Examen final chap 12 Flashcards
(5 cards)
Sources d’impuissance :
- l’imaginaire : scénarios, représentations sociales, comment on se représente une situation, blocages sont mis à l’avant car on veut éviter de se retrouver à nouveau dans une situation semblable. Le piège est de tomber dans la représentation et de dire que c’est vrai qu’elle a vécu beaucoup de choses. Un autre est un autre (ce sont des personnes différentes avec leur histoire, leurs enjeux, propre à leur contexte). Ils peuvent nous renvoyer des affaires négatives et il faut se le rappeler que la personne est une personne.
- déficit informationnel : la personne n’a pas les connaissances ou l’expérience nécessaire* pour s’affranchir de la situation qu’elle se trouve (n’a pas acheté tout de suite ça*, parfois besoin de recadrage sur c’est quoi une expérience nécessaire, garder une distance).
I.S 4 éléments à se rappeler
- Fin des certitudes : on travaille sans filet. On renonce aux absolues. On se garde une distance sur les absolues. (Prendre le risque de l’expérience avec l’autre personne). Ne pas rester accroché à nos conceptions.
- Déplacement du point d’ancrage de l’expertise : on passe de l’intervenant technicien à l’intervenant créateur. On renonce à l’expertise unilatérale, l’expertise a autant de valeur que la personne devant nous. Prendre en considération l’expertise expérientielle des personnes ou du groupe. Principal critère de succès réside dans la production effective du changement recherché : négocié par les personnes devant nous.
- Être dans le ici et maintenant : le seul espace dans lequel on peut agir est dans le moment présent. Travailler sur le moment présent. Peut importe l’urgence de la crise. Verticalité. La qualité de présence : ne doit pas vivre dans le passé ou dans le futur. Ancrée ici.
- Négocier comme on respire : tous les enjeux sont légitimes du simple fait de leur existence. Si on veut négocier, nous devons identifier les enjeux à négocier. Travailler pour le vivre ensemble. Inclus les bailleurs de fonds, les collègues.
Différence entre agir et s’agiter.
Différence entre agir : de façon réfléchie, consciente pour atteindre un but précis. S’agiter = juste bouger, sans réfléchir stratégiquement à une cible. Une personne ne devrait pas seulement bouger, ne veut pas dire qu’elle ne fait rien ou quelque chose. Bouger veut pas dire pas motivé.
DPA VS DPA absolue.
Pouvoir d’agir sur une cible concrète, mais pas en toute puissance. Impossible qui soit absolu. La personne doit être outillée pour s’affranchir des obstacles. Pas un pouvoir d’agir absolu que l’on vise.
Comment DPA peut contribuer à l’épanouissement des personnes et des collectivités?
La personne puisse se mettre en action, mais de restaurer le sentiment d’efficacité personnelle. S’attribuer des compétences. Ce sentiment est nourri par des succès. Faire vivre des succès à ces personnes ou à un groupe (sentiment d’efficacité collective), succès collectif. On cherche un cercle virtueux : plus j’accumule des succès lorsque j’essaie d’acquérir de nouvelles habiletés, connaissances, expérience ou ressources matérielles, plus mon désir de répéter l’expérience à plus grande échelle augmente. Contraire, cercle vicieux : plus je vis des échecs, plus je n’ai plus le goût d’essayer. Ne pas tourner en rond.
