Cours 3 Flashcards

1
Q

ÉTAPES GÉNÉRALES DANS LA FORMATION D’IMPRESSIONS

A

VOIR SCHÉMA DANS LES PHOTOS!

Observe
Attribution
Integration
Impression

On observe = on retient des infos comme sont physique, comportement et contexte.
On peut être trop concentrer sur un aspect et ne pas prendre compte d’un autre élément.
Attribution = copier-coller avec des notions qu’on connait déjà
Ex: il porte un sarreau = il est médecin. Il peut être pleins d’autre chose mais on fait une association
Attribution: se poser des questions et faire un premier jugement
Disposition: caractéristique qu’on attribue à une personne seulement jugé sur les attributions.
Intégration: combiner les infos pour ce faire une impression globale (sympathique)
Ce qu’on perçoit des gens à la première impression

Analyse approfondi3 causes :
On la fait quand on observe beaucoup d’information.
Quand on a beaucoup de temps = plus de temps à réfléchir
Quand on très motiver à connaitre quelqu’un

Biais confirmatifs: pas constant
Impression qu’on se soit fait ne correspond pas à des croyances qu’on a
Si on croit que les hommes ne sont pas studieux et qu’on rencontre un homme studieux, on va croire que c’est impossible.

La formation d’impressions est un processus continu…
Mais la première impression est cruciale

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2
Q

RAPIDITÉ DE LA FORMATION D’UNE IMPRESSION
Étude de Willis et Todorov (2006)

A

C’est une question de survie de savoir qui est bon ou qui ne l’est pas pour nous.
Question d’adaptation sociale et bien être aujourd’hui
Analyse très rapide !!

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3
Q

INFLUENCE DE L’APPARENCE PHYSIQUE

A

Ø L’apparence physique d’une personne est habituellement le premier et parfois le seul indice pour se former une impression sur elle.
Ø Nous avons des idées préconçues par rapport à certaines caractéristiques physiques. (Les deux gars en bas, si tu portes des lunettes tu as l’aire plus studieux)
Ø La beauté physique, particulièrement un beau visage, amène une variété d’attentes positives (ce qui est beau est bon). (On a l’impression qu’ils ont plus de qualité)
Ø Aussi, la beauté physique de l’autre influence notre attitude envers cette personne.
Perceptions dans le milieu de travail
Ceux qui ont une barbe: confiant, virile, fort, dominant
Rasé de près: plus sociable
Rasé: discipliné

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4
Q

INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES

A

Les comportements et les expressions non verbales que nous observons chez l’autre nous fournissent des informations pour former notre impression.

Des informations à travers les expressions émotionnelles
Plusieurs chercheurs s’entendent sur le fait qu’il existe six familles d’états émotionnels universels qui résultent de l’évolution de l’espèce humaine : la colère, la peur, le dégoût, la surprise, la joie et la tristesse.

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5
Q

Des informations à travers le regard

A

Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation.
Comment les gens nous regarde quand on parle
Ø Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.
Ø Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide.
Ø Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé. (Parents qui veulent faire peur aux enfants, un amoureux qui regarde très puissant)
Ø Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis. CONTEXTE CULTUREL = dans certaines cultures, pour respecter les ainés, ont ne les regarde pas dans les yeux, ce n’est pas triste/honteux mais bien respectueux

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6
Q

Influence des comportements et des expressions

A

Des informations à travers les gestes, les mouvements et les postures
- Différence culturelle pour certains gestes

Des informations à travers les comportements
- Actions qui nous communiquent de l’information sur qui ils sont

Des informations à travers le toucher
- La façon de toucher peut-être positive, dominatrice etc…

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7
Q

Influence du contexte:

A

Le gars à l’aire en douleur, mais il vient de gagner un match et il crie
La majorité du temps, le contexte nous aide, mais parfois il peut nous nuire

Gars= meilleur violoniste de tous les temps, il joue une pièce très difficile, et son violon coute 5 millions de dollars. Dans le métro, il se fait ignorer

Étude de Rosenhan:
On met des gens normaux, qui agissent normal dans un hôpital psychiatrique, et le personnel ne s’en ait jamais rendu compte.
Le contexte peut nous amener à émettre des erreurs

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8
Q

ATTRIBUTION

A

CE QU’EST UNE ATTRIBUTON
Jugement (inférence) (moi je pense que tel personne est comme ça… peut être que ce n’est pas vrai, ce n’est pas juste mais ça part de nous) porté sur une personne, une situation, un événement.
Interprétation personnelle de la réalité.

Une attribution peut être faite…
- pour les autres = attribution de l’observateur ou hétéro-attribution (pourquoi elle a coulé son examen, elle n’a pas étudié),
- pour soi-même = attribution de l’acteur ou auto-attribution. (J’ai pas réussi mon examen parce que j’ai pas eu le temps d’étudier)

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9
Q

TYPES D’ATTRIBUTIONS

A

Ø Attributions causales. (POURQUOI?)
But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.

Ø Attributions dispositionnelles. (QUI EST CETTE PERSONNE)
But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir. (Quel genre de personne c’est?) (Nous sommes présents à un accident sur la route, on se demande quel genre de conducteur il était)

Ø Attributions de responsabilité.
But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit. (Psycho légal) (est-ce que la personne qui a commis un évènement est vraiment coupable)

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10
Q

THÉORIES de l’attribution vs attributionnelles

A

Théorie de l’attribution: les causes qu’une personne fait une attribution

Théories attributionnelles: servent à comprendre les conséquences des attributions

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11
Q

THÉORIE DES INFÉRENCES CORRESPONDANTES
(Jones et Davis, 1965):

A
  • S’applique seulement quand on fait une attribution dispositionnelle
  • Observateur qui fait l’attribution
  • Une seule observation, il la voit seulement une fois

Covariation:
- Attribution causale
- Observateur ou acteur
- N’nécessite plusieurs observations

Quelqu’un pousse mon ami dans un trou d’eau. Je l’ai vu juste une fois cette personne. Je me demande qui est cette personne qui a fait cette action
Quand on fait une analyse: on y va à l’envers

  1. Observer l’action et les effets (il l’a poussé et mon ami a pleuré)
  2. Analyse (choix: est-ce que la personne avait le choix ou non) (attentes: est-ce qu’on s’attend à ce genre de comportement ?)
  3. Attribution = réponse. Qu’est-ce qu’on pense de cette personne. Conclusion: son intention était de faire mal à mon ami et la disposition est que peut-être il était sur la drogue

Quand quelqu’un n’a pas le choix: l’action a été poussé par quelqu’un d’autre donc on ne peut pas utiliser la théorie
Les comportements qui suivent des normes sociales (se mettre en file au cinéma même si on veut plus aller voir le film que ceux devant nous) = c’est un comportement externe, donc on ne peut pas aller plus loin = causes externes
Si ça ne vient pas de la personne, c’est externe

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12
Q

EFFETS DISTINCTIFS

A

Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne auraient pu faire.

Ex: j’ai pris une décision réfléchie et j’ai décider d’aller au cinéma à la place du resto

Les effets des actions
Certains effets sont uniques (distinctifs) aux actions (en bleu)
Si elle choisit une place en particulier, c’est à cause des effets distinctifs, puisque ceux-ci ne se retrouvent nulle part ailleurs. (Elle ne va pas au cinéma pour ne pas étudier, elle y va pour être diverti et ému)

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13
Q

THÉORIE DE LA COVARIATION
(Kelley, 1967)
CDC

A

Voir tableau!!

Trois critères pour expliquer le comportement d’autrui

Ø Consensus.
Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes. (Seul à faire le comportement = consensus faible, plusieurs personnes à faire comme elle, le consensus est élevé)

Ø Distinction. (Principal critère)
Le comportement que la personne observée adopte par rapport à l’entité (PAR RAPPORT À QUOI OU À QUI ELLE FAIT LE COMPORTEMENT) (pourquoi la personne est excitée dans la salle de spectacle? L’entité est le spectacle) (pourquoi le gars brise sa raquette de tennis après un match? L’entité est la raquette) est comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités. (Quand le comportement est différent vis-à-vis les autres entités, la distinction est élevé, plus la différence est grande, plus c’est élevé. Plus que le comportement est similaire aux entités, plus la distinction est faible)

Ø Constance.
Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité). (Si le comportement est toujours le même la constance est élevée, s’il est différent d’une fois à l’autre, la constance est faible)

* S’il nous manque des informations pour examiner l’une ou l’autre des 3 dimensions, nous combinons les vides par des inférences*

Lorsqu’on a une réponse positive au 3 = attribution interne (moi) ou externe (l’environnement)

Attribution
Ø À la personne.
- Si le consensus est faible.
- Autrement dit, la personne est la seule à faire ce comportement.
Ø À l’entité.
- Si la distinction est élevée.
- Autrement dit, la personne a un comportement particulier avec cette entité.
Ø Aux circonstances.
- Si la constance est faible.
- Autrement dit, la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité.
Ø À plus d’un de ces facteurs.

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14
Q

Approche pragmatique

A

Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs. (Raccourcis mentaux, ce qu’on utilise le plus souvent parce qu’on n’a pas le temps de prendre autant d’informations)

Indication d’une cause plausible: le camion allait trop vite
Recherche d’indices confirmatifs: on regarde aux nouvelles, on regarde les policiers…
Présence d’un lien de cause à effet: le bruit du camion qui frappe l’auto vs le camion qui frappe une abeille lol

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15
Q

Approche du traitement de l’information

A

Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la catégorisation, etc.

On s’inspire du fonctionnement d’un ordinateur pour expliquer le traitement de l’information

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16
Q

Croyance

A

Conviction relative un objet psychologique

17
Q

Cachez nos émotions

A

Laisser à notre entourage le soin de décider ce que nous éprouvons et même ce que nous somme, et leur jugement n’ira pas dans le sens que nous aurions souhaité.

18
Q

Inférence correspondante

A

Attribution d’une disposition (d’un trait) qui correspond directement à la nature du comportement observé

Tirer des conclusions vraiment rapidement sur des gens en s’appuyant sur un seul comportement

On ne peut pas juger quelqu’un dans une situation forcée

Les attentes sociales jouent un gros rôle dans nos comportement

3 questions à se poser:
Pouvait-elle agir autrement?
Son comportement correspond-t-il aux attentes lié à sa fonction? (Ex:police)
D’autres actions aurait-elle mené au même résultat?

19
Q

THÉORIES DE L’ATTRIBUTION

A

Pour expliquer les comportements des autres ou nos comportements (incluant les résultats, les événements, etc.), nous avons deux possibilités :

Ø La cause est la personne (ses dispositions, sa personnalité, ses intentions, etc.). Nous parlons alors d’une cause interne, dispositionnelle ou reliée à la personne. Attribution faite par… un observateur : « C’est sa faute ».
… un acteur : « C’est ma faute ». (Je n’ai pas étudié)

Ø La cause est la situation (le contexte, les circonstances, le hasard, etc.). Nous parlons alors d’une cause externe, situationnelle ou reliée au contexte.
Attribution faite par… un observateur : « Ce n’est pas sa faute; c’est la faute de… ».
… un acteur : « Ce n’est pas ma faute; c’est la faute de… ». (C’est la faute du professeur qui a fait un exam trop difficile)