Dépression DSM Flashcards

1
Q

De quel besoin vient la survenue du trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle?

A

Nouveau dx du DSM 5 compte tenu des excès potentiels du diagnostic et du traitement du trouble bipolaire de l’enfant

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2
Q

Nommez 2 troubles qui surviennent à l’adolescence après avoir eu, à l’enfance, un diagnostic de trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle

A

Dépression
Troubles anxieux

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3
Q

Vrai ou faux
On ne peut pas donner un diagnostic “trouble dépressif caractérisé” si la personne n’a fait jusqu’ici qu’un seul épisode dépressif

A

Faux
Un diagnostic reposant sur un épisode unique est possible, même si ce trouble est récurrent dans la majorité des cas.

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4
Q

Vrai ou faux
Un deuil induit dans la majorité des cas une dépression

A

Faux
Le deuil est susceptible d’induire une souffrance significative mais il n’induit habituellement pas d’épisode dépressif caractérisé.

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5
Q

Que se passe-t-il lorsqu’une dépression et un deuil surviennent simultanément?

A

Sx et altération fonctionnement + sévères
Pronostic aggravé

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6
Q

Qui est plus susceptible de vivre un deuil associé à une dépression?

A

Ceux ayant une vulnérabilités aux troubles dépressifs

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7
Q

Dans combien de situations différentes doivent survenir les crises de colère d’un enfant avec trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle?

A

Au moins 2 situations (maison, école, avec les pairs) et sévères dans au moins une de ces situations

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8
Q

Comment distinguer un trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle d’un trouble bipolaire chez l’enfant? (2)

A
  • MAB : évolution épisodique de perturbations thymiques séparées. Pendant manie, nouveaux sx (ex : distractibilité, augmentation activité orientée dans un but), changement marqué par rapport à l’habitude
  • TDDE : évolution longitudinale, irritabilité persistante
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9
Q

Vrai ou faux
Les taux de conversion d’une irritabilité sévère non épisodique vers un trouble bipolaire à l’enfance sont élevés

A

Faux
Sont très bas
En revanche, les enfants présentant une irritabilité chronique sont à risque de développer une dépression unipolaire ou des troubles anxieux à l’âge adulte.

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10
Q

Nommez des sx/dx souvent préalables au dx de trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle (4)

A

Hx d’irritabilité chronique, possible dx préalable de TOP
TDAH précoce
Trouble anxieux précoce
Parfois TDC

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11
Q

Vrai ou faux
Les niveaux de dysfonctionnement sont comparables entre un enfant présentant un trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle et un trouble bipolaire

A

Vrai
Les deux affections entraînent des perturbations sévères dans la vie des personnes atteintes et de leur famille. Dans le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle comme dans le trouble bipolaire pédiatrique, un comportement dangereux, des idéations suicidaires ou des tentatives de suicide, des agressions sévères, et une hospitalisation en psychiatrie sont fréquents.

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12
Q

Vrai ou faux
Une majorité d’enfant présentant un TOP remplissent aussi les critères d’un trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle

A

Faux
La plupart des enfants TDDE répondent également aux critères TOP, mais l’inverse n’est pas vrai : seuls 15 % des TOP remplissent les critères d’un TDDE.
Si l’enfant remplit les critères des 2 troubles, le TDDE l’emporte.

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13
Q

Nommez 3 diagnostics psychiatriques qui peuvent être donnés en présence d’un trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle chez un enfant

A

TDAH
Trouble anxieux
TDC

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14
Q

Quelle est la différence entre un trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle et trouble explosif intermittent? (2)

A

TEI :
- pas de perturbation persistante de l’humeur entre les crises
- 3 mois de sx actifs (vs 12 mois)

Les enfants souffrant de symptômes évocateurs d’un trouble explosif intermittent présentent des épisodes de crises de colère sévères, tout comme les enfants atteints de trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle. Toutefois, à la différence du trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle, le trouble explosif intermittent ne nécessite pas une perturbation persistante de l’humeur entre les crises de colère. De plus, le trouble explosif intermittent requiert seulement 3 mois de symptômes actifs, comparés aux 12 mois requis pour le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle. Ainsi, ces deux diagnostics ne doivent pas être portés chez un même enfant. Les enfants souffrant de crises de colère et d’une irritabilité intercurrente, persistante, ne doivent recevoir que le seul diagnostic de trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle.

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15
Q

Quel est le dx le plus fréquent en comorbidité avec le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle?

A

TOP

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16
Q

Nommez des comorbidités fréquentes avec le trouble disruptif avec dysrégulation émotionnelle (4)

A

TOP : seul le dx TDDE doit être porté
Troubles de l’humeur
Troubles anxieux
TSA

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17
Q

Vrai ou faux
En dépression, les anomalies psychomotrices témoignent d’une plus grande sévérité

A

Vrai
Les anomalies psychomotrices sont moins fréquentes mais témoignent d’une sévérité globale plus marquée, de même que les idées de culpabilité délirantes ou quasi délirantes.

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18
Q

Vrai ou faux
En dépression, le risque de récidive diminue progressivement au cours du temps quand la durée des rémissions augmente

A

Vrai

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19
Q

Nommez des sx du TDC plus fréquents chez les jeunes que chez les personnes âgées (2)

A

Hypersomnie
Hyperphagie

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20
Q

Nommez des sx du TDC plus fréquents chez les personnes âgées que chez les jeunes (2)

A

Sx mélancoliques
Anomalies psychomotrices

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21
Q

Nommez un fdr tempéramental de la dépression

A

Le névrotisme (affectivité négative)

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22
Q

Nommez des fdr environnementaux de la dépression (2)

A

Expériences négatives à l’enfance
Événements de vie stressants

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23
Q

Par combien est multiplié le risque de souffrir d’un TDC si un parent du 1er degré présente un TDC?

A

2 à 4 p/r population générale

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24
Q

Quelle est l’héritabilité d’un TDC?

A

40%

25
Q

Nommez un fdr génétique de la dépression

A

Parents du 1er degré ayant TDC

26
Q

Nommez des comorbidités psychiatriques qui affectent le plus souvent l’évolution d’un TDC (3)

A

TLU
Tb anxieux
TPL

27
Q

Quels sont les sx de la dépression qui sont les plus souvent signalés peu importe les pays/cultures? (2)

A

Insomnie
Perte d’énergie

28
Q

Vrai ou faux
La plupart des suicides accomplis sont précédés par des tentatives de suicide

A

Faux
Le facteur de risque le plus constamment décrit concerne les antécédents de tentatives de suicide ou de menaces suicidaires mais on doit se souvenir du fait que la plupart des suicides accomplis n’ont pas été précédés par des tentatives de suicide

29
Q

Nommez un fdr de TS

A

TPL

30
Q

Nommez des comorbidités psychiatriques fréquentes associées au TDC (6)

A

TUS
Trouble panique
TOC
Anorexie mentale
Boulimie
TPL

31
Q

À quels dx psychiatriques est associé un trouble dépressif persistant précoce? (2)

A

TP
TUS

32
Q

Vrai ou faux
Les impacts fonctionnels du TDC sont plus importants que ceux du trouble dépressif persistant

A

Faux
Le degré d’impact du trouble dépressif persistant sur le fonctionnement social et professionnel varie largement mais ses effets sont au moins aussi importants que ceux du trouble dépressif caractérisé

33
Q

Vrai ou faux
Des idées délirantes et des hallucinations sont possibles en trouble dysphorique prémenstruel

A

Vrai
Des idées délirantes et des hallucinations ont été décrites pendant la phase lutéale tardive du cycle menstruel mais elles sont rares

34
Q

Quelle est la différence entre le syndrome prémenstruel et le trouble dysphorique prémenstruel? (4)

A

SPM :
Minimum de 5 sx pas requis
Sx thymiques pas nécessaires
Plus fréquent
Moins grave

35
Q

Vrai ou faux
Le taux de troubles de la personnalité est plus élevé chez les personnes souffrant d’un trouble dysphorique prémenstruel

A

Faux
Le taux de troubles de la personnalité n’est toutefois pas plus élevé chez les personnes souffrant d’un trouble dysphorique prémenstruel que chez celles qui n’en présentent pas.

36
Q

Vrai ou faux
Les symptômes de trouble dysphorique prémenstruel pourraient être 2e à un traitement hormonal exogène

A

Vrai
Certaines femmes qui souffrent de symptômes prémenstruels moyens ou graves peuvent recourir à des traitements hormonaux, y compris des contraceptifs. Si de tels symptômes apparaissent après l’initiation d’un traitement hormonal exogène, ils peuvent être dus à l’utilisation de ces hormones plutôt qu’à un trouble dysphorique prémenstruel sous-jacent. Une disparition des symptômes si les femmes arrêtent les hormones est en faveur d’un trouble dépressif induit par une substance/un médicament.

37
Q

Quel est le trouble psychiatrique le plus souvent rapporté dans les ATCD des personnes avec un trouble dysphorique prémenstruel?

A

EDC

38
Q

Vrai ou faux
Les comorbidités médicales ou psychiatriques peuvent s’aggraver pendant la phase prémenstruelle

A

Vrai
Un grand nombre d’affections médicales (p. ex. la migraine, l’asthme, les allergies, les épilepsies) ou d’autres troubles mentaux (p. ex. les troubles dépressifs ou bipolaires, les troubles anxieux, la boulimie, les troubles de l’usage d’une substance) peuvent s’aggraver pendant la phase prémenstruelle.

39
Q

Quelles sont les substances nommées dans le DSM pouvant causer un trouble dépressif induit par une substance/Rx? (8)

A

Sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques
Opiacés
Amphétamines ou autres stimulants
Cocaïne
ROH
Hallucinogènes
Phencyclidine (PCP)
Substances inhalées

40
Q

Quels sont les spécificateurs du trouble dépressif induit par une substance/Rx? (2)

A

Début au cours d’une intox
Début au cours d’un sevrage

41
Q

Vrai ou faux
Les sx d’un trouble dépressif induit par une substance/Rx pourraient se manifester 2 mois après l’ingestion de la substance

A

Faux
Objectivé par l’histoire clinique, l’examen physique ou les résultats de laboratoire, le trouble dépressif en question se développe durant l’utilisation de la substance qui est susceptible de produire le trouble dépressif (critère B1) ou dans le mois qui suit.

Un trouble dépressif associé à l’usage d’une substance doit débuter alors que le sujet utilise la substance ou après son arrêt, s’il y a un syndrome de sevrage associé avec cette substance. Le plus souvent, le trouble dépressif débute au cours des toutes premières semaines ou dans le 1er mois de l’usage de la substance. Une fois la substance arrêtée, les symptômes dépressifs s’amendent habituellement en quelques jours ou en plusieurs semaines en fonction de la demi-vie de la substance ou du médicament et de la présence d’un syndrome de sevrage. Si les symptômes persistent 4 semaines au-delà de la période de temps attendue pour le sevrage de la substance ou du médicament, d’autres causes à l’origine des symptômes dépressifs doivent être recherchées.

42
Q

Nommez des médicaments/classes de Rx qui pourraient induire un trouble dépressif induit par un Rx (15)

A

Anticonvulsivants
Antipsychotiques
Antidépresseurs
Stimulants
Antimigraineux (triptans)
Agents hormonaux (corticostéroïdes, CO, agonistes GnRH, tamoxifène)
Dérivés de l’acide rétinoïde (isotrétinoïne)
Topiques dermatologiques
Agents cardiovasculaires (clonidine, guanéthidine, méthyldopa, réserpine)
ATB
Antiviraux (éfavirenz)
Chimiotx
Interféron
Varenicline
L-dopa

43
Q

Vrai ou faux
La prévalence du trouble dépressif induit par une substance/un médicament est plus importante que celle du trouble dépressif caractérisé

A

Faux
Prévalence trouble dépressif induit : 0,26%

44
Q

Comment distinguer des sx dépressifs survenant dans l’intoxication d’une substance d’un trouble dépressif induit par une substance?

A

Des symptômes dépressifs surviennent habituellement dans les cas d’intoxication par une substance ou au cours du sevrage, et le diagnostic d’intoxication ou de syndrome de sevrage sera souvent suffisant pour décrire le tableau clinique. Un diagnostic de trouble dépressif induit par une substance plutôt qu’un diagnostic d’intoxication ou de sevrage doit être posé quand les symptômes thymiques sont suffisamment graves pour nécessiter une prise en charge indépendante.

45
Q

Nommez des affections médicales ayant des corrélations neuro-anatomiques avec la dépression (4)

A

Maladie de Huntington
Maladie de Parkinson
AVC
Lésions cérébrales traumatiques

46
Q

Nommez des affections médicales neuroendocriniennes qui peuvent causer un trouble dépressif dû à une autre affection médicale (2)

A

Maladie de Cushing
HypoT4

47
Q

Nommez des conditions médicales pouvant causer un trouble dépressif dû à une autre affection médicale (7)

A

Maladie de Huntington
Maladie de Parkinson
Maladie de Cushing
AVC
Lésions cérébrales traumatiques
HypoT4
Sclérose en plaques

48
Q

Combien de temps après un AVC pourrait survenir une dépression 2e?

A

Dans les premiers jours post-AVC habituellement
Parfois survient dans les semaines-mois après AVC

49
Q

Quelle est la durée d’un EDC post-AVC?

A

9-11 mois

50
Q

Vrai ou faux
La dépression précède souvent la survenue des déficits cognitifs et moteurs dans la maladie de Huntington

A

Vrai
Dans la maladie de Parkinson aussi
De même, dans la maladie de Huntington l’état dépressif survient assez tôt dans l’évolution de la maladie. Dans la maladie de Parkinson et dans la maladie de Huntington, il précède souvent la survenue des déficits cognitifs et des troubles moteurs. C’est surtout le cas dans la maladie de Huntington au cours de laquelle la dépression est souvent considérée comme le premier symptôme neuropsychiatrique de la maladie. Selon des données observationnelles, la dépression est moins habituelle à mesure que la démence de la maladie de Huntington progresse

51
Q

Vrai ou faux
En maladie de Huntington, la dépression survient plus souvent vers la fin de la progression de la maladie

A

Faux
Dépression souvent considérée comme le premier sx neuropsychiatrique de la maladie : précède souvent les déficits cognitifs et moteurs

52
Q

À quelle zone cérébrale sont associées les dépressions post-AVC?

A

Frontal gauche
Surtout quand dépression survient entre 1j et 1 sem après l’AVC

53
Q

Vrai ou faux
Les dépressions post-AVC survenant plus tardivement (2-6 mois post-AVC) sont associées aux lésions en frontal gauche

A

Faux
L’association entre les régions frontales et la latéralité n’est pas observée dans les états dépressifs qui surviennent dans les 2 à 6 mois qui suivent un AVC.

54
Q

Vrai ou faux
La présence d’un baby blues augmente le risque de survenue d’un EDC du post-partum

A

Vrai
Des études prospectives ont montré que la présence de symptômes anxieux et thymiques pendant la grossesse, ainsi que le « baby blues », augmentent le risque de survenue d’un épisode dépressif caractérisé du post-partum

55
Q

Vrai ou faux
L’infanticide est le plus souvent associé à un épisode maniaque du post-partum

A

Faux
Le plus souvent associé à un épisode psychotique du post-partum
Les épisodes avec début lors du post-partum peuvent se présenter avec ou sans caractéristiques psychotiques. L’infanticide est le plus souvent associé à un épisode psychotique du post-partum caractérisé par des hallucinations donnant l’ordre de tuer l’enfant ou par des idées délirantes selon lesquelles l’enfant est possédé, mais les symptômes psychotiques peuvent aussi survenir lors d’épisodes thymiques graves du post-partum ne comportant pas de telles idées délirantes ou hallucinations spécifiques.

56
Q

Vrai ou faux
Les épisodes thymiques du post-partum avec caractéristiques psychotiques seraient plus fréquents chez les femmes multipares

A

Faux
Primipares

Les épisodes thymiques (dépressif caractérisé ou maniaque) du post-partum avec caractéristiques psychotiques semblent survenir au cours d’un accouchement sur 500 à 1 sur 1 000 et sont peut-être plus fréquents chez les femmes primipares. La probabilité de présenter un épisode avec caractéristiques psychotiques lors du post-partum est particulièrement augmentée chez les femmes ayant des antécédents d’épisodes dépressifs lors du post-partum mais aussi chez celles présentant des antécédents de trouble dépressif ou bipolaire (notamment le trouble bipolaire I) et celles avec des antécédents familiaux de trouble bipolaire.

57
Q

Quel est le risque de présenter à nouveau des caractéristiques psychotiques en post-partum si une femme a déjà présenté un épisode avec caractéristiques psychotiques post-partum par le passé?

A

30-50% pour chaque accouchement ultérieur

58
Q

Vrai ou faux
Le caractère saisonnier d’un épisode thymique est plus fréquent en dépression qu’en manie

A

Faux
On ne sait pas si le caractère saisonnier est plus fréquent en cas de trouble dépressif caractérisé récurrent ou de trouble bipolaire.