cour 8: cognition sociale Flashcards

1
Q

Quelle structure qui fait le pont entre les aspects cognitifs et affectifs et joue un rôle dans la prise de décision;

Vient de projections très fortes sur le système dopaminergique;

Inhibition du système dopaminergique. Interet potentiel dans le développement de la dépression: rôle clef dans l’impuissance acquise chez les animaux.

A

la benulla

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2
Q

Qu’est-ce que la psychologie sociale

A

Psychologie sociale:
Champ visant à étudier et comprendre comment les pensées, les sentiments et les comportements d’un individu sont influencés par la présence réelle, imaginée ou implicite d’autres individus

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3
Q

Quel est le lien entre neurosciences computationnelles et neurosciences sociales?

A

l’ensemble du tissu cérébral a évolué pour nous permettre de traiter de l’information. Le cerveau est représenté comme une machine à calculer (représentation du monde à l’aide de statistiques), ce qui nous permet de faire des prédictions sur le monde qui nous entoure, grâce à nos sens. Si l’info est différente du modèle de nos attente, message d’erreur, et modification du modèle interne par adaptation

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4
Q

Explique le lien entre les neurones et la société

A

similitudes avec les neurones et la structure sociétale que l’on a créée. Notre cerveau est organisé avec des unités de traitement de l’information liées a d’autres unités parce que l’info traitée par un neurone est limitée, alors que quand il y a possibilités de communication, c’est à ce moment qu’il y un potentiel de traitement. De même on est des êtres sociaux parce qu’à travers nos connexions on peut potentialiser nos ressources et notre survie (ex: centres connectés avec les autres)

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5
Q

Qu’est-ce que les neurosciences sociales?

A

Étudier et comprendre, en utilisant les mécanismes neuraux, comment les pensées, les sentiments et les comportements d’un individu sont influencés par la présence réelle, imaginée ou implicite d’autres individus.

L’étude des mécanismes hormonaux, cellulaires, génétiques et des associations et influences entre les niveaux d’organisation biologique et sociale (Cacioppo & Decety, 2011)

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6
Q

Explique le danger ou risque d’utiliser les neuroscience pour étudier le
comportement social

A

Danger du réductionnisme: Un type d’explication sera éventuellement remplacé par un autre, plus simple

les preuves sont quand même vues comme plus solides si elles sont en fondement biologiques. Pourtant, notre cerveau traite l’information en ayant un espèce de filtre social.

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7
Q

Comment les processus sociaux sont-ils traités par le cerveau?

A

– Certains sont créés par des contraintes environnementales
et historiques et sont appris par le cerveau (p.ex., in-group
vs. out-group)

– D’autres sont causés par l’organisation et le
fonctionnement du cerveau (p.ex., ses limites)

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8
Q

Comment peut-on mesurer le cerveau social chez l’enfant?

A

présentation aux enfants de bonhomme cercle qui monte la montagne, mais tombe.

1ere condition: triangle arrive et pousse monsieur cercle vers le haut (aide vers son objectif).

2e condition: le carré le pousse vers le bas, l’empêchant d’avancer.

Puis, on refait la même expérience mais on échange les positions sociales du carré et du triangle selon les essais.

Est-ce que l’enfant va être capable de discriminer entre qui aide et qui empêche selon leurs positions aux 2 essais? On mesure vers quelle composante l’enfant va donner son attention le plus souvent (mesure d’appréciation pour les jeunes enfants qui ne parlent pas)

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9
Q

Quels sont les résultats des expériences comme les formes de bonhomme avec les enfants pour mesurer le cerveau sociale?

A

même à 6 mois, le personnage qui aide est celui sélectionné dans les 2 essais même s’il change d’apparence: l’aspect de qui a aider va être choisi, donc très tôt, l’enfant est sensible à ce type d’information sociale (“qui peut m’être utile”), un aspect de survie.

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10
Q

Quels sont les résultats d’attribution d’intentions et d’états mentaux aux formes chez les enfants normaux vs autistes?

A

Les enfants autistes ont de la difficulté à attribuer les intentions des gens et faire les bonnes inférences: Plus de 40% de mauvaises réponses.

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11
Q

Selon les travaux de Schilbach, notre cerveau possède un réseau « social » impliqué dans la cognition sociale
(traitement des informations sociale): quelles structures sont impliquées? (4)

A

régions du traitement des informations sociales associées par méta analyse (combiner résultats de plusieurs études) :

cortex préfrontal dorsomédian

précunéus

jonction temporo-pariétale

lobe temporal frontal et rostral

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12
Q

Explique la version modulaire du cerveau social

A

bien que des régions soient activées quand on fait des tâches qui traitent l’information sociale, elles sont recrutées aussi par plein d’autres choses…attention à la vision modulaire du cerveau (région = rôle x) mais le cerveau ne fonctionne pas 1:1, c’est le fruit d’une activité distribuée, donc un réseau explique un comportement.
cerveau social: cerveau a évolué pour nous permettre de traiter de l’info sociale, de l’interpréter pour nous permettre d’intéragir.

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13
Q

Explique la théorie de la comparaison sociale de Festinger

A

l’humain n’est pas vraiment bon a évaluer sa propre valeur et capacité, alors on utilise les autres, et c’est ainsi qu’on va construire notre identité (notre “soi”)

Des gens qui sont menacés vont avoir tendance à se comparer a des gens moins bons qu’eux pour se remonter (wills)

Se comparer permet d’apprendre, se développer, s’améliorer.

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14
Q

Explique la différence entre la comparaisons sociale vers le bas vs vers le haut

A

Vers le bas
*comparaisons avec gens en dessous de nous qui sont considérés moins bons
*but = se remonter
* conséquences: émotions positives, protège le soi, réduit l’anxiété

Vers le haut
*comparaison avec des gens considéré au dessus de nous
* but = s’améliorer
* conséquences = émotions negatives, menace au soi, réduit

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15
Q

Qu’est-ce que les travaux suivants ont montré?

Pleasure and pain in social comparison (Brickman & Bulman, 1977)

Some Affective Consequences of Social Comparison and Reflection Processes: The Pain and Pleasure of Being Close (Tesser, Millar & Moore, 1988)

Downward and upward comparisons initiate
pleasure- and pain- related neural response (Swencionis,
2014)

A

travaux qui montrent que la comparaison sociale amène des conséquences affectives selon si elle est vers le bas ou vers le haut

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16
Q

la comparaison vers le bas associée à des activations
ou? (2)
– Traitement des récompenses (Delgado, 2007

A

dans le stritum ventral (VS) et le cortex préfrontral
ventromedial (vmPFC)

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17
Q

la comparaison vers le haut associée à un recrutement
de quelle région?
– Encodage d’émotions négatives incluant la douleur

A

cortex cingulaire antérieur

18
Q

Selon Luo et al quand on met ensemble les articles qui font une comparaison sociale avec qq d’autre: activations constante dans quelle région? (2)

A

le striatum ventral et le cortex préventral ventromédian

19
Q

Selon Luo et al, les études qui mettent les gens dans une position moins bien que les autres amène une activité dans quelles régions ? (2)

A

l’insula antérieur et le cortex cingulaire antérieur.

20
Q

Selon Luo et al, quelle région est activée pendant une situation de récompense (pas d’aspect social - ex; machine à sous)? (2)

A

le traitement des récompense non sociale
montre une activation dans le striatum ventral et cortex préfrontal ventromédian = overlap

21
Q

La comparaison sociale recrute de façon consistante
quelles 4 régions?

A

VS = striatum ventral
vmPFC = cortex préfrontal ventromédian
AI = insula antérieure
ACC = cortex cingulaire antérieur

22
Q

Qu’est-ce qui prouve que la modularité ne fonctionne pas quant au comportement social?

A

Le traitement neural induit par les comparaisons
sociales vers le bas et vers le haut—qui sont sociales
par nature—induisent des réponses cérébrales très
similaires à celles observes lors du traitement des
affects positifs/négatifs non-sociaux (prouve que la modularité ne fonctionne pas, représentation distribuée)

23
Q

À quoi servirait la comparaison sociale?

A

Pourrait refléter des erreurs de prédictions qui signalent le besoin pour des changements
comportementaux. Ce type de signal pourrait motiver les gens à:

  • Chercher des comportements qui leur permettent de maintenir
    leur avantage
  • Chercher des comportements qui leur permettront d’être
    meilleurs

Importance pour l’amélioration personnelle

Protéger notre bien-être subjectif (Wills, 1981)

Promotion de changements comportementaux pour s’améliorer
(Woods, 1989

24
Q

Explique l’expérience de Ash sur la conformité et ce qu’elle montre.

A

Des gens s’assoient à une table. On leur présente des lignes de différentes longueurs sur une feuille. À chaque fois que l’expérimentateur change les feuilles, les gens sont invités à choisir quelle ligne est la plus longue. Montre qu’on peut changer le comportement des gens en fonction de l’environnement

25
Q

Pourquoi se conformer?

A

– Besoin d’avoir une interprétation adéquate de la réalité et d’agir de la bonne manière

– Besoin d’approbation sociale

Quand on ne sait pas quoi faire, on se fie aux autres pour produire des comportements plus adaptés
suivre le groupe permet d’être mieux évalué par celui-ci; aspects de récompenses et de punition

26
Q

Explique l’expérience de Klucharev et al sur la conformité

A

But: montrer comment la conformité du cerveau se produit? (quelles régions sont impliquées)

Présenter des visages aux participants et leur demander sur une échelle de 1 à 8 à quel point ils les trouvent beaux.

Ensuite on les met dans un scanner et on enregistre leur activité cérébrale pendant qu’on leur dit ce que la moyenne des gens du groupe a dit.

Ainsi, les gens vont se comparer. Ils voulaient voir ce que font les gens en sachant de l’information différente de la leur. Donc, ils ont refait l’expérience une seconde fois ensuite.

27
Q

Explique les résultats de l’expérience de Klucharev et al sur la conformité

A

Quand le groupe évalue la personne plus négativement, dans la deuxième évaluation, les participants diminuent leur score.

Quand il n’y a pas de conflit avec le groupe, les gens maintiennent le même score.

Et quand le groupe évalue la personne plus positivement, les participants augmentent leur score: donc conformité

28
Q

Selon l’expérience de Klucharev et al sur la conformité, quelle est la différence d’activation entre l’activité cérébrale lorsque CONFLIT vs. activité cérébrale lorsqu’AUCUN CONFLIT?

A

quand il y a un conflit (différence avec le groupe) activation du cortex cingulaire et désactivation du noyau accuben.

quand il n’y a pas de conflit, activation du noyau accuben qui fait partie du circuit de la récompense

29
Q

Selon l’expérience de Klucharev et al sur la conformité, quelle est l’activité cérébrale lorsque le participant a CHANGÉ SON ÉVALUATION (CONFORMITÉ)
vs. Activité cérébrale lorsqu’il n’a PAS CHANGÉ SON COMPORTEMENT

quelle conclusion peut-on en tirer?

A

quand les gens changent leur score: régions du cortex cingulaire + activée et desactivation du noyau accuben.

pour l’autre activation voir studium

Conclusion: perception influencée par des lunettes sociales, qui modifient le comportement.

30
Q

Que sont les normes sociales?

A

les normes sociales sont « la grammaire de nos sociétés »
(Bicchieri, 2005): Ensemble de comportements qui sont attendus de faire dans une certaine situation :

  • Ce que je crois que les AUTRES DEVRAIENT faire
  • Ce que je crois que les autres pensent que JE DEVRAIS faire
31
Q

Comment les normes sont-elles intégrées neurologiquement?

A

cerveau possède une machinerie qui permet de calculer ce qui est attendu par les normes. Un modèle avec moyenne et écart type représente une norme pour détecter les déviations entre ce qui est attendu et ce qui est percu dans l’environnement (en calculant l’erreur de prédiction de la norme)

erreur de prédiction de la norme peut être positive ou négative. Dans les 2 cas erreurs pcq même si c’est positif, écart veut dire que modèle interne n’est pas adapté à la réalité.

Erreur de prédiction dans la moyenne de la norme = erreur de prédiction sur la norme (EPn) Peut être subdivisée en deux :
* Environnement meilleur que la norme (EPn positive)
norme
* Environnement pire que la norme (EPn négative)

Ajuster le comportement ou nos états internes pour coïncider avec la norme
« erreur de prédiction de la moyenne » = 0

32
Q

quelles sont les deux façons de choisir les meilleures actions à produire pour corriger les déviations?

A

produire des comportements pour modifier l’environnement et le rendre plus près de notre modèle à nous

soit changer le modèle interne (attentes, représentation) pour l’adapter à l’environnement

  • diminue le message d’erreur (erreur de prédiction)
33
Q

Explique le jeu de l’ultimatum pour étudier les normes sociales

A

pour étudier les normes sociale. ( ce qu’on s’attendrait que le proposeur offre)

2 personnes: 1 proposeur et un répondeur

on donne au proposeur un montant $ x et on lui dit qu’il va devoir diviser ce montant avec qq d’autre. La tâche du répondeur est d’accepter ou de refuser l’offre.

Si il l’accepte, 2 personnes recoivent leur part.

S’il refuse, les 2 participants ont rien.

Pour le répondeur, la norme peut être la valeur de l’offre qu’il recoit. S’il refuse, indique une transgression de la norme, car il est prêt à payer un prix (n’avoir aucun gain) pour le communiquer

on s’interesse à la capacité des gens à modifier leur norme.

34
Q

Explique l’expérience sur le jeu de l’ultimatum et les 2 conditions

A

On met des participants dans le rôle du répondeur. À chaque essai, pairage avec un proposeur différent qui fait une offre. On leur demande d’évaluer leur niveau de satisfaction sur l’offre qu’ils ont reçu. Ils étaient assignés à 2 conditions différentes sans le savoir

pour les 30 premiers essais:
* condition 1: offres basses (“cheap”: environ 4$ recu, sachant que le proposeur recoit 20$)
* condition 2: offres généreuse (12$ recu alors que le proposeur ne garde que 8$)
* contrôle = proposition normale, dans le milieu

Dans la 2e partie de la tâche, la même offre pour tout le monde. But: conditionner les gens. Ceux qui recoivent des offres basses auront une perception négative du monde et ceux qui recoivent des offres hautes auront une perception positive du monde.

Pour voir si le conditionnement fonctionne, pour le même type d’offre, dépendamment de la condition dans lequel les participants étaient, il devrait y avoir une réponse différente.

35
Q

explique les résultats de l’expérience sur le jeu de l’ultimatum en mentionnant les effets du conditionnement:
– Sur le taux de rejets d’offres justes
– Sur l’évaluation subjective des offres justes

A

réponses différentes observées.

Taux de rejet significativement plus bas pour les gens qui ont recu des offres basses.

Les personnes qui ont recu des offres très basses trouvent les offres moyennes plus intéressantes que ceux qui ont été habitués de recevoir des offres très élevées.

taux de rejet varie d’essai en essai. Indiquerait un update d’attentes et de norme par apprentissage. Indice que la norme de 10$ ne restait pas fixe.

36
Q

Explique l’équation de Fehr-Schmidt et Bicchieri pour expliquer les différences dans le comportement (taux de rejets-évaluations subjectives)

A

– Une influence de la norme sur notre évaluation/valeur des offres.
◆1er postulat: La norme sociale (n) influence la valeur
subjective (U) de l’offre (o) reçue

nos attentes ont une influence sur notre perception de la valeur d’une offre (influence de la norme): calcul possible de la valeur subjective d’une offre par rapport à une norme dans l’approche computationnelle.
entre accolades entourée représente erreur de prédiction négative vs erreur de prédiction positive
envie et culpabilité permet d’expliquer les différences individuelles

personne plus sensible aux déviation a plus tendance à rejeter les offres.

équation: l’offre reçue au temps t - ((envie x erreur de prédiction negative - culpabilité x erreur de prédiction positive (verif studium))

37
Q

Le processus d’adaptation implique quoi?

A

– Détection de déviations face à la norme sociale (EPn)

– En observant les offres, on apprend une nouvelle norme

◆2ème postulat: La norme sociale (n) des participants est une distribution dont la moyenne (μ) sera modifiée en fonction des offres (o) reçues

offre - attentes = erreur de prédiction, présente pcq donne beaucoup d’informations sur ce qu’on doit faire pour adapter nos actions.

variable: erreur de prédiction negative

38
Q

Selon l’étude de Xiang et al, que sont les corrélats neuronaux quant aux déviations par rapport aux normes sociales (EPn)?

A

l’activité varie d’essai en essai: des régions traitent l’erreur de prédiction de la norme. Striatum a une activité qui corrèle avec les 2 signaux.

39
Q

Selon l’étude de Hétu et al, quelle est l’activité liée à la réponse EPn?

A

système dopaminergique
aire tegmentale ventrale
substance noire

activité qui corrèle avec la substance noire et l’ATV qui corrèle avec l’erreur de prédiction positive
d’autres régions codent en fonction de l’erreur de prédiction négative

40
Q

Qu’est-ce que l’expérience de Morasse et al a montré sur le traitement des normes sociales chez les enfants?

A

jeu de l’ultimatum avec des jeunes. Eux aussi le traite de la même façon: même des enfants de 7 à 10 ans, leur cerveau est capable de traiter ce genre d’information

Les résultats indiquent une baisse moyenne de 8% (p <
.001) du taux rejets des participants enfants de 7 à 10 ans après avoir reçu une série d’offres très basses.

41
Q

Qu’est-ce que l’étude de Désilets et al a montré sur le traitement des normes sociales et mesures physiologiques?

A

types de mesures pour détecter la déviation de transgression de normes sociales: EEG et pupille mesuré: en regardant la taille de la pupille, on peut voir une différence quand les gens voient une transgression des normes (pupilles dilatées)

42
Q

Qu’est-ce que l’expérience de désilets, Brisson et Hetu a montré sur le traitement des normes sociales et orientation politique?

A

lien positif entre la sensibilité aux déviation dans les normes et la tendance d’être de droite sur le spectrum d’orientation politique