou F
Les bactéries intracellulaires obligatoires poussent bien en milieu artificiel
Faux
67
V ou F
Les bactéries intracellulaires obligatoires envahissent les cellules, mais peuvent survivre en adhérant à l’extérieur des cellules
Faux
68
V ou F
Les bactéries intracellulaires obligatoires envahissent les cellules, mais ne survivent pas à l’extérieur des cellules
Vrai
69
V ou F
Les bactéries intracellulaires obligatoires sont disséminées de manière intracellulaire dans la circulation sanguine.
Vrai
70
À propos des bactéries pathogènes :
1. Les bactéries se déplacent seulement dans la lymphe
2. Les bactéries peuvent survivrent en se déplaçant de cellule en cellule
3. Les bactéries se retrouvent seulement sur les surfaces mucosales et pas dans les organes de l’hôte
4. Les bactéries peuvent survivre systématiquement en évitant la phagocytose et en inhibant le complément.
a) Les affirmations 1, 2 et 3 sont vraies
b) Les affirmations 1 et 3 sont vraies
c) Les affirmations 2 et 4 sont vraies
d) Seulement l’affirmation 4 est vraie
e) Toutes les affirmations sont vraies
c) Les affirmations 2 et 4 sont vraies
71
Vous avez vu en classe que le microbiote occupait trois fonctions principales.
Nommez chacune de ses fonctions (0,25 point chaque) et expliquez en quelques mots chacune de ses fonctions (0,25 point chaque).
Toute fausseté au sein d’un même argument engendrera la perte des points attribués à cet argument.
Fonction de protection : stimule le développement du système immunitaire, etc.
Fonction structurale : Stimule le développement et la maturation des villosités intestinales, etc.
Fonction métabolique : Fermentation des substrats non digestibles par l’hôte, etc.
72
V ou F
Le microbiote des jeunes animaux est plus plastique que les animaux adultes
Vrai
73
Nommez 2 facteurs qui influencent le microbiote.
Plusieurs réponses possibles (diète et nutriments, antimicrobiens, environnement, phages, immunomodulation de l’hôte, stress, etc.)
74
V ou F
Le microbiote de la lumière intestinale est le même que le microbiote associé à la muqueuse intestinale
Faux
75
Expliquer la différence entre microbiote et microbiome
Microbiote = communauté microbienne, les microorganismes qui sont présents
Microbiome = les gènes de cette communauté microbienne, composante génétique
76
V ou F
Les microorganismes de la même souche présents dans le même tissu exercent la même fonction
Faux
77
V ou F
Deux fermes de poulets ont exactement la même régie (même fournisseur d'oiseaux, même moulée, même équipe de soins). Ces 2 fermes auront donc le même microbiote.
Faux
78
V ou F
Les microorganismes d’un même genre sont présents en même quantité.
Faux
79
V ou F
Il est possible d’identifier un microbiote type chez les animaux sains.
Faux
80
V ou F
Les virus enveloppés sont dotés d’une enveloppe en bicouche lipidique qu’ils obtiennent par bourgeonnement à travers une membrane de la cellule hôte. Dans certains cas, les virus bourgeonnent à travers la membrane plasmique, mais dans d’autres cas l’enveloppe peut être dérivée des membranes cellulaires internes telles que les membrane de l’appareil de Golgi ou le noyau
Vrai
81
V ou F
Les arbovirus sont des virus transmis biologiquement d’un vertébré à un autre par un arthropode hématophage (moustique, simulie, puce, taon, etc.) qui joue le rôle de vecteur.
Vrai
82
V ou F
Dans la plupart des cas, l’assemblage des protéines de la capside virale se fait dans le noyau pour les virus à ARN.
Faux
83
V ou F
Pour accéder à la cellule, les virus enveloppés peuvent fusionner directement avec la membrane plasmique, ou bien ils sont internalisés par endocytose dans les endosomes
Vrai
84
Le système universel de classification des virus ( par Lwoff, Horne et Tournier) utilise les quatres critères suivants:
a. La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe et le nombre de capsomères pour les virus à nucléocapside icosaédrique ou bien le diamètre de la nucléocapside pour les virus hélicoïdaux
b. Le tropisme cellulaire, la nature de l’acide nucléique, l’antigénicité et le diamète de la nucléocapside
c. La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe, et le mode de transmission (entérique, respiratoire, etc.)
a. La nature de l’acide nucléique, la symétrie de la nucléocapside, la présence ou l’absence d’une enveloppe et le nombre de capsomères pour les virus à nucléocapside icosaédrique ou bien le diamètre de la nucléocapside pour les virus hélicoïdaux.
85
V ou F
L’entrée de tous les virus nus implique la fusion de la capside avec l’une des membranes de la cellule hôte
Faux
86
V ou F
L’information génétique est proportionnelle à la taille du virus et à la taille du génome viral
Vrai
87
V ou F
Les virus peuvent coder leurs propres enzymes virales
Vrai
88
V ou F
On appelle oncovirus, les virus capables de causer des cancers
Vrai
89
Vous avez vu en classe que le microbiote occupait trois fonctions principales. Nommez chacune de ses fonctions (0,25 point chaque) et donnez ensuite un exemple pour chacune de ses fonctions (0,25 point chaque).Toute fausseté au sein d’un même argument engendrera la perte des points attribués à cet argument.
Fonction de protection : stimule le développement du système immunitaire, etc.
Fonction structurale : Stimule le développement et la maturation des villosités intestinales, etc.
Fonction métabolique : Fermentation des substrats non-digestibles par l’hôte, etc.
90
Le microbiote c’est
a. Tous les micro-organismes retrouvés dans un milieu donné
b. Tous les micro-organismes et gènes retrouvés dans un milieu donné
c. Tous les gènes retrouvées dans l’intestin
d. Tous les micro-organismes retrouvés sur la peau
e. C’est magique, c’est fantastique
f. Ben trop compliqué à comprendre
a. Tous les micro-organismes retrouvés dans un milieu donné
91
Quels facteurs peuvent influencer le microbiote:
a. C, D, E, F et G
b. Aucune de ces réponses
c. la diète
d. le pH
e. les antimicrobiens produits par les bactéries
f. les antibiotiques
g. les virus
h. toutes ces réponses sauf G
a. C, D, E, F et G
92
Lequel n’est pas le résultat du système de complément:
- Inflammation
- Opsonisation
- Production d’interféron
- Cytolyse
- Production d’interféron
93
Certains fongis alternes entre la forme diploïde et haploïde. Certains effectuent cette alternance avec une particularité que l’on ne retrouve pas chez les autres organismes vivants. Qu’elle est-elle?
a. La méiose
b. La mitose
c. Fusion nucléaire
d. Stade dicaryote
e. Formation d’un zygote
f. Aucune de ces réponses
d. Stade dicaryote
94
Quelle classe d'anticorps est abondante dans les sécrétions des glandes exocrines (larmes, salives, lait maternel) ?
a. IgM
b. IgD
c. IgA
d. IgG
e. IgE
c. IgA
95
Lequel des énoncées n’est pas une fonction de la région FC des anticops
a. Reconnaissance des épitopes (site de fixation d’antigènes)
b. Participe à la neutralisation
c. Impliqué dans la cytotoxicité à médiation cellulaire dépendant des anticorps
d. Impliqué dans la lyse des cellules du complément
e. Favorise la phagocytose (opsonisation)
a. Reconnaissance des épitopes (site de fixation d’antigènes)
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Quels types de cellules peuvent faire de la phagocytose?
a. Macrophage, neutrophiles et lymphocytes T CD4 +
b. Les macrophages et les neutrophiles sont les seules cellules phagocytaires
c. Macrophages, neutrophiles et cellules dendritiques
d. Macrophages et cellules NK
c. Macrophages, neutrophiles et cellules dendritiques
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Lequel des énoncés suivants ne s’applique pas à la fonction des cellules dendritiques?
a. Sécrétion de pièges extracellulaires
b. Présentation de l’antigènes et activation des lymphocytes T
c. Maintien d’un certain niveau de phagocytose
d. Maintien de la mémoire immunitaire
a. Sécrétion de pièges extracellulaires
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Quel énoncé est faux:
a. Un conjugué anti-espèce est un anticorps produit contre les anticorps de l’espèce d’intérêt. On peut, par exemple, immuniser un chien pour produire des anticorps anti-chien
b. La détection d’anticorps est très utile quand il est difficile de détecter la présence d’antigènes
c. Si l'antigène utilisé dans notre test et contre lequel on cherche des anticorps chez des patients est présent dans une faible proportion de souches du terrain, nous allons avoir des faux négatifs en sérologie
d. La détection d’anticorps est un diagnostic indirect de l’infection: nous détectons le contact au préalable (au moins deux semaines avant) du patient avec l’antigène utilisé dans le test.
a. Un conjugué anti-espèce est un anticorps produit contre les anticorps de l’espèce d’intérêt. On peut, par exemple, immuniser un chien pour produire des anticorps anti-chien.
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Quel énoncé est faux :
a. Dans le cas d’une infection chronique, la quantité d’anticorps reste stable ou elle est en déclin
b. Dans le cas d’une infection aigüe, une seule prise de sang au moment de la présence des signes cliniques est suffisante pour effectuer un diagnostic sérologique
c. Test ELISA pour la détection d’antigènes : nous avons besoin d’un anticorps de capture pour éviter autant des faux négatifs que des faux positifs
d. La détection d’anticorps n’est pas nécessairement faite toujours avec des sérums comme échantillon : on peut parfois utiliser d’autres fluides: salives, colostrum, fluide musculaire, etc.
b. Dans le cas d’une infection aigüe, une seule prise de sang au moment de la présence des signes cliniques est suffisante pour effectuer un diagnostic sérologique
