Chapitre 10 Flashcards

1
Q

5898508 - Les produits des marchés financiers sont des instruments financiers négociés qui

A arrivent à échéance en moins d’une année, avec un risque élevé.
B fonctionnent de manière similaire aux prêts et aux autres instruments de crédits.
C se sont profilés comme des instruments qu’une organisation peut utiliser pour financer les risques.
D ont perdu de leur importance suite à l’association des assurances avec d’autres services financiers.

A

C se sont profilés comme des instruments qu’une organisation peut utiliser pour financer les risques.

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2
Q

5898736 - Un dérivé d’assurance
A diminue en valeur à mesure que les sinistres assurables spécifiés augmentent.
B augmente en valeur à mesure que les sinistres assurables spécifiés augmentent.
C garde une valeur stable, mais l’intérêt augmente ou diminue.
D utilise les sinistres pour financer l’achat de dispositifs d’investissement traditionnels.

A

B augmente en valeur à mesure que les sinistres assurables spécifiés augmentent.

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3
Q

5898349 - La Main Street Bank, qui est principalement une banque d’investissement, cherche des opportunités d’expansion de ses activités au-delà des risques financiers/du marché en utilisant la capacité des marchés des capitaux pour couvrir les risques accidentels. De quelle manière Main pourra-t-elle au mieux accomplir cette initiative ?

A En investissant dans une assurance forte notée A+
B Par l’acquisition de petites entreprises d’assurance
C A l’aide de titres assurantiels et de dérivés d’assurance
D En créant une capacité et une expertise de souscription

A

C A l’aide de titres assurantiels et de dérivés d’assurance

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4
Q

5898344 - Un résultat de la convergence d’une assurance avec d’autres services financiers est

A une augmentation significative du nombre d’assureurs.
B un grand nombre d’organisations qui utilisent les marchés des capitaux pour financer les risques.
C l’extension du rôle des marchés des capitaux dans le financement des risques.
D moins de capacité disponible pour assurer le risque catastrophique.

A

C l’extension du rôle des marchés des capitaux dans le financement des risques.

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5
Q

5898316 - La création de titres assurantiels commercialisables basée sur les flux de trésorerie engendrés par l’assurance des risques est

A une titrisation d’assurance.
B un accord de capitaux conditionnels
C un porte-feuille immunisé.
D Un dérivé d’assurance.

A

A une titrisation d’assurance.

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6
Q

5898318 - Le rôle d’un Special Purpose Vehicle (SPV) dans une titrisation est
A d’acheter des titres garantis par un fond d’actifs générant un revenu.
B d’acheter des actifs générant un revenu et d’émettre des titres garantis par ces actifs.
C de conclure des contrats avec des emprunteurs, des titulaires de cartes de crédit et des acheteurs d’assurances.
D de réguler toutes les transactions afin de s’assurer que les clients et les investisseurs sont traités équitablement.

A

B d’acheter des actifs générant un revenu et d’émettre des titres garantis par ces actifs.

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7
Q

5898591 - Une différence entre les titrisations d’assurance et la plupart des autres types de titrisation est
A que le Special Purpose Vehicle (SPV) vend des actifs générant un revenu à l’assureur pour couvrir des sinistres.
B que les assureurs vendent des commodités et d’autres actifs générant un revenu aux investisseurs plutôt qu’un SPV.
C que les assureurs paient le SPV en liquidités et reçoivent une indemnisation pour les sinistres survenus.
D que les investisseurs ont la garantie qu’ils ne souffriront d’aucune perte via la transaction.

A

C que les assureurs paient le SPV en liquidités et reçoivent une indemnisation pour les sinistres survenus.

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8
Q

589897- Un Special Purpose Vehicle (SPV) joue un rôle différent dans une transaction de titrisation d’assurance dans la mesure où il

A transforme le risque d’investissement en risque assurable.
B réinvestit des liquidités dans d’autres titres assurantiels afin d’augmenter la capacité.
C utilise des liquidités pour l’achat d’une assurance traditionnelle en cas de sinistres.
D reçoit des liquidités des investisseurs et de l’organisation transférant le risque assurable.

A

D reçoit des liquidités des investisseurs et de l’organisation transférant le risque assurable.

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9
Q

5898378 - Les obligations catastrophe

A ont été développées comme réponse à la capacité en excédent des réassureurs de catastrophes.
B sont typiquement structurées pour couvrir des sinistres fréquents avec une faible gravité.
C transfèrent le risque catastrophique assurable aux réassureurs traditionnels.
D peuvent être émises pour tout type de risque catastrophique assurable.

A

D peuvent être émises pour tout type de risque catastrophique assurable.

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10
Q

5898598 - Les sinistres de catastrophe déclenchant un paiement sous une obligation catastrophe

A sont mesurées moyennant des techniques d’indexation financière pour actualiser les sinistres à la valeur actuelle.
B se basent uniquement sur les sinistres hors assurance d’une organisation sur une période non spécifiée.
C peuvent être basés sur les sinistres catastrophiques cumulés sur une période définie ou sur la survenance d’un seul événement catastrophique.
D sont tarifés à un niveau permettant d’assurer que les investisseurs n’aient pas de pertes ou perdent de l’argent sur l’investissement.

A

C peuvent être basés sur les sinistres catastrophiques cumulés sur une période définie ou sur la survenance d’un seul événement catastrophique.

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11
Q

5898712 - Laquelle des caractéristiques suivantes est partagée par les obligations catastrophe et les autres bonnes titrisations d’assurance ?

A Un SPV avec une faible note de crédit.
B Un risque potentiellement élevé.
C Un engagement de courte durée
D Des coûts de transaction bas

A

B Un risque potentiellement élevé.

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12
Q

5898749 - Un avantage d’une titrisation d’assurance pour un investisseur est que ce dernier accepte

A uniquement un risque assurable explicitement défini.
B les risques globaux de l’ensemble d’une organisation.
C le même risque qu’avec des actions et des obligations traditionnelles.
D une forte corrélation avec des risques des instruments d’investissement traditionnels

A

A uniquement un risque assurable explicitement défini.

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13
Q

5898604 - Un avantage des titrisations d’assurance est qu’elles

A créent une capacité de transfert des risques supplémentaire.
B éliminent le coût d’opportunité des actifs en garantie.
C éliminent des coûts de transaction élevés.
D protègent l’organisation des risques de base.

A

A créent une capacité de transfert des risques supplémentaire.

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14
Q

5898716 - Un inconvénient des titrisations d’assurance est qu’elles

A exposent une organisation à la volatilité de la demande du marché.
B augmentent le risque de crédit
C limitent la capacité de transfert des risques.
D soumettent une organisation à un risque accidentel.

A

A exposent une organisation à la volatilité de la demande du marché.

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15
Q

5898778 - Le risque que le montant reçu par l’organisation pour compenser ses sinistres soit supérieur ou inférieur à ses sinistres réels est

A le risque d’assurance.
B le risque accidentel.
C le risque de crédit.
D le risque de base.

A

D le risque de base.

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16
Q

5898615 -En comparaison avec son rôle dans d’autres types de titrisation, un Special Purpose Vehicle (SPV) joue un rôle unique dans la titrisation d’assurance, parce qu’il

A paie les investisseurs en liquidités en échange du risque assurable.
B fournit une garantie aux titres générant un revenu.
C reçoit des actifs générant un revenu et les vend aux investisseurs.
D transforme le risque assurable en risque d’investissement.

A

D transforme le risque assurable en risque d’investissement.

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17
Q

5898633 -L’ajout de titres assurantiels à un portefeuille peut améliorer le rendement d’un investisseur sans augmenter son risque, parce que

A l’investisseur accepte les risques généraux d’une organisation.
B l’investisseur reçoit un taux de rendement préférentiel.
C le risque assurable est sans corrélation avec les autres types de risque d’investissement.
D il existe un marché secondaire pour les titres.

A

C le risque assurable est sans corrélation avec les autres types de risque d’investissement.

18
Q

5898800 - Un avantages des dérivés d’assurance est qu’ils

A remplacent le marché d’assurance structuré durant les cycles de marché “soft”.
B réduisent le coût des titres assurantiels (ILS)
C profitent des Special Purpose Vehicle (SPV) pour l’entretien des garanties.
D Créent une capacité de risque supplémentaire.

A

D Créent une capacité de risque supplémentaire.

19
Q

5898618 - Un inconvénient des dérivés d’assurance est qu’ils
A présentent une opportunité pour les investisseurs de se retirer avant l’échéance.
B sont vendus sur des marchés encore sous-développés.
C sont fortement réglementés.
D sont coûteux à cause des exigences en matière de garanties.

A

B sont vendus sur des marchés encore sous-développés.

20
Q

5898795 - Quel point parmi les suivants représente un avantage des dérivés d’assurance ?

A Ils n’ont pas de risque de base.
B Ils n’ont pas de risque de crédit.
C Leur coût est inférieur au coût des titres assurantiels.
D Les investisseurs s’engagent à ne pas se retirer avant l’échéance.

A

C Leur coût est inférieur au coût des titres assurantiels.

21
Q

5898406 - Un swap entre deux assureurs a un résultat similaire à

A un accord de réassurance.
B une auto-assurance.
C un pooling.
D une relation entre première ligne et ligne en excédent.

A

A un accord de réassurance.

22
Q

5898391 - L’assureur A a arrangé un échange avec l’assureur B d’une partie des primes et des sinistres provenant de son exposition aux tornades au Kansas contre une partie des primes et des sinistres provenant de l’exposition aux ouragan de ce dernier en Caroline du Nord. C’est un exemple de quel type d’arrangement de transfert de risque ?

A Un pooling sans corrélation
B Un swap
C Une option d’assurance
D Une réassurance

A

B Un swap

23
Q

5898408 - Parmi les affirmations suivantes, laquelle est vraie en ce qui concerne la valeur d’une option d’assurance ?

A La valeur d’une option d’assurance augmente quand la valeur des sinistres assurables sous-jacents augmente jusqu’à la valeur de la franchise.
B La valeur d’une option d’assurance diminue quand la valeur des sinistres assurables sous-jacents augmente.
C La valeur d’une option d’assurance augmente quand la valeur des sinistres assurables sous-jacents augmente au-delà de la valeur du prix d’exercice.
D La valeur d’une option d’assurance augmente quand la valeur des sinistres assurables sous-jacents augmente jusqu’à la valeur de la rétention autoassurée.

A

C La valeur d’une option d’assurance augmente quand la valeur des sinistres assurables sous-jacents augmente au-delà de la valeur du prix d’exercice.

24
Q

5898774 - Les investisseurs en accords de capitaux conditionnels

A ont la garantie que l’organisation exercera l’option à un moment spécifié.
B peuvent prendre contrôle des investissements de l’organisation quand les sinistres excèdent un seuil spécifié.
C deviennent les créditeurs d’une organisation suite à un sinistre.
D paient des honoraires d’engagement pour assurer qu’à l’avenir, ils assumeront les coûts des sinistres.

A

C deviennent les créditeurs d’une organisation suite à un sinistre.

25
Q

5898624 - Parmi les affirmations suivantes concernant une ligne de crédit standby, laquelle est exacte?

A Les conditions de l’accord de crédit sont spécifiées à l’avance pour une ligne de crédit standby.
B Vu que leurs applications sont incompatibles, les lignes de crédit standby ne sont pas utilisés en association avec une police d’assurance.
C Les lignes de crédit standby n’apportent pas d’avantage par rapport à une police d’assurance traditionnelle.
D Les sinistre indemnisés par les fonds à partir d’une ligne de crédit standby n’ont pas besoin d’être remboursés.

A

A Les conditions de l’accord de crédit sont spécifiées à l’avance pour une ligne de crédit standby.

26
Q

5898625 - Les réglementations des État-Unis sur la comptabilité permettent aux assureurs d’émettre des accords conditionnels de surplus notes

A augmentant les passifs d’un assureur sur son bilan.
B diminuant les actifs sur le bilan d’un assureur.
C selon lequel l’assureur peut négocier des taux d’intérêt quand il a besoin de fonds au lieu d’une assurance.
D Comptabilisés comme un excédent redistribuable aux titulaires plutôt qu’un passif.

A

D Comptabilisés comme un excédent redistribuable aux titulaires plutôt qu’un passif.

27
Q

5898630 - Un avantage des dispositions en matière de capital conditionnel est que

A les frais d’engagement de capitaux sont supérieurs à une prime d’assurance.
B le coût des fonds est inférieur à celui d’une assurance.
C le coût de la rétention est plus élevé.
D le coût de l’apport de capital varie en fonction des conditions.

A

B le coût des fonds est inférieur à celui d’une assurance.

28
Q

5898788 - Un inconvénient associé aux arrangements de capitaux conditionnels est

A que les fonds reçus sont des fonds propres, et non des prêts.
B que l’actionnariat est plus concentré quand une ligne de crédit standby est utilisée.
C que les fonds reçus sont des prêts et non des fonds propres.
D que l’actionnariat est plus concentré quand une option de vente d’actions en cas de catastrophe est exécutée.

A

C que les fonds reçus sont des prêts et non des fonds propres.

29
Q

5823317 - GBB Insurance Company est une société cotée en bourse. Les directeurs financiers de GBB craignent que la société puisse être dévastée en cas de sinistre important. La société a acheté une réassurance. Elle a, en outre, vendu une option de vente à une caisse de retraite. Cette option confère à GBB le droit d’émettre 500 000 actions au prix de $50 par action en cas de catastrophe. Ce droit d’émettre des actions à un prix spécifié en cas de sinistre important est appelé

A une titrisation d’assurance.
B un accord de garantie.
C un dérivé d’assurance.
D un accord de capitaux conditionnels.

A

D un accord de capitaux conditionnels.

30
Q

5898631 - Les organisations utilisant des titres assurantiels et des dérivés d’assurance pour transférer les risques sont préoccupées par

A le risque de crédit des parties fournissant du capital à risque.
B le risque accidentel des parties fournissant du capital à risque.
C l’incapacité de comprendre les réglementation complexes pour les produits.
D l’incapacité de personnaliser de tels dispositifs en fonction des besoins de l’organisation.

A

A le risque de crédit des parties fournissant du capital à risque.

31
Q

5898637 - La valeur d’options négociées en bourse normalisées offrant un haut niveau de sécurité financière est garantie par

A la bourse où elles sont négociées.
B la force financière de la contre-partie de la transaction.
C le bilan de l’assureur.
D le bilan du réassureur.

A

A la bourse où elles sont négociées.

32
Q

5890638 - Une méthode permettant aux investisseurs qui fournissent du capital risque pour les produits du marché des capitaux de gérer l’éventualité d’un aléa moral est

A d’augmenter la possibilité d’un risque de base pour l’organisation.
B d’utiliser un fait déclencheur objectif.
C d’utiliser un activateur impartial.
D d’augmenter le coût d’opportunité pour le produit.

A

B d’utiliser un fait déclencheur objectif.

33
Q

5898634 - Pour les produits du marché des capitaux, un équilibre existe entre
A le risque de crédit et la sécurité financière.
B le nombre d’investisseurs et les sinistres.
C l’aléa moral et le risque de base.
D la tarification transparente et l’exposition à une catastrophe.

A

C l’aléa moral et le risque de base.

34
Q

5898457 - Les organisations qui transfèrent les risques via des titres assurantiels et des dérivés d’assurance se préoccupent du fait que le montant reçu en cas d’urgence ne correspondra peut-être pas au montant du sinistre . Ce risque est appelé

A le risque d’exploitation.
B le risque de base.
C le risque pur.
D le risque de crédit.

A

B le risque de base.

35
Q

5898319 - Parmi les approches suivantes du transfert des risques, laquelle offre la plus grande sécurité financière et le risque de base le plus bas à une organisation qui transfère les risques ?

A Les contrats d’assurance traditionnels
B Options boursières
C Contrats “future”
D Contrats de swap

A

A Les contrats d’assurance traditionnels

36
Q

5898503 - Un des principaux problèmes concernant les titres assurantiels et les dérivés d’assurance est

A le risque de base élevé associé.
B le manque de clauses et de conditions standardisées d’un contrat.
C de savoir s’ils peuvent être considérés comme une assurance et réglementés en tant que tels.
D le degré de l’aléa moral éventuellement impliqué.

A

C de savoir s’ils peuvent être considérés comme une assurance et réglementés en tant que tels.

37
Q

5898718 - Quand un titre assurantiel ou un dérivé d’assurance est défini comme une assurance, la transaction est
A assujettie à la régulation de la Commodities Fututres Trading Comission (CFTC)
B assujettie à la régulation de la Securities and Exchange Commission (SEC).
C exemptée de taxes.
D régulée comme une assurance.

A

D régulée comme une assurance.

38
Q

5898801 - La détermination du statut d’un produit du marché des capitaux comme une assurance a contribué à la ratification

A du Financial Accounting Standards Board.
B de la loi sur la rétention des risques reponsabilité civile (Liability Risk Retention Act).
C de la loi McCarran-Ferguson.
D de la loi Sarbanes-Oxley.

A

D de la loi Sarbanes-Oxley.

39
Q

5898320 - Les transactions de titrisation d’assurance impliquent généralement un Special Purpose Vehicle (SPV). Pour une transaction impliquant une organisation aux États-Unis, le SPV est, en général, considéré comme

A un fiduciaire conformément à l’Employee Retirement Income Security Act (ERISA).
B une société de captive selon les codes d’assurance de la majorité des Etats.
C un groupe de rétention des risques selon le Risk Retention Act.
D un assureur ou un réassureur assujetti aux réglementations sur l’assurance de l’Etat..

A

D un assureur ou un réassureur assujetti aux réglementations sur l’assurance de l’Etat..

40
Q

5898321 - Parmi les affirmations suivantes relatives aux problèmes réglementaires et comptables concernant les programmes de financement des risques par le marché des capitaux, laquelle est correcte ?

A Les titres assurantiels et les dérivés d’assurance sont exemptés des taxes sur les primes des Etats, même si le dispositif est considéré comme une assurance.
B Les titres assurantiels et les dérivés d’assurance ont plus tendance à être considérés comme une assurance quand le déclencheur de paiement est une valeur générale (comme une valeur indexée) plutôt que s’il est basé sur les sinistres réels d’une société.
C Bien que la valeur des dérivés d’assurance (swap et options) soit basée sur les sinistres réels d’une entreprise, ils ne sont pas considérés comme une assurance et ne sont pas régulés en tant que telle.
D Si les titres assurantiels et les dérivés d’assurance ne sont pas définis comme une assurance, les investisseurs devront respecter les exigences des différents organes régulateurs des titres et des dérivés, comme la Securities and Exchange Commission (SEC) et la Commodities Futures Trading Commission (CFTC) aux États-Unis.

A

D Si les titres assurantiels et les dérivés d’assurance ne sont pas définis comme une assurance, les investisseurs devront respecter les exigences des différents organes régulateurs des titres et des dérivés, comme la Securities and Exchange Commission (SEC) et la Commodities Futures Trading Commission (CFTC) aux États-Unis.

41
Q

5898407 - De quelle façon, parmi les propositions suivantes, le bilan d’une organisation est-il affecté quand les titres assurantiels et les dérivés d’assurance ne sont pas considérés comme une assurance ?

A Les passifs de l’organisation sont majorés par la valeur du titre assurantiel ou du dérivé d’assurance.
B Les passifs de l’organisation sont diminués par la valeur du titre assurantiel ou du dérivé d’assurance.
C L’organisation peut déduire la valeur du titre assurantiel ou du dérivé d’assurance pour des raisons fiscales.
D L’organisation doit déclarer sur son bilan les sinistres en attente qu’elle compte couvrir comme passif.

A

D L’organisation doit déclarer sur son bilan les sinistres en attente qu’elle compte couvrir comme passif.