mobilité/gestion de la douleur Flashcards

1
Q

avec quoi se fait l’évaluation de la douleur?

A

PQRSTU
AMPLE
examen physique

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Q

les risque des Troubles et trauma musculosquelettiques?

A

Risque de limitation fonctionnelle
Risque d’immobilité
Risque de sédentarité

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Q

Quoi faire dans ÉVALUER douleur + outils

A

douleur (donnés subjectives et objectives)
condition physique
condition de santé
histoire de santé

OUTILS:

  • PQRSTU/AMPLE
  • entrevue
  • IMC (si embonpoint)
  • Q-Menez une vie plus active
  • BMAT
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4
Q

Quoi dans ASSURER LE SUIVI douleur

A

prévention
maintien des saines habitudes en matière d’activité physique
facteurs de risque

OUTILS:

  • EM
  • journal de bord
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Q

quoi dans INTERVENIR douleur

A

éduquer le patient (motivation)
expliquer usage de la médication (douleur)
proposer des exercices ou activités

OUTILS:
-entretien

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6
Q

nomme des données subjectives de la lombalgie

A
  • antécédant: tension/traumatisme/arthrose
  • gestion de la santé: tabagisme/manque d’exercice
  • mauvaises posture
  • cognition et perception: douleurs au dos, fesses, rotation, effort
  • rôles: travail qui implique de soulever des charges lourdes
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7
Q

nomme des données objectives de la lombalgie

A
  • muscles paravertébraux tendus à la palpation

- diminution de l’amplitude des mouvements de la colonne vertébrale

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8
Q

dans l’évaluation de la douleur, que faut-il évaluer pour la condition de santé?

A

IMC

tour de taille

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9
Q

comment intervenir en présence de troubles musculosquelettiques aigue?

A
  • éducation
  • Proposer un retour aux activités habituelles
  • Rassurer le patient d’un retour à la normale possible
  • Éviter repos au lit
  • L’usage de médicament (NSAID ou opioïde selon la gravité)
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10
Q

comment intervenir en présence de troubles musculosquelettiques chronique?

A
  • L’usage de médicament (NSAID et antidépresseurs)
  • Thérapie par l’exercice
  • Interventions psychologique (thérapie comportementale)
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11
Q

nommez des éléments à enseigner au patients pour les lombalgie

A

ne pas faire:

  • pas fléchir les genoux en se penchant en avant
  • soulever objets lourds
  • dormir sur le ventre

faire:

  • dormir sur le côté en fléchissant les genoux et hanches
  • maintenir poids santé
  • transporter les objets près du corps
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12
Q

nomme les exercices destinés à renforcer le dos

A

demi-redressement assis (renforcement des abdos)

levée sur les coude (étirement du bas du dos)

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13
Q

activités physique recommandés pour les lombalgies

A

natation
marche
vélo

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14
Q

le dosage et l’intensité de condition physique pour lombalgie?

A

1 à 2,5h/semaine
faible à modérée
éviter de rester au lit

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15
Q

nomme les facteurs de risque des lombalgies

A
  • charge de travail physique intense
  • exposition à des positions non sécuritaires
  • transporter des charges, pousser ou tirer, effectuer des flexions et des torsions
  • Tabagisme
  • Obésité
  • Stress
  • Mauvaise condition physique
  • Positions prolongées de mauvaise posture
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16
Q

nomme les techniques de prévention des lombalgies

A
  • AP faible à modérée
  • Renforcer muscles stabilisateurs du tronc (dorsaux/abdominaux)
  • Augmenter la force, l’endurance
  • Augmenter la flexibilité (exercices étirements jambe/dos)
  • Posture sécuritaire
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17
Q

role de la posture?

A
  • Réduit les tensions sur les structures musculosquelettiques
  • Contribue à l’équilibre
  • Maintient le tonus musculaire
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18
Q

nomme les formes de postures sécuritaires

A
  • Travailler en équilibre (alignement du centre de gravité)
  • Resserrer les muscles abdominaux.
  • Utiliser son propre poids pour entamer le mouvement.
  • Éviter les torsions avec charge
  • Réduire au maximum la charge
  • Ne pas soulever objet si pas certain de le faire sécuritairement
  • Avoir une bonne prise sur la charge à porter.
  • Soulever la charge près de son corps.
  • Soulever doucement, sans saccades.
  • Éviter la friction (résistance due à la masse à déplacer)
  • Limiter les mouvements avec lordoses exagérées
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19
Q

VRAI OU FAUX

Le repos au lit est recommandé lors des douleurs aiguës

A

FAUX

n’est pas

20
Q

VRAI OU FAUX

Lors d’épisode de douleur aiguë, éviter les mouvements
favorisant la douleur.

A

VRAI

21
Q

VRAI OU FAUX

L’activité n’est pas recommandée qu’elle peut causer une détérioration de la condition physique pouvant mener à la sédentarité ou à l’immobilité.

A

FAUX

recommandée pour éviter une détérioration de la condition physique

22
Q

L’exercice atténue la douleur chronique lombaires via….

A
  • étirement: permet de réduire les contractures + spasmes musculaires
  • Amélioration de la condition physique
  • Diminution crainte de douleur lors des AVQ/AVD
  • Libération endorphines (sensation de bien être)
  • L’interaction sociale
  • Réduction de la peur d’évitement
  • Réduction de l’anxiété
23
Q

VRAI OU FAUX

Effet de l’AP sur la douleur:
Réduction de la douleur à long terme

A

FAUX

court et moyen terme

24
Q

Chez le sujet sain, Effets de L’ A.P. sur la douleur?

A

réduction de la perception de la douleur selon le type d’exercice (aérobie, isométrique)

25
Q

VRAI OU FAUX

Chez le sujet avec douleur chronique, l’effet est variable selon la condition et l’intensité de
l’exercice

A

Vrai

26
Q

la douleur amène quel répercussions au niveau physique (musculosquelettique)?

A

Comportement sédentaires
Perte de force
Réduction d’amplitude articulaire
Limitations physiques

27
Q

L’ activité physique est :

  • généralement _______(peu d’effets ______)
  • doit être ____ (____ au patient)
  • réalisée de façon ______
A

sécuritaire, indésirable
expliqué, éducation
progressive

28
Q

effets de la marche sur la réduction de la douleur

A

bon: à court terme (≤ 8 semaines)
bon: Moyen terme (2‐12 mois)
pas bon Long terme (>12 mois)

29
Q

Effets auto‐rapportés sur la fonction physique de la marche

A

bon: à court terme (≤ 8 semaines)
bon: Moyen terme (2‐12 mois)
bon : Long terme (> 12 mois)

30
Q
Lombalgie: En phase  \_\_\_,
l’A.P. (sans \_\_\_\_)
est \_\_\_\_\_ ainsi
que les \_\_\_\_ et
\_\_\_\_ du bas
du \_\_\_\_
A
aigue
douleur
sécuritaire
flexion
extension
dos
31
Q

explique EXPLIQUER douleur

A
  • effet de l’activité sur douleur
  • mécanisme d’action activité sur douleur
  • recommandations sécuritaire
32
Q

méthodes non-pharamaco pour douleur musculosquelettiques

A
  • Bienfaits de l’AP
  • Glace
  • chaleur
  • massage
  • Relaxation
  • imagerie mentale
  • distraction
33
Q

expliquer Application de la glace

A

En phase aigue
Diminue la réaction inflammatoire
diminue les spasmes
soulage la douleur

Attention :
Risques d’engelures cutanées
Sac de glace (glace concassée) = meilleur choix
(recouvrir d’une serviette)

Initialement, sensation de froid intense, puis de brûlure avec des picotements et une légère douleur pouvant durer environ 5 minutes.
Par la suite, anesthésie temporaire de la région

Appliquer sur la région douloureuse pendant 10-15 min (ne pas dépasser 20 min)
Aux 2 heures (Lignes de pratique actuelles : pourrait être diminué qh
Éviter le contact direct avec la peau

Contre indications:
Urticaire au froid
Problèmes circulatoire, de diabète (si complications circulatoires et neurologiques), d’hypertension sévère, maladie de Raynaud

34
Q

expliquer Application de chaleur

A

En phase subaiguë, de réadaptation ou chronique:
Permet de regagner le maximum de mouvement, active la guérison et soulage la douleur
Effet sur la circulation sanguine et sur les récepteurs de la douleur

Attention :

  • Augmente la réaction inflammatoire : pas dans les premiers 48 heures
  • Risque de brûlure (personnes âgées, diabétiques avec complications neurologiques ou personne avec autres problèmes neurologiques)
  • Bain chaud ou douche, sac magique
  • Appliquer sur la région douloureuse pendant 20 min (30 max)
  • Pas dépasser 46 degrés chez personnes à risque de brulure

Contre indications:
- Saignements actifs, plaie, infection, maladie de peau, problèmes circulatoire, cancer

35
Q

nomme les façons de gérer les stimulus douloureux dans l’environnement du client

A

-tender et défroisser les draps
-repositionner l’oreiller
-desserrer les bandages gênants
-changer les pansements mouillés
….

36
Q

choisir l’analgésique approprié lorsque plus d’un médicaments est prescrit

A

utiliser des analgésides non opiodes ou opioides de faible puissance….

37
Q

effets secondaires opiacés

A
constipation
nausées et vomissement (transitoire)
somnolence (transitoire)
bouche sèche (tout le long)
rétention urinaire (transitoire)
38
Q

la dépression respiratoire est rare chez les clients _____ aux ____ ou qui en recoivent depuis _____

A

tolérants aux opiodes

plus d’une semaine

39
Q

clientèle à risque de drépression respiratoire

A
- de 6 ans
\+ de 70 ans
naive à opiacé (moins d'une semaine)
maladie pulmonaire obstructive chornique
apnée du sommeil
insuffisance rénale ou hépatique
douleur intense qui cesse subitement
traumatisme cranien 
obésité (IMC > 35)
médicaments effets dépressif sur le SNC
40
Q

shématisation de la progression de la dépression du SNC

A

Atteinte de l’état de conscience (précoce)
Atteinte de l’état respiratoire (précoce)
Atteinte grave de l’état respiratoire (tardifs)
Atteinte systémique (apport insuffisant O2 et accumulation CO2) (tardifs)
Arret cardiorespiratoire imminent

41
Q

paramètres à évaluer avant l’adminisation d’opiodes

A
  • intensité douleur
  • degré de sédation (+ impo)
  • état respiratoire
42
Q

nomme les degrés de sédation

A

S : Sommeil normal, éveil facile
1 : Éveillé et alerte
2 : Parfois somnolent, éveil facile
3 : Somnolent, s’éveille mais s’endort durant la conversation
4 : Endormi profondément, s’éveille difficilement ou pas du tout à la stimulation

43
Q

quand évaluer la surveillance pour les opiodes

A

si dose augmenté +50% ou changement molécule

  • au moment d’administré
  • au pic d’action
  • intervalles 1 à 2h pour la durée d’action (doublé si insuffisance rénale/hépatique)

ensuite selon l’état du patient

44
Q

Signes de dépression respiratoire

A
  • Score de sédation 3 ou 4
  • Périodes d’apnée
  • Pauses respiratoires fréquentes
  • Présence de forts ronflements
  • Bradypnée: FR à moins de 8 = dépression respiratoire possible
  • SpO 2 à 92% ou moins persistant malgré repositionnement (sans O2)
  • T.A. et P : signes tardifs (avant la 1ère dose; à déterminer ensuite)
45
Q

interventions si niveau sédation S, 1, 2

A

On peut continuer l’administration des opioïdes

46
Q

interventions si niveau sédation 3, 4

A
  • Aviser le médecin
  • Maintenir la surveillance constante de l’état respiratoire aussi longtemps que le niveau de sédation est à 3 (une inf. au chevet)
  • Travail de collaboration à deux infirmières (une reste au chevet)
  • Tête du lit à 30º jusqua 60
  • Inciter à prendre de grandes respirations q 15min
  • O2 PRN (doit être prescrit)
  • Naxolone Narcan : Selon ordonnance collective ou individuelle