Notes opérationnelles Flashcards
1
Q
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Les 3 niveaux de la demande de matériels de protection des biens culturels sont les suivants :
A
2
Q
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Conduite à tenir pour la préservation des œuvres en cas de sinistre :
A
3
Q
Notes opérationnelles, lot de sauvegarde du patrimoine culturelles (SPC)
Conduite à tenir en fonction des zones :
A
4
Q
Notes opérationnelles, ETARE
En fonction du niveau de risque une emprise peut être répertoriée soit : 2/
A
En fonction du niveau de risque une emprise peut être répertoriée soit en établissement signalé (ETS) soit en ETARE.
5
Q
Notes opérationnelles, ETARE
1- NOTION D’EMPRISE GEOGRAPHIQUE IDENTIFIEE (EGI) :
A
Correspond à une surface de terrain, qui peut intégrer un ou des ouvrages. Cette EGI peut correspondre à :
‒ Des zones (bois, cités, etc.) ;
‒ Des bâtiments (habitations, ETS, etc.).
Une même EGI peut ainsi regrouper plusieurs EGI.
6
Q
Notes opérationnelles, ETARE
2- ETABLISSEMENT SIGNALE (ETS) :
A
Un ETS est une EGI dans laquelle le risque n’est pas suffisamment important pour justifier son classement en ETARE.
Exemple :
‒ Eglise ;
‒ Cité sensible.
7
Q
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE) :
A
Un ETARE est une EGI qui présente un ou plusieurs risques et dans laquelle les secours pourraient rencontrer des difficultés.
8
Q
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 1 :
A
Un ETARE 1 est une EGI dans laquelle une mesure opérationnelle est temporairement nécessaire.
Liste Exemple :
‒ Colonne sèche indisponible dans un immeuble d’habitation de 4e famille ;
‒ Installations précaires ;
‒ Zone dépourvue d’hydrants.
9
Q
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 2 :
A
Un ETARE 2 est une EGI dans laquelle existent un ou plusieurs risques permanents.
Liste des ETS faisant systématiquement l’objet d’un référencement en ETARE 2 :
- ERP de type J, O, U et R de la 2e à la 5e catégorie comportant des locaux à sommeil y compris les logements-foyers et les hôtels meublés ;
- ERP de type GA (hors gare avec train grandes lignes et aérogare d’aéroport) ;
- Les accès pompiers (puits d’accès et point de pénétration) ;
- Les accès pompiers ou ouvrages annexes (OA) du GPE ;
- ERP de la 1ère catégorie sans local à sommeil de type :
o J, U et R
o L ou S ≥ 3000 personnes
o M ou T ≥ 4000 personnes si le nombre de niveau de vente est ≥ 3
≥ 6000 personnes si le nombre de niveau de vente est < 3
o X ≥ 10000 personnes
o Y ≥ 4000 personnes
o CTS ≥ 2500 personnes - ERP de type PS :
o de plus de 1000 véhicules
o suite à la loi d’orientation des mobilités, tous les PS comporteront une station de charge pour véhicules électriques. - IGH et ITGH de type A, R, S, TC, W1, W2, Z;
- Laboratoire biologique de type NSB 2,3 ou 4 ;
- ICPE avec une activité de traitement de métaux ; - Ministères, établissements institutionnels et établissements pénitencier ;
- Île inaccessible par voie routière aux engins de secours ;
- Voie de desserte intérieure (VDI) ;
- Construction à proximité du tramway nécessitant une échelle trois plans.
D’autres EGI peuvent être répertoriés ETARE 2 après analyse des risques et validation du BPO.
10
Q
Notes opérationnelles, ETARE
3- ETABLISSEMENT REPERTORIE (ETARE), ETARE 3 :
A
Un ETARE 3 est une EGI dans laquelle existent un ou plusieurs risques permanents connus des sapeurs-pompiers territorialement compétents (triptyque ETARE et visites régulières).
Liste des ETS obligatoirement répertoriées ETARE 3 :
- ERP de type J, O, U et R de la 1ère catégorie avec locaux à sommeil ;
- ERP de type GA :
o gare multimodale avec trains grandes lignes ;
o aérogares d’aéroport (terminal) ; - Gare ou station du GPE en phase de chantier ;
- IGH et ITGH de type O et U ;
- Installation classée pour la protection de l’environnement (ICPE) soumise à un plan d’opération interne (POI) faisant l’objet d’un arrêté préfectoral ;
- Installation nucléaire de base (INB) soumise à un plan d’urgence interne (PUI)
- Tunnel routier > 300m pour lequel un plan d’intervention et de sécurité est établi (PIS) y compris les issues de secours (IS) et poste d’appel d’urgence (PAU) situés en son emprise ;
- Tunnel fluvial de grande longueur.
D’autres EGI peuvent être répertoriés ETARE 3 après analyse des risques et validation par BPO.
11
Q
Notes opérationnelles, ETARE
4- MODALITES D’ENGAGEMENT DU DEPART ETARE :
A
Le départ ÉTARE est engagé pour les codes motifs d’alerte « feu ou explosion » suivants dans un ETARE :
‒ 111 : feu de …
‒ 115 : fuite de gaz enflammée
‒ 116 : explosion
‒ 118 : feu de parc de stationnement couvert
12
Q
Notes opérationnelles, ETARE
5- VOLUME ETARE
A
Volume ETARE générique
La réponse initiale pour feu ou explosion dans un ETARE est un GROUPE ETARE constitué de :
‒ 1 DN (départ normal)
‒ 1 EP (engin-pompe)
‒ 1 VSAV (véhicule de secours et d’assistance aux victimes)
‒ 1 OGC (officier de garde compagnie)
Volume ETARE spécifique
En fonction de la nature de l’ETARE, ce volume et ses ressources spécifiques (exemples : CTHE, échelle 3 plans, ajout de moyens supplémentaires, etc.) peuvent varier. Une RED spécifique est alors paramétrée :
Exemples :
‒ ECTS : Feu de tunnels > 300 mètres : ajout d’1 OGC (CES) ;
‒ IGH et ITGH : ajout systématique d’un groupe commandement par le CSO ;
‒ ICPE : dépôt d’hydrocarbure : Ajout de X FACA-FMOGP.
13
Q
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, contexte : 4/
A
Facteurs aggravants malades mentaux :
- Rupture de traitement
- Famille dans l’incapacité de maîtriser victime
- Alcool ou stupéfiants
- Antécédents violence
14
Q
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, CAT :
A
Dès que sentiment insécurité, demande appui Police :
« Je dde Police d’urgence pour un homme avec une arme blanche agressif envers les secours »
15
Q
Notes opérationnelles,
police sur intervention SSUAP en présence d’un risque, CMA 321 crise nerveuse :
A
EP LAA + caméra piéton + Police
Reconnaissances, mais pas d’engagement avant arrivée Police :
« Après reconnaissances, engagement des secours impossible du fait de l’absence de la Police »
Sauvetage avéré : Demande 1 EP + TDF + Police
16
Q
Notes opérationnelles, Police sur intervention SSUAP en présence d’un risque
A
17
Q
Notes opérationnelles, RCCI
Conditions d’alerte, La garde RCCI est engagée en intervention, le plus rapidement possible, sur ordre du CO dans les cas suivants : 7/
A
La garde RCCI est engagée en intervention, le plus rapidement possible, sur ordre du CO dans les cas suivants :
- Feu ou explosion avec victime décédée (civile ou sapeur-pompier) ou sapeur-pompier blessé (UA) ;
- Feu ou explosion d’origine douteuse ou avec phénomène particulier ou inconnu ;
- Feu ou explosion pouvant générer un contentieux pour les secours de la brigade ;
- Tout feu nécessitant l’envoi ou la demande de G.HAB, G.INC ;
- Tout feu nécessitant une demande de R.HAB ou R.INC ;
- Tout feu où le LCPP est demandé par le COS ;
- Toute autre situation particulière nécessitant une analyse approfondie.
Le COS garde cependant toute latitude de demander la garde RCCI s’il le juge nécessaire.
18
Q
Notes opérationnelles, RCCI
Conditions d’alerte, Le CO prévient la garde RCCI pour tout message ?
A
Le CO prévient la garde RCCI pour tout message sur feu dans lequel le COS passe « poursuivons reconnaissances » et lorsque le sinistre intéresse un établissement particulier (bâtiment institutionnel).
19
Q
Notes opérationnelles, RCCI
Dès lors que le COS a connaissance de la demande de la garde RCCI ?
A
Dès lors que le COS a connaissance de la demande de la garde RCCI, il s’attache à préserver au maximum la scène d’incendie.
20
Q
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
La flotte d’ULM en France est portée à 15000 aéronefs, dont 3000 sont équipés de parachute de secours déclenché par un … … .
Régulièrement, au cours de leur enquête de sécurité, les services du BEA observent l’absence de prise en compte de ces dispositifs dans l’analyse des risques des secours.
A
La flotte d’ULM en France est portée à 15000 aéronefs, dont 3000 sont équipés de parachute de secours déclenché par un dispositif pyrotechnique.
Régulièrement, au cours de leur enquête de sécurité, les services du BEA observent l’absence de prise en compte de ces dispositifs dans l’analyse des risques des secours.
21
Q
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
Les parachutes de secours peuvent équiper les aéronefs de type ULM. Il n’y a pas d’obligation de détention pour ces dispositifs non normés dans leur repérage, emplacement et visualisation. Ils comprennent les éléments suivants : 4/
A
22
Q
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
Le principal risque est la mise à feu de la charge en cas d’incendie ou d’action sur le câble de commande (découpe, tirage, etc.) donnant lieu à l’éjection du parachute. Son déclenchement dans des situations d’urgence est de la forme suivante :
A
- Le déclenchement de la fusée via une action sur le câble entraîne le parachute.
- L’activation involontaire du parachute au cours d’une opération de secours peut entraîner des risques au cours de son éjection pour les intervenants.
23
Q
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
CAT :
A
Dans le doute, il faut partir du principe que l’ULM dispose d’un parachute pyrotechnique.
Une levée de doute doit être réalisée, ainsi qu’une neutralisation en cas de découverte par les services de déminage.
La présence d’un parachute déployé ne doit pas être considérée comme un dispositif actionné. Si l’usage d’un moyen d’extinction ou de protection est nécessaire, il devra être utilisé à distance de l’aéronef.
L’approche de l’ULM doit rester prudente.
Sa position après contact avec le sol ne laisse pas de règle sur l’axe d’éjection du parachute.
Si la ou les victimes UA ou UR doivent être extraites de l’ULM, les règles d’usage de désincarcération seront respectées, notamment la notion de dégarnissage. Toutes découpes et/ou manipulations de câbles sont proscrites.
24
Q
Notes opérationnelles, Dispositif pyrotechniques sur les ULM
En cas de découverte d’un parachute, zone d’exclusion :
A
25
Notes opérationnelles, Eclairage public
Pour toute demande d’éclairage public dans PARIS uniquement, coupler la demande avec ENEDIS d’urgence et police.
En extra-muros, coupler la demande d’éclairage public avec une demande de police.
La société « CIELIS » gère uniquement pour PARIS le service de l’éclairage public Cette société assure l’exploitation et la maintenance :
- des installations d’éclairage public (réverbères, candélabres, etc.) ;
- du réseau des illuminations permanentes (ponts, monuments, manèges, etc.) ;
- du réseau de signalisation tricolore ;
- de l’éclairage du boulevard périphérique ;
- d’une partie du réseau de mobilier urbains.
26
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Repli général :
Repli général :
En cas de danger grave et imminent. Permet le désengagement le plus rapide possible des équipes exposées au danger.
- « Alerte repli, alerte repli, alerte repli » (canaux tactiques)
- Corne de brume pendant 1 minute au moins (ou tout autre moyen sonore)
Dès réception du signal, l’ensemble des personnels se désengage et se rassemble dans une zone hors de danger aux ordres des chefs d’agrès, eux même aux ordres des chefs de secteurs.
Ces derniers rendent compte au COS du personnels présent et surtout manquant.
27
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Renfort secours :
Renfort secours :
Destiné à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident.
Un groupe ETARE compose le renfort secours afin de relever les 1ers intervenants.
« Je demande renfort secours, telle adresse »
28
Notes opérationnelles, Gestion des accidents du personnel du corps en opération
Soutien immédiat, rôle du COS :
Soutien immédiat, rôle du COS :
Il désengage dès que possible les impliqués direct de l’évènement et les regroupes dans une zone différente de la ZRCP.
Si fonction de commandement, le désengagement est progressif et après point de situation complet.
Il fait contacter par le CO ou la régulation médicale le psychologue d’astreinte.
Dès que la relève est assurée, il renvoi les personnels au CS sous la responsabilité du chef de garde ou chef de centre.
NB : Le ou les chefs de centre concernés (soutien de proximité) font partis de la cellule de soutien mise en place par l’officier du groupement désigné par le chef de corps.
Contact téléphonique avec le ou les CS, hors voie hiérarchique, interdit.
29
Notes opérationnelles, Doctrine d'emploi de la lance haute pression
caractéristiques : 5/
- Pression : 300b / Débit : 60 L/min
- Refroidissement fumées / gaz chauds en milieu clos / semi-clos
- Perforation (percement de tout type de paroi)
- Permet de manoeuvrer jusqu’à 400 m et au-delà de 60 m de hauteur.
- Remplace le groupe d’établissement grande hauteur.
30
Notes opérationnelles, Doctrine d'emploi de la lance haute pression
Cas d'emploi : 7/
- Feux de contenant sous-ventilés / difficilement accessibles
- Acte terroriste avec menace incendie
- Moyen hydraulique en plus de LHP
- Méthodologie :
o S : scanner avec CTHE pour localiser Pt chaud et définir pt attaque
o A : attaquer + contrôler abaissement T° (100°C : suppression back draft)
o V : ventiler
o E : entrer + extinction finale
- Établissement d’un moyen hydraulique obligatoire avant utilisation LHP
- Le GHP (Groupe Haute Pression) = FPTL HP + VL CdG HP engagé :
o Sur demande du COS « je demande un groupe haute pression, … » ;
o Tout départ IGH avec avis défavorable ;
o Sur ordre EMO.
- SÉCURITÉ : ZEX 10m derrière le porte lance, 5m autour.
31
Notes opérationnelles, Doctrine d'emploi de la lance haute pression
LSO : 3/
- GIS 1 : PIER
- GIS 2 : MALF
- GIS 3 : AUTE
32
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
CMA = ?
CMA 119 = G. ETARE
33
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 1er EP : 11/
-faciliter l'accès des intervenants ;
-visualiser rapidement les faces directement accessibles du sinistre ;
-rappeler et bloquer tous les ascenseurs au niveau de l’accès des secours puis réaliser le contrôle visuel et rendre compte si un ascenseur est bloqué dans les étages ;
-employer les moyens de prévention et de secours à disposition (colonne sèche, tirer-lâcher, portes d'encloisonnement, etc.) ;
-réaliser les sauvetages et les mises en sécurité ;
-établir un premier moyen hydraulique (CS, ligne d'attaque et LDT) ;
-neutraliser les fluides ;
-ouvrir ou forcer la porte de l 'appartement ;
-lutter contre l'envahissement des fumées dans les circulations par la mise en place du rideau stoppeur de fumées si nécessaire ;
-attaquer jusqu'à l 'extinction complète du sinistre (maintenir les équipes à l'attaque) ;
-préparer et faciliter l'engagement du chef de garde par un compte-rendu concis et précis au contact direct.
34
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions MEA : 5/
-réaliser les sauvetages ou les mises en sécurité ;
-mettre à disposition, à l'accès des secours, les moyens de ventilation opérationnelle et de forcement ;
-positionner le ventilateur maître ;
-assurer la surveillance permanente de la façade : rassurer les habitants au moyen du porte-voix, contrôler l'évolution du sinistre et être en mesure de secourir une équipe en difficulté ;
-rester à la disposition du COS.
35
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 2ème EP : 4/
-compléter si nécessaire le dispositif hydraulique (alimentation d'une deuxième colonne sèche, établissement d'une division alimentée, etc.) ;
-monter au niveau sinistré le ventilateur autonome portable et le DOP si nécessaire ;
-prendre toutes les mesures nécessaires permettant d'éviter la propagation des fumées ;
-assurer l'évacuation des fumées présentent dans la cage d’escalier.
36
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions 3ème EP : 2/
- se met aux ordres du COS afin de compléter les actions non réalisées ;
- c'est « le pion de manœuvre ». Il doit à minima emporter un lot d'effraction.
37
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Missions VSAV : 3/
-rechercher un PRV ;
-prendre en charge les premières victimes ;
-en l'absence de victimes, identifier à l'aide de la police le point de regroupement des habitants et y recueillir des informations au profit du COS (occupation des logements, clés, gardien, etc.).
38
Notes opérationnelles, feu dans un immeuble de la 4ème famille
Points clés : 6/
-coordination de l’ensemble de la manœuvre aux ordres du COS ;
-rideau stop-fumées et ventilation opérationnelle ;
-PMP et zone d’attente des binômes dans les étages inférieurs au sinistre ;
-2e moyens hydrauliques (division, LHP, CS du BEA, etc…) ;
-tableau de suivi des reconnaissances et lot d’effraction ;
-utilisation des ascenseurs prioritaires uniquement comme monte-charge pour le matériel.
39
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Missions : 3/
- brancardage.
- secourisme en situation d’exception.
- appui et noria logistique de grande ampleur.
40
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Composition : 6/
- 1 SPCT.
- 1 combi 9 places.
- 1 SPVL.
- 20 brancards.
- 20 Trousses Individuelles Sapeurs-Pompiers (TISP).
- 3 systèmes amovibles avertisseurs sonores et lumineux.
41
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Cas de déclenchement : 2/
- Officier de Garde CO (OGCO)
- Demande du COS.
42
Notes opérationnelles, Groupe de soutien
Lieu de stationnement : 1/
- EM CHPT, armé par vivier CCL5
43
Notes opérationnelles, Escorte motorisée
Demande d’escorte motorisée au profit d’une AR avec ou sans présence de la police SLL :
- Le COS demande par radio : « Je demande une escorte motorisée… »
Demande d’escorte motorisée au profit d’une UMH :
- C’est le SAMU TC qui doit en faire la demande.
44
Notes opérationnelles, Prise en charge des chiens guide d'aveugle
Lorsqu’une victime, accompagnée d’un chien d’assistance ou d’un chien guide doit être transportée dans le cadre du SSUAP, le COS demande un groupe risque animalier (G. RANI).
1- Le chien n’est pas en bonne santé -> Le VRA prend en charge le chien et le transporte sur une structure vétérinaire selon les procédures BSPP.
2- Le chien est en bonne santé -> Le chef d’agrès du VRA contacte la permanence de l’association propriétaire du chien pour convenir d’un lieu de RDV où ramener le chien.
45
Notes opérationnelles, Matelas de sauvetage 3/
- Se trouve à bord des VID ou VPS, (MTRL, MASS, GREN). Gonflé en 40s.
- Réception 1 seule personne à la fois, hauteur maximum de chute : 15m
- Superficie mini : 3.5m x 3.5m soit 12 m².
46
Notes opérationnelles, Modalité d'emploi des aéronefs télépilotés
Messagerie opérationnelle : 3/
- « Je demande un Véhicule de Reconnaissance et d’Intervention par Drone (VRID), telle adresse … »
- « Reconnaissance par aéronef télépiloté en cours »
- « Reconnaissance par aéronef télépiloté terminée »
47
Notes opérationnelles, Modalité d'emploi des aéronefs télépilotés
Motifs de départ : 20/
* 114 : Feu de forêt, de broussailles en forêt, de chaumes ou de champ développés
* 141 : Feu de véhicule de TMD
* 120 : Feu/explosion de métro/RER/Train/Val à l'air libre ou portion aérienne
* 122 : Feu ou explosion sur un bateau à passager
* 205 : Accident véhicule transport matières dangereuses
* 2080 : Accident fluvial de bateau avec passagers
* 260 : Chute d'aéronef ZA BSPP
* 261 : Chute d'aéronef ZVA BSPP
* 263 : Chute d'aéronef hors ZA et ZVA {moyens à l'adresse)
* 708 : Éboulement effondrement
* 800 : Pollution aquatique avérée
* 803 : Levée de doute pollution aquatique
* 804 : Pollution terrestre avérée
* 813 : Intervention à caractère radiologique/biologique/chimique
* 909 : Reconnaissances de commandement
* 9010 : Personne égarée ou disparue sur réquisition
* Groupe habitation {anticipation ou demande)
* Groupe incendie (anticipation ou demande)
* Renfort habitation ou incendie ou secours
* Sur demande du COS
48
Notes opérationnelles, Modalité d'emploi des aéronefs télépilotés
LSO : 1/
- EMGAS
49
Notes opérationnelles, Modalité d'emploi des aéronefs télépilotés
Concernant le drone captif autonome FOTOKITE présent dans les PC TAC et VRID : 2/
- « Reconnaissance par aéronef télépiloté captif en cours »
- « Reconnaissance par aéronef télépiloté captif terminée »
ATTENTION : Informer l’ensemble des intervenants de sa mise en œuvre.
50
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Emplacement :
- 2 EC145 à héliport Issy-les-Moulineaux
51
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Missions : 4/
- Évacuation sanitaire
- Hélitransport d’équipes de secours spécialisées + matériel
- Hélitreuillage, Hélisauvetage
- Reconnaissances aérienne et renseignement par l’image
52
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Modalités : 2/
- Tout COS « Je demande un hélicoptère, telle mission, zone de poser … »
- Cas de besoin images (jour ou nuit) : « Je demande un hélicoptère pour emploi caméra, zone de poser …) »
Si mission validée par OGCO (après conférence CO/COZ/base), COS informé arrivée hélicoptère + délai
53
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Communications : 4/
- P1 : DIR AIRSOL-610 (COS/CSO/CO/hélicoptère)
- P2 : DIR AIRSOL-620
- P3 : DIR AIRSOL-630
- P4 : DIR AIRSOL-640
54
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Délais de décollage : 2/
- Jour : compter environ 20 min entre la demande et la présentation sur tout le secteur BSPP.
- Nuit : compter environ 30 min entre la demande et la présentation sur tout le secteur BSPP.
55
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Guidage : 4/
56
Notes opérationnelles, Emploi de l'hélicoptère « Dragon 75 »
Aire de poser : 8/
- Zone dégagée plutôt en hauteur que dans une cuvette.
- 30m x 30m minimum, avec si possible un axe dégagé, face au vent
- Surface dure et plane, sans obstacle au sol haut de plus de 30 cm.
- Terrain non poussiéreux (sinon prévoir arrosage)
- Pas d’objet susceptible de s’envoler
- Si besoin d’évacuer et sécuriser la zone, demander un EP.
- Mise en place d’un « marqueur » sapeur chargé du guidage au sol : debout bras tendus en l’air, dos au vent, et s’agenouille à l’arrivée de l’hélicoptère (casque et lunette de protection)
- On aborde toujours un hélicoptère par l’avant avec autorisation du mécanicien ou du pilote (Contact visuel en permanence).
57
Notes opérationnelles, Section soutien opérationnel
Emplacement : 1/
- CCL5
58
Notes opérationnelles, Section soutien opérationnel
Cas emploi : 3/
Pas d’engagement en Zone Exclusion (pax inaptes ARI)
3 détachements :
- Détachement SUAP (brancardage pour plans spéciaux)
- Détachement grande intempérie (épuisement, tronçonnage)
- Détachement opération importante ou particulière (pax pour manutention : établissement gde longueur, naufragé route …)
59
Notes opérationnelles, Section soutien opérationnel
Modalités d’emploi : 3/
- Sur ordre OGCO
- Sur demande COS « Je demande une section de soutien opérationnel pour (brancardage, …) rendue pour heure, adresse »
- astreinte 1h00
60
Notes opérationnelles, Feu de triporteur électrique
Véhicules non référencés, mise en charge de la batterie 12V s’effectue sur le secteur 230V au moyen d’installations anarchiques.
Structure en composite très fumigène avec potentiel calorifique important. Présent dans les PSC ouvert au public, la propagation aux autres véhicules peut être très rapide.
La réglementation prévoit d’identifier les stations de charge et la coupure d’urgence électrique au poste de d’exploitation ou à proximité des commandes de désenfumage, sur les plans d’intervention ou des niveaux.
61
Notes opérationnelles, Procédure radio « SIS IDF »
Cette communication est accessible ---. Utilisable par ----
Cette communication est accessible sous le groupe n°286 et porte l’allias « SIS IDF ». Utilisable par les moyens de la sécurité civile de l’Ile de France. Elle est veillée par les CSO/CO/CODIS.
62
Notes opérationnelles, Procédure radio « SIS IDF »
Plusieurs cas : 2/
CAS n°1 : Engin BSPP effectuant un transport sur un CH hors secteur BSPP.
CAS n°2 : Engin BSPP engagé dans le cadre d’une CIAM ou intervenant seul hors secteur BSPP.
63
Notes opérationnelles, Procédure radio « SIS IDF »
CAS n°1 : Engin BSPP effectuant un transport sur un CH hors secteur BSPP.
Le chef d’agrès transmet le message suivant sur Golf 3 :
« Golf3, Engin X, n°, CS, se dirige sur l’hôpital X, secteur SDIS X, passe sur la communication « SIS IDF »
Se présente et quitte l’hôpital sur le « SIS IDF » « Engin X BSPP »
De retour sur son secteur, bascule sur SGAP OPS 3 et transmet :
« Golf 3, Engin X, n°, CS, disponible, quitte la communication « SIS IDF »
64
Notes opérationnelles, Procédure radio « SIS IDF »
CAS n°2 : Engin BSPP engagé dans le cadre d’une CIAM ou intervenant seul hors secteur BSPP.
Le chef d’agrès transmet le message suivant sur Golf 3 :
« Golf3, Engin X, n°, CS, parti tel motif, telle adresse, secteur SDIS X, passe sur la communication « SIS IDF »
Passe ses messages sur le « SIS IDF » « Engin X BSPP »
De retour sur son secteur, bascule sur SGAP OPS 3 et transmet :
« Golf 3, Engin X, n°, CS, disponible, quitte la communication « SIS IDF »
65
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Le PDF1 permet la détection des toxiques liquides (pas les formes vapeur et aérosol) appartenant aux familles des : 3/
- Vésicants (ypérites)
- Neurotoxiques type G (sarin, soman, tabun)
- Neurotoxique type A (VX)
66
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Description : 1/
- Conditionné en emballage hermétique, le carnet PDF1 est composé de 10 feuilles adhésives détachables
67
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Principe de fonctionnement : 2/
- Les feuilles du carnet sont imprégnées de colorants qui sont révélés au contact des agents chimiques (on dit que le papier vire)
- A l'intérieur de chaque carnet figure un rappel sur les virages du PDF1 face à un toxique liquide :
°rouge à violacé = Vésicant
°jaune à orange = produit G
°bleu-vert foncé à noir = produit A
68
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Modes d'emploi principaux : 3/
- Une feuille du carnet peut être collée sur une partie d'EPI (visible de l'utilisateur / binôme et susceptible d'être en contact avec le produit)
- Elle peut être utilisée directement pour contrôler un liquide suspect en plaçant le papier au contact du liquide (port obligatoire des EPI NRBC)
- En cas de suspicion forte, on peut également la coller au bout d'une tige afin de balayer le sol devant la progression des binômes
69
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Important, le PDF1 : 2/
- vire au noir au contact de certaines solutions militaires de décontamination (pas en dotation à la BSPP)
- se tâche au contact du gasoil
En revanche il ne réagit pas avec l'eau, l'essence, les huiles minérales, les toxiques sous forme gazeuse et d'aérosol.
70
Notes opérationnelles, Papier détecteur F1 (PDF1)
Important, mémo
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Notes opérationnelles, Intervention en présence de drone
Risques : 4/
- Explosion si court-circuit ou décharge excessive
- Si dégagement de fumée ou gonflement de l’enveloppe de la batterie, risque imminent
- Criblage en cas d’explosion
- Coupure pendant manipulation
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Notes opérationnelles, Intervention en présence de drone
Conduite à tenir : 5/
- Demander police systématiquement
- Considérer l’engin comme dangereux tant que la batterie est branchée
- Intervenants en tenue de feu et gants de déblai pour manipuler (risque coupure et perte d’empreintes du propriétaire)
- Si gonflement de la batterie : isoler dans une boite non-inflammable
- Si dégagement de fumée, immerger la batterie dans l’eau ou au moins la couvrir + évacuation
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Notes opérationnelles, Présence macaron bleu
Le préfet de police attire notre attention sur la présence possible, sur le pare-brise des véhicules de tiers, d’un macaron « cercle bleu ». La présence de ce macaron indique aux intervenants qu’en cas d’accident grave de la circulation, la victime peut être détentrice d’une carte de don d’organes dans ses papiers.
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Notes opérationnelles, Présence macaron bleu
Le CA, dès qu’il en a connaissance, doit informer : 3/
- Responsable des forces de l’ordre
- Médecin des secours médicaux
- L’IAO en cas de transport en SAU
D’autres associations pour le don d’organes existent en France (AFFDO, Fondation greffe de vie, ADOT…)
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Présentation :
Afin d’apporter une réponse opérationnelle adaptée, la brigade se dote d’une capacité d’extraction complémentaire aux moyens courants, susceptible d’être engagée sous court préavis à la demande du Directeur des Opérations (DO) ou des services menant (COS, COPC, COIS). Elle se concrétise par la mise en service de trois Groupes d’Extraction Spécialisés (GES), engageables sur le secteur Brigade.
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
La brigade dispose de trois GES répartis et composés de la façon suivante : 3/
‒ GES 1 : VLOGC 13 / CELD BLME / VSAV BLME / VLCG BLME / VPMA CCL1
‒ GES 2: VLOGC 2 / CELD IVRY / VSAV IVRY / VLCG IVRY / VPMA IVRY
‒ GES 3 : VLOGC 6 / CELD ISSY / VSAV ISSY / VLCG ISSY / VPMA CCL3
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
En cas de déclenchement d’un ou plusieurs GES, le CO s’assure de l’envoi d’au moins :
En cas de déclenchement d’un ou plusieurs GES, le CO s’assure de l’envoi d’au moins une équipe médicale BSPP sur chaque site où un GES est engagé. Le VPMA peut être déjà engagé sur l’intervention (cas du PRA).
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
L’OGC, l’équipe médicale et les binômes sont tous équipés ... ... ... .
L’OGC, l’équipe médicale et les binômes sont tous équipés de protections balistiques (casques et gilets pare-balle).
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Sur le terrain, un GES (1/2/8) est articulé comme suit : 2/
‒ 1 OGC
assure l’organisation du SAS-PRV avec l’équipe médicale et la coordination avec les forces de police chargées de la sécurisation de la zone d’action ;
‒ 5 binômes d’extraction
effectuent des norias de victimes vers le SAS-PRV.
Chaque personnel dispose d’une trousse individuelle de sapeurs-pompiers spécialistes (TISP) comprenant notamment un pansement hémostatique, une bande élastique, un pansement compressif, deux garrots tourniquets, une paire de ciseaux et une couverture de survie.
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Modalités d'engagement, Le GES peut être envoyé sur intervention : 3/
‒ Dès le déclenchement du CMA 319 (prise d’otages massive) ;
‒ Sur demande du COS sous la forme : « je demande un GES telle adresse… » ;
‒ Sur ordre du COB.
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Modalités d'engagement, Dès l’engagement d’un groupe, le CO doit : 2/
‒ placer les 2 autres GES en indisponible transit (ITT) ;
‒ alerter les SDIS de la grande couronne qu’en cas de demande d’une spécialité IMP, ELD et RSMU, la brigade pourrait solliciter un renforcement.
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Modalités d'engagement, Avant tout engagement du GES, le COS doit :
Avant tout engagement du GES, le COS doit s’assurer auprès du COIS ou du COPC d’une levée de doute pyrotechnique et obtenir systématiquement l’aval du COB.
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Notes opérationnelles, Groupe d'extraction spécialisé (GES)
Type de sécurisation, Indépendamment du terrain et des choix tactiques du COIS, 3 modes d’action de base peuvent être utilisés : 3/
‒ Protection par binôme :
Chaque binôme BSPP est protégé par un trinôme de policiers des CSI, BAC N ou BI qui assurent leur sécurité rapprochée lors des déplacements et du ramassage de la victime. Le débit d’extraction est relativement faible mais la sécurité est maximale.
‒ Protection par groupe :
Il s’agit de progresser de façon très dynamique en une seule fois avec les 5 binômes jusqu’au nid des victimes. Le débit est rapide et le temps de vulnérabilité est restreint.
‒ Protection de la zone :
Les forces de police assurent la sécurisation d’une zone définie (corridor) à partir de positions de tirs statiques laissant une liberté d’action totale aux GES. Dans ce cas de figure, les débits peuvent être améliorés par l’utilisation de véhicules et/ou le renfort d’autres sapeurs-pompiers.
Le choix de ces modes d’actions, appartient au COIS en fonction du terrain et de la situation.
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
Rappel sur les T°C et leurs effets :
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
* Les insolations et les épuisements hyperthermiques sont pris en charge à l’aide du matériel ... ... disponible toute l’année dans chaque engin (ancien lot canicule) ;
* Les insolations et les épuisements hyperthermiques sont pris en charge à l’aide du matériel « trousse hyperthermique » disponible toute l’année dans chaque engin (ancien lot canicule) ;
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
* Le coup de chaleur est pris en charge à l’aide du ... ... ... ... (ancien lot appui froid).
* Le coup de chaleur est pris en charge à l’aide du « lot coup de chaleur » (ancien lot appui froid).
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
Composition lot coup de chaleur : 2/
o Une ressource « glace pour refroidissement » (20 kg de glaçon dans chaque PC de Cie) ;
o Une ressource « brancard baignoire » positionnée dans le VPMA, VAS, VRCP.
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
Modalité d'engagement :
o A l’appel, sur ordre du CO :
▪ Sur proposition CM ;
▪ En anticipation.
o Sur intervention, à la demande du COS :
▪ En présence d’un EP sur intervention :
« Je demande un lot coup de chaleur, telle adresse, Dénombrement terrain provisoire une victime UA, attendons moyen médicalisé »
▪ En l’absence d’EP sur intervention :
« Je demande un EP et un lot coup de chaleur, telle adresse, Dénombrement terrain provisoire une victime UA, attendons moyen médicalisé »
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Notes opérationnelles, Adaptation de la réponse et des moyens face aux coups de chaleur
Le ... ... est au coup de chaleur ce que la RCP est à l’arrêt cardiaque.
Le refroidissement au plus vite d’un coup de chaleur par les moyens efficaces est une ... ... .
NB : Pour toute utilisation d’un lot coup de chaleur, le chef d’agrès indique l’emploi de la glace dans son message de rentrée et contacte le BPIB pour demander le réapprovisionnement.
Le refroidissement massif est au coup de chaleur ce que la RCP est à l’arrêt cardiaque.
Le refroidissement au plus vite d’un coup de chaleur par les moyens efficaces est une urgence vitale.
NB : Pour toute utilisation d’un lot coup de chaleur, le chef d’agrès indique l’emploi de la glace dans son message de rentrée et contacte le BPIB pour demander le réapprovisionnement.
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Notes opérationnelles, tenues de protection contre les risques biologiques
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, Schéma
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, 1- Arrivée sur intervention : 2/
- Fermeture fenêtre engins
- Stationnement engins hors zone sous le vent
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, 2. Pendant intervention : 6/
- Engagement sous ARI
- Définir ZE + SAS décontamination
- Limiter VO / désenfumage
- Demander GIC + CRAC (+VSAV si victime exposée fibre amiante)
- Limiter déblai
- Anticiper matériel décontamination (acheminés par camionnette du PC Cie) :
o Sacs poubelle
o Bassines / lavettes / brosses
o Tenues pour risques Bio
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, 3. Avant de quitter l’intervention : 3/
- Déposer TDF/gants/cagoule dans sacs poubelle + étiquette (matricule, date, motif : contamination par amiante) : camionnette
- Casques + bottes + ARI nettoyée à grande eau au SAS
- Engins + matériels : lavage grande eau
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, 4. Retour intervention : 4/
- Engin état indisponible remise condition matériel / personnel
- Désinfection mensuelle SOUS tenues BIO
- DMRO : changement filtres air
- Lavage SVI tenues F1
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Notes opérationnelles, Incendie dans un chantier de désamiantage
Principe d'intervention, schéma récap protocole de la douche
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Notes opérationnelles, protocole HPI
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Notes opérationnelles, protocole HPI
Lot HPI EP : 5/
‒ 25 masques FFP3
‒ 1 boîte de gants jetables
‒ 1 boite de lingettes
‒ 10 sacs poubelle de 100 litres pour ARI
‒ 6 sacs de conditionnement
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Notes opérationnelles, protocole HPI
Lot HPI MEA : 5/
‒ 6 masques FFP3
‒ 1 boîte de gants jetables
‒ 1 boite de lingettes
‒ 4 sacs poubelle de 100 litres pour ARI
‒ 2 sacs de conditionnement
100
Notes opérationnelles, protocole HPI
Lot HPI Camionnette de désengagement (véhicule de l'unité SP / VID / VPS...) : 6/
‒ 50 masques FFP3
‒ 3 boîtes de gants jetables
‒ 2 boites de lingettes
‒ 40 sacs poubelle de 100 litres pour ARI
‒ 10 sacs de conditionnement
‒ 1 caisse de transport
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Notes opérationnelles, Feu dans un bâtiment squatté
Pour toute intervention pour feu dans un bâtiment squatté sur le secteur BSPP, le COS doit obligatoirement demander ---
Pour toute intervention pour feu dans un bâtiment squatté sur le secteur BSPP, le COS doit obligatoirement demander le déplacement d’un représentant de la mairie concernée.
La demande se fait par radio, sous la forme :
« Je demande un représentant de la mairie de X, telle adresse. »
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Notes opérationnelles, Feu dans un bâtiment squatté
Après demande du représentant de la mairie par le COS, Le stationnaire du PVO TC contacte par téléphone la mairie concernée puis le notifie dans la MCO sous la forme :
« Mairie de X contactée à telle heure. ».
Si la mairie n’est pas joignable, le stationnaire du PVO TC le notifie dans la MCO sous la forme : « Contact mairie de X fait à telle heure, injoignable. » et il rend compte au COS par radio.
103
Notes opérationnelles, Feu dans un bâtiment squatté
À partir du moment où la mairie a été prévenue, le COS ---
À partir du moment où la mairie a été prévenue, le COS ne doit pas attendre l’arrivée du représentant sur les lieux de l’intervention.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ 2 objectifs du RCP : 2/
- Optimiser la récupération physique et physiologique du personnel engagé sur intervention de longue durée et/ou difficile ;
- Permettre le réengagement dans les meilleures conditions, conformément aux règlements opérationnels en vigueur.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ 3 impératifs : 3/
- Échange des EPI mouillés, souillées ou détériorés des personnels devant se réengager ;
- Refroidissement ou réchauffement ;
- Réhydratation et alimentation.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Organisation de la RCP, Groupe RCP : 2/
Déclenché sur demande de GHAB, GINC, au moins 4 EP sur intervention ou sur demande du COS.
- VSAV RCP + camionnette RCP (avec lot sanitaire) + VPMA
- Le CA VSAV est chef de la ZRCP et veille particulièrement à la MAJ de la fiche de suivi BOPE 25 des intervenants en ZRCP.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Organisation de la RCP, Section RCP : 3/
Déclenché sur demande de RHAB, RINC, RSEC ou sur demande du COS.
- GRCP (VSAV, VPMA et camionnette RCP)
- VL CDG RCP qui est chef de la ZRCP (cf. mission)
- VRCP (10 SP max à l’intérieur)
N.B. : le VRCP ne peut pas être demandé en dehors de la section.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Critère d’un ZRCP : 5/
Privilégier des locaux en dur, sécurisés, confortables, ergonomiques, fluidité de circulation et à l’abris du public.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Mission du chef de la ZRCP : 3/
- Propose l’emplacement de la ZRCP au COS ;
- Assure le contrôle et le suivi de l’état physique et physiologique des SP qui pénètrent en ZRCP et rend-compte de tout personnel se trouvant dans une incapacité de se réengager.
- Être force de proposition dans la valorisation de la ZRCP, en demandant au COS des moyens complémentaires si nécessaire (logistique ou associatif ou PP ?)
N.B : du matériel SAV doit être disponible dans le ZRCP
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Le lot sanitaire : 5/
Composé de :
- tables
- savon
- essuie-main
- jerrican d’eau
- sacs poubelles.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Objectif du lot sanitaire : 3/
- Limiter le risque de transmission virale ;
- Limiter l’exposition aux particules fines ;
- Ravitailler le personnel dans des conditions sanitaires améliorées.
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
➢ Critère de réengagement du SPP :
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Notes opérationnelles, Remise en condition du personnel sur opération (RCP)
Schéma cycle de remise en condition du personnel
