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Théories de la personnalité > Cours 11 > Flashcards

Cours 11 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que postule Hippocrate?

A

Quatre humeurs biologiques dans le corps humain, chacune correspondant à un tempérament

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2
Q

Les différences de tempérament sont en lien avec quoi, selon Hippocrate?

A

avec la prédominance de l’une ou l’autre des humeurs biologiques

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3
Q

Quelles sont les 4 humeurs biologiques et le fluide associé?

A

Sanguin (sang)

Mélancolique (Bile noire)

Colérique (Bile jaune)

Flegmatique (Lymphe ou phlegme)

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4
Q

L’humeur biologique “sanguin” est en lien avec quelle composante du modèle de Eysenck?

A

Extraversion et stabilité émotionnelle

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5
Q

L’humeur biologique “mélancolique” est en lien avec quelle composante du modèle de Eysenck?

A

Introversion et instabilité émotionnelle

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6
Q

L’humeur biologique “colérique” est en lien avec quelle composante du modèle de Eysenck?

A

Instabilité émotionnelle et extraversion

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7
Q

L’humeur biologique “flegmatique” est en lien avec quelle composante du modèle de Eysenck?

A

Introversion et stabilité émotionnelle

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8
Q

Quelles sont les caractéristiques du “sanguin”?

A

Sociable, entreprenant, plein d’entrain

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9
Q

Maussade, pessimiste sont les caractéristiques du …?

A

“mélancolique”

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10
Q

Susceptible, agressif sont les caractéristiques du …?

A

Colérique

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11
Q

Calme, réfléchi sont les caractéristiques du …?

A

“flegmatique”

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12
Q

Qui suis-je? * Certaines zones du cerveau sont responsables de fonctions émotionnelles et comportementales très spécifiques

A

Phrénologie

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13
Q

Selon la phrénologie de Gall, si la zone du cerveau est développé, qu’est-ce qu’on peut observer?

A

1) La caractéristique associée à cette zone est fortement présente chez la personne
2) Il y aurait une bosse sur le crâne de la personne

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14
Q

Qu’est-ce qui différencie les théories contemporaines de la théorie de Gall (phrénologie)?

A

Théories contemporaines :Fonctions émotionnelles et comportementales sont l’action synchronisée de plusieurs régions interconnectées du cerveau

VS ce que Gall postulait (une zone = une fonction)

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15
Q

Il y a eu avancée majeure en ____ et en _____ au milieu du 19e siecle

A

En biologie et en génétique

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16
Q

Qui suis-je? J’ai eu un accident : destruction d’une bonne partie du cortex frontal
Gravement blessé, mais je peut marcher, parler, décrire l’accident de manière rationnelle et en détail

Mais (!) ce n’était plus le même homme : « Son caractère, ses goûts et ses antipathies, ses rêves et ses ambitions, tout cela va changer. Son corts sera bien vivant, mais c’est une nouvelle âme qui l’habita.

A

Le cas de Phineas Gage

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17
Q

Le cas de Phineas Gage a permis de conclure des interconnexions profondes entre 2 choses. Lesquelles?

A

entre le fonctionnement cérébral et le fonctionnement de la personnalité

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18
Q

Le cas de Phineas Gage a permis de conclure un lien clair entre 2 choses. Lesquelles?

A

entre la perte du tissu cérébral au niveau du lobe frontal et le changement de la personnalité

(si on perd du tissu ou qu’il est endommagé = changement dans la personnalité)

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19
Q

Les travaux d’Ernst Kretschmer et de William Sheldon analyse quoi?

A

des liens potentiels entre le type physique (body type) et la personnalité

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21
Q

Qu’est-ce que postule Kretschmer et Sheldon?

A

Chaque type physique serait associé à des caractéristiques de personnalité particulières

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21
Q

Qui suis-je? Catégories où l’on associe des caractéristiques physiques avec des caractéristiques de personnalité.

A

Somatotypes

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22
Q

Quels sont les 3 somatotypes?

A

1) Endomorphe 2) Mésomorphe 3) Ectomorphe

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23
Q

Quelles sont les limites de la théorie de Kretschmer et Sheldon?

A
  • Problèmes méthodologiques ont empêché de tirer des conclusions valables des travaux
  • Notamment : grande subjectivité, rôle de plusieurs facteurs, …
  • Recherches ultérieures montrent par ailleurs que les liens type physique —personnalité est faible
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24
Q

Qui suis-je? L’ensemble des tendances émotionnelles et affectives d’origine biologique qui apparaissent tôt dans la vie

A

Tempérament

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25
Q

En quoi consiste les Tendances émotionnelles et affectives (tempérament)?

A

(a) tendances à expérimenter des émotions positives ou négatives,

(b) à quel point on est excité face à un stimulus,

(c) notre capacité à retrouver notre calme après avoir été troublé par un événement.

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26
Q

Qui suis-je? Méthode de recherche qui permet d’étudier un même groupe de personnes sur une longue période

A

Études longitudinales

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27
Q

Qui suis-je? Méthode de recherche utilisée pour étudier le tempérament

A

Études longitudinales

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28
Q
  • Si des caractéristiques psychologiques sont présentes très tôt dans la vie

ET

  • Si ces caractéristiques psychologiques persistent tout au long de la vie, qu’est-ce qu’on peut conclure?
A

Ces caractéristiques pourraient avoir un fondement biologique

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29
Q

Les travaux d’Alexander Thomas et de Stella Chess (1977) utilisaient quelle méthode de recherche?

A

Études longitudinales

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30
Q

Travaux d’Alexander Thomas et de Stella Chess (1977) ont suivi plus d’une centaine d’enfants de leur naissance jusqu’à l’adolescence. Sur quoi ce sont-ils basés pour obtenir leurs données?

A

Comptes rendus parentaux des réactions de leur enfant dans diverses situations

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31
Q

Travaux d’Alexander Thomas et de Stella Chess (1977) ont suivi plus d’une centaine d’enfants de leur naissance jusqu’à l’adolescence. Leurs mesures étaient en lien avec quoi?

A

niveau d’activité, humeur générale, durée d’attention, persévérance

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32
Q

Quel type de tempérament suis-je? Enfants enjoués avec une humeur positive de manière générale et qui tolère bien la frustration

A

BB facile

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33
Q

Quel type de tempérament suis-je? BB avec humeur intense et souvent négative, non-tolérants à la frustration

A

BB difficile

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34
Q

Quel type de tempérament suis-je? Faible degré d’activité, s’adapte lentement, réactions lentes et de faible intensité en générale

A

BB lent à s’adapter

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35
Q

Quel type de tempérament suis-je?

S’adapte facilement au changement et à la nouveauté

Quand ils font face à des nouveaux stimuli, ils sont régulés et ont une réaction positive

A

BB facile

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36
Q

Quel type de tempérament suis-je?

S’adapte difficilement au changement et à la nouveauté

Quand ils font face à des nouveaux stimuli, ils auront un attitude de retrait et une réaction négative

A

BB difficile

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37
Q

Quel type de tempérament suis-je?
Réagit lentement

Ce sont des enfants qui réagissent négativement à la nouveauté

A

BB lent à démarrer

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38
Q

Quel type de tempérament suis-je? Moins de difficulté d’adaptation plus tard dans la vie

A

BB facile

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39
Q

Quel type de tempérament suis-je? Plus de difficulté d’adaptation plus tard dans la vie

A

BB difficile

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40
Q

Travaux de Buss et Plomin (1975, 1984) se sont basés sur quoi pour obtenir leurs données?

A

Évaluations parentales du comportement de leur enfant

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41
Q

Qu’est-ce qu’on permis de faire ressortir les travaux Buss et Plomin?

A

3 dimensions du tempérament infantiles

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42
Q

Qu’est-ce qu’on permis de faire ressortir les travaux Thomas et Chess?

A

3 types de tempérament infantiles

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43
Q

Quelles sont les 3 dimensions du tempérament infantiles de Buss et Plomin?

A

Émotivité
Activité
Sociabilité

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44
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis? * Excitabilité et détresse dans des situations perturbatrices

A

Émotivité

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45
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis? Vigueur et rythme des mouvements moteurs, dynamisme, nervosité

A

Activité

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46
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis? Ouverture vers les autres, facilité à se faire des ami.e.s

A

Sociabilité

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47
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis?

Manifestation : on l’observe à travers la détresse, la peur qui va être exprimée

A

Émotivité

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48
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis?

Manifestation : on l’observe selon à quel point on bouge rapidement ou à quel point on parle fort

A

Activité

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49
Q

Quelle dimension du tempérament de Buss et Plomin je suis?

Manifestation : on l’observe dans la tendance à initier des contacts, le temps passé avec d’autres et le nombre d’amis

A

Sociabilité

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50
Q

Quelles sont les limites des premières études longitudinales ? (Thomas/Chess et Buss/Plomin)

A

Elles reposent sur des évaluations parentales (et non sur des mesures objectives)

Elles ne comprennent pas d’indices en lien avec le fonctionnement biologique

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51
Q

Thomas/Chess et Buss/Plomin font partie de quelle approche de la personnalité?

A

Approche biologique

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52
Q

En réponse aux limites des premières études longitudinale, qui est-ce qui fait des travaux et avec quelle méthode?

A

ravaux de Kagan sur le tempérament

Méthode utilisée par Kagan :

  • Observer les enfants directement dans l’environnement du laboratoire, en utilisant des mesures objectives (au lieu de demander aux parents d’évaluer leur enfant)
  • Utiliser des indices en lien avec le fonctionnement biologique
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53
Q

Quel profil comportemental des travaux de Kagan je suis? * Quand il fait face à des personnes ou événements qui ne lui sont pas familiers : réserve, évitement, détresse
* Première réaction à la nouveauté : se taire et à chercher du réconfort auprès de ses parents ou s’enfuir/se cacher

A

Enfant inhibé

54
Q

Quel profil comportemental des travaux de Kagan je suis?

  • Prend du plaisir aux situations qui sont stressantes pour l’enfant inhibé.e
  • Réagit avec spontanéité
  • Facilement enjoué.e et souriant.e
A

Enfant non inhibé

55
Q

Quel profil comportemental des travaux de Kagan je suis?
* ↑ du temps à se détendre dans des situations nouvelles
* ↑ peurs, phobies inhabituelles
* Timide et extrêmement prudent.e

A

Enfants inhibés

56
Q

Quel profil comportemental des travaux de Kagan je suis?

Hypothèse de Kagan :
* Caractéristiques biologiques innées qui les rendent hautement réactif.ve.s à la nouveauté
* Ces caractéristiques resteraient stables au cours du développement

A

Inhibé

57
Q

Quel profil comportemental des travaux de Kagan je suis?

Hypothèse de Kagan :
* Caractéristiques biologiques innées qui les rendent faiblement réactif.ve.s à la nouveauté
* Ces caractéristiques resteraient stables au cours du développement

A

Enfants non inhibés

58
Q

Comment Kagan fait pour tester ses hypothèse?

A
  • Le même groupe d’enfant est suivi sur plusieurs années (4 mois, 14 et 21 mois, 4.5 ans, 8 ans)
59
Q

En faisant l’évaluation des comportements en présence de stimuli familiers vs. non familiers, quels sont les principaux résultats?

20% des bébés :
40% des bébés :
40% restants des bébés :

A

20% des bébés : hautement réactif.ve.s en présence de stimuli nouveaux : arquent le dos, pleurent très fort, visage montre mécontentement (enfants inhibés)

40% des bébés : faiblement réactif.ve.s : restent calmes et décontracté.e.s en présence de nouveaux stimuli (enfants non inhibés)

40% restants des bébés : combinaison de réactions

60
Q

Vrai ou faux. Les résultats obtenus par Kagan à 4 mois confirme les différences dans la réaction à la nouveauté entre les enfants inhibé.e.s et les enfants non inhibé.e.s

A

Vrai

61
Q

À 12 et 21 mois, 4.5 ans et 8 ans, Kagan soumet les enfants à des situations nouvelles. Qu’est-ce qu’il observe et qu’est-ce qu’il mesure?

A

Observations comportementales (de leurs réactions) + Mesures physiologiques (fréquence cardiaque, pression artérielle, …)

62
Q

Qu’est-ce que présente les enfants réactif (inhibés) à 14 et 21 mois, contrairement aux enfants non-inhibés?

A

Manifestent davantage de crainte, une plus grande accélération des battements cardiaques et une plus grande élévation de la pression artérielle

63
Q

Qu’est-ce que présente les enfants réactif (inhibés) à 4,5 ans, contrairement aux enfants non-inhibés?

A

Sourient moins, parlent moins dans les interactions sociales

64
Q

Kagan : à 8 ans, est-ce qu’on observe constance, ou changement de tempérament?

A

Constance du tempérament : la majorité des enfants appartiennent au groupe dans lequel on les a classé.e.s à 4 mois

65
Q

Régions du cerveau associées à la tendance à être inhibé.e. ou non inhibé.e :
* Plus d’une région est mise en œuvre ; les tendances comportementales reflètent quoi?

A

Reflètent les interactions entre les différents systèmes neuronaux

66
Q

Quelle est la région cérébrale qui joue un rôle central dans la réponse de peur?

A

Amygdale

67
Q

Dans une étude sur un groupe de jeunes adultes qui à l’enfance avaient été classés comme inhibés ou non inhibés, on observe des différences dans le fonctionnement de l’amygdale. Lesquelles?

A

Adultes, qui quand ils étaient enfants étaient considérés comme inhibés = plus grande réactivité de l’amygdale face aux visages nouveaux

Adultes, qui quand ils étaient enfants étaient considérés comme non-inhibés = moins grande réactivité de l’amygdale face aux visages nouveaux

68
Q

Quelle région cérébrale s’occupe de la régulation de la réponse émotionnelle (en partie parce qu’il agit sur le fonctionnement de l’amygdale)

A

Cortex frontal

69
Q

Au final, les travaux sur les régions cérébrales associés au tempérament ont permis de confirmer quoi?

A

Ces travaux confirment qu’il y a quelque chose de biologique qui est sous-jacent au tempérament (base biologique du tempérament)

70
Q

Vrai ou faux? Il y a des changements important du tempérament au cours de la vie.

A

Faux, changements possibles (principalement à cause de l’environnement), mais difficile de changer complètement une prédisposition innée

71
Q

Sur quoi s’appuie la biologie évolutionniste?

A

S’appuie sur la sélection naturelle

72
Q

À quelle notion je réfère ? Certaines caractéristiques biologiques sont plus adaptées que d’autres

A

Sélection naturelle

73
Q

Selon la sélection naturelle, les organismes avec des caractéristiques biologiques étant plus adapté = ?

A

↑ susceptibles de survivre que les autres et ↑ susceptibles de se reproduire

(inverse pour organismes avec caractéristiques moins adaptés)

74
Q

Qui suis-je? Mécanisme psychologique fondamental qui serait le résultat de la sélection naturelle, c’est-à-dire qu’il favorise la survie et la reproduction

A

mécanisme psychologique évolué

75
Q

mécanisme psychologique évolué : Mécanisme psychologique fondamental qui serait le résultat de la sélection naturelle, c’est-à-dire qu’il favorise la (a) et la (b)

A

Survie et reproduction

76
Q

Puisque les hommes et les femmes auraient eu à surmonter des épreuves différentes au cours de l’évolution humaine, qu’est-ce qui devrait être différent?

A

leurs cerveaux devraient être différents, et donc, chaque sexe aurait une prédisposition à penser, ressentir et agir différemment de l’autre sexe

77
Q

La différence entre les sexes est une idée défendue particulièrement par qui?

A

David Buss

78
Q

Quelles sont les 2 différences entre hommes et femmes selon Buss, qui a étudié ces deux aspects des relations homme-femme?

A
  • Le choix d’un.e partenaire
  • La jalousie
79
Q

Quels sont les deux facteurs sous-jacents aux différences entre les hommes et les femmes dans les relations ?

A
  • La théorie de l’investissement parental
  • La parentalité
80
Q

À quelle notion je réfère? Les H et les F ont investi différemment dans leur progéniture au cours de l’histoire humaine
* Investissement des femmes > Investissement des hommes

A

La théorie de l’investissement parental

81
Q

Les H et les F ont investi différemment dans leur progéniture au cours de l’histoire humaine
* Investissement des femmes > Investissement des hommes

  • Il en est ainsi car ?
A
  • Les femmes peuvent transmettre leurs gènes à ↓ de descendant.e.s que les hommes
  • Les hommes n’ont pas à vivre ces conséquences biologiques de la grossesse et peuvent être engagés dans plusieurs grossesses à la fois
82
Q

La théorie de l’investissement parentale influence quoi?

A

La sélectivité des partenaires

83
Q

La théorie de l’investissement parentale influence la sélectivité des partenaires. Qu’est-ce qu’on observe?

A
  • Femmes : ↑sélectives, recherche d’un partenaire qui les soutiendra pendant la grossesse et dans les soins donnés à l’enfant
  • Hommes : potentiel reproducteur de leur partenaire, jeunesse, indicateurs d’une capacité reproductrice
84
Q

Selon la notion de parentalité, qu’est-ce qui différencie les hommes et les femmes?

A
  • Femmes : comme les femmes portent l’ovule fécondé, elles ont toujours la certitude que leurs enfants sont les leurs
  • Hommes : n’ont jamais la certitude de leur paternité et veulent s’assurer que leur investissement va à leur enfant et non pas à celui d’un autre
85
Q

L’investissement parentale est plus grand chez hommes ou femmes?

A

Femmes

86
Q

Théorie de l’investissement parental + Parentalité = Deux différences entre les hommes et les femmes :

Premièrement, le choix d’un.e partenaire.

Quelle est la valeur de l’homme pour la femme?

A

fonction des ressources qu’il pourra fournir (évaluées selon sa capacité à gagner de l’argent, son ardeur au travail, son ambition)

87
Q

Théorie de l’investissement parental + Parentalité = Deux différences entre les hommes et les femmes :

Premièrement, le choix d’un.e partenaire.

Quelle est la valeur de la femme pour l’homme?

A

= fonction du potentiel reproductif tel que dénoté par la jeunesse et la beauté physique et de la chasteté pour augmenter la probabilité de paternité

88
Q

Les femmes, au niveau de la jalousie, sont plus touchés par quoi?

A

plus touchées par l’infidélité émotionnelle et la perte de ressource

89
Q

Les hommes, au niveau de la jalousie, sont plus touchés par quoi?

A

plus touchés par l’infidélité sexuelle qui nuit à la probabilité de paternité

90
Q

À quelle notion je réfère? * Tente de déterminer la part génétique dans les comportements

  • Utilisation de diverses techniques pour déterminer dans quelle mesure les caractéristiques psychologiques des individus sont dues à des facteurs génétiques
A

Génétique comportementale

91
Q

Pour étudier la génétique comportementale : trois méthodes de recherche. Lesquelles?

A

1) Études des croisements sélectifs
2) Études sur les jumeaux
3) Études d’adoption

92
Q

À quelle méthode de recherche je fais référence?
* Accoupler des animaux présentant un trait donné
* Processus de sélection par accouplement sur plusieurs générations
* Continuer jusqu’à ce qu’on obtienne une lignée d’animaux stables quant à la caractéristique désirée
* Une fois qu’on a créé une lignée d’organismes par croisement sélectif :
* Observer leurs comportements et leurs caractéristiques
* Soumettre les organismes à diverses expériences développementales dans un environnement contrôlé

A

Les études des croisements sélectifs

93
Q

En étude sur les jumeaux, on compare les jumeaux monozygotes sur leur personnalité. Quel type de jumeaux devrait être plus similaire et pourquoi?

A

Jumeaux monozygotes devraient être plus similaires que jumeaux dizygotes

Les jumeaux monozygotes (« vrais jumeaux ») ont un bagage génétique identique (100% des gênes en commun), alors que les jumeaux dizygotes (« faux jumeaux ») partagent 50% de leur bagage génétique

94
Q

Les différences entre les jumeaux monozygotes indiquent quoi?

A

Toutes les différences entre les deux : facteurs environnementaux

95
Q

Quelle est le principe des études d’adoption?

A

Parents biologiques : Aucune influence environnementale sur l’enfant MAIS Gènes en commun avec l’enfant

Parents adoptifs : Influence environnementale sur l’enfant MAIS Aucun gène en commun avec l’enfant

96
Q

Études d’adoption : s’il y a similarité entre l’enfant et les parents biologiques : influence de (a)

s’il y a similarité entre l’enfant les parents adoptifs : influence de (b)

A

(a) des gènes
(b) de l’environnement

97
Q

Les études des croisements sélectifs, les études sur les jumeaux et les études d’adoption reposent sur le …

A

Coefficient d’héritabilité (H2)

98
Q

Qui suis-je? Estimation de la part de variance qu’on peut attribuer aux déterminants génétiques pour une caractéristique donnée, mesurée de façon particulière, dans une population donnée

A

Coefficient d’héritabilité (H2)

99
Q

Qui suis-je? concept statistique qui nous dis que sur une certaine caractéristique donnée, dans un échantillon, il y aura de la variabilité

A

Variance

100
Q

Qu’est-ce que permet d’étudier le H2 sur introversion / extraversion

A

à quel point la variance sur l’introversion-extraversion est attribuable à la génétique?

101
Q

Vrai ou faux? Il est possible de trouver des traits psychologiques dont on puisse prouver de manière irréfutable qu’ils ne subissent aucune influence génétique »

A

Faux, difficile de trouver

102
Q

Vrai ou faux? Pour presque tous les traits étudiés (…), une part importante des variations entre les individus est liée aux variations génétiques; ce fait n’a plus à être démontré

A

Vrai

103
Q

Qui suis-je?

Mettre en lien certains gènes avec certains traits de la personnalité.

1) comment il y a des variations génétiques

2) comment ces variations sont liées au différence dans le fonctionnement de la personnalité

3) Comment des variations vont influencer les différents systèmes modifient une substance ou un système biologique pour produire à son tour des effets psychologiques (voir diapo d’après qui explique)

A

Génétique moléculaire

104
Q

Qui suis-je? Vise à déterminer quels gènes sont associés aux traits de personnalité des êtres humains

A

Génétique moléculaire

105
Q

La génétique moléculaire vise à déterminer quels gènes sont associés aux traits de personnalité des êtres humains

Comment? En examinant le bagage génétique de diverses personnes avec l’objectif :

a) * De montrer comment les variation s génétiques sont liées aux différences dans quoi?
b) * De montrer comment les variations génétiques modifient quoi?

A

a) dans le fonctionnement de la personnalité
b) une substance ou un système biologique pour produire à son tour des effets psychologiques

106
Q

Vrai ou faux? Paradoxalement, les travaux en génétique comportementale constituent la meilleure preuve de l’importance des facteurs environnementaux

A

Vrai

107
Q

Qui suis-je? Expériences que, dans une fratrie, tout le monde va vivre (communs à tous les membres d’une fratrie)

Expériences qu’ont en commun les frères et les sœurs qui grandissent dans la même famille et qui font qu’ils présentent des similitudes

A

Environnement partagé

108
Q

En étudiant les effets des environnements partagés, trouve-t-on de grands effets?

A

Effets négligeables
En étudiant ça, on réalise que ça n’a pas beaucoup d’effet. Ce que tout le monde vie au sein d’une même famille n’a pas beaucoup d’influence sur la personnalité

109
Q

Qui sui-je?

Expériences propres à chaque membre d’une fratrie qui font que les frères et sœurs qui grandissent dans une même famille présentent des différences.

A

Environnements non-partagés

110
Q

En étudiant les effets des environnements non partagés, trouve-t-on de grands effets?

A

Effets importants : 40% de la variance dans les traits de personnalité
En comparant les membres d’une fratrie entre eux  associé à 40% de la variance. Les expériences uniques de chaque personne est un effet de l’environnement qui est important

111
Q

en termes d’expériences de l’environnement qui vont influencer notre personnalité , quel type d’environnement a le + d’influence?

A

environnement non-partagés au sein d’une même famille (ce qui est unique à chacun)

112
Q

Interaction inné—acquis. Qu’est-ce qu’on observe?

A

1) Les mêmes expériences environnementales peuvent avoir des effets différents sur des individus au bagage génétique différent

2) Des individus au bagage génétique différent peuvent susciter des réactions différentes dans un même environnement

3) Les individus aux constitutions génétiques différentes choisissent et créent des environnements différents

113
Q

Quel auteur propose trois superfacteurs similaires à ceux proposés par Eysenck?

A

Modèle de Clark et Watson

114
Q

Quels sont les 3 superfacteurs proposés par Clark et Watson? Ils sont proche de quel superfacteurs proposés par Eysenck?

A

1) Affect négatif : Proche de Instabilité/stabilité émotionnelle chez Eysenck
2) Affect positif : Proche d’Extraversion-Introversion chez Eysenck
3) Désinhibition vs. Inhibition : Proche du psychoticisme de Eysenck

115
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
↑ émotions négatives, monde perçu comme menaçant, problématique et pénible

A

Individus élevé sur affect négatif

116
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
individus calmes, émotionnellement stables, contents d’eux-mêmes

A

Individus faible sur affect négatif

117
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?

gens qui apprécient la compagnie d’autrui, actifs, énergiques, enthousiastes, joviaux

A

Individus élevé sur affect positif

118
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
gens réservés, distants, manque d’énergie et de confiance

A

Individus faible sur affect positif

119
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
impulsivité, témérité, recherche de sensations, axés sur les émotions du moment

A

Individus élevé sur Désinhibition vs. Inhibition

120
Q

À qui je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
prudence, évaluation des risques et des conséquences (à long terme), fuite devant le danger

A

Individus faible sur Désinhibition vs. Inhibition

121
Q

À quoi je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
Lié la tendance de l’individu à interagir avec l’environnement

A

Affect positif

122
Q

À quoi je fais référence (modèle de Clark et Watson)?
Mode de régulation des émotions

A

Désinhibition vs. Inhibition

123
Q

Pour affect négatif, il y a implication de 3 choses. Lesquelles?

A

La sérotonine
L’amygdale
L’hémisphère droit

124
Q

Moins de sérotonine = ? sur affect négatif et désinhibition/inhibition

A

= plus d’émotions négatives (affect négatif)
= associé à l’agressivité (Désinhibition vs. Inhibition)

125
Q

Sur affect négatif, un amygdale plus sensible = ?
Pour quelles personnes est-il plus sensible?

A

Amygdale plus sensible = plus d’anxiété et de détresse
Amygdale chez les personnes élevés sur affect négatifs est plus sensible

126
Q

L’hémisphère droit, s’il est activé = associé à l’affect ?
L’hémisphère gauche, s’ii activé = associé à l’affect ?

A

Droit : négatif
Gauche : positif

127
Q

Pour affect positif, il y a implication de 2 choses. Lesquelles?

A

La dopamine
L’hémisphère gauche

128
Q

Pour Désinhibition vs. Inhibition, il y a implication de 3 choses. Lesquelles?

A

La sérotonine
La dopamine
La testostérone

129
Q

Pour affect positif,

Niveau élevé de dopamine + faire face à un stimulus positif = ?

Moins de dopamine + faire face à un stimulus positif = ?

A

Comportement d’approche

Manque de motivation pour s’approcher

130
Q

Niveau élevé de dopamine sur Désinhibition vs. Inhibition = ?

A

recherche d’émotions fortes, impulsivité, désinhibition

131
Q

Niveau élevé de testostérone sur Désinhibition vs. Inhibition = associé à quoi?

A

associé au fait d’être compétitif et à l’agressivité

Théories de la personnalité (15 decks)

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