Sports Flashcards

Question

Dans quel contexte le Code de gouvernance des OBNL québécois en sport et loisir?

Answer 1

* Créé en réponse à des lacunes de gestion observées : décisions désorganisées, budgets incohérents, manque d’outils. * Beaucoup d’OBNL sont gérés par des bénévoles : passionnés, mais peu outillés pour des responsabilités complexes

Answer 2

* Hier : motivation surtout altruiste, don de soi. * Aujourd’hui : o Motivation plus individualiste. o Recherche d’impact personnel ou professionnel :  Bonifier son CV.  Apprendre des compétences.  Soutenir une cause précise. o Moins d’engagement à long terme.

Answer 3

* Le bénévolat se "magasine" : les gens choisissent où, comment, et pour combien de temps. * Les fédérations sportives peinent à recruter durablement. * Tensions fréquentes : o Attentes élevées de la part des membres (qui paient une cotisation). o Incivilités envers les bénévoles, malgré leur implication gratuite. * Environ 600 000 bénévoles œuvrent dans le sport et le loisir au Québec.

Answer 4

1. Inclusion – sociale, culturelle et identitaire → Reconnaître les différences pour les intégrer pleinement. 2. Reconnaissance – sociale, culturelle et identitaire → Faire valoir les droits d’accès aux installations sportives et au soutien. 3. Accessibilité – sociale, culturelle et identitaire → Comprendre que l’accès au sport n’est pas égalitaire : o Obstacles économiques o Obstacles politiques o Obstacles géographiques o Obstacles symboliques

Answer 5

* Personnes racisées ou immigrantes * Aînés * Autochtones * Personnes défavorisées (ex. : itinérants) * Femmes et adolescentes * Communautés LGBTQ+ * Personnes en situation de handicap * Habitants des régions éloignées

Answer 6

* Pour améliorer le vivre ensemble. * Pour permettre aux populations vulnérables de s’épanouir à travers le sport. * Pour que chacun ait une expérience équivalente à celle du reste de la population. * Pour rendre le sport accessible à tous, dans une perspective d’équité (et non d’égalité stricte).

Answer 7

1. Marginalisation historique dans le sport organisé. 2. Imposition d’un modèle impérialiste occidental dans des communautés qui n’ont pas la même vision du sport (différence entre sport et jeu). 3. Sédentarisation forcée → perte du nomadisme, chasse et pêche → choc culturel majeur. 4. Problèmes sociaux importants : taux d’alcoolisme et de suicide élevés, climat peu favorable à la participation sportive. 5 .Époque actuelle de réconciliation → reconnaissance du passé colonial, notamment via : o Scandale des pensions autochtones o Prise en compte des réalités sociales, politiques et identitaires

Answer 8

1. Physique : développement du joueur 2. Mentale : aspects cognitifs et émotionnels 3. Culturelle : mise en valeur des savoirs traditionnels autochtones 4. Spirituelle : bien-être personnel, relations à soi et aux autres par le sport

Answer 9

Jeux autochtones de l’Amérique du Nord * Mélange des cultures occidentale et autochtone * Grande fierté identitaire et espace de rencontre

Answer 10

Cercle Sportif Autochtone * Représente les organismes autochtones * Revendique les droits sportifs autochtones * Consultation nationale en 1995 * Une loi sur le sport autochtone existe mais est dépassée

Answer 11

* En Ontario, axé sur la crosse * Financé par entreprises * Transmet les traditions locales avec des entraîneurs de la communauté * Met l’accent sur la langue et la culture

Answer 12

* Certaines fédérations sportives adoptent encore une vision impérialiste, sans tenir compte des réalités autochtones. * Importance de revoir les relations entre allochtones et autochtones, dans un esprit de respect, d’écoute et de co-construction. Enjeux à combattre: * Développement social par le sport * Accès au sport d’excellence * Disparités régionales (ex. : jeux interscolaires dans la région de Québec

Answer 13

* Blessures de surutilisation * Épuisement physique et mental * Abandon précoce du sport 🔄 Idée centrale : La spécialisation précoce peut nuire au développement global de l’enfant et à son plaisir.

Answer 14

FAUX 💡 Mythe à déconstruire : Ce n’est pas parce qu’un jeune ne commence pas tôt qu’il ne pourra jamais exceller dans un sport.

Answer 15

* L’environnement = clé (physique, mental, social, émotionnel) * Importance de l’approche globale chez les entraîneurs * Intégrer le jeu, la créativité et le plaisir

Answer 16

* Très peu de jeunes atteignent le sport professionnel o Hockey élite (11 ans) → 1 chance sur 2000 d’aller en LNH o Football → 1 sur 10 000 pour la NFL * Risques : pression, stress, toxicité, santé mentale affectée * Plus le niveau est élevé → plus le risque de toxicité augmente ❗ Bannir la performance ? NON ✅ La performance encadrée sainement peut développer des qualités précieuses : motivation, effort, résilience, gestion de la victoire et de l’échec

Answer 17

o Les équipes o Les organisations o Les postes de gestion, arbitres, entraîneurs

Answer 18

o Égale Action o La Lancée o Lab PROFEMS

Answer 19

La clé du bien-être à travers l’activité physique. Déf: Capacité d’une personne, tout au long de sa vie, à acquérir des connaissances, compétences physiques, mentales et sociales liées à l’activité physique, afin de s’épanouir dans toutes les sphères de sa vie.

Answer 20

💪 Compétence Capacités motrices développées graduellement 🧠 Compréhension Capacité d’adapter le sport selon les publics 🌟 Confiance En soi, en ses capacités, et en l’environnement 🔥 Motivation L’envie de faire de l’activité physique de façon régulière 📈 Engagement À long terme, en s’adaptant aux étapes de vie

Answer 21

* Sédentarité, obésité, isolement → problèmes croissants * Littératie physique = outil de prévention (et non de performance) * Vise un bien-être global, sans pression compétitive

Answer 22

* Terme récent (début des années 2010) * Vise à créer une culture commune de l’AP * Besoin de coopération intersectorielle : famille, école, communauté, municipalité

Answer 23

* Phase critique pour le développement moteur * Cibler le développement de certaines capacités par l’AP * L’enfant devient acteur et influenceur dans sa famille

Answer 24

* L’AP ne doit pas se limiter à l’école * Collaboration entre : o Famille : modèle de motivation, plaisir partagé o École : cadre structurant o Communauté : environnement stimulant (inclusif, sans barrière économique ou de transport) 🎯 Objectif : Un jeune actif et motivé toute l’année,

Answer 25

Tranche d’âge % actifs 5 à 17 ans 19% 18 à 44 ans 52% 45 à 64 ans 47% 65 ans et + 41% ⚠️ Ces chiffres sont probablement surévalués à cause des biais méthodologiques * Adolescents, surtout les filles : seule 1 fille sur 10 est assez active * Canada : 20 % des jeunes sont assez actifs quotidiennement, 18 % peu sédentaires (moyenne mondiale : 33 %)

Answer 26

Inactivité physique: Pas ou peu d’exercice stimulant le cœur Ex : Pas de marche rapide, sport Sédentarité: Temps passé assis, immobile Ex : Devant l’écran, sans mouvement

Answer 27

1. Sentiment d’efficacité personnelle : Se sentir capable = premier moteur 2. Développement moteur global : Progression dans les habiletés 3. Plaisir & satisfaction : Si on aime, on continue. Sinon… 💨 4. Volonté de répéter : Seul, en famille, avec des amis 5. Hausse de la pratique régulière : Chacun à son rythme, dans sa sphère

Answer 28

🎯 Objectif : créer un environnement urbain qui donne envie de bouger 💚 Exemples : * Plus de végétation et d’espaces verts * Pistes cyclables sécurisées * Plateaux sportifs attractifs * Mobilier actif (mini-stades, ping-pong urbain, parcours, etc.) * Règlementation en faveur du transport actif 👥 Acteurs impliqués : Urbanistes, architectes, récréologues, citoyens, municipalités 💰 PAF – Programme d’aide financière Soutient les projets en sport, loisir actif, plein air

Answer 29

* Apparition en Californie, comme alternative au surf lors des jours sans vagues. * Utilisé par les enfants comme jeu de trottoir (sidewalk surfing). * Premiers magasins (Val Surf), débuts des compétitions, premiers médias spécialisés. * Claude Jutra filme les ados skateurs en 1966. * Déclin : production massive mais dangereuse → accidents → désintérêt.

Answer 30

* Innovation : roues en uréthane → virages plus faciles, sécurité accrue. * Le skate devient très populaire avec les baby-boomers adolescents. * Invention du ollie : figures possibles sur sol plat. * Création de skateparks, compétitions formelles. * Déclin : parcs mal conçus, non utilisés, crise économique → fermetures

Answer 31

* Skate + culture punk = “Skate and destroy”. * Fermeture des parcs → développement du street skating (pratique urbaine). * Représentation médiatique masculine → recul de la participation féminine. * Skateurs revendiquent l’espace public, souvent en conflit avec les autorités. * Le skateboard devient un mode de vie, une identité.

Answer 32

* Développement des X Games, FISE, Vans Park Tour : musique + sports extrêmes. * Explosion de la visibilité grâce à Internet (vidéos, vlogs, réseaux). * Marketing ciblé, entrée aux JO (2021) avec le surf et l’escalade. * Longboard : pratique de déplacement urbain, style libre

Answer 33

* Rôle actif des municipalités, parfois ambivalent : interdiction ou soutien logistique. * Premiers skateparks, compétitions locales (Association québécoise des rollis-roulants). * Parents impliqués : achat d’équipement, organisation d’événements, plaidoyer municipal.

Answer 34

1. Cultural studies et sous-cultures * Le skateboard crée des communautés avec leurs propres codes, langages, et styles. * Rejet de la hiérarchie et de la culture dominante. 2. Processus d’institutionnalisation * Médiatisation (revues, Internet), professionnalisation, fédérations (depuis 2010), commercialisation. 3. Rôle des parents et des secteurs médiatiques * Les parents soutiennent souvent activement leurs enfants. * Les médias jouent un rôle majeur dans la construction de l’imaginaire.

Answer 35

* Renouvellement du rapport à la ville : la ville devient terrain de jeu. * Imaginaire et quotidien transformé : voir ce que d’autres ne voient pas. * Revendication du droit à la ville : s’opposer aux restrictions. * Mode de déplacement actif : complément aux transports publics. * Risque de gentrification : remplacement des communautés locales.

Answer 36

* Difficile de définir la glisse urbaine comme un seul lifestyle. * Motifs variés : sport, plaisir, expression de soi, mobilité. * Complémentarité essentielle entre infrastructures classiques et espaces libres. * Prudence avec l’idée “d’authenticité” : chacun sa façon de pratiquer.

Answer 37

* Activité physique, récréative, en milieu naturel (forêt, montagne, parc…). * Sans moteur, sans compétition stricte. * Adaptée aux capacités de chacun. * Peut se faire seul ou en groupe, mais pas pour "gagner", juste pour bouger, se sentir bien et se connecter à la nature.

Answer 38

* Très présent dans la culture québécoise. * Encourage la santé, les liens sociaux, l’économie locale, le développement durable. * Accessible à tous (objectif visé), avec une volonté d’inclusion.

Answer 39

Américains (1910s) Création de parcs nationaux pour protéger la nature. Modèle repris pour protéger les milieux naturels. Britanniques (Commons) Reprendre la nature aux riches, rendre accessible au peuple. René Lévesque nationalise les clubs privés. Français (après 1945) Bases de plein air pour les ouvriers, accès aux congés et loisirs. Création de bases de plein air ici. Scandinaves (Friluftsliv) Philosophie de vie dehors, droit d’accès libre. Moins appliqué au Québec (beaucoup de lacs sont privés).

Answer 40

* Techniques ancestrales pour vivre avec la nature (raquettes, canot, chasse…). * Leur savoir a permis la survie des colons. * Modèle d’harmonie avec le territoire.

Answer 41

* 🌊 Accès à l’eau : difficile à cause de la privatisation des rives. * 🌳 Nature en ville : manque d’espaces verts = îlots de chaleur. * 🎒 Éducation : importance d’éduquer les jeunes à la nature dès le plus jeune âge.

Answer 42

* 💪 Santé physique & mentale. * ❤️ Bien-être individuel. * 🌍 Sensibilisation à la nature. * 👥 Liens sociaux. * 💼 Moteur économique local.

Answer 43

1. Récréatives : loisirs, tourisme (récréologue très présent). 2. Éducatives : apprentissages, team building (présence du récréologue, mais moins). 3. Thérapeutiques : intervention sociale, mieux-être.

Answer 44

* Biophilie : amour de la nature, lien inné à l’environnement.

Answer 45

Plein air qu’on peut faire chaque jour, près de chez soi.

Answer 46

* Les Québécois considèrent généralement les espaces naturels comme sécuritaires et accessibles. * Ce n’est pas toujours le cas pour les immigrants, qui peuvent être moins familiers avec ces milieux et leurs bienfaits. Importance de démystifier le plein air: * Expliquer ce qu’est le plein air et le loisir au Québec. * Mettre en avant les bienfaits physiques, psychologiques et sociaux.

Answer 47

* Intégration sociale : permet de découvrir le territoire et les normes sociales. * Réseautage : opportunité de tisser des liens, d’échanger et de faciliter l’intégration (amitiés, emploi, etc.). * Bienfaits familiaux : renforce les liens familiaux, évoque des souvenirs et procure un moment d’évasion. * Santé : amélioration cardiovasculaire, bien-être, réduction de l’anxiété, etc.

Answer 48

* Individuelles : manque de moyens financiers et de transport, faible maîtrise de la langue, méconnaissance des activités. * Structurelles : accessibilité limitée aux sites et aux équipements, manque d’offre pour l’initiation. * Sociales : discrimination, racisme, stigmatisation. * Genre : certaines femmes, en raison de croyances religieuses ou culturelles, ont un accès plus limité aux activités de plein air et préfèrent les rassemblements aux sorties individuelles.

Answer 49

* Vus comme des guides, initiateurs et protecteurs face aux risques naturels. * Leur rôle est crucial pour encourager la participation des immigrants. * Ils doivent éviter de considérer ces populations comme un groupe homogène et adapter leurs interventions. * Gouvernance et inclusion : intégrer des immigrants dans les conseils d’administration et comités pour adapter l’offre de plein air à leurs réalités. * Espaces urbains comme porte d’entrée : o L’initiation commence souvent dans des lieux proches de leur résidence (parcs, berges, etc.). o Ces endroits sont familiers et sécurisants, favorisant ainsi l’appropriation progressive du plein air. * Relations interculturelles : o Déconstruire les stéréotypes et préjugés mutuels. o Encourager la cohésion sociale et le vivre-ensemble à travers le plein air.

Answer 50

- dans les emplois: Moins de femmes guides, instructrices ou gestionnaires dans les organisations de plein air. - dans la gouvernance: Sous-représentation dans les sphères de gouvernance, de prise de décision et dans les offres d’emploi. - dans les médias: Images de femmes souvent absentes ou stéréotypées dans les médias, publicités et magazines de plein air.

Answer 51

OUI, o Certaines femmes réduisent ou cessent leurs activités physiques ou de plein air par culpabilité parentale, peur du jugement ou par souci de sécurité. o Exemple : abandon de l’escalade ou du camping isolé après avoir eu des enfants.

Answer 52

1. Accessibilité élargie * 💰 Coût des activités, du matériel, du transport. * 🌍 Proximité avec la nature depuis les milieux urbains. * 🤝 Barrières socio-culturelles ou économiques à lever. 2. Qualité de l’expérience * 🛠 Aménagements sécuritaires et adaptés. * 🎨 Beauté et diversité des paysages accessibles à tous. * ⚠ Gestion réaliste des risques (éviter la glorification du danger). 3. Promotion & sensibilisation * 📣 Meilleure diffusion de l’information auprès de différents publics. * 👁 Valorisation d’images plus diversifiées et réalistes. * 🌱 Sensibilisation au respect de la nature et des autres usager.ère.s. 4. Leadership et gouvernance * 👥 Encourager les femmes à rejoindre les comités, les CA, les tables de concertation. * 🛠 Mettre en place des mécanismes d’évaluation et de concertation genrés. * 🎯 Cibler l’accès aux postes de décision pour éviter les biais de recrutement. 5. Activité physique pour toutes * 💪 Le plein air comme moteur de santé et de bien-être physique. * 🧘‍♀ Activités variées selon les capacités, les préférences et les réalités familiales. * 👫 Favoriser la pratique en groupe (meilleure sécurité et sentiment d’appartenance).

Answer 53

Parce que les participants sont hétérogènes. * Les individus ne vivent pas tous le sport de la même façon : o Diversités d’âges, de genres, de capacités physiques, de cultures, de motivations. o Parcours variés : loisir, performance, santé, intégration sociale… o Multiplicité des pratiques : sport en famille, entre amis, seul, en groupe communautaire, etc. 👉 Une offre uniforme ne répond plus à cette pluralité. 👉 Il faut miser sur la souplesse, la créativité et l’inclusion.

Answer 54

Le ou la professionnelle du loisir ou du sport devient passeur·se entre le système et la communauté. Son rôle dépasse la simple organisation d’activités : * Adapter les programmations aux besoins réels et spécifiques du public. * Lire les dynamiques sociales : qui participe, qui est absent, pourquoi ? * Défendre les intérêts des groupes marginalisés auprès des élu·e·s et de la direction. * Travailler avec l’humain, pas seulement des horaires et des installations. 💬 « Comprendre et convaincre » : comprendre les enjeux, convaincre les décideurs de sortir des modèles traditionnels * Il est essentiel de sortir de son bureau, d’aller à la rencontre des gens dans les parcs, les rues, les écoles, les marchés. * Cela implique de laisser une marge de liberté aux usager·ère·s : o Le sport ne se pratique pas toujours comme on l’avait prévu. o Exemple : un groupe communautaire utilise un parc selon ses coutumes ou adapte une activité pour ses besoins spécifiques. 🎯 L’objectif : faire place à l’appropriation collective des espaces et des pratiques

Answer 55

🎯 Moment charnière : entre adolescence et âge adulte, plusieurs quittent le sport structuré. Le rôle du récréologue est d’offrir des passerelles vers des pratiques récréatives, non compétitives et plus flexibles. Quand c’est très compétitif, le récréologue intervient moins. 💡 Pistes d’action pour favoriser une pratique libre et inclusive : * 🛠 Adapter les infrastructures pour favoriser la pratique spontanée. * 🎨 Offrir des programmations flexibles, intergénérationnelles et interculturelles. * 🤝 Inclure des personnes issues de l’immigration, des femmes, des aîné·e·s, des personnes en situation de handicap. * 📣 Valoriser les pratiques hybrides, communautaires, autogérées. * 🧘 Créer des zones « sans jugement » pour explorer le sport sans pression de performance.

Answer 56

1. Sédentarisation en augmentation * Constat préoccupant : la sédentarité des jeunes est en hausse au Québec. * Écrans omniprésents : les temps d’écran grugent le temps de jeu actif. * Isolement social : les jeunes socialisent moins en personne, davantage en ligne. 🔍 Selon plusieurs études et observations terrain, le niveau d’activité physique est en net recul chez les enfants et les adolescents

Answer 57

* Parents surprotecteurs : parfois appelés parents hélicoptères, ils limitent les sorties et les jeux libres par peur des blessures ou dangers. * Espaces de jeu trop normés : dans certains parcs, l’aménagement vise trop la sécurité au détriment de l’exploration et du plaisir. * Pourtant, selon les pédiatres, les blessures, les risques contrôlés et les aventures sont nécessaires au développement moteur et psychologique. 💬 « Un bon parcours de vie passe aussi par les égratignures, les défis et les apprentissages en dehors du cadre structuré. »

Answer 58

Les élèves physiquement actifs : * Sont plus concentrés et plus calmes * Ont une meilleure mémoire de travail * Démontrent une meilleure capacité à résoudre des problèmes ➡️ Résultat : meilleurs apprentissages et résultats scolaires.

Answer 59

* Améliore le bien-être physique et psychologique * Encourage des habitudes de vie saines * Renforce la qualité de vie globale 🎯 Objectifs clés * Favoriser un vieillissement actif : participation, santé, sécurité (3 piliers de l’OMS) * Améliorer l’accès à l’activité physique et au plein air * Lutter contre l’isolement social et encourager la reconnexion à soi et aux autres

Answer 60

* Conditions physiques, mentales, financières * Accessibilité des lieux, météo, transport, diversité de l’offre * Manque d’information ou de communication * Habitat isolé, difficulté de déplacement * Loisirs peu adaptés (coût, accessibilité, rigidité horaire)

Answer 61

* Plaisir * Maintien de la santé * Appartenance à une communauté

Answer 62

1. Améliorer l’accès à l’activité physique 2. Consolider l’offre de plein air de proximité 3. Offrir des opportunités de développement personnel 4. Faciliter la communication (information + initiation) 5. Favoriser la pratique autodéterminée 6. Multiplier les rencontres intergénérationnelles 7. Documenter les loisirs des aînés moins scolarisés 8. Rendre les loisirs plus inclusifs pour tous les groupes d’âge 9. Valoriser le rôle d’ambassadeurs ainé·e·s (bouche à oreille positif)

Answer 63

* Marginalisation persistante, particulièrement des handicaps mentaux * Accès très limité au sport à l’âge adulte

Answer 64

* Surprotection familiale * Absence de politiques ou d’aménagements adaptés * Environnements peu inclusifs ou peu sécurisants * Manque d’offres hors milieu scolaire * Peu de continuum entre jeunesse et âge adulte

Answer 65

* Partenariats avec les organismes communautaires * Soutien d’URLS : équipement, formation, encadrement * Importance de l’environnement physique et social * Encouragement à l’autonomie et à la responsabilisation

Answer 66

* Démystifier les peurs (sécurité, encadrement) * Créer des offres adaptées, accessibles, sécuritaires * Encourager une pratique inclusive et continue, dès l’enfance

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