thérapie cognitive-comportementale Flashcards

1
Q

THÉRAPIE COGNITIVO- COMPORTEMENTALE - description:

A
  • Approche scientifiquement validée
  • Thérapie structurée, limitée dans le temps
  • Attention sur le maintenant (contrairement à la psychanalyse)
  • Processus interactif et basé sur la collaboration
  • Présence de travaux à domicile
    avec la pharmacologie.
    =>observation des pensées, émotions, comportements * exposition et exercices cognitifs
  • Évidence scientifique d’efficacité pour la plupart des troubles mentaux seule ou en combinaison
    avec la pharmacologie.
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2
Q

NEUROSCIENCES EN TCC

A

Système limbique
* réactions émotionnelles (ex: amygdale : peur) et
mémoire ( hippocampe, lobe temporale).

Cortex préfrontal
* Nous distingue des autres animaux
* Processus mentaux complexes ( prise de décision,
planification, pensées logiques, inhibition des comportements inappropriés. Etc.)

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3
Q

APPROXIMATIONS ET SIMPLIFICATION UTILES par rapport à l’influence des neurosciences

A

On peut développer une réaction émotionnelle dysfonctionnelle (hyperactivité dans amygdale si peur)
* Ex: phobie

On peut développer des pensées dysfonctionnelles (cortex préfrontal)
* En dépression, (je suis horrible, je mérite de mourir, le monde est sombre)

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4
Q

BÉHAVIORISME - description

A
  • L’être humain acquiert par l’éducation ou l’expérience la plupart de ses caractéristiques.
  • On peut apprendre beaucoup sur les humains en étudiant leurs comportements
  • On s’intéresse à ce qu’on voit, au comportement explicite, observable et mesurable en opposition au subjectif de l’intrapsychique (ex: psychanalyse)
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5
Q

CONDITIONNEMENT CLASSIQUE - exemple

A
  • Un chien salive lorsque la nourriture lui est présentée. Salivation est une réponse inconditionnelle (RI) à un stimulus inconditionnel (SI).
  • RI est relativement stable en réponse au SI. Pas besoin d’entrainement. Réponse déterminée par bagage génétique.
  • Si présentation de la nourriture est associée de façon répétitive à un stimulus initialement neutre (SN) par rapport à la réaction de salivation (cloche), le chien finit par saliver au son de la cloche. Salivation dans ce cas devient une réponse conditionnée (RC) à un stimulus conditionné, cloche (SC)
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6
Q

PRINCIPE D’EXTINCTION - explication

A
  • Extinction : une fois le conditionnement établi, si SC présenté trop de fois sans SI, la RC diminue graduellement.
  • Ex : chiens détecteurs de drogues
  • Renforcementpositifdetempsentemps nécessaire pour ne pas perdre la sensibilité des chiens à détecter la drogue. On veut éviter le phénomène d’extinction
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7
Q

PRINCIPE D’HABITUATION - explication

A
  • Si exposition brève à la situation anxiogène, il en résulte sur sensibilisation, accélération rythme cardiaque et respiratoire et augmentation de la peur dans le futur.
  • À éviter en clinique
  • Si exposition prolongée et répétée, l’organisme finit par se calmer et s’habituer
    progressivement.Techniques utilisées en clinique
  • Exposition in vivo : ex : phobie, anxiété sociale,TOC * Exposition en imagination : ex :TAG, SSPT
  • Exposition aux sensations physiques: trouble panique
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8
Q

EXPOSITION PROLONGÉE ET RÉPÉTÉE - explication:

A
  • À chaque fois qu’on affronte la peur de façon répétée, assez prolongée, et progressive (hiérarchie des peurs), l’anxiété diminue.
  • Principe utilisé pour plusieurs troubles mentaux dont TOC, troubles anxieux et PTSD.
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9
Q

EXPOSITION GRADUÉE COMBINÉE À LA PRÉVENTION DE LA RÉPONSE DANS TOC - description

A
  • s’abstenir de faire les compulsions graduellement et apprendre à tolérer à l’anxiété qui en résulte.
  • Les compulsions et l’anxiété diminuent éventuellement
  • Traitement efficace pour TOC
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10
Q

DÉSENSIBILISATION SYSTÉMIQUE
- description
- APPROXIMATIONS ET SIMPLIFICATION UTILES

A

Joseph Wolpe
« Si une réponse antagoniste de l’anxiété peut être émise en présence de stimuli évoquant l’anxiété, elle affaiblira le lien entre ces stimuli et l’anxiété »

Ex : utiliser exercices de relaxation, lors anxiété trop grande et exposition difficile à débuter.
* Traitementdel’anxiétésociale
* Traitementdesphobies
* Traitement de l’anxiété liée aux dysfonctions sexuelles
* l’expositionrestel’élémentclépourdiminuerlapeur.Parcontre,larelaxationestutileau début du traitement si l’anxiété est intolérable.

On peut développer une réaction émotionnelle dysfonctionnelle (hyperactivité dans amygdale si peur)
* Ex : phobie
* Txt : comportemental : réduire l’anxiété par le
changement de comportement et l’enregistrement
d’expériences correctrices.
* Relaxation et exposition peuvent éventuellement
mener à une diminution de la réaction de peur dans le système limbique.

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11
Q

Outils pour développer la tolérance à l’exposition

A

Dans l’état d’hypervigilance ou dissociation, la personne ne peut pas intégrer nouvel apprentissage
Outils en TSPT
* pleine conscience
* relaxation
* régulation émotionnelle

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12
Q

CONDITIONNEMENT OPÉRANT - description

A
  • Skinner rejette l’idée qu’on peut de façon libre choisir et créer notre environnement.
  • C’est plutôt l’environnement qui nous module.
  • Selon Skinner, les comportements normaux et pathologiques sont conditionnés par les conséquences.
  • Si comportement mène à des conséquences agréables, on le répète.
  • Si comportement mène à des conséquences désagréables, on l’élimine rapidement.
  • Si comportement mène à des conséquences neutres, on l’élimine lentement.
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13
Q

RENFORCEMENT VS PUNITION

A
  • Renforcement : augmentation de la probabilité qu’un événement arrive
  • Punition : diminution de la probabilité qu’un événement arrive
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14
Q

PRINCIPE DE CONTINGENCE (LIEN) - description

A
  • Pour produire un conditionnement, stimulus doit survenir à la suite d’un comportement pour que le sujet puisse établir un lien entre stimulus et comportement influencé.
  • Ex: si l’enfant frappe son frère, on lui retire les privilèges; association de deux événements devient possible.
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15
Q

PRINCIPE DE CONTIGUÏTÉ - description

A
  • Le stimulus et comportement doivent être rapprochés dans le temps
  • Ex : période de quelques secondes pour un chien d’associer comportement désiré à une gâterie
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16
Q

NICTOTINE ET CONTINGUITÉ - description

A
  • Nicotine se rend au cerveau en 8 secondes après l’inhalation.
  • Plus les drogues se rendent rapidement aux récepteurs dans le cerveau, plus ils sont addictifs dans l’ordre suivant
    1. IV ou fumé * 2.intranasal
  • 3.oral
  • 4.transdermal
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17
Q

RENFORCEMENT : AUGMENTATION DE LA PROBABILITÉ D’UNE RÉPONSE - explication

A

Renforcement positif
* Tout stimulus qui, survenant à la suite d’une réponse, augmente la probabilité de cette réponse.
* Une action qui a des conséquences positives va tendre à se répéter
* Ex : étudier mène au succès académique (réussite qui est la conséquence devient le renforçateur) On étudie plus.

Renforcement négatif
* Tout stimulus qui peut être évité par l’émission du
comportement désiré
* Ex: Pendant le souper l’enfant crache les légumes, les parents enlèvent l’assiette des légumes.
===> En enlevant l’assiette (stimulus), le comportement de cracher a plus de chances à arriver.
* Ex: Lorsque j’aide ma copine à faire le ménage, elle me critique moins
====> La diminution de critiques (stimuli) augmente le comportement de faire le ménage.

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18
Q

PUNITION : DIMINUTION DE LA PROBABILITÉ D’UNE RÉPONSE

A

Punition positive
* La punition par l’addition d’un événement.
* Stimulus aversif qui entraine une diminution de la fréquence du comportement.
* Ex : Lors Alex crie, sa mère lui donne des corvées supplémentaires à faire.
===> Corvées (stimulus aversif) qui diminue probabilité de crier

Punition négative
* La punition par soustraction d’un événement
* Enlever un stimulus agréable à la suite d’un comportement approprié
* Ex : Lors Alex crie, sa mère le prive de dessert
===> Priver de dessert (stimulus aversif) diminue probabilité de crier

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19
Q

RENFORCEMENT POSITIF, RÉCOMPENSE VARIABLE
- impact sur la dépendance
- exemples

A

Récompenses variables augmente la probabilité de dépendance

l’attention reçue sur les réseaux sociaux (likes) augmente probabilité de partager des (posts). Renforcement positif

Selon certaines sources, plus que 2 (postes) par jour diminue le nombre de (likes). Les gens s’intéressent moins. Punition négative

Dépendance au jeu pathologique basé sur récompense variable. On gagne parfois, on ne sait pas quand, alors on va continuer à jouer pour gagner plus.

20
Q
  • Thérapie par aversion pour troubles paraphiliques - exemple de quoi
A

PUNITION POSITIVE

  • Ex : Homme avec trouble pédophilique reçoit choc électrique en présentant des photos d’enfants dénudés.
  • Plus ou moins efficace
  • Et éthiquement questionnable
21
Q

CONDITIONNEMENT OPÉRANT ET DÉPENDANCE - description

A
  • Les circuits dopaminérgiques de récompense sont plus activés par les drogues que par les récompenses naturelles.
  • Difficile d’inhiber par le cortex préfrontal
22
Q

THÉRAPIE PAR CONTINGENCE

A

Rajout de renforçateurs positifs à la sobriété
* Ex: coupon à chaque jour de sobriété
* L’abstinence devient plus désirée et renforcée immédiatement.

23
Q

ACTIVATION COMPORTEMENTALE - description

A
  • Composante active significative dans la TCC pour le trouble dépressif.
  • Modification des contingences dans lesquelles se trouve l’individu, du fait de ses comportements.
24
Q

THÉORIE DE L’APPRENTISSAGE SOCIAL - description

A

Albert Bandura
* Apprentissage social
==> Observation de modèles réels ou imaginaires
* Processus cognitifs suite à l’observation :
==>Raisonnement (renforcement positif ou négatif) et mémorisation
* Imitation

25
Q

Théorie de l’apprentissage social - phases:

A

phase d’acquisition
* sans que des renforçateurs externes soient nécessaire
et sans nécessairement passer à la pratique du comportement observé

phase de performance
* la personne imite le comportement observé et appris,
et la réussite devient un renforçateur

26
Q

Théorie de l’apprentissage social
types de renforcement/renforçateur:

A

Renforcement vicariant
* une personne observe le comportement d’un individu et imite
le comportement selon les conséquences observés.
* importance de la représentation mentale (tester les
hypothèses mentalement)
Renforcement interne
* motivation intrinsèque et concept d’efficacité personnelle
* anticipation de conséquences mentalement
* base de l’habitude : répétition d’une réaction préalablement
renforcée

Renforcement externe

27
Q

EXPÉRIENCE DE LA POUPÉE BOBO - explication

A

Expérience
* 36 garçons et 36 filles (3 à 6 ans) exposés à scénario violent d’adultes contre Bobo ou exposés à interaction non violente avec Bobo.
* Les enfants exposés à l’agression des adultes ont été plus agressifs en jouant avec Bobo.
* Agressivité surtout chez garçons exposés à modèles masculins

Est-ce que exposition à la violence dans les médias augmente risque de violence ?
* Données actuelles moins prononcées sur ce lien

28
Q

Concept d’attribution - explication:

A

L’explication élaborée concernant la cause d’un événement ou une situation particulière
* locus (lieu de contrôle)
* externe : situation dépend du hasard, forces externes
* interne : changement dépend de soi
* modèle de l’impuissance acquise
* Suite à un échec perçu, le modèle d’attribution chez le déprimé est : individu s’attribu la
responsabilité totale, la généralise et la considère définitive.
* en cas de réussite, l’attribution est externe : hasard

29
Q

THÉRAPIE COGNITIVO COMPORTEMENTALE - description

A
  • Dans la pratique on utilise l’approche comportementale, ainsi que l’approche cognitive dans un modèle intégral où les pensées, comportement et émotions s’influencent.
  • Parce que les humains ont la capacité de réfléchir
  • Et que certaines pensées (dysfonctionnelles, catastrophiques, illogiques, etc.) contribuent à la détresse psychologique
  • On a la capacité d’examiner nos pensées et les modifier.
30
Q

HYPOTHÈSES DE LA THÉRAPIE COGNITIVE :

A
  • Avec l’entrainement, la motivation et l’attention, on peut devenir conscients du contenu et du processus mental de notre esprit.
  • Notre façon d’interpréter les évènements (nos pensées) influencent notre réaction émotionnelle et notre comportement.
    –> Exemple de pensées et comportement dysfonctionnels
    =====> Penser qu’on va être de toute façon abandonnés peut nous amener à nous sentir déprimé et découragé (émotion) et à ne
    plus essayer de rencontrer des gens (comportement d’évitement)
  • On s’adapte mieux et on devient plus fonctionnel lorsqu’on modifie nos pensées et comportements dysfonctionnelles
31
Q

APPROCHE RÉALISTE - sur la théorie cognitivo-comportementale

A
  • Il y a un vrai monde objectif qui peut être très différent de notre construction cognitive
  • Plus on a des distorsions ou erreurs de la pensée par rapport à ce monde réel, plus on souffre
  • Le mieux adapté et réaliste on est par rapport à ce monde, meilleure est notre santé mentale
32
Q

PSYCHOPATHOLOGIE ET BIAIS COGNITIFS:

A
  • Nous avons tous des biais cognitifs basés sur nos expériences passées et notre génétique.
  • La différence est quantitative chez les sujets dits normaux et ceux atteints de troubles mentaux
    ===> Ex : « J’ai peur que ce cours ne soit pas si intéressant, mais je ferais mon possible pour le rendre intéressant » vs « Je suis sure que personne va m’écouter, c’est vraiment ennuyant pour les étudiants, je suis mieux de ne pas le donner ».
  • Donc, dans les troubles mentaux, il y a exagération des biais cognitifs trouvés dans la population générale.
  • Survol sur les distorsions cognitives les plus communes à la fin de la présentation.
33
Q

TRIADE DE BECK - explications

A

La Pensée négative n’est pas seulement un symptôme de la dépression mais contribue au maintien de la dépression.

34
Q

NIVEAUX DE COGNITION SELON BECK - les 3 niveaux de croyances

A

Trois niveaux croyances ou cognitions:
* Croyances fondamentales rigides sujettes aux biais cognitif (je suis impuissant, le monde est dangereux)
* Croyances intermédiaires et règles (si je ne fais pas tout ce que mon copain demande, il me rejetterait)
* Les pensées automatiques dans une situation spécifique (il ne m’a pas adressé la parole, il n’est pas content)

En pratique on examine les pensées automatiques qui nous mènent aux croyances intermédiaires et fondamentales. On utilise le discours socratique dans le but de corriger les distorsions cognitives contribuant à notre souffrance.

35
Q

DISTORSIONS COGNITIVES = ?

A
  • Erreurs cognitives qui biaisent l’interprétation de la réalité.
36
Q
  1. LA PENSÉE DICHOTOMIQUE (OU/OU)
    - limites
A
  • Raisonnement privé de nuances : blanc/noir, bon/mauvais, victoire/défaite.
37
Q

LA SURGÉNÉRALISATION “TOUJOURS ET PARTOUT” - description:

A
  • L’extrapolation à outrance : considérer un événement unique comme constante permanente.
38
Q

L’INFÉRENCE ARBITRAIRE OU CONCLUSION HÂTIVE “BOULE DE CRISTAL”
- description:

A
  • L’intuition devient une conviction, la conclusion se tire souvent trop hâtivement et sans preuve.
  • Pratiques divinatoires de lire dans la pensée d’autrui ou prédire l’avenir.
39
Q

L’ABSTRACTION SÉLECTIVE (FILTRE)
- description

A
  • D’un événement ou d’une expérience ne seront retenus que les détails les plus déplaisants.
40
Q

LA DISQUALIFICATION DU POSITIF - description

A
  • Rejet systématique du caractère positif d’un événement et de sa transformation en événement neutre ou négatif. Un événement négatif est considéré en revanche bien mérité.
41
Q

LE CATASTROPHISME “PIRE DU PIRE” - description:

A
  • Des scénarios désastreux peuvent se construire sur la base d’un simple incident sans gravité.
42
Q

PERSONNALISATION - description:

A

L’interprétation d’un événement en surestimant sa responsabilité voire à la créer de toutes pièces.

43
Q

RAISONNEMENT ÉMOTIONNEL “PREUVE PAR LE SENTIMENT”

A
  • L’émotion devient assimilée à une véritable preuve, ce qui conduit à un jugement erroné.
44
Q

FAUSSES OBLIGATIONS “MUSTURBATION”
- description:

A
  • Les exigences rigides de soi-même ou des autres, ainsi que les règles fixes et arbitraires.
45
Q

L’ÉTIQUETAGE “JUGEMENT DÉFINITIF”
- description:

A
  • Coller sur soi ou les autres des étiquettes ou jugements globaux sur la valeur d’une personne.
46
Q

APPROXIMATIONS ET SIMPLIFICATION UTILES
- sur les distortions cognitives

A
  • On peut développer des pensées dysfonctionnelles (cortex préfrontal)
  • En dépression, (je suis horrible, je mérite de mourir, le monde est sombre)
  • Txt : traitement cognitif : lors de la correction des pensées maladaptées et dysfonctionnelles de façon répétitive, cortex préfrontal mieux adapté à inhiber émotions et réactions dysfonctionnels.
    Combinaison traitement comportementale et cognitif souvent mieux