PC SA24 Flashcards
(138 cards)
1
Q
préconscient
A
souvenirs non-présents à la conscience mais qui sont accessibles à la conscience, en fonction de l’attention qu’on leur porte (ex. n° de téléphone)
2
Q
inconscient
A
partie de l’esprit qui reste inaccessible sans une méthode scientifique
pour passer d’un niveau à un autre, hypnose/associations libres (ex. dessert ; chocolat)
3
Q
ça
A
structure psychique originaire, présente à la naissance, lieu des pulsions primitives
réclame la satisfaction -> principe de plaisir
4
Q
moi
A
établit une manière raisonnable de supporter l’insatisfaction, la frustration
freine les revendications du ça, pour rendre le comportement plus conforme à la société -> principe de réalité
5
Q
surmoi
A
prise de conscience des attentes
gardien interne de la morale -> principe de perfection
6
Q
pulsion
A
concept limite entre l’organique et le psychique
> poussée qui fait tendre l’organisme vers la réduction des tensions
pulsion de vie/libido = eros : pulsions du “moi”
pulsion de mort = thanatos : comportements de destruction
7
Q
mécanismes de défense
A
moyens de transformations des pulsions pour qu’elles restent gérables psychiquement
ils expriment un conflit et en même temps une tentative pour résoudre ce conflit
8
Q
liste des mécanismes de défense RRDDFRPS
A
> refoulement
régression
déplacement
déni
formation réactionnelle
rationalisation
projection
sublimation
9
Q
prime enfance
A
stades psychosexuels (oral, anal, phallique, génital). Ils représentent une forme spécifique de gratification des pulsions (pulsions “partielles”)
10
Q
complexe d’oedipe
A
réseau des désirs et des mouvements hostiles dont les objets sont le père et la mère, et des défenses qui s’y opposent
avec l’identification avec le parent du même sexe, les enfants intériorisent leurs valeurs parentales sous la forme du surmoi
11
Q
névrose
A
affection psychogène où les symptômes sont l’expression symbolique d’un conflit psychique trouvant ses racines dans l’histoire infantile du sujet et constituant des compromis entre le désir et la défense
12
Q
formes principales de névrose APHOT
A
- Névrose d’angoisse
- Névrose phobique
- Névrose hystérique
- Névrose obsessionnelle
- Névrose traumatique
13
Q
techniques de la thérapie psychanalytique ARA
A
> Association libre
Analyse du rêve
Analyse de la relation transférentielle (= transfert)
14
Q
association libre
A
verbalisation des pensées non censurées telles qu’elles viennent à l’esprit
permet de casser les défenses qui bloquent la prise de conscience des processus inconscients
15
Q
résistance
A
refus/incapacité à accepter les progrès du traitement
16
Q
contenu manifeste
A
le matériel du rêve que le rêveur expérimente et rapporte
17
Q
contenu latent
A
le matériel inconscient que le rêve symbolise/représente
18
Q
transfert
A
les patients s’adressent à l’analyste d’une façon qui reflète leurs sentiments et leurs attitudes envers d’autres personnes importantes de leur vie : transfert de la libido envers le psychanalyste.
Heiman montre l’important du contre-transfert
> L’analyste peut aussi transférer ses sentiments inconscients sur ses patients.
19
Q
Jacques Marie Lacan
A
stade du miroir : genèse du moi
crée le lacanisme : utilisation du langage et des structures linguistiques pour expliquer le fonctionnement de l’inconscient
20
Q
Carl Jung
A
importance de la culture et des symboles
idées d’inconscient collectif et archétypes
21
Q
Donald Winnicott
A
étude du lien entre la mère et son bébé : holding et aire transitionnelle
> Mère suffisamment bonne
> Bébé considéré comme une personne
22
Q
John Bowlby
A
thèorie de l’attachement : un enfant a besoin de développer une relation d’attachement min. une personne qui prend soin de lui de façon cohérente et continue pour connaître un développement social et émotionnel normal.
23
Q
auto-actualisation
A
propension des humains à se développer/réaliser
> découverte de soi et auto-acceptation de ses sentiments
Le comportement pathologique vient d’une conception de soi erronée
> Discrépance entre le soi perçu et le soi idéal
> Discordance entre les attentes de l’environnement et la réalité de la personne
24
Q
auto-détermination
A
on a des motivations extrinsèques/intrinsèques/ amotivations
25
émotions adaptatives
préparent l'organisme à interagir avec son environnement pour assurer son bien-être et sa survie
26
émotions maladaptatives
source de psychopatholoifie (+ manque de compréhension des émotions)
27
thérapie non-directive
crée les conditions d'une relation thérapeutique chaleureuse et ouverte qui aide les clients à devenir plus conscients de leur vrai soi et à l'accepter
non-directive, car c'est le client et pas le thérapeute qui conduit et dirige le déroulement de la thérapie
28
qualités du thérapeute dans la thérapie non-directive CESC
> Considération positive inconditionnelle
> Empathie
> Sincérité
> Congruence
29
psychothérapie
forme d'interaction systématique entre un patient et le thérapeute qui la conduit selon des principes psychologiques
30
counselling
forme d'accompagnement psychologique et social, il désigne une situation dans laquelle deux personnes entrent en relation. L'une appelle à l'autre car elle veut traiter un pb
31
double contrainte
situation dans laquelle un membre du système est confronté à des messages paradoxaux auxquels il ne peut pas échapper
les messages paradoxauy ne peuvent pas être perçus directement car ils sont de niveaux différents
exemple : mère offre cravate à son fils
32
hypnose éricksonienne
méthode clinique de l'hypnose qui utilise les principes de la communication
33
communication constructiviste
elle essaie de démontrer comment la réalité se construit. Il n'y a pas de réalité déjà existante, et la réalité est le fruit d'une construction mentale
34
axiomes de base de la communication
1. On ne peut pas ne pas communiquer
2. Toute communication a 2 aspects : le contenu et la relation. La relation englobe le contenu, et donc est une métacommunication.
3. La nature d'une relation dépend de la ponctuation des séquences de communication entre les partenaires
4. La communication humaine utilise simultanément 2 modes de communication : digital et analogique.
5. La communication est soit symétrique, soit complémentaire
35
patient désigné
le sujet porteur du symptôme qui masque le manque de fonctionnement du système garantit la stabilité, même pathogène, à l'intérieur du groupe
36
principe de totalité
le tout est plus que la somme de ses parties. Comprendre un système dans sa totalité, c'est dépasser l'analyse des éléments intrinsèques
37
principe d'homéostasie
tout système tend à réduire les variations qu'il connaît et à les maintenir entre des limites acceptables
38
principe d'équifinalité
la structure du "ici et maintenant" des interactions d'un système explique mieux son fonctionnement que l'histoire du système
39
objectifs à atteindre pendant une thérapie systémique
1. comprendre comment le système où le patient évolue garde son homéostasie s'auto-régule
2. proposer un nouveau contexte de relation afin de stimuler le changement, pas de remise en cause des conduites
40
scientifiques dans l'approche constructiviste
> Pavlov : conditionnement classique
> Watson : behaviorisme
> Skinner : conditionnement opéran
> Tolmann : apprentissage latent
> Seligman : impuissance apprise
> Bandura : apprentissage social/vicariant
41
behaviorisme de Watson
on utilise des procédures expérimentales pour étudier les mécanismes psychiques à travers le comportement, considéré comme une réponse à l'environnement
42
conditionnement opérant de Skinner
il développe l'idée des réponses opérantes.
> réponse opèrante : action sur l'environnement qui produit des conséquences
conditionnement opèrant : les réponses sont acquises et renforcées par leurs conséquences
> Forme d'apprentissage selon laquelle on modifie la fréquence d'un comportement en manipulant les conséquences de ce comportement.
43
renforcement
conséquence d'un comportement qui rend plus probable que le comportement soit reproduit de nouveau
44
punition
conséquence d'un comportement qui rend moins probable que le comportement soit reproduit de nouveau
45
positif (dans le conditionnement opérant)
l'ajout d'un stimulus d'une valence spécifique agissant sur l'organisme
46
négatif (dans le conditionnement opérant)
retrait d'un stimulus d'une valence spécifique agissant sur l'organisme
47
renforçateur primaire
il répond à un besoin essentiel de l'individu (ex. nourriture)
48
renforçateur secondaire
il est devenu renforçateur par un apprentissage fait auparavant (ex. argent)
49
autres procédures liées au conditionnement EGH
> Extinction
> Généralisation
> Habituation
50
extinction du comportement
la réponse apprise/conditionnée peut être "éteinte" ou disparaître
51
récupération spontanée
la réponse conditionnée peut être partiellement restaurée /réapparaître après un bout de temps
52
habituation
diminution graduelle de l'intensité/fréquence d'apparition d'une réponse après la présentation répétée/prolongée du stimulus l'ayant déclenchée -> accoutumance
53
apprentissage latent
association de plusieurs stimuli indifférents sans qu'un avantage/désavantage immédiat n'apparaisse
54
expérience de Seligman sur l'impuissance apprise
chiens mis dans des situations où ils ne peuvent pas échapper à des stimuli négatifs continuent de se comporter de manière impuissante, même si la situation a changé
dépression résulte d'une absence de contrôle perçue par le sujet sur l'issue de certaines situations.
55
principes primordiaux de Bandura dans l'apprentissage social (3) COM
1. La conséquence de la réponse
2. Les êtres humains apprennent par observation et imitation : l'apprentissage est vicariant
3. Les individus ont tendance à modeler leurs comportements en observant certaines personnes auxquelles ils peuvent s'identifier
56
TCC
TCC : application des principes de la théorie de l'apprentissage aux troubles psychologiques
rôle actif du thérapeute
méthodes : désensibilisation, exposition graduelle, façonnage, renforcement, activation comportementale
57
désensibilisation systématique
patients graduellement mis en présence des objets/situations desquelles ils ont peur, pour permettre l'extinction progressive de leur peur
58
façonnement
renforcement d'un comportement se rapprochant +/- du comportement souhaité jusqu'à ce qu'il aboutisse
59
façonnage
les personnes adoptent des comportements souhaités en observant d'autres personnes en train de les pratiquer -> modelage-imitation-exemplarité
60
activation comportementale
augmentation des activités liées à un sentiment de plaisir
diminution des comportements qui maintiennent les affects négatifs
61
cognitivisme
la pensée est un processus de traitement de l'information
les modèles cognitifs du comportement pathologique se basent sur l'idée d'une perturbation du traitement de l'information
62
théorie d'Ellis sur l'approche cognitiviste
Emotions négatives ne viennent pas des événements eux-mêmes, mais des croyances (parfois irrationnelles)/jugements que nous portons sur eux
approche ABC :
A. Evénement activateur (ex. perdre son travail)
B. Croyances = "beliefs" (ex. je n'ai plus d'utilité si je ne travaille pas)
C. Conséquences (ex. sentiment de détresse émotionnelle)
La personne est souvent consciente du lien entre événement et conséquence, mais en général pas des croyances
63
schéma cognitif
règle inflexible inconsciente -> 4 types de distorsions cognitives
64
attention sélective
concentration sur un détail (négatif) et perte de la vue de l'ensemble
65
surgénéralisation
extraction d'une règle par rapport à un événement (en général négatif) et application de cette règle à des événements différents
66
amplification
les implications négatives d'une situation ou d'un comportement sont exagérées
67
pensée dichotomique
vision du monde en noir et blanc (ou en "jamais"/"toujours")
68
buts de la thérapie cognitive
modifier les émotions et les comportements en influençant les structures de pensée
identifier/corriger les pensées biaisées, les croyances déformées et les attitudes d'échec qui contribuent ou qui déclenchent les difficultés émotionnelles.
69
étapes de la restructuration cognitive (4)
1. Identifier les distorsions cognitives et les pensées dysfonctionnelles (ex. auto-observation)
2. Discuter/discréditer la pensée dysfonctionnelle
3. Trouver des pensées alternatives pour remplacer la pensée dysfonctionnelle
4. Faire en sorte que le client utilise ces pensées alternatives
70
approche biologique simple
elle s'intéresse à l'étiologie du comportement pathologique, et se concentre sur les substrats biologiques du comportement pathologique
71
modèle médical
il conçoit les comportements pathologiques en tant que partie d'une maladie
72
prémisses de base de l'approche biopsychosociale
> Cause et effet : recherche sur les facteurs génétiques et épigénétiques dans le développement des troubles mentaux
> Inné ET acquis : interaction complexe entre les gènes et les facteurs environnementaux
> Idée de phénotypes et de vulnérabilité
73
recherche à 2 voies dans l'approche biopsychosociale
1. Les facteurs psychologiques jouent un rôle dans les maladies physiques
2. Les maladies physiques impactent la santé mentale
74
neurone
unité fonctionne du système nerveux
responsable de l'émission et de la propagation du message nerveux
75
synapse
point de contact entre 2 neurones
76
neurotransmetteur
substance chimique responsable de la transmission d'information entre les neurones
77
trucs dans le SNC
SNC = unité de contrôle
> moelle épinière : colonne formée de nerfs qui relie le cerveau et le SNP
> encéphale : composé du tronc cérébral/cervelet/cerveau
78
fonctions du lobe frontal (F)
fonctions exécutives
79
fonctions du lobe temporal (AAM)
> attachement
> apprentissage
> mémoire à long terme
80
fonctions du lobe occipital (VF)
> vision
> formes/couleurs
81
SNendocrinien
influencé par les hormones sexuelles et le stress quotidien
> a un impact sur le SNC
82
neurotransmetteurs
messagers chimiques qui transmettent l'information d'un neurone à un autre Ils peuvent soit augmenter (= excitateurs ex. sérotonine) ou diminuer (= inhibiteurs ex. GABA) l'activité post-synaptique
83
susbtance agoniste
substance qui augmente l'activité d'un neurotransmetteur en mimant ses effets (ex. le fromage est un agoniste à la sérotonine, alors le fromage augmente la sérotonine)
84
substance antagonique
substance qui diminue la quantité d'un neurotransmetteur ou qui le bloque
85
sérotonine
produite dans le SNC et circule dans 6 circuits majeurs répartis dans le cerveau.
fonction : traitement des informations, implication dans les comportements alimentaires, régule les comportements/humeurs/mécanismes de pensée
86
acide gamma aminobutyrique (GABA)
Neurotransmetteur à l'action inhibitrice : réduit l'activité post-synaptique et inhibe les comportements/émotions
Un niveau élevé de GABA est associé à la réduction de l'anxiété/excitation générale/émotions hostiles (ex. colère, agressivité), et à la réduction des émotions positives
Plus on utilise les médicaments anti-anxiété, notre cerveau ne produira plus de GABA et attendra que les calmants arrive, ce qui peut mener à des addictions.
87
catécholamines
noradrénaline : fait partie du système endocrinien et est produite/sécrétée dans les glandes surrénales
> stimule plusieurs types de récepteurs (ex. récepteurs alpha et beta adrénergiques)
dopamine : neurotransmetteur produit dans le SNC
> "interrupteur" qui met en marche certaines régions du cerveau associées à des comportements spécifiques
88
acétylcholine
1er neurotransmetteur identifié dans le système nerveux, joue un rôle important dans le SNC et le SNpériphérique
Impliquée dans la mémoire et l'apprentissage (SNC) et dans l'activité musculaire et les fonctions végétatives (SNpériphérique)
89
diathèse
vulnérabilité/prédisposition souvent de nature génétique
es troubles psychologiques surviennent à partir d'une interaction entre des facteurs de vulnérabilité (biologiques) et des exp de vie stressantes
plus la vulnérabilité est marquée, moins il faut de stress pour développer un trouble
90
stress
ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions/contraintes de la part de son environnement
ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent
91
stress chronique
peut mener à une stimulation constante des hormones du stress, qui peuvent être dommageables pour la santé
augmentation de notre vulnérabilité face aux pbs de santé physique (ex. rhume, cancer)
92
développements du modèle de diathèse (2)
1. Stress accumulation hypothesis
2. Mismatch hypothesis
93
mécanismes épigénétiques
les expériences traumatiques dans l'enfance provoquent des changements du codage génétique
94
médicaments psychotropes
médicaments agissant sur les systèmes des neurotransmetteurs, susceptibles de modifier l'activité mentale
95
anxiolitiques
luttent contre l'anxiété en diminuant le niveau d'activité de certaines parties du SNC
catégories : benzodiazépines, hypnotiques
96
antipsychotiques/neuroleptiques
employés dans le traitement des symptômes de la schizophrénie ou d'autres troubles psychotiques comme les hallucinations
97
antidépresseurs
> Tricycliques
> Inhibiteurs des monoamines oxydases (MAO)
> Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI) (ex. prozac)
98
diagnostic
extraction de caractéristiques psycho avec différentes méthodes de récoltes de données
99
fonctions du diagnostic DECEPI
> Description
> Explication
> Classification
> Evaluation
> Pronostic
> Indication
100
niveau biologique des données
les processus corporels évaluables physiquement/chimiquement se trouvent au 1er plan
101
niveau psychique des données
accent sur le vécu et le comportement individuel, les performances appartiennent aussi à ce niveau
102
niveau social des données
accent sur les systèmes interindividuels et les conditions sociales
103
niveau écologique des données
contient les conditions cadres matérielles et de l'environnement
104
biais de désirabilité sociale
manière dont le sujet veut se présenter (de manière socialement désirable)
105
fidélité
constance des mesures/reproductibilité des scores obtenus par les mêmes personnes
106
consistance interne
évaluation si les différentes parties de l'outil conduisent à des résultats consistants en utilisant une corrélation entre les différentes parties de l'épreuve avec le coefficient alpha de Cronbach
107
alpha de Cronbach
indice statistique variant entre 0 et 1 qui permet d'évaluer l'homogénéité d'un instrument d'évaluation qui appréhende une entité/dimension "sous-jacente"
108
fidélité test-retest
évaluation de l'association entre 2 utilisations successives du même instrument
109
fidélité interjuges
comparaison des cotations de plusieurs cotateurs qui évaluent le même sujet avec le même outil
110
validité
l'outil mesure ce qu'il doit mesurer
111
validité de contenu
représentativité des items de l'outil pour appréhender le phénomène évalué
112
validité de construit
vérification empirique si l'outil correspond au modèle théorique qui la sous-tend
113
validité convergente
calcule les scores obtenus à ce test/ceux obtenus à d'autres tests sensés mesurer le même construit que celui qu'on veut valider
114
validité divergente
on s'attend à une corrélation faible entre le test à valider et un autre test mesurant un construit différent
115
contenu de l'entretien clinique DDDAP
> Données socio-démographiques
> Description des problèmes actuels
> Données anamnésiques
> Antécédents médicaux/psychiatriques
> Problèmes actuels
116
tests d'intelligence de Wechsler (2)
> Wechsler Intelligence Scale for Children
> Wechsler Adult Intelligence Scale
pb : ils mesurent des aspects mais ne donnent pas de conclusion globale sur la personne (ex. TDAH, TSA)
117
test neo pi-R
donne une évaluation systématique des styles émotionnel/interpersonnel/ motivationnel de la personne. Il a 5 domaines (Big Five) :
ensuite, le psychologue affine sa 1ère analyse avec les résultats avec les 30 facettes
118
big five QEOAC
> Question
> Extraversion
> Ouverture aux Valeurs
> Agréabilité
> Conscience
119
test projectif
psychologue pose une question, le patient répond avec une liberté de réponse et un support perceptif présenté sous forme de stimuli ambigus (ex. tâches d'encre)
120
test de Rorschach
le stimulus ambigu décelé par le psychologue psychodynamique peut révéler des troubles chez le patient et d'autres aspects de sa personnalité
121
thematic aperception test (TAT)
composé de planches représentant une scène ambiguë. Le sujet élabore une histoire à partir de l'image présentée avec un début/milieu/fin
122
aperception
création d'idées/impressions nouvelles sur la base des structures cognitives existantes et de l'expérience passée
123
évaluation neuropsychologique
évaluation des processus cognitifs dont le support biologique est le cerveau
utilise des épreuves scientifiques
124
bilan neuropsychologiques
démarche globale impliquant une évaluation médicale neurologique (par le neurologue), évaluation des fonctions neurocognitives (par le neuropsychologue), évaluation neuro-anatomique/neuro-fonctionnelle (par IRM)
125
d2 test d'attention concentrée
évalue la capacité à discerner des détails dans un temps restreint avec une mobilisation de la concentration
126
figure complexe de Rey
figure géométrique sans signification évidente, de réalisation graphique facile avec une structure complexe
127
fonctions exécutives
habiletés cognitives permettant d'adapter nos comportements selon le contexte
elles regroupent des capacités liées à l'anticipation/planification/ organisation/résolution de problème/raisonnement logique...
128
wisconsin card sorting test
on doit vite basculer selon les couleurs/chiffres/symboles
analyse la flexibilité cognitive : capacité à abandonner un schéma de pensée pour en prendre un autre
129
techniques d'imagerie cérébrale
étude du cerveau/du changement de l'activité/de la structure du cerveau dans des troubles pathologiques
130
électroencéphalographe
enregistrement de l'activité électrique produite par le cerveau
131
imagerie à résonance magnétique (IRM)
IRM structurelle : elle donne des images en 3D des structures du cerveau
> utilisée pour le diagnostic de certaines maladies neurologiques et de la démence
IRM fonctionnelle : on identifie des structures/régions actives durant des tâches expérimentales
132
tomographie par émission de positons (TEP)
donne une vision dynamique du cerveau au repos/en activité
133
avantages du DSM PHA
> Proposition de critères cliniques spécifiques pour chaque trouble
> Homogénéité du diagnostic psychopoathologique
> Approche compréhensive et intégrative
134
conscient
niveau de perception-conscience : lieu de réception des informations de l'intérieur et de l'extérieur donnant un ensemble de représentations rassemblant des faits psychiques
135
théorie psychodynamique
fondée sur les contributions de Freud et de ses successeurs.
136
théorie psychanalytique
celle de Freud, elle s'appuie sur la découverte que le psychisme, tant normal que pathologique, est en grande partie inconscient
137
troubles psychiques dans la psychanalyse
ils résultent des défenses pathologiques mises en place par l'esprit pour se prémunir contre des conflits insupportables, des conflits qui peuvent être ancrés dans l'enfance
138
concepts majeurs de la psychanalyse : SMS
> Structure de l'esprit/fonctions de la personnalité qui entrent parfois en conflits les unes avec les autres, le rôle de l'inconscient.
> Mécanismes de défenses : prévenir et d'empêcher l'ocurrence de conflits.
> Stades du développement psychosexuel précoce
