cours 4-5 Flashcards

(42 cards)

1
Q

Qu’est-ce qu’une période critique?

A

– Période du développement d’un individu où des habiletés pourrons être appris facilement.
* Ex. Langage: si enfant espas exposé pendant enfance a language, il ne pourra jamais développer ca. EXPOSITION DOIT SE FAIRE.

N’IMPORTE QUEL PROCESSUS COGNITIF A UNE PÉRIODE CRITIQUE

– habiletés seraient difficiles à acquérir une fois période critique terminée.
* Ex. Apprendre une langue étrangère à l’âge adulte

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2
Q

Le langage

A

– Le langage est un type d’information culturel et une
période critique est observée pour son acquisition.

– À la naissance, l’humain a la capacité de discriminer
tous les phonèmes possibles à travers les différentes
langues.

– À mesure qu’il est exposé à une langue en particulier,
son aptitude à discriminer entre des phonèmes qui
n’existent pas dans sa langue diminue.

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3
Q

skip until diapo 30 part 2

A
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4
Q

concept de soi

A

se crée def de qui elle est a partir de son environnement ou elle se développe son concept de soi.

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5
Q

Soi Indépendant vs. Interdépendant

A
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6
Q

test mesure concept de soi

A

si la personne répond je suis curieuse vs je suis l’ainé de la famille, faut faire différence entre les deux

structure réponse varie selon la culture (test sur 4 culture africaine)

30 catégorie séparer entre catégorie (sociale) vs ( personnelles)

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7
Q

deux groupe étudiants comparé (usa students vs african students)

A

les deux disent plus de caratéristique personnelles

vs trois autre peuple dont un de travailleurs donne presque pas de caract personnelles

conclusion:

– Les groupes variaient dans leur structure de réponses.
– Les Américains et les groupes africains les plus urbains
donnaient davantage de caractéristiques personnelles.
– Les groupes africains plus traditionnels/ moins urbains
donnaient davantage de réponses « sociales ».

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8
Q

Markus & Kitayama (1991)

A

proposé
l’existence de deux types de concept de soi.
1. Concept de soi indépendant
2. Concept de soi interdépendant

  • Ils ont proposé que la culture soit liée au développement de ces deux types de concept de soi.
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9
Q

Concept de soi indépendant

A

– L’identité est basée sur les traits de l’individu. Ces
traits sont:
* Stables (à travers les situations et le temps).
* Uniques.
* Sont perçus comme à la base du comportement.

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10
Q

Concept de soi indépendant

A

GRAPHIQUE

L’individu conceptualise
son identité comme distincte de ses relations.

Les caractéristiques
inhérentes à l’individu sont
plus importantes .

Frontière « solide » autour
de l’individu, donc stabilité
des caractéristiques
- facon dont personne se défini est stable au travers le temps

Frontière fluide entre
l’endogroupe (gens/groupe auquels ont se rattache) et l’exogroupe (gens qui font pas partie de notre endogroupe). ligne fluide qui sépare endo et exo, peut changer d’Etre dans endogroupe de qqn vers exogrouê et vice versa. (frontière fluide!!!)

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11
Q

Concept de soi interdépendant

A

– Le soi est conçu comme une entité relationnelle, comme connecté et soutenu par un certain
nombre de relations importantes.
* L’expérience d’identité est dépendante de la situation
et du contexte (e.g. relations en jeu, comportements et
émotions des autres).
* Le comportement est perçu comme fortement influencé par le contexte (e.g. la perception du
comportement et des émotions des autres).

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12
Q

Concept de soi interdépendant (se défini par ses relations)

A

L’individu ne se
conceptualise pas comme
une entité distincte, mais
comme en bonne partie
défini par ses relations.

Les caractéristiques liées aux
relations sont plus
importantes.

Frontière « fluide » autour de
l’individu, l’expérience de
l’identité est modulée par la
situation

Frontière solide entre
l’endogroupe et l’exogroupe faible mobilité relationelle ceux qui sont la sont la pour rester et vice versa.

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13
Q

La proposition de Markus & Kitayama (1991)

A

grandement influencé le domaine de la psychologie culturelle parce que le concept de soi a un impact sur plusieurs domaines psychologiques.
– Ex. Attention, mémoire, interprétation des
situations, émotions.

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14
Q
  1. Cultures individualistes vs. collectivistes (Hofstede)
A

a exploré les valeurs
d’employés dans 50 pays.
* A mis en évidence quatre dimensions qui recouvrent
les systèmes de valeurs à travers ces pays:
1. Distance au pouvoir
* Inégalité entre les différentes positions dans une organisation.
2. Évitement de l’incertitude
* Besoin de règles formelles
3. Individualisme-Collectivisme
* Préoccupations pour soi vs. Pour la collectivité.
4. Masculinité-Féminité
* Emphase sur des objectifs de travail (revenus, promotions) vs.
Sur des objectifs interpersonnels (atmosphère amicale, bonne
relation avec le patron.)

questionnaire 100,000 au travers le monde envoyé et il découvre que ce qui dépend est les 4 dimensions.

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15
Q
  1. Distance au pouvoir
A
  • Inégalité entre les différentes positions dans une organisation.
    a quel point on accepte la hiérarchie.
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16
Q
  1. Évitement de l’incertitude
A

Besoin de règles formelles
comment on doit se comporter dans certaine situation, certaines culture ont plus besoin que d’autre ex: faire la file quand on arrive quelque part, lumière rouge si y’a personne)

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17
Q
  1. Individualisme-Collectivisme
A
  • Préoccupations pour soi vs. Pour la collectivité. a voir plus bas
18
Q
  1. Masculinité-Féminité
A

Emphase sur des objectifs de travail (revenus, promotions) vs.
Sur des objectifs interpersonnels (atmosphère amicale, bonne
relation avec le patron.

culture mettera plus accent sur travail vs interpersonnel

19
Q

carte du monde

A

amérique nord et australie TRES INDIVIDUALISTE
suivi par europe est

asie, afrique amérique latine plus collectiviste.

20
Q

individualiste vs collectiviste

A
  • La différence entre l’individualisme et le
    collectivisme s’exprime de plusieurs façons:
    1. Concept de soi indépendant vs. Interdépendant.
    2. Objectifs personnels ont la priorité sur les objectifs
    du groupe auquel on appartient (et vice-versa).
    3. Emphase sur les relations stratégiques (exchange) vs.
    sur les relations intimes (communal).
    4. Importance relative des attitudes personnelles vs.
    des normes sociales pour déterminer le
    comportement.

individualiste : (plus stratégique)
- intime : ca se peut que je te donne et que tu donne pas en retour et c’Est ok
- pas intime: si je te donne tu dois me donner.

De manière similaire, quand on parle d’une
culture « individualiste » ou d’une culture
« collectiviste », on est dans le domaine du relatif
(pas absolu). (voir ligne du temps)

21
Q

Auto-consistance

A
  • Le concept de soi influence notre perception du
    monde et donc notre comportement.
  • Comme nous l’avons vu plus tôt, avec un concept
    de soi indépendant, un individu conçoit ses
    traits/caractéristiques comme stables.
  • Avec un concept de soi interdépendant, les
    traits/caractéristiques d’un individu sont fluides
    et peuvent changer selon le contexte.
22
Q

1 ere étude auto-consistance: Kanagawa (2001)

A

« Twenty-Statement Test ».

4 groupe américain et 4 gorupes japonais

– Manipulent le contexte dans lequel les
participants remplissent le questionnaire.
1. Dans le bureau d’un professeur.
2. Dans la même pièce qu’un autre étudiant.
3. Dans une pièce avec 20-50 autres personnes.
4. Seuls.

Les Américains sont consistants dans leur degré de positivisme à travers les situations

Le degré auquel les Japonais sont positifs par rapport à eux-mêmes varie en fonction du contexte dans lequel ils remplissent le questionnaire.

– Les résultats supportent l’idée que les individus avec un concept de soi interdépendant ont une
perception fluide d’eux-mêmes qui varie selon le contexte.

– Quel impact cela peut-il avoir sur le comportement?

23
Q

dissonance cognitive

A

amener qqn a faire qqch qui n’est pas dans ses valeurs et habitudes

quand on induit dissonance cognitive, si il peuvent pas changer comportement, il vont changer attitude.
pour enlever inconfort de faire chose que tu veux pas ou fit pas avec valeur, vont changer attitude envers la chose!

24
Q
  • Attitude
A

– État d’esprit d’un individu (ou d’un groupe
d’individus) par rapport à un objet, une action, un
individu ou un groupe.
– Une attitude peut donc être positive ou négative.
– Exemples:
* Attitude positive par rapport à un groupe musical
* Attitude négative par rapport à un cours de statistiques

25
* Théorie de la dissonance cognitive
Cette théorie propose qu’un état émotionnel aversif (i.e. la dissonance) est vécu par un individu lorsqu’il y a inconsistance entre ses attitudes et son comportement. * Cet état émotionnel aversif motive ensuite l’individu à mettre en place les efforts pour rétablir la consistance. * Une façon d’y arriver est de modifier son attitude pour qu’elle soit consistante avec le comportement. AVERSIF
26
ex étude knox et inkster
– Questionnent des individus lors d’une course de chevaux. * « Quelles sont les chances que votre cheval gagne? » individu qestionné avant (possible changer reponse) chance moy de win individu questionné apres (impo changer) chance bonne win
27
est ce que effet dissonance cognitive tjrs vrai? heine et lehman (1997)
généralis aux culture? étude: étape 1: : Demandent à des participants japonais et canadiens de coter une liste de 10 CD de musique. étape 2: Leur font faire un test de personnalité, puis leur donne un « faux feedback » (pour emplifier impact dissonance cognitive) but est induire état positif ou négatif étape 3: On dit au participant qu’il peut partir avec un CD, et on le fait choisir entre les CD qu’il avait coté 5e et 6e étape 4: On lui demande à nouveau de coter la liste des 10 CD. conclusion: Chez les Canadiens, l’attitude devient plus positive pour le CD qu’ils ont reçu Chez les Japonais, l’attitude ne change pas après avoir reçu le CD.
28
2 eme étude Hoshino-Browne et al. (2005)
Étape 1: Demandent à des participants japonais ou canadiens de coter 25 plats dans un menu de restaurant. On leur fait croire qu’un restaurant chinois ouvrira probablement sur leur campus et que l’étude vise à décider du menu Deux conditions (inter-sujet): 1. Cotent les plats en fonction de leur préférence 2. Cotent les plats en fonction des préférences d’un ami de leur choix Étape 2: On leur remet un certificat cadeau pour un repas spécifique dans le futur restaurant: soit le repas coté 5e, soit le repas coté 6e (le participant doit choisir). Étape 3: On leur demande à nouveau de coter les repas d’un nouveau menu, dans lequel leur 5e et 6e choix se retrouvent aussi Canadien plus changement quand choix est pour eux-memes japonais changement plus quand décision pour leur ami
29
Donc, les individus avec un concept de soi interdépendant peuvent eux-aussi vivre de la dissonance et en conséquence modifier leur attitude.
vrai
30
La dissonance est toutefois générée dans des situations différentes: situations où leurs relations sociales sont en jeu, et non leur propre personne.
vrai
31
Y'a t'il une période critique pour n'importe quels processus cognitif?
oui! language, vision etc.
32
ÉTUDE: Cheung et al., adaptation à une culture
vérifie si l’âge à laquelle un individu immigre dans une autre culture est lié à sa capacité à s’identifier avec cette nouvelle culture – Testent des individus d’Hong Kong qui ont immigré au Canada (Vancouver). * Âges d’immigration: de 1 à 50 ans question du test ex: - aime faire activité soc avec gens ma culture - aime faire act avec gens blanc américain (résult : plus immigre jeune, plus s'adapte bien)
33
étude cheung et al adaptation culturel (groupe age résult nmbr anné passé can)
avant 15 ans, aug identification travers années entre 16 et 30 ans: stable travers années entre 31 et 50 ans : dim identification a travers années hypothèse: personnes immigré apres 15 ans dépassé période critique. = moins propice apprendre culture autre pays
34
Ethnothéories parentales:
– Croyances, valeurs, pratiques des parents et des autres personnes qui prennent soins d’enfants à propos de la manière appropriée d’élever un enfant. – Exemple: Quantité d’affection que l’on doit donner, horaires pour nourrir le nourrisson, attentes quant aux apprentissages, etc.
35
(Ethnothéories parentales) Interactions mère-enfant
– Étudie cinq cultures (classe moyenne Allemande, classe moyenne Grecque, classe ouvrière Costa Rica, peuple rural en Inde, peuple rural au Cameroun). – 100 minutes d’observation par famille. – Nourrissons de 3 mois
36
étude nourissons
temps contact physique collé avec le nourisson Nourrissons européens passent la majorité de leur temps sans être en contact physique avec la mère Nourrissons des autres cultures passent la majorité de leur temps en contact physique avec la mère temps face a face avec nourisson Nourrissons européens passent la majorité de leur temps en contact face-à-face avec la mère Nourrissons des autres cultures passent moins de temps en contact face-à-face résultats interaction mere enfant nourrisons – Le nourrisson européen passe la majorité de son temps à occuper son propre espace physique, en interaction face-à-face avec sa mère. * Emphase sur le fait que deux être distincts. – Les nourrissons des autres cultures passent la majorité de leur temps à occuper le même espace physique que leur mère, et ont moins l’occasion d’être en interaction face-à-face. * Moins l’emphase sur le fait que deux être distincts…
37
Qui dort avec qui ÉTUDE Moreilli et al
Comparent les habitudes de sommeil des Mayas et des Américains. pratique culturels différente maya: enfant dort avec mère et père U.S.: dans autre chambre avec un parent, un frere/soeur ou seul. perception Maya: – Considèrent le co-dodo comme la seule option normale. – Perçoivent la pratique américaine comme négligence parentale. perception Américaine: – Jugent que c’est important que le nourrisson dorme seul pour développer son indépendance. – Croient que le co-dodo installerait des mauvaises habitudes chez l’enfant.
38
impact sommeil ÉTUDE Morelli et al
* Impact sur le sommeil des enfants Maya: – Le passage de l’éveil au sommeil se fait de manière naturelle, i.e. aucune stratégie pour aider l’enfant à s’endormir. – L’enfant dort sans objet. – Certains vivent un moment difficile lorsqu’ils doivent quitter le lit de maman pour celui de papa ou d’un frère/sœur (e.g. quand un nouveau bébé arrive). * Impact sur le sommeil des enfants américains: – Le passage de l’éveil au sommeil est une période autour de laquelle plusieurs stratégies sont mises en œuvre (bain, brossage de dent, berceuses). – L’enfant dort avec un objet.
39
Étude de Shweder et al arrengement préféré des chambres
U.S.: - parents ensembles - filles ensembles - garcons ensemble INDIENS: - parents avec +jeune - plus jeune gars avec plus vielle fille - plus vieux fils ensembles INDIENS pt.2: - papa et gars jeune - maman et les filles - deux gars plus vieux
40
styles parentaux selon Keller
selon Keller le soi Indépendant vs. Le soi Interdépendant sont liés à des styles parentaux différents durant la première année de vie de l’enfant.
41
Soi interdépendant : style parental proximal (Keller)
– Contact physique élevé * Co-dodo et transport du bébé sur soi. – Stimulation du corps * Massages, mouvements des membres. – Environnement verbal limité. * Squelettique et répétitif. * Peu axé sur les émotions. * La mère « dirige »: commandes, instructions.
42
Soi Indépendant: Style parental distal (Keller)
– Interactions face-à-face * Style « conversation ». * L’enfant peut donc se percevoir comme la cause de l’action du parent (enfant fait un bruit, parent répond). * Favorise la perception comme agent « unique » et « indépendant ». – Stimulation avec des objets – Environnement verbal élaboré * Conversations, questions fréquentes * Focus sur les préférences, les jugements et les émotions de l’enfant.