Gestion Opérationnelle et Commandement de niveau 2 Flashcards

1
Q

Laquelle de ces phases de la marche générale des opérations précède les établissements ?

A- Les sauvetages

B- L’attaque

C- La protection

D- Le déblai

A

A- Les sauvetages

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2
Q

Pour limiter les dégâts matériels, certaines opérations sont menées d’emblée avec l’attaque. Il s’agit d’opérations de :

A- Sauvetage

B- Protection

C- Déblai

D- Surveillance

A

B- Protection

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3
Q

La phase qui n’appartient pas à la marche générale des opérations est :

A – l’alerte

B – la reconnaissance

C – la surveillance

D – la protection

A

A – l’alerte

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4
Q

Quelle phase de la marche générale des opérations vient immédiatement après les établissements ?

A – la reconnaissance

B – les sauvetages

C – l’attaque

D – le déblai

A

C – l’attaque

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5
Q

Même s’il n’y a pas urgence et en cas de refus de la part des occupants, le chef d’équipe chargé d’une reconnaissance a le droit de visiter un appartement :

A – vrai

B – faux

A

B – faux

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6
Q

Pour laquelle de ces phases de la MGO est-il plus particulièrement important de rendre compte immédiatement de l’exécution de la mission ?

A – la reconnaissance

B – les établissements

C – la protection

D – le déblai

A

A – la reconnaissance

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7
Q

Au cours de quelle phase de la MGO est-il particulièrement important de contrôler le taux de CO dans l’atmosphère ?

A – les sauvetages

B – les établissements

C – l’attaque

D – le déblai

A

D – le déblai

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8
Q

En règle générale, un chef d’équipe peut être amené à commander un détachement de surveillance de :

A – 2 à 3 sapeurs-pompiers

B – 5 à 10 sapeurs-pompiers

C –10 à 15 sapeurs-pompiers

D –15 à 20 sapeurs-pompiers

A

A – 2 à 3 sapeurs-pompiers

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9
Q

Sur une opération importante, le gonflage des bouteilles d’ARI, l’alimentation des engins, le ravitaillement des intervenants constituent :

A – un secteur géographique

B – un secteur fonctionnel

C – un point de transit

D – un point de contrôle

A

B – un secteur fonctionnel

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10
Q

Visant à rationaliser les déplacements sur une grosse opération, un point de passage obligé pour les véhicules constitue :

A – un secteur géographique

B – un secteur fonctionnel

C – un point de transit

D – un point de contrôle

A

C – un point de transit

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11
Q

Une zone de contrôle et de sécurité (pour les ARI par exemple) sur une opération importante constitue :

A – un secteur géographique

B – un secteur fonctionnel

C – un point de transit

D – un point de contrôle

A

C – un point de transit

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12
Q

Toute initiative prise par un chef d’équipe sur une opération et dictée par les circonstances doit faire l’objet d’un compte-rendu immédiat :

A – vrai

B – faux

A

A – vrai

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13
Q

Un chef de groupe commande :

A – de 1 à 2 agrès

B – de 2 à 4 agrès

C – de 3 à 5 agrès

D – plus de 5 agrès

A

B – de 2 à 4 agrès

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14
Q

Un chef de colonne commande :

A – de 1 à 2 groupes

B – de 2 à 4 groupes

C – de 3 à 5 groupes

D – plus de 5 groupes

A

B – de 2 à 4 groupes

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15
Q

La fonction de chef de colonne correspond aux grades de :

A— adjudant — major — lieutenant

B— lieutenant — capitaine

C— lieutenant — capitaine — commandant

D — adjudant — lieutenant — capitaine - commandant

A

B— lieutenant — capitaine

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16
Q

La fonction de chef de site correspond aux grades de :

A— major — lieutenant — capitaine

B— lieutenant — capitaine — commandant

C— capitaine — commandant — lieutenant-colonel

D — commandant — lieutenant-colonel — colonel

A

D — commandant — lieutenant-colonel — colonel

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17
Q

Destiné à mettre le groupe en route, l’ordre qui détermine les points-clés de la progression est :

A— un ordre préparatoire

B— un ordre préparatoire renforcé

C— un ordre de mouvement

D— un ordre initial

A

C— un ordre de mouvement

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18
Q

Le moyen mnémotechnique DPIF permet d’identifier :

A— un ordre initial

B — un ordre préparatoire

C— un ordre préparatoire renforcé

D— un ordre de mouvement

A

D— un ordre de mouvement

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19
Q

Le moyen mnémotechnique PATR permet d’identifier :

A— un ordre initia]

B— un ordre préparatoire

C— un ordre préparatoire renforcé

D — un ordre de mouvement

A

B— un ordre préparatoire

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20
Q

Le moyen mnémotechnique permettant d’identifier un ordre initial est :

A — PATR

B — DPIF

C—SOIEC

D — PATRACDR

A

C—SOIEC

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21
Q

La lettre F » du DPIF (ordre de mouvement) correspond à:

A — fonction de chacun

B — fréquences radio à utiliser

C — formation (ordre de marche, intervalles, vitesse…)

D — fin de mission

A

C — formation (ordre de marche, intervalles, vitesse…)

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22
Q

MRT veut dire :

A — moyen de raisonnement tactique

B — méthode rationnelle de tactique

C — méthode de raisonnement tactique

D — manière rationnelle de travailler

A

C — méthode de raisonnement tactique

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23
Q

Le SOIEC est un ordre :

A — initial

B — préparatoire

C — de mouvement

D — de conduite

A

A — initial

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24
Q

Dans le SOIEC, les informations concernant les transmissions sont incluses dans la rubrique :

A — situation

B — idée de manoeuvre

C — exécution

D — commandement

A

D — commandement

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25
Q

« Pour telle heure, un tel, telle mission, avec tels moyens » constitue :

A — un ordre initial

B — un ordre préparatoire

C — un ordre en cours d’action

D — un ordre de mouvement

A

C — un ordre en cours d’action

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26
Q

Combien de sortes de messages te chef d’équipe est-il susceptible d’utiliser?

A — 3 sortes de messages

B — 5 sortes de messages

C — 7 sortes de messages

D — 9 sortes de messages

A

C — 7 sortes de messages

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27
Q

Les ordres de départ consécutifs à des demandes de renfort sont normalement donnés par :

A — le CTA

B— le CODIS

C — les CIS

D — le PC

A

B— le CODIS

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28
Q

Pour renseigner rapidement le CODIS d’une situation, le premier COS, à son arrivée sur les lieux, utilise :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de demande de moyens

D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

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29
Q

Le premier message de renseignements doit comprendre les rubriques suivantes :

A – je suis, je vois, je fais

B – je suis, je fais, je demande

C– je suis, je vois, je demande

D – je suis, je vois, je fais, je demande

A

D – je suis, je vois, je fais, je demande

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30
Q

En cas de brutale aggravation d’une situation (effondrement, explosion entraînant des victimes), il est souhaitable d’informer rapidement le CODIS en utilisant :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de demande de moyens

D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

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31
Q

Dès qu’il arrive sur les lieux, un chef d’agrès qui estime que les moyens prévus risquent d’être insuffisants transmet :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C– un message de demande de moyens

D – un message de renseignements

A

C– un message de demande de moyens

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32
Q

Sans forme ou procédure particulière, un type de message permet de transmettre au CODIS des informations dans les délais les plus courts, lequel ?

A– un message de présentation

B– un message d’ambiance

C– un message de demande de moyens

D – un message de renseignements

A

B– un message d’ambiance

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33
Q

Ce message « Feu de bâtiment d’habitation de 5 niveaux, nombreux sauvetages en cours, nombreuses victimes potentielles » est un message :

A– de présentation

B– d’ambiance

C– de demande de moyens

D – de renseignements

A

B– d’ambiance

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34
Q

On considère qu’en tout état de cause, un premier message de renseignements doit être transmis :

A – 5 min après la présentation

B – dans la demi-heure après l’arrivée sur les lieux

C – dans l’heure qui suit la présentation

D – clans le quart d’heure qui suit la présentation

A

B – dans la demi-heure après l’arrivée sur les lieux

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35
Q

Si celui qui transmet un message de renseignements estime qu’il y a risque d’extension du sinistre ou danger pour les personnes, il transmet :

A – « secours suffisants »

B – « reconnaissances en cours »

C – « poursuivons reconnaissances »

A

C – « poursuivons reconnaissances »

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36
Q

Le message « VTU de REIMS demande officier de garde, une EPA et police, telle adresse » est un message :

A – de présentation

B – d’ambiance

C – de demande de moyens

D – de renseignements

A

C – de demande de moyens

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37
Q

Si le chef d’agrès n’a pas encore une idée précise de la situation mais qu’elle ne présente pas de risque grave, il transmet :

A – « secours suffisants »

B – « reconnaissances en cours »

C– « poursuivons reconnaissances »

A

B – « reconnaissances en cours »

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38
Q

Lorsque l’intervention est terminée et que l’engin est prêt à être dirigé sur une nouvelle opération, le chef d’agrès transmet :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de disponibilité

D – un message de renseignements

A

C – un message de disponibilité

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39
Q

Le message qui rend compte de façon simple, claire et précise de la situation, de son évolution prévisible et des mesures prises est :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de disponibilité

D – un message de renseignements

A

D – un message de renseignements

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40
Q

Le message « FPT de REIMS sur les lieux » est :

A – un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de disponibilité

D – un message de renseignements

A

A – un message de présentation

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41
Q

La présence du public dans l’établissement, si l’intervention concerne un ERP, est à transmettre dans le 1” message de renseignements :

A – vrai

B – faux

A

A – vrai

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42
Q

pour préciser très rapidement le caractère d’une intervention et permettre au CODIS d’anticiper, le chef d’agrès transmet

A– un message de présentation

B – un message d’ambiance

C – un message de disponibilité

D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

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43
Q

Le bilan précis du nombre de victimes et de leur état est normalement transmis :

A– dans le dernier message de renseignements

B – dans le message de disponibilité

C– dans un message d’ambiance

A

A– dans le dernier message de renseignements

44
Q

Au cours de l’opération, l’évolution de la situation (nombre de lances en manoeuvre, modifications du dispositif) est décrite :

A – dans des messages de renseignement successifs

B – dans le message de disponibilité

C – dans le message de rentrée

A

A – dans des messages de renseignement successifs

45
Q

Le compte-rendu est :

A – une relation de chef à subordonné

B – toujours écrit

C – la relation d’un incident, d’une observation ou de l’exécution d’un ordre

D – la relation de l’événement seul

A

C – la relation d’un incident, d’une observation ou de l’exécution d’un ordre

46
Q

Un compte-rendu de sortie de secours :

A – est un acte administratif officiel

B – ne peut pas être transmis aux autorités judiciaires

C – ne peut pas être transmis aux compagnies d’assurances

D – ne peut pas être transmis aux victimes

A

A – est un acte administratif officiel

47
Q

Un compte-rendu écrit doit répondre obligatoirement à un certain nombre de questions. L’une d’entre elles est facultative, laquelle?

A – qui ?

B – où?

C – quand ?

D – pourquoi ?

A

D – pourquoi ?

48
Q

Le défaut de signature du rédacteur sur un compte-rendu est susceptible d’entraîner sa nullité notamment en cas d’enquête judiciaire :

A – vrai

B – faux

A

A – vrai

49
Q

Un de ces éléments n’a pas de caractère obligatoire dans un compte-rendu écrit : lequel ?

A – la date

B – le grade, le nom, le prénom du rédacteur

C – une appréciation personnelle sur les mesures à prendre à l’avenir

D – la signature du rédacteur

A

C – une appréciation personnelle sur les mesures à prendre à l’avenir

50
Q

Parmi les facteurs de stress, l’imprévisibilité et la diversité des missions des sapeurs-pompiers sont rangées dans :

A – les facteurs physiques

B – les facteurs biologiques

C – les facteurs émotionnels

A

C – les facteurs émotionnels

51
Q

Le port de l’ARI, qui entraîne une altération du champ visuel, est rangé dans les facteurs de stress :

A – physiques

B – biologiques

C – émotionnels

A

A – physiques

52
Q

Effet du stress professionnel, le « burn-out » est :

A – la nécessité pour les sapeurs-pompiers d’un apprentissage de la gestion du stress

B – l’incapacité de gérer le stress pour arriver à un véritable effet d’épuisement

C – les séquelles psychologiques dont souffrent les victimes d’accident

A

B – l’incapacité de gérer le stress pour arriver à un véritable effet d’épuisement

53
Q

La nécessité de s’adapter en intervention à un contexte toujours différent constitue un facteur de stress :

A – physique

B – biologique

C – émotionnel

A

C – émotionnel

54
Q

Parmi les facteurs de stress spécifique chez les sapeurs-pompiers, la perturbation de cycles comme celui du sommeil constitue :

A – un facteur émotionnel

B – un facteur biologique

C – un facteur physique

A

B – un facteur biologique

55
Q

Les études ont montré qu’un de ces éléments constitue un des facteurs de stress les plus puissants de la profession de sapeur-pompier, lequel?

A – l’attente de l’intervention

B – l’alerte (la sonnerie)

C – l’exigence de rapidité et d’efficacité en opération

A

C – l’exigence de rapidité et d’efficacité en opération

56
Q

Un de ces événements ne peut pas être qualifié « d’incident critique » susceptible de susciter un choc émotionnel important chez les sapeurs-pompiers, lequel?

A – blessure grave d’un camarade en intervention

B – accident mettant en cause un proche

C – responsabilité d’un accident au cours d’une intervention

D – attente de longues heures sans déclenchement d’alerte

A

D – attente de longues heures sans déclenchement d’alerte

57
Q

Un de ces éléments ne fait pas partie des symptômes physiques liés au stress qu’on a pu observer chez les intervenants, lequel?

A – tendance à réagir avec anxiété et être sur la défensive

B – vertiges

C – troubles de l’appétit

D – fatigue physique

A

A – tendance à réagir avec anxiété et être sur la défensive

58
Q

On considère que le meilleur moyen de prévention du stress est :

A – l’apprentissage de la récupération en diminuant l’impact des expériences négatives

B – l’écoute, l’observation du comportement des équipiers

C – l’entraînement physique et psychique de l’individu et du groupe

A

C – l’entraînement physique et psychique de l’individu et du groupe

59
Q

Le fait d’exposer ses difficultés ou de parler du vécu d’une intervention est un exutoire important pour combattre le stress :

A – vrai

B – faux

A

A – vrai

60
Q

Même s’il n’y a pas urgence et en cas de refus
de la part des occupants, le chef d’équipe chargé d’une reconnaissance a le droit de visiter un appartement :

A – vrai
B – faux

A

B – faux

61
Q

Pour laquelle de ces phases de la MGO est-il plus particulièrement important de rendre compte immédiatement de l’exécution de la mission?

A – la reconnaissance
B – les établissements
C – la protection
D – le déblai

A

A – la reconnaissance

62
Q

Au cours de quelle phase de la MGO est-il particulièrement important de contrôler le taux de CO dans l’atmosphère?

A – les sauvetages
B – les établissements
C – l’attaque
D – le déblai

A

D – le déblai

63
Q

En règle générale, un chef d’équipe peut être amené à commander un détachement de surveillance de :

A – 2 à 3 sapeurs-pompiers
B – 5 à 10 sapeurs-pompiers
C – 10 à 15 sapeurs-pompiers
D – 15 à 20 sapeurs-pompiers

A

A – 2 à 3 sapeurs-pompiers

64
Q

Sur une opération importante, le gonflage des bouteilles d’ARI, l’alimentation des engins, le ravitaillement des intervenants constituent :

A – un secteur géographique
B – un secteur fonctionnel
C – un point de transit
D – un point de contrôle

A

B – un secteur fonctionnel

65
Q
A
65
Q

Visant à rationaliser les déplacements sur
une grosse opération, un point de passage obligé
pour les véhicules constitue :

A – un secteur géographique
B – un secteur fonctionnel
C – un point de transit

A

C – un point de transit

66
Q

Une zone de contrôle et de sécurité (pour les ARI par exemple) sur une opération importante constitue :

A – un secteur géographique
B – un secteur fonctionnel
C – un point de transit
D – un point de contrôle

A

C – un point de transit

67
Q

Toute initiative prise par un chef d’équipe sur une opération et dictée par les circonstances doit faire l’objet d’un compte-rendu immédiat :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

68
Q

Un chef de groupe commande :

A – de 1 à 2 agrès
B – de 2 à 4 agrès
C – de 3 à 5 agrès
D – plus de 5 agrès

A

B – de 2 à 4 agrès

69
Q

Un chef de colonne commande :

A – de 1 à 2 groupes
B – de 2 à 4 groupes
C – de 3 à 5 groupes
D – plus de 5 groupes

A

B – de 2 à 4 groupes

70
Q

La fonction de chef de colonne correspond
aux grades de :

A – adjudant – major – lieutenant
B – lieutenant – capitaine
C – lieutenant – capitaine – commandant
D – adjudant – lieutenant – capitaine - commandant

A

B – lieutenant – capitaine

71
Q

La fonction de chef de site correspond aux grades de :

A – major – lieutenant – capitaine
B – lieutenant – capitaine – commandant
C – capitaine – commandant – lieutenant-colonel
D – commandant – I ieutenant-colonel – colonel

A

D – commandant – I ieutenant-colonel – colonel

72
Q

Destiné à mettre le groupe en route, l’ordre qui détermine les points-clés de la progression est :

A – un ordre préparatoire
B – un ordre préparatoire renforcé
C – un ordre de mouvement
D – un ordre initial

A

C – un ordre de mouvement

73
Q

Le moyen mnémotechnique DPIF permet d’identifier :

A – un ordre initial
B – un ordre préparatoire
C – un ordre préparatoire renforcé
D – un ordre de mouvement

A

D – un ordre de mouvement

74
Q

Le moyen mnémotechnique PAIR permet d’identifier :

A – un ordre initial
B – un ordre préparatoire
C – un ordre préparatoire renforcé
D – un ordre de mouvement

A

B – un ordre préparatoire

75
Q

Le moyen mnémotechnique permettant d’identifier un ordre initial est :

A – PATR
B – DPIF
C – SOIEC
D – PATRACDR

A

C – SOIEC

76
Q

La lettre « F » du DPIF (ordre de mouvement) correspond à:

A – fonction de chacun
B – fréquences radio à utiliser
C – formation (ordre de marche, intervalles, vitesse…)
D – fin de mission

A

C – formation (ordre de marche, intervalles, vitesse…)

77
Q

MRT veut dire :

A – moyen de raisonnement tactique
B – méthode rationnelle de tactique
C – méthode de raisonnement tactique
D – manière rationnelle de travailler

A

C – méthode de raisonnement tactique

78
Q

Le SOIEC est un ordre :

A – initial
B – préparatoire
C – de mouvement
D – de conduite

A

A – initial

79
Q

Dans le SOIEC, les informations concernant les transmissions sont incluses dans la rubrique :

A – situation
B – idée de manoeuvre
C – exécution
D – commandement

A

D – commandement

80
Q

. « Pour telle heure, un tel, telle mission,
avec tels moyens » constitue :

A – un ordre initial
B – un ordre préparatoire
C – un ordre en cours d’action
D – un ordre de mouvement

A

C – un ordre en cours d’action

81
Q

Combien de sortes de messages le chef d’équipe est-il susceptible d’utiliser?

A – 3 sortes de messages
B – 5 sortes de messages
C – 7 sortes de messages
D – 9 sortes de messages

A

C – 7 sortes de messages

82
Q

Les ordres de départ consécutifs à des demandes de renfort sont normalement donnés par :

A– le CTA

B – le CODIS

C – les CIS

D– le PC

A

B – le CODIS

83
Q

Pour renseigner rapidement le CODIS d’une situation, le premier COS, à son arrivée sur les lieux, utilise :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de demande de moyens
D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

84
Q

Le premier message de renseignements doit
comprendre les rubriques suivantes :

A – je suis, je vois, je fais
B – je suis, je fais, je demande
C – je suis, je vois, je demande
D – je suis, je vois, je fais, je demande

A

D – je suis, je vois, je fais, je demande

85
Q

En cas de brutale aggravation d’une situation (effondrement, explosion entraînant des victimes), il est souhaitable d’informer rapidement le CODIS en utilisant :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de demande de moyens
D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

86
Q

Dès qu’il arrive sur les lieux, un chef d’agrès qui estime que les moyens prévus risquent d’être insuffisants transmet :

A - un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de demande de moyens
D – un message de renseignements

A

C – un message de demande de moyens

87
Q

Sans forme ou procédure particulière, un type de message permet de transmettre au CODIS des informations dans les délais les plus courts, lequel?

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de demande de moyens
D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

88
Q
A
89
Q

Ce message « Feu de bâtiment d’habitation
de 5 niveaux, nombreux sauvetages en cours, nombreuses victimes potentielles » est un message :

A – de présentation
B – d’ambiance
C – de demande de moyens
D – de renseignements

A

B – d’ambiance

90
Q

On considère qu’en tout état de cause, un
premier message de renseignements doit être transmis

A – 5 min après la présentation
B – dans la demi-heure après l’arrivée sur les lieux
C – dans l’heure qui suit la présentation
D – dans le quart d’heure qui suit la présentation

A

B – dans la demi-heure après l’arrivée sur les lieux

91
Q

Si celui qui transmet un message de renseignements estime qu’il y a risque d’extension du sinistre ou danger pour les personnes, il transmet :

A – « secours suffisants »
B – « reconnaissances en cours »
C – « poursuivons reconnaissances »

A

C – « poursuivons reconnaissances »

92
Q

Le message « VTU de Reims Marchandeau demande officier de garde, une EPA et police, telle adresse » est un message :

A – de présentation
B – d’ambiance
C – de demande de moyens
D – de renseignements

A

C – de demande de moyens

93
Q

Si le chef d’agrès n’a pas encore une idée précise de la situation mais qu’elle ne présente pas de risque grave, il transmet :

A – « secours suffisants »

B – « reconnaissances en cours »

C – « poursuivons reconnaissances »

A

B – « reconnaissances en cours »

94
Q

Lorsque l’intervention est terminée et que l’engin est prêt à être dirigé sur une nouvelle opération, le chef d’agrès transmet :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de disponibilité
D – un message de renseignements

A

C – un message de disponibilité

95
Q

Le message qui rend compte de façon simple, claire et précise de la situation, de son évolution prévisible et des mesures prises est :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de disponibilité
D – un message de renseignements

A

D – un message de renseignements

96
Q

Le message « FPT de Reims Marchandeau sur les lieux » est :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de disponibilité
D – un message de renseignements

A

A – un message de présentation

97
Q

La présence du public dans l’établissement,
si l’intervention concerne un ERP, est à transmettre dans le 1” message de renseignements :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

98
Q

Pour préciser très rapidement le caractère d’une intervention et permettre au CODIS d’anticiper, le chef d’agrès transmet :

A – un message de présentation
B – un message d’ambiance
C – un message de disponibilité
D – un message de renseignements

A

B – un message d’ambiance

99
Q

Le bilan précis du nombre de victimes et de leur état est normalement transmis :

A – dans le dernier message de renseignements
B – dans le message de disponibilité
C – dans un message d’ambiance

A

A – dans le dernier message de renseignements

100
Q

Au cours de l’opération, l’évolution de la situation (nombre de lances en manoeuvre, modifications du dispositif) est décrite :

A – dans des messages de renseignement successifs
B – dans le message de disponibilité
C – dans le message de rentrée

A

A – dans des messages de renseignement successifs

101
Q

Le compte-rendu est :

A – une relation de chef à subordonné
B – toujours écrit
C – la relation d’un incident, d’une observation
ou de l’exécution d’un ordre
D – la relation de l’événement seul

A

C – la relation d’un incident, d’une observation
ou de l’exécution d’un ordre

102
Q

Un compte-rendu de sortie de secours :

A – est un acte administratif officiel

B – ne peut pas être transmis aux autorités judiciaires

C – ne peut pas être transmis aux compagnies d’assurances

D – ne peut pas être transmis aux victimes

A

A – est un acte administratif officiel

103
Q

Un compte-rendu écrit doit répondre obligatoirement à un certain nombre de questions. L’une d’entre elles est facultative, laquelle?

A – qui ?
B – où ?
C – quand ?
D – pourquoi ?

A

D – pourquoi ?

104
Q

Le défaut de signature du rédacteur sur un compte-rendu est susceptible d’entraîner sa nullité notamment en cas d’enquête judiciaire :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

105
Q

Un de ces éléments n’a pas de caractère obligatoire dans un compte-rendu écrit : lequel?

A – la date
B – le grade, le nom, le prénom du rédacteur
C – une appréciation personnelle sur les mesures à prendre à l’avenir
D – la signature du rédacteur

A

C – une appréciation personnelle sur les mesures à prendre à l’avenir