SRespiratoire 2 Flashcards

1
Q

7-10% de CO2

A

dissous dans le plasma

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2
Q

un peu plus que 20% de CO2

A

lié à l’hémoglobine sous forme de carbhémoglobine (HbCO2) groupement aminé
Hb+CO2 = HbCO2

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3
Q

70% de CO2

A

ions bicarbonate (HCO3)+H+

  • lent= spontané
  • rapide dans l’erythrocyte (5000 fois plus rapide) enzyme anhydrase carbonique CO2 augmente= acidité augmente (Co2 libère H+= en acidité le O2 est libèrer + facilement de l’hémoglobine)
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4
Q
au niveau des poumons CO2 se libère: 
dissous,
HCO3- lente, 
rapide, 
carbhémoglobine, 
O2+HHb=
A

dissous = rente dans les alveoles,
lente HCO3- + H+ (vient de O2+HHb=HbO2+H+)=H2CO3=H2O+CO2
rapide O2+HHb=HbO2+H+)=H2CO3=enzyme anhydrase carbonique= H2O+CO2
HbCO2 (carbhémoglobine)=CO2+Hb

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5
Q

Des mécanismes nerveux régulent la respiration, principalement au niveau du bulbe rachidien et du pont :

A

Groupe respiratoire ventral (GRV)
Groupe respiratoire dorsal (GRD)
Groupe respiratoire pontin (GRP),

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6
Q

Groupe respiratoire ventral (GRV)

A

est le centre d’intégration de l’information respiratoire et détermine le rythme respiratoire. o Un groupe de neurones envoient des influx nerveux au diaphragme et aux muscles intercostaux pour activer leur contraction et provoquer l’inspiration. o Un autre groupe de neurones envoient des signaux de relâchement lors de l’inspiration.

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7
Q

Groupe respiratoire dorsal (GRD)

A

régule l’activité du GRV, c’est-à-dire qu’il reçoit des influx en provenance de chimiorécepteurs et de mécanorécepteurs qui captent l’étirement, ce qui active le GRV lors de l’inspiration. Toutefois, il reste inactif lors de l’expiration.

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8
Q

En situation normale, le cycle respiratoire se produit ____ fois par minute. Toutefois, la prise excessive_____ peut inactiver le GRV.

A

12 à 15

d’alcool ou de morphine

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9
Q

Groupe respiratoire pontin (GRP), situé

A

dans le pont, module les activités du GRV, par exemple en adoucissant la transition entre l’inspiration et l’expiration. Il reçoit les informations des neurones des centre nerveux supérieurs (ouïe, vue, parole…) et de récepteurs sensoriels.

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10
Q

Plusieurs facteurs influencent la fréquence et l’amplitude respiratoire :

A

Facteurs chimiques
Centres cérébraux supérieurs
Agents irritants pulmonaires (réflexes)
Distension pulmonaire (protection)

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11
Q

La variation de certains facteurs chimiques dans le sang est perçue par :

A

o Chimiorécepteurs centraux dans l’encéphale;

o Chimiorécepteurs périphériques dans la crosse de l’aorte et des artères carotides.

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12
Q

Les facteurs chimiques suivants influencent l’activité des chimiorécepteurs :

A

CO2, O2, pH artériel

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13
Q

CO2 : influence sur chimiorécepteurs

A

la pression partielle normale de ce gaz est de 40 mm Hg. Un changement respiratoire survient lorsqu’elle varie d’au plus 3 mm Hg. Comme on le sait, la concentration du CO2 agit sur la concentration d’H+ dans le sang et dans l’encéphale. Ainsi, une augmentation de CO2 dans l’encéphale cause une augmentation du pH qui est captée par des chimiorécepteurs centraux qui activent l’amplitude et la fréquence des respirations afin de chasser le CO2 dans l’air.

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14
Q

O2: influence sur chimiorécepteurs

A

les chimiorécepteurs périphériques en charge de capter la variation d’O2 dans le sang sont beaucoup moins sensibles que ceux du CO2. La pression partielle de l’O2 doit descendre à au moins 60 mm Hg avant qu’un changement respiratoire ait lieu. Ceci s’explique par le fait qu’une grande proportion de l’O2 est transportée et mise en réserve dans les érythrocytes.

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15
Q

pH artériel: influence sur chimiorécepteurs

A

l’acidification du sang dans le corps n’est pas captée par les récepteurs de l’encéphale, puisque l’ion H+ ne diffuse pas au travers des membrane. Ainsi, ce sont les chimiorécepteurs périphériques qui captent l’acidification du sang, par exemple lors de la production d’acide lactique lors d’une activité physique, causant une augmentation de la fréquence et de l’amplitude respiratoire.

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16
Q

Centres cérébraux supérieurs

A

Hypothalamus
les émotions fortes, la douleur ou encore les changements soudain de température provoquent une modification de la respiration commandée par l’hypothalamus. • Centres corticaux : ce sont les centres volontaires qui nous permettent de retenir notre respiration ou de modifier la fréquence et l’amplitude de façon volontaire. Toutefois, les centres involontaires du bulbe rachidien dominent le commandement lorsqu’on atteint un seuil critique de la concentration de CO2.

17
Q

Agents irritants pulmonaires (réflexes)

A

Des récepteurs communiquent avec les centres respiratoires lors d’accumulation de mucus, de poussières ou de vapeurs nocives, ce qui engendre : • La constriction réflexe lors d’accumulation dans les bronchioles; • Le réflexe de toux lors d’accumulation dans la trachée; • L’éternument lors d’accumulation dans les cavités nasales.

18
Q

Distension pulmonaire (protection)

A

Lorsque les poumons atteignent 1,5 L, des mécanorécepteurs de la plèvre viscérale et des conduits pulmonaires activent un réflexe d’expiration afin de prévenir une distension excessive des poumons qui pourrait les endommager.

19
Q

Adaptation de la respiration

A

Exercice :

Altitude :

20
Q

Adaptation de la respiration: exercices

A

• Dû à l’augmentation du métabolisme cellulaire, la consommation en O2 et la production de CO2 augmente, ce qui accroit de 10 à 20 fois la respiration. C’est ce qu’on appelle l’hyperpnée. • Cette augmentation est provoquée par trois facteurs : 1- La préparation mentale, appelée stimulus psychique; 2- L’activation des muscles squelettiques et des centres respiratoires; 3- Les propriocepteurs des muscles, des tendons et des articulations qui activent les centres respiratoires.

21
Q

Adaptation de la respiration: altitude

A

• Une personne qui vit au niveau de la mer et qui se déplace rapidement vers une région de haute altitude, où la concentration d’O2 est plus faible, par exemple dans une station de ski située à 3000 m d’altitude, peut présenter des symptômes du mal d’altitude, soit des étourdissements, de l’essoufflement et des nausées. • Toutefois, une personne qui s’installe de façon prolongée dans une nouvelle région peut s’acclimater, soit par une modification de la sensibilité des chimiorécepteurs et par une augmentation du nombre de capillaires dans les tissus.

22
Q

Rhinite :

A

inflammation de la muqueuse nasale, accompagnée d’une accumulation de mucus, causée par différents allergènes. Puisque les cavités nasales communiquent avec les autres structures de la respiration, l’infection peut se propager dans la gorge, les voies respiratoires, mais aussi dans les sinus (causant la sinusite).

23
Q

Laryngite :

A

inflammation de la muqueuse laryngienne, plus particulièrement des plis vocaux, provoquant une variation du timbre de voix. Peut être causée par une infection, une utilisation excessive de la voix, un air sec ou une substance irritante.

24
Q

Pleurésie

A

inflammation de la plèvre, souvent après une pneumonie. Une pleurésie sèche provoque un frottement entre les feuillets de la plèvre, causant de la douleur à chaque respiration. Peut s’en suivre une accumulation de liquide en réponse au frottement, gênant la respiration par la pression que le liquide exerce sur les poumons.

25
Q

Tuberculose

A

causée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis. Cette bactérie est présente chez 1/3 de la population, mais est contrôlée par le système immunitaire. Toutefois, une baisse importante de l’efficacité du système immunitaire, par exemple chez les personnes atteintes de VIH, provoque une propagation des bactéries qui peuvent entrainer l’apparition des symptômes. Dans les années 1940, l’apparition des antibiotiques a grandement diminué l’incidence de la maladie, mais depuis 1980, on voit un retour inquiétant de cette maladie sous une forme mortelle et résistante aux antibiotiques.

26
Q

Cancer des poumons

A

type de cancer au pronostic très noir, soit 17% de survie après 5 ans, et causé à 90% par le tabagisme. L’usage du tabac inhibe l’action des cils, provoquant une accumulation d’agents irritants, de radicaux libres et d’agents cancérigènes. Il s’agit d’un cancer très agressif, causant des métastases rapidement et sans symptômes apparents. Les chercheurs travaillent sur le développement d’une technique de détection de molécules volatiles présentes dans l’haleine des personnes atteintes d’un cancer du poumon en début de la maladie

27
Q

Sous quelle forme le CO2 est principalement transporté dans le sang?

A

Ions bicarbonates ou HCO3

28
Q

Quel facteur chimique a la plus grande influence sur la fréquence et l’amplitude respiratoire?

A

Le CO2, dont une variation d’à peine 3 mm Hg, provoque un changement de pH dans l’encéphale. Ces changements sont captés par des chimiorécepteurs centraux qui modifient l’amplitude et la fréquence des repirations afin de rétablir les concentrations de CO2.

29
Q

Des agents irritants peuvent provoquer des réflexes modifiant la fréquence et l’amplitude respiratoire. Que provoque l’accumulation d’agents irritants dans les structures suivantes:

A

a.Cavités nasales: Éternumentb.Bronchioles: Constriction réflexe.c.Trachée: Toux

30
Q

Pourquoi le tabac est plus susceptible d’engendrer un cancer du poumon?

A

L’usage du tabac inhibe l’action des cils, provoquant une accumulation d’agents irritants, de radicaux libres et d’agents cancérigènes.