Risques technologiques et naturels Flashcards

1
Q

Pour les sapeurs-pompiers, les risques chimiques présentent :

A – 2 dangers : feu et explosion
B – 3 dangers : feu, explosion et pollution
C – 4 dangers : feu, explosion, pollution et toxicité

A

C – 4 dangers : feu, explosion, pollution et toxicité

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2
Q

Lors d’une intervention chimique, la zone dans laquelle la protection minimale requise est la tenue d’intervention avec port de l’ARICO est :

A – la zone d’exclusion dite zone rouge
B – la zone contrôlée dite zone orange
C – la zone de soutien dite zone verte

A

B – la zone contrôlée dite zone orange

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3
Q

Sur une intervention chimique, la mise en place d’un périmètre de sécurité :

A – a pour but de regrouper les personnes impliquées
B – se fait avec de la terre ou du sable pour
limiter l’écoulement du produit
C – doit tenir compte du sens du vent et
de la densité de population concernée

A

C – doit tenir compte du sens du vent et

de la densité de population concernée

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4
Q

La plupart des produits chimiques est caractérisée par un danger majeur, même pour des quantités ou des concentrations de produit faibles :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

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5
Q

Combien de types d’intoxication distingue-t-on par produits chimiques, en fonction de la rapidité d’apparition des symptômes, de leur gravité et de leur durée?

A – 4 types d’intoxication
B – 3 types d’intoxication
C – 2 types d’intoxication

A

C – 2 types d’intoxication

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6
Q

Sur une intervention chimique, le facteur météorologique capable de transporter le nuage de produit toxique très loin est :

A – la température
B – l’humidité
C – les précipitations
D – le vent

A

D – le vent

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7
Q

Sur une opération chimique, la durée d’engagement des binômes (limitée par l’autonomie de l’ARI) doit être proche de :

A – 5 min
B – 15 min
C – 30 min
D – 1 heure

A

C – 30 min

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8
Q
Sur une intervention à caractère dangereux ou sur un accident chimique, la zone d'intervention est décomposée :
A – en 2 zones	
B – en 3 zones
C – en 4 zones
D – en 5 zones
A

B – en 3 zones

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9
Q

Sur une intervention chimique, la zone la plus rapprochée du lieu origine de l’accident est appelée :

A – zone d’exclusion
B – zone contrôlée
C – zone de soutien

A

A – zone d’exclusion

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10
Q

La zone la plus rapprochée du lieu origine de l’accident chimique ou zone d’exclusion est dite :

A – rouge
B – orange
C – verte

A

A – rouge

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11
Q

Le sas de décontamination et les bouteilles d’air de réserve pour le personnel intervenant sont installés :

A – dans la zone d’exclusion
B – dans la zone contrôlée
C – dans la zone de soutien

A

B – dans la zone contrôlée

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12
Q

Sur une intervention chimique, le port de tenues spécialisées est imposé :

A – dans la zone d’exclusion
B – dans la zone contrôlée
C – dans la zone de soutien

A

A – dans la zone d’exclusion

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13
Q

Lors d’une intervention chimique, la zone dans laquelle la protection minimale requise est la tenue d’intervention avec port de l’ARICO ou zone contrôlée est dite.

A – rouge
B – orange
C – verte

A

B – orange

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14
Q

Lors d’une intervention chimique, la température a une influence certaine car les gaz échauffés sont, dans la plupart des cas, plaqués au sol :

A – vrai
B – faux

A

B – faux

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15
Q

Une intervention chimique peut justifier
la déclenchement du plan rouge :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

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16
Q

L’irradiation externe peut être provoquée par :

A – le passage d’un nuage radioactif
B – l’inhalation d’air contaminé
C – l’ingestion d’aliments contaminés

A

A – le passage d’un nuage radioactif

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17
Q

L’atome est constitué d’un noyau :

A – autour duquel gravitent des protons
B – autour duquel gravitent des électrons C – autour duquel gravitent des neutrons

A

B – autour duquel gravitent des électrons

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18
Q

On dit que quelque chose ou quelqu’un est
« contaminé » lorsque des poussières radioactives sont déposées sur sa surface :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

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19
Q

Le temps mis par la moitié des noyaux d’une substance radioactive pour se désintégrer est appelé :

A – radioactivité
B – rayonnement
C – période radioactive

A

C – période radioactive

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20
Q

Les rayonnements gamma :

A – sont peu pénétrants
B – sont arrêtés par quelques mm de métal
C – nécessitent plusieurs dizaines de cm de plomb pour être atténués

A

C – nécessitent plusieurs dizaines de cm de plomb pour être atténués

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21
Q

La présence de radioactivité en proportion anormale :

A – est identifiable par une odeur caractéristique
B – ne peut être mise en évidence qu’au moyen d’appareils de mesure
C – est aisément identifiable par un nuage opaque
D – provoque un dégagement de chaleur sensible

A

B – ne peut être mise en évidence qu’au moyen d’appareils de mesure

22
Q

L’unité légale pour mesurer l’activité radioactive est :

A – le becquerel
B– le gray
C – le sievert

A

A – le becquerel

23
Q

Les dégâts biologiques provoqués par les rayonnements :

A – dépendent de la dose absorbée et de la nocivité du rayonnement qui a provoqué l’irradiation
B – ne dépendent que de la dose absorbée
C – ne dépendent que de la nocivité du
rayonnement qui a provoqué l’irradiation

A

A – dépendent de la dose absorbée et de la nocivité du rayonnement qui a provoqué l’irradiation

24
Q

Les normes internationales fixent comme base des balisages de la radioactivité :

A – un trèfle
B – un triangle jaune dans un cercle noir
C – un « R » majuscule
D – il n’existe pas de balisage spécifique

A

A – un trèfle

25
Q

Lorsque la sûreté d’un emballage de transport de radioactives est obtenue non par la résistance de l’emballage mais par la limitation de l’activité contient, il s’agit :

A – d’un emballage de type A
B – d’un emballage de type B
C – d’un emballage de type C
D – d’un emballage de type R

A

A – d’un emballage de type A

26
Q

Les emballages de matières radioactives conçus pour résister aux effets d’un accident de transport en conservant l’intégrité de leurs fonctions s’appellent :

A – emballages de type A
B – emballages de type B
C – emballages de type C
D – emballages de type R

A

B – emballages de type B

27
Q

L’appareil de mesure employé pour la recherche de sources radioactives, doté d’une perche télescopique s’appelle :

A– Babyline 81
B – MIP 10
C – Teletector
D – SPP 2

A

C – Teletector

28
Q

L’appareil qui mémorise la dose absorbée et qui est porté par tous les membres d’une équipe spécialisée sur une intervention radiologique s’appelle :

A – Babyline 81
B – MIP 10
C – Teletector
D – Gammacom

A

D – Gammacom

29
Q

Le scintiliomètre détectant l’intensité du flux de particules ionisantes qui se présente sous la forme d’un pistolet relié par un câble à une partie électronique est un :

A – Babyline 81
B – 10
C –Teletector
D – SPP 2

A

D – SPP 2

30
Q

Lequel de ces étiquetages de produit radioactif implique des précautions spéciales de manipulation :

A – catégorie 1– blanc
B – catégorie II – jaune
C – catégorie III – jaune

A

C – catégorie III – jaune

31
Q

La zone la plus rapprochée du lieu d’origine
de l’accident radiologique dans laquelle le port de tenues spécialisées est imposé s’appelle :

A – zone d’exclusion
B – zone contrôlée
C – zone de soutien

A

A – zone d’exclusion

32
Q

L’organisme qui a mis en place un réseau de surveillance radiologique en temps réel au moyen de détecteurs implantés sur le territoire national s’appelle :

A – office de protection des rayonnements
ionisants (OPRI)
B – comité interministériel de la sûreté nucléaire (CISN)
C – commissariat à l’énergie atomique (CEA)
D – direction de la sûreté des installations
nucléaires (DSIN)

A

A – office de protection des rayonnements

ionisants (OPRI)

33
Q

Les dispositions prises par l’exploitant d’une installation nucléaire pour organiser l’intervention en cas d’accident à l’intérieur de son établissement font l’objet :

A – du plan ORSEC
B – du plan d’organisation interne (POI)
C – du plan particulier d’intervention (PPI)
D – du plan de secours spécialisé (PSS)

A

B – du plan d’organisation interne (POI)

34
Q

La mission d’appui à la gestion du risque nucléaire (MARN) appartient au :

A – ministère de l’Intérieur
B – ministère de l’Environnement
C – ministère de la Santé
D – ministère de l’Industrie

A

A – ministère de l’Intérieur

35
Q

La direction de la sûreté des installations nucléaires (DSIN) est rattachée au ministère de l’Intérieur :

A – vrai
B – faux

A

B – faux

36
Q

Les panneaux rectangulaires de couleur orange apposés sur les véhicules transportant des matières dangereuses comportent :

A – le numéro d’identification du danger en haut, celui de la matière en bas

B – le numéro d’identification du danger en bas, celui de la matière en haut

C – un numéro unique qui identifie le danger et la matière

A

A – le numéro d’identification du danger en haut, celui de la matière en bas

37
Q

Sur les panneaux rectangulaires de couleur orange apposés sur les véhicules transportant des matières dangereuses, le redoublement du chiffre de danger indique :

A – rien de particulier, ce numéro ayant toujours deux chiffres

B – une atténuation du danger considéré

C – une intensification du danger considéré

A

C – une intensification du danger considéré

38
Q

Sur les panneaux rectangulaires de couleur orange apposés sur les véhicules transportant des matières dangereuses, le chiffre 3 » indique :

A – des gaz
B – des liquides inflammables
C – des solides inflammables
D – des matières corrosives

A

B – des liquides inflammables

39
Q

Diminuer la teneur d’une substance par adjonction d’eau ou d’un autre liquide s’appelle :

A – la dispersion
B – la dilution
C – l’agglomération
D - l’atomisation

A

B – la dilution

40
Q

Le plan POLMAR possède une variante terre et une variante mer qui sont déclenchées par :

A – le préfet du ou des départements concernés
B – la DDSC
C – la marine nationale
D – le préfet maritime de la région touchée

A

D – le préfet maritime de la région touchée

41
Q

La loi relative à la sécurité civile et à la prévention des risques fixe, entre autres, dans son article Pr que la sécurité civile a pour objet :

A – la protection des personnes, des biens et des animaux

B – la protection des personnes, des biens et de l’environnement

C – la protection des personnes, des biens et le secours médical d’urgence

A

B – la protection des personnes, des biens et de l’environnement

42
Q

Le décret relatif à l’organisation générale des SDIS indique que les sapeurs-pompiers doivent disposer de matériels de lutte contre les pollutions :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

43
Q

Une pollution brutale dans un milieu « propre » résultant le plus souvent d’un accident industriel ou de transport est dite :

A – pollution chronique
B – pollution aiguë
C – pollution organique
D – pollution atmosphérique

A

B – pollution aiguë

44
Q

Si l’eau est prohibée comme agent d’extinction, sur les panneaux rectangulaires de couleur orange apposés sur les véhicules transportant des matières dangereuses :

A – le numéro d'identification du danger
est précédé d'un « A »
B – re numéro d'identification du danger
est précédé d'un « X »
C – le numéro d'identification du danger
est précédé d'un « O »
D – re numéro d'identification du danger
est précédé d'un « E »
A

B – re numéro d’identification du danger

est précédé d’un « X »

45
Q

Si le code danger figurant sur les panneaux rectangulaire de couleur orange apposés sur les véhicules transportant des matières dangereuses est le chiffre « 20 » il s’agit :

A – d’un gaz ni inflammable, ni toxique, ni corrosif

B – d’un liquide très inflammable

C – d’un liquide très inflammable toxique

D – d’une matière radioactive

A

A – d’un gaz ni inflammable, ni toxique, ni corrosif

46
Q

Quand il y a un doute sur la toxicité d’un polluant, la CMIC est capable d’apprécier les dangers liés au produit et de définir les mesures à prendre :

A – vrai
B – faux

A

A – vrai

47
Q

Des fumées d’incendie peuvent entraîner un risque de :

A – pollution des eaux
B – pollution solide
C – pollution atmosphérique

A

C – pollution atmosphérique

48
Q

Les rejets des abattoirs, porcheries, laiteries, fromagerie constituent essentiellement des :

A – polluants chimiques
B – polluants organiques
C – polluants atmosphériques

A

B – polluants organiques

49
Q

Inviter la population à rester à domicile, portes fermées conduits d’aération obturés s’appelle :

A – mise en sécurité
B – confinement
C – évacuation
D – sauvetage

A

B – confinement

50
Q

Un de ces services n’a pas de mission en ce qui concerne la police de l’eau, lequel ?

A – la DDAF
B – la DDASS
C – la DIR
D – le SDIS

A

D – le SDIS