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PSY4121 > 8. Les relations interpersonnelles > Flashcards

8. Les relations interpersonnelles Flashcards

1
Q

Le développement des relations interpersonnelles étudie 3 concepts. Lesquels?

A
  1. La popularité
  2. L’attirance physique
  3. L’affinité
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Q

Quelle méthode est utilisée pour étudier la popularité?

A

Méthode du sociogramme de Moreno (1934)

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3
Q

Qu’est-ce que la méthode du sociogramme de Moreno (1934) permet d’identifier? (2)

A
  1. Les vedettes, les cliques, les isolés

2. Les caractéristiques recherchées

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4
Q

Selon Lyndsey et Byrne, 1968, quelles sont les caractéristiques des personnes les plus recherchées ? (9)

A
  1. Avec qui nous avons déjà interagit;
  2. Qui ont les caractéristiques les plus désirables selon notre groupe;
  3. Qui ont les mêmes caractéristiques sociales (âge, religion, etc.) que nous;
  4. Qui ont les mêmes attitudes et valeurs que nous;
  5. Qui nous perçoivent positivement;
  6. Qui nous voient comme nous nous voyons;
  7. Qui ont déjà satisfaits nos besoins;
  8. Qui sont intelligentes, en bonne santé physique et mentale;
  9. Qui sont physiquement attirantes.
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5
Q

Avec quelles personnes désirons-nous former des relations? (6)

A
  1. Qui ont les mêmes opinions et les mêmes valeurs que nous;
  2. Qui peuvent satisfaire nos besoins;
  3. Qui vivent près de nous géographiquement;
  4. Qui sont aussi attirées par nous;
  5. Qui sont plaisantes et agréables à côtoyer;
  6. Qui sont physiquement attirantes.
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6
Q

Les personnes avec qui nous désirons former des relations ont aussi certaines caractéristiques des personnes populaires. Vrai ou faux?

A

Vrai

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7
Q

Quel stéréotype décrit bien l’attirance physique?

A

“ce qui est beau est bon”

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8
Q

Les gens beaux sont jugés plus négativement. Vrai ou faux?

A

Faux

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9
Q

La beauté est directement reliée au statut social . Vrai ou faux?

A

Vrai

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10
Q

Qu’est-ce qui explique que le stéréotype de l’attirance physique soit si important?

A

Apprentissage social par valorisation de la beauté qui commence très jeune

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11
Q

Quels sont les 2 lois qui définissent l’affinité?

A
  1. La loi du voisinage (aussi appelée « loi de l’exposition »)
  2. La loi de la similitude (aussi appelée « loi de la ressemblance » et « loi de l’homophilie »)
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12
Q

Que stipule la loi du voisinage?

A

« Nous sommes portés à aimer ceux qui nous sont proches sur le plan géographique (physique) »

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13
Q

Définir le principe de l’exposition dans la loi du voisinage?

A

Le principe de l’exposition est simple. Pour pouvoir rencontrer des personnes et se sentir attirée par elles, il faut avoir été en contact avec ces personnes… c’est l’exposition.

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14
Q

La proximité physique favorise l’affiliation? Vrai ou faux?

A

Vrai

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15
Q

Qu’est ce qui a été observé avec l’étude de Festinger (1950)?

A

Le développement des relations interpersonnelles entre voisins de plancher d’un dortoir universitaire.

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16
Q

Qu’est ce qui a été constaté avec l’étude de Festinger (1950)?

A

Les étudiants qui vivaient proches les uns des autres ont eu plus tendance à développer des amitiés que ceux éloignés.

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17
Q

Qu’est ce qui a été conclu avec l’étude de Festinger (1950)?

A

La simple proximité physique semble favoriser le développement des relations interpersonnelles.

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18
Q

Quels sont les 2 explications de l’effet du voisinage?

A
  1. Les rencontres favorisent les interactions qui permettent de découvrir des points communs avec les autres personnes.
  2. Les rencontrent favorisent le sentiment de « familiarité » et nous sommes attirés par ce qui nous est familier (Zajonc, 1970)
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19
Q

Que stipule la loi de la similitude?

A

« l’attraction réciproque est fortement basée sur la similitude entre les personnes, réelle ou perçue »

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20
Q

Selon la loi de la similitude, les personnes semblables sur le plan_________, de __________, des __________ et même de _________ ont plus de chance d’être attirées l’une vers l’autre (attraction initiale), et leur relation sera plus durable (stabilité).

A

Démographique
La personnalité
Valeurs de vie
Beauté physique

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21
Q

Quelle est la principale critique de la loi de la similitude? Et sa réponse?

A

Les personnes semblables ont plus de chances de se rencontrer. Ce serait donc la proximité qui favoriserait l’effet.

La similitude a un effet très clairement démontré sur la persistance (durée) de la relation développée alors que la proximité n’a pas cet effet.

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22
Q

Les personnes ayant les mêmes caractéristiques de personnalité ont plus de chances de se rencontrer et de poursuivre leur relation. Vrai ou faux?

A

Vrai

De nombreuses études indiquent que les conjoints ayant des personnalités semblables sont plus satisfaits de leur vie de couple et divorcent moins que ceux qui ont des personnalités différentes.

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23
Q

Que prétend Niemeyer (1984) à propos des perspectives cognitives similaires?

A

Les partenaires font une «lecture» identique des événements de vie et des personnes (je suis bien d’accord avec toi versus je ne vois pas les choses de la même manière que toi)

24
Q

Que nous dit la loi de la similitude sur la personnalité, les attitudes et les valeurs? Quel principe en découle?

A

Principe: nous sommes attirés par les personnes qui ont les mêmes caractéristiques (intérêts identiques) que nous.

Les recherches démontrent que nous sommes plus attirés par ceux dont nous croyons qu’ils possèdent des caractéristiques de personnalité, des valeurs et des attitudes similaires aux nôtres

25
Q

Quelles théories étudient l’effet de la similitude? (4)

A
  1. Le narcissime
  2. La recherche de l’idéal du moi (Wetzel & Insko, 1982)
  3. La recherche de sécurité (Byrne & Clore, 1970)
  4. La loi du renforcement social
26
Q

Selon les théories de l’effet de la similitude, qu’explique le narcissime?

A

Quelqu’un qui présente les mêmes caractéristiques que moi, mêmes intérêts, mêmes valeurs que moi… doit nécessairement être une personne intéressante

27
Q

Sur les théories de l’effet de la similitude, que décrit la recherche de l’idéal du moi de Wetzel et Insko (1982)?

A

Le fait de rechercher quelqu’un de semblable sur le plan des valeurs et des intérêts traduit en fait la recherche d’une forme idéale de moi-même (recherche de standards idéaux; je recherche quelqu’un qui me ressemble, mais en mieux)

28
Q

Sur les théories de l’effet de la similitude, que décrit la recherche de sécurité de Byrne et Clore (1970)

A

Nous ne recherchons pas la ressemblance, mais fuyons la dissemblance qui nous menace, alors que la familiarité (avec nous-mêmes) nous rassure.

29
Q

Sur les théories de l’effet de la similitude, que décrit la loi du renforcement social?

A

Le fait de rencontrer quelqu’un qui partage mes intérêts et valeurs me renforce dans mes propres convictions et fait que je vais chercher à poursuivre les rencontres.

30
Q

Qu’ont conclu les recherches sur la formation des relations sur internet?

A
  1. Le principe de la similarité s’applique ici aussi (Fiore & Donath, 2005)
  2. Le profil présenté sur internet (faits, photos) est assez proche de la réalité (Toma et al., 2008)
  3. Efficacité:
    - Aux É-U, 42% des couples âgés entre 26 et 35 ans se sont rencontrés sur internet;
    - En G-B, 21% des couples mariés âgés de 19 à 25 ans se sont rencontrés sur internet (Dutton et al., 2009)
31
Q

Quelles sont les 3 types de théories qui étudient l’amour dans la psychologie contemporaine?

A
  1. Les théories unifactorielles
    1. Les théories multifactorielles
    2. Les théories qui mettent l’accent sur les processus individuels qui diffèrent d’une personne à l’autre
32
Q

Sur l’amour, qu’étudient les théories unifactorielles? Donner un exemple

A

L’amour est constitué d’une dimension unique et centrale qui fait appel à de nombreux aspects hautement inter reliés: sentiments, attitudes, motivations

Par exemple la théorie freudienne: le cœur de l’amour c’est le désir sexuel

33
Q

Sur l’amour, qu’étudient les théories multiifactorielles? Donner 2 exemples

A

L’amour est composé de plusieurs facteurs relativement indépendants

Hatfield (2008) identifie 2 formes très différentes de l’amour: amour-passion et amour-tendresse (compagnonnage)
Pour Sternberg (2013) l’amour est composé de 3 dimensions qui peuvent être plus ou moins présentes: passion, intimité, engagement
34
Q

Sur l’amour, qu’étudient les théories qui mettent l’accent sur les processus individuels qui diffèrent d’une personne à l’autre? Donnez 2 exemples

A

L’accent est mis sur la façon particulière avec laquelle une personne s’engage dans une aventure amoureuse:

Hazan & Shaver (1987): théorie de l’attachement adulte : chacun a développé un mode d’attachement particulier, basée sur son histoire personnelle et qui va définir sa façon de « lire » les recherches de contacts et l’engagement amoureux

Les styles amoureux (Hendrick & Hendrick, 2003): On peut catégoriser (établir des typologies) les façons différentes de s‘engager dans une liaison amoureuse: passionné, ludique, etc.

35
Q

Quelles sont les composantes ou dimensions de l’amour?

A
  1. Intimité
  2. Sexualité
  3. Attachement
  4. Préoccupation de l’autre (caring)
  5. Sincérité
36
Q

Dans les composantes de l’amour, qu’inclut l’intimité? (3)

A
  1. Partage de confidences
  2. Révélation de soi et désir de connaître l’autre
  3. Intimité corporelle
37
Q

Dans les composantes de l’amour, qu’inclut l’attachement? (3)

A
  1. Lien puissant qui relie les partenaires
  2. Chacun devient une figure centrale d’attachement pour l’autre
  3. Besoin d’être avec l’autre
38
Q

Dans les composantes de l’amour, qu’inclut la sexualité? (2)

A
  1. Attirance physique et sexuelle

2. État de haute stimulation physique

39
Q

Dans les composantes de l’amour, qu’inclut la préoccupation de l’autre (caring)? (2)

A
  1. Être préoccupé du bonheur de l’autre

2. Supporter son conjoint

40
Q

Dans les composantes de l’amour, qu’inclut la sincérité? (2)

A
  1. Authenticité

2. Confiance

41
Q

Que décrit la théorie triangulaire de l’amour (2013)?

A

L’amour serait composé de trois ingrédients primaires:

  1. L’intimité: c’est la composante émotionnelle de la proximité
  2. La passion: c’est la composante motivationnelle de l’attrait et du désir sexuel
  3. L’engagement: c’est une composante plus «réfléchie» (plus cognitive et comportementale) qui traduit la décision de s’impliquer, de poursuivre et de maintenir une relation
42
Q

Selon Hatfield, 2008: lorsqu’on interroge des personnes dans des questionnaires ou des entrevues il ressort clairement une double vision de l’amour. Lesquelles?

A
  1. Amour-passion

2. Amour tendresse (compagnonnage)

43
Q

Selon Hatfield, qu’est-ce que l’amour passion?

A
  1. Se caractérise par la rencontre « providentielle » de deux êtres qui s’aiment et se désirent
  2. Dominé par l’intensité des émotions et du désir sexuel
  3. Expérience intense, mais généralement peu durable
44
Q

Selon Hatfield, qu’est-ce que l’amour-tendresse?

A
  1. Caractérisé par des sentiments profonds d’attachement réciproque
  2. Relation plus calme et plus confiante
  3. Qui persiste dans le temps
45
Q

Quels sont les 6 styles amoureux dominants selon Hendrick et Hendrick (2003)?

A
  1. Amour passion : recherche une relation intense où le désir sexuel et l’attrait physique dominent
  2. Amour ludique : recherche le plaisir, la séduction domine, l’engagement est faible
  3. Amour altruiste : recherche le bonheur de l’autre sans attendre de retour, abnégation de soi
  4. Amour tendresse : fondé sur l’attachement à l’autre et la stabilité à long terme
  5. Amour possessif : investissement intense et exclusif, « perte de contrôle »
  6. Amour pratique ou pragmatique: calculateur qui recherche chez l’autre des qualités ou des bénéfices précis
46
Q

Qui a élaboré les 2 premières théories de l’attachement? (2)

A

Harry Harlow (1958), psychologue américain, a réalisé les premières études sur la privation maternelle chez le singe. Conclusion: préfère la mère en tissus sans lait à la mère en broche avec lait.

John Bowlby (1969, 1980), un pédopsychiatre anglais, a formulé sa théorie de l’attachement durant les années 1960. Il conclut à deux types d’attachement: confiant ou sécure et anxieux ou insécure.

47
Q

Qu’est ce qu’a apporté Mary Ainsworth à la théorie de l’attachement?

A

“La situation “étrange””

A mis en place un schème expérimental simple pour classer les types d’attachement:

  1. La mère ou le « caregiver » et l’enfant (12 à 18 mois) sont ensemble dans un local
  2. Séquences de séparation – l’enfant est parfois seul, parfois en présence d’une personne inconnue - et de retrouvaille lors
    du retour de la mère
48
Q

Dans la situation étrange de Mary Ainsworth, quelles sont les sources d’anxiété?

A

Endroit peu familier, séparation, solitude, personne étrangère…

49
Q

Que permet d’étudier la situation étrange de Mary Ainsworth?

A
  1. Permet particulièrement d’examiner les réactions de l’enfant au retour de la mère
  2. Recherche ou non le contact?
  3. Temps mis pour se calmer?
  4. Comment réagit-il aux tentatives de la mère: recherche le contact, colère, repousse ..?
50
Q

Quels sont les 4 modes d’attachement?

A

À partir de l’observation des réactions d’enfants de 12 à 18 mois, Mary Ainsworth a identifié trois styles d’attachement chez le jeune enfant

  1. Attachement confiant ou sécure
  2. Attachement anxieux ambivalent
  3. Attachement anxieux évitant

Plus récemment, Main et Solomon (1986) ont ajouté un quatrième style
4. Attachement désorganisé

51
Q

Décrivez l’attachement confiant (ou sécure): %, caractéristiques, traits dominants

A

Représente approximativement 62% des cas

Caractéristiques:

  1. Joue librement et explore l’environnement avec confiance
  2. Pas de détresse très marquée au premier départ de la mère ou avec la personne étrangère
  3. Détresse lors du 2ème départ de la mère
  4. Recherche proximité et contact lors du retour de la mère
  5. Se calme facilement lorsque la mère le réconforte

Ce qui domine:
La sécurité basée sur la sensibilité réciproque entre les inquiétudes de l’enfant et les réponses de la mère ou du « caregiver »

52
Q

Décrivez l’attachement anxieux-ambivalent: %, caractéristiques, traits dominants

A

Représente approximativement 9% des cas

Caractéristiques:

  1. Alternance de recherche de contact et d’évitement
  2. L’enfant est très bouleversé lors de la séparation
  3. Il se console difficilement lors des retrouvailles
  4. Il recherche le contact et en même temps repousse la mère avec colère
  5. Il est très difficile à consoler

Ce qui domine:

  1. L’ambivalence, recherche le contact et résiste
  2. Tension entre tentatives de la mère de se rapprocher de l’enfant et les réactions négatives de l’enfant
53
Q

Décrivez l’attachement anxieux-évitant: %, caractéristiques, traits dominants

A

Représente approximativement 14% des cas

Caractéristiques:

  1. Enfant paraît indifférent à la présence ou l’absence de la mère
  2. Peu de détresse lors du départ de la mère
  3. Réagit sans crainte avec la personne étrangère
  4. Ne recherche pas le contact au retour de la mère

Ce qui domine:

  1. L’absence de sensibilité à la présence ou l’absence de la mère
  2. Impression d’indépendance dans l’exploration de l’environnement
54
Q

Décrivez l’attachement désorganisé: %, caractéristiques, traits dominants

A

Représente approximativement 15% des cas

Caractéristiques:

  1. Enfant exprime des comportements inusités
  2. Exprime de la crainte envers le parent
  3. Peut aussi exprimer de la colère extrême
  4. Réactions contradictoires

Ce qui domine:

  1. Comportements inusités ou bizarres
  2. Confusion de rôle chez l’enfant et la mère
  3. Parfois on observe un renversement des rôles (la mère est passive et l’enfant essaie d’organiser les interactions)
55
Q

Comment évolue l’attachement?

A

L’attachement à l’adolescence est désigné sous le nom de Proximité émotionnelle (Claes, Debrosse, Miranda et Perchec, 2010).

La proximité émotionnelle fait appel à la conviction d’être aimé, compris et soutenu par les parents.

56
Q

Bartolomew et Horowitz (1991) observent les styles d’attachement chez l’adulte et identifient quatre modèles d’attachement adulte. Lesquels?

A

Les personnes sécures (autonome) (≈ confiant)

  1. Aisance et sécurité émotionnelle
  2. Accordent beaucoup d’importance aux relations affectives

Les personnes « craintives » (≈ anxieux ambivalent)

  1. Tourmentées affectivement : crainte de rejet
  2. Désirent avoir des relations proches, mais craignent la proximité

Les personnes détachées (≈ anxieux évitant)

  1. Estiment ne pas avoir besoin des autres (indépendance affective)
  2. Peu de confiance envers les autres

Les personnes préoccupées (≈ désorganisé)

  1. Insécurité affective: crainte de l’abandon
  2. Pensent ne pas être dignes d’amour ou d’affection

PSY4121 (12 decks)

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