Promotion de la santé et saines habitudes de vie Flashcards
(42 cards)
vrai ou faux:
Bien que nous soyons plus informés sur les saines habitudes de vie, il n’est pas toujours facile de faire des choix sains
vrai
vrai ou faux:
Notre environnement a changé. Il y a plus d’étalement urbain, plus de restos, la taille des portions a augmenté, l’industrie alimentaire offre des plats prêts en quelques minutes, la publicité montre des personnes minces, etc.
vrai
vrai ou faux:
Il faut travailler sur l’environnement et trouver des solutions durables
vrai
vrai ou faux:
Il faut mobiliser les communautés et impliquer les divers intervenants : parents, éducatrices, cuisiniers, décideurs dans les municipalités, etc.
vrai
% d’obésité adulte au Qc?
23%
données auto-rapportées vs mesurées?
auto-rapportées: sur ou sous estimé selon la nomre
mesurées: + $
vrai ou faux:
Le tiers des enfants québécois de 3 à 5ans fait de l’embonpoint ou est à risque d’en faire
Cela représente environ 58000 enfants au Québec selon l’Observatoire des tout-petits dans son portrait 2017
vrai
quelle province affiche le taux d’obésité le plus faible au Canada?
plus élevé?
C-B
TNL et NB
vrai ou faux
le Canada se situe au 9erang des populations adultes avec un surplus de poids
vrai
selon données de 2015
vrai ou faux:
En ce qui concerne le surplus de poids mesuré chez les enfants, selon les données de 2010, le Canada se situe au 11erang, comparativement aux autres pays de l’OCDE
vrai
avec les temps, autant pour les 18-34, 35-64 et les 65-69, l’obésité abdominale a…?
significativement augmentée
vrai ou faux:
Nous assistons non seulement à une augmentation de la proportion de personnes obèses, mais à une augmentation du poids moyen de la population
vrai
Il s’agit donc d’un problème populationnel et non d’un problème limité à un groupe à risque
principaux problèmes de santé lié à l’obésité?
stéatose hépatique DB type 2 arthrite/arthrose mx respiratoire mx cardiovasculaires 13 types de cancer
quel gras est le plus nocif?
gras abdominal
vrai ou faux:
de plus en plus d’enfants ont des maladies associées à l’obésité?
vrai
vrai ou faux:
50 % des enfants obèses au primaire risquent de devenir des adultes obèses
vrai
quels types d’impact sont les plus importants chez les jeunes en lien avec obésité?
impacts psychosociaux
Quels sont les coûts de santé en lien avec embonpoint / obésité?
Au Québec : 3 milliards par année en 2011 hospitalisation (1,3 milliard) consultations médicales (110 millions) médicaments (860 millions) invalidité (630 millions)
Les coûts indirects : perte de productivité
◦temporaire : absentéisme pour des raisons de santé
◦permanente : invalidité ou mortalité prématurée
Au Québec, le fardeau lié à l’invalidité se chiffre à 630 millions de dollars pour 2011
facteurs favorables à l’obésité dans notre société?
de la sédentarité
un rythme de vie accéléré
des modifications à l’alimentation
évolution utilisation de la voiture et niveau d’activité physique?
Entre 1978 et 2013, la proportion des ménages québécois qui ont deux voitures est passée de 16 à 36 %.
Aujourd’hui, 20 % des emplois demandent un niveau d’activité physique modéré, alors qu’en 1961 c’était presque la moitié des emplois.
travail de bureau»_space;>
Depuis le début des années 1990, la part des déplacements actifs entre la maison et l’école chez les élèves du primaire a diminué de façon importante au profit des déplacements par automobile
Seulement 30 % des élèves québécois du primaire se déplacent à pied et 2 % utilisent plutôt le vélo
50 % des déplacements de moins d’un kilomètre sont effectués en voiture
La part modale des transports actifs pourrait ainsi considérablement augmenter dans la région de Montréal
◦jusqu’à 6 % des déplacements motorisés pourraient se faire à pied
◦21 % à vélo
évolution de l’utilisation des écrans?
L’exposition aux écrans commence dès la petite enfance Un jeune (12 à 24 ans) sur cinq se divertit devant un écran, 35 heures ou plus par semaine
évolution des rapports à la cuisine?
Le temps consacré à la préparation du souper était d’en moyenne 38 min en 2016
Les Canadiens cuisinent de moins en moins, se réunissent moins autour de la table à l’heure des repas et transmettent moins leurs habiletés culinaires aux générations futures
Les familles qui préparent et mangent les repas ensemble ont de meilleures habitudes alimentaires
« Les compétences alimentaires sont nécessaires pour naviguer dans un environnement alimentaire complexe et favoriser une saine alimentation ».
Les femmes ont plus tendance que les hommes à penser qu’elles sont capables de:
peler, hacher (94% vs 89%)
congeler des légumes (73% vs 64%)
faire des conserves (42% vs 31%)
cuire de la viande (91% vs 85%)
faire une soupe ou un ragoût (86% vs 64%)
préparer des muffins ou un gâteau (83% vs 49%)
avec qui mange-t-on?
30% seuls
en couple –> 30 % seul
enfants: 34 % seuls, 39% 1 repas en famille, 19% 2 repas, 8% 3 + repas.
qualité de l’alimentation?
Seulement 24 % des répondants atteignent la cible recommandée pour les fruits et les légumes.
À peine 12 % consomment suffisamment de produits céréaliers de grains entiers.
Seulement 39 % font une place suffisante aux produits laitiers ou à leurs équivalents.
81 % des répondants consomment plus de sel que la limite prescrite.
74 % des répondants ont un apport en gras saturés qui dépasse la limite quotidienne recommandée.