Immuno 4 Flashcards

(93 cards)

1
Q

Types de microorganismes infectieux

A
  • Virus
  • Bactéries intracellulaires • Bactéries extracellulaires • Protozoaires
  • Vers (Helminthes)
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Q

Les types de défense

A
  • Epithelia
  • Muco-ciliaire
  • Acidité gastrique
  • Peptides antibactériens • Flores commensales
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3
Q
Infections virales (type)
(réponse produit, une dosi franchi les barrière)
A
  • Particules virales libres
  • Interaction avec un récepteur cellulaire
  • Infection cellulaire
  • Éventuelle phase de latence
  • Expression de protéines virales par la cellule infectée
  • Synthèse de nouveaux virions et recrutement de nouvelles cellules
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4
Q

Intervention précoce (C quoi)

A

neutralisation des particules virales libres par des anticorps neutralisants
• Intervention au site d’entrée du virus dans l’organisme
• Rôle important mais pas exclusif des IgA sécrétoires (il y a des anticorps neutralisants dans le sang)

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5
Q

Anticorps neutralisants Les mécanisme

A

Plusieurs types de mécanismes
• Antagonisme de récepteurs viraux intervenant dans l’adhésion aux épithélias
ou aux cellules cibles
• Activation du complément et lyse des virions enveloppés
• Agglutination et opsonisation avec facilitation de la phagocytose (car trop virus trop petit)

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6
Q

Les anticorps anti-viraux (fonction)

A

• Permettre la lyse par le complément des cellules infectées
• Faciliter la fixation des cellules NK pour la lyse (Antibody-Dependent Cell-mediated Cytotoxicity)
(Peuvent expriemr de sprotiéines viral esqui peuvent êtrereconnu par des antigèens ce qui déclench elalyse sde la cellule)

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7
Q

Elimination des cellules infectées par l’ADCC (étape)

A
  • Anticorp s’attache au clle infecté par virus
  • Cell Nk s’attache aux anticorps avec un recepteur CD16
  • Cell Nkémet des granulse cytotoxique et cytokine antiviral afin de tué les cell infecrté
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8
Q

De quoi est-ce que la citotoxicité peut -être dépendant

A

des anticorps

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9
Q

Hématopoïèse

A

Ainsi l’hématopoïèse est un renouvellement cellulaire régulé qui permet de maintenir constante la numération des cellules sanguines

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10
Q

C’est quoi l’acronyme KIR

A

(Killer Inhibitory Receptors)

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11
Q

Qui a des KIR

A

Les cellules NK

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12
Q

Qui élimine les débris après la phagocytose

A

Le macrophage

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13
Q

V/F Cellule n’est pas capable de tuer par ADCC

A

Faux

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14
Q

Fontion naturelles des Cell NK

A

prévient que les antigène diminue le nombre de CMH sur leur surfac e

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15
Q

Type de récepteur sur la cell NJ

A

-Activateur (va intéragir avec tous les truxcs sur la surface des molécules (afin de reconnaitre la celliule)
(dès qu’il y a ttavhement , il veut tuer la cell
-inhibiteur (pour emp^her les effet des récepteur activateur
réaction indépendant de antigène

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16
Q

Comment un anticorps qui n’est pas neutralisant peut-il avoir un effet antiviral?

A
  • Activation du complément (IgM)
  • Complète, jusqu’au MAC (virus enveloppés)
  • Incomplète et accrochage de fragments de compléments (p. ex. C3b) sur le complexe immun avec acquisition d’un effet neutralisant (encombrement plus important)
  • Opsonisation
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17
Q

V/F La réponse humorale est généralement inutile lors d’une primo-infection virale

A

V
le temps nécessaire à l’obtention de titres élevés d’anticorps est trop long
Par contre, l’obtention d’un titre élevé d’anticorps spécifiques (par exemple IgA) après une première infection ou un vaccin peut être protectrice

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18
Q

Les défenses antivirales de seconde ligne

A
  • Un médiateur soluble de l’immunité naturelle : les interférons a et b
  • Sécrétion induite dans plusieurs types cellulaires par l’ARN viral double brin
  • Inhibe la synthèse de protéines en favorisant la dégradation des ARNm (L-RNAse) et en inactivant un facteur d’initiation de la traduction (PKR)
  • Action sur les cellules avoisinantes
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19
Q

Effet de l’interféron sur les cellules avoisinantes

A

Activer des cellules

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20
Q

Comment tous ces acteurs (anticorps, lymphocytes T cytotoxiques, immunité naturelle) se mettent-ils en place?

A

Ça dépend du caractère primaire, secondaire ou chronique de l’infection!

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21
Q

Comment tous ces acteurs (anticorps, lymphocytes T cytotoxiques, immunité naturelle) se mettent-ils en place?
Lors d’une infection primaire

A

• Pas le temps de produire des anticorps neutralisants
• Première ligne de défense (généralement insuffisante)
- IgM et complément
- Immunité naturelle
• Seconde ligne de défense
- Lymphocytes T cytotoxiques

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22
Q

Comment tous ces acteurs (anticorps, lymphocytes T cytotoxiques, immunité naturelle) se mettent-ils en place?
Les défenses antivirales de seconde ligne

A

Dès que les premières cellules sont infectées, les lymphocytes T cytotoxiques et leurs auxiliaires, les lymphocytes T CD4+ de type Th1, peuvent contrôler l’infection virale

  • Toute cellule infectée exprime des antigènes viraux présentés par des molécules CMH de classe I
  • La lyse des cellules infectées interrompt la synthèse de nouveaux virion et livre les virions déjà synthétisés à l’action neutralisante des anticorps
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23
Q

Cinétique de la réponse cytotoxique antivirale

A

En cas de primoinfection, les réponses cytotoxiques deviennent détectables après 3-4 jours mais ne culminent qu’après 10 jours

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24
Q

Mécanismes d’échappement des virus

A

Antagonisme des effets des interférons a et b

  • Virus de l’hépatite C : protéine qui inhibe la PKR Antagonisme de la présentation des peptides viraux par le CMH
  • Herpès simplex : inhibition des transporteurs de peptides (protéines TAP)
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25
Antagonisme de la présentation des peptides viraux par le CMH (ce qu'il inhibite)
* Inhibition des transporteurs de peptides (protéines TAP) (Herpès simplex) * inhibition de l’expression des molécules CMH de classe I (CMV) * Inhibition de l’expression des molécules CMH de classe II (CMV, rougeole, VIH)
26
La parade à la perte d’expression des molécules CMH I par les cellules infectées :
Les cellules natural killer (NK)
27
Cinétique de la réponse NK (étape)
- Premier élément quand infection dans sang= interféron de type 1 qui cause la fièvre - apres 3-4 jour fièvre baisse/sécrétion de certain anticorps qui activent .. - retarde infection qui va êtreéliminre par les lymphocytes T
28
Lors d’une exposition secondaire ou chez un individu immunisé (étape)
• Les anticorps neutralisants peuvent empêcher toute infection • Si nécessaire, seconde ligne de défense beaucoup plus rapidement mise en place - Réponse mémoire des lymphocytes T CD8 cytotoxiques
29
Lors d’une infection chronique (virus latents type Herpès, HIV, HPV)
Rôle essentiel des lymphocytes T CD8+ dans l’établissement d’une « cohabitation pacifique » avec le virus.
30
Mécanismes d’échappement des virus (antagoniste et variation génétique)
* Antagonisme des effets des interférons a et b * Antagonisme de la présentation des peptides viraux * Variation antigénique (influenza, rhinovirus, VIH) • « C’est toujours comme la première fois » * Induction d’une synthèse de cytokines immunosuppressives pour les réponses cytotoxiques * VIL-10 (EBV)
31
Comment Influenza échappe-t-elle
* Le récepteur viral : la glycoprotéine HA (hémagglutinine) qui se lie à des molécules d’acide sialique des glycoprotéines et glycolipides des cellules de l’hôte * Lors d’une réponse secondaire : rôle protecteur (neutralisant) d’anticorps dirigés contre HA
32
Deux types de variations génétique à l'influenza
Antigenic drift (dérive antigénique) • Accumulation progressive de mutations ponctuelles avec modification lente des déterminants de l’HA -Les anticorps neutralisants gardent une certaine compétence Antigenic shift (changement antigénique) • Modification totale et subite des déterminants -Perte de compétence totale et subite des ac neutralisants
33
Drift et shift
Drift: mécanisme de variation =accumulation de mutation parmi lesgène qui code les sites liée aux anticorps Shift: protection contre un virus , un nouveaa virus vient et se mélange pour avoir une combinaison des antigène sur la aproi
34
Infections virales types
* Primaires : rôle essentiel de l’immunité à médiation cellulaire (Tc et Th1) pour mettre un terme à l’infection * Secondaires : dans certains cas, rôle protecteur des anticorps neutralisants * Persistantes : rôle essentiel de l’immunité à médiation cellulaire pour limiter le degré de réplication virale (virus de la famille herpès, HIV,...)
35
Thérapies biologiques : interférons (ce que ca fait)
* Antivirale – interfèrent avec la réplication virale en inhibant la synthèse protéique (IFNα/b) * Immunomodulation – Augmentent l’activité des cellules NK, des macrophages et des lymphocytes T cytotoxiques (IFNgamma)
36
Interférons – Thérapies Roferon A (IFN-α2a recombinant) Roche Laboratories
Melanome Leucémie à tricholeucocytes (Hairy-Cell leukemia) Sarcome de Kaposi Lymphome Hépatite B et C
37
Interférons – Thérapies Roferon A (IFN-α2a recombinant) Roche Laboratories
Leucémie à tricholeucocytes (Hairy-Cell leukemia) Sarcome de Kaposi Leucémie myeloide chronique
38
Interférons – Thérapies Avonex (IFN-b1a recombinant) Biogen
Sclérose en plaque
39
Interférons – Thérapies Actimmune (IFN- recombinant) InterMune
Maladie granulomateuse chronique Cancer ?
40
Interférons – Effets secondaires
* Symptomes de la grippe – fièvre, douleurs musculaires, maux de tête (communs) * Fatigue (très commun) * Effets neurologiques – dépression * Rash, alopécie * Neutropénie (commun) * Anomalies du foie (commun) * Cardiovasculaires
41
Infections bactériennes distinction
• Bien distinguer les bactéries purement extracellulaires (les plus fréquentes) des bactéries qui peuvent « se cacher » à l’intérieur des cellules
42
Anticorps -activation et opsonisation
• Activation de la voie classique et lyse par le MAC -Surtout pour bactéries Gram- • Opsonisation - Surtout pour bactéries Gram+ (Staphylocoque, streptocoque, pneumocoque) - Propriété directe des IgG – récepteurs Fc - Propriété indirecte des IgM via C3b
43
Complément(méca et production)
• Soit voie classique soit voie alterne • Soit lyse de la bactérie par le MAC (Gram-) soit opsonisation via le C3b • Production d’anaphylatoxines • Dégranulation des basophiles • Recrutement de lymphocytes T, de macrophages, de polynucléaires
44
Role Infections par des bactéries extracellulaires
• Rôle fondamental des anticorps et des phagocytes (polymorphonucléaires neutrophiles et macrophages) • Pas de rôle significatif des lymphocytes T cytotoxiques et des cellules NK • Rôle fondamental des anticorps -Oui mais ne pas oublier les lymphocytes T CD4+ auxiliaires qui permettent leur commutation isotypique et leur maturation d’affinité (Th2)
45
Importance de la neutralisation de certaines toxines bactériennes par les anticorps
• Toxine tétanique • Toxine diphérique Permet de neutraliser
46
Anticorps et bactéries extracellulaires (étapes)
1-toxin de neutralization 2-lyse complement dépendant (Essentiellement bactéries Gram-) 3-opsonization et phagocytose (L’opsonisation est ESSENTIELLE pour la phagocytose des bactéries qui possèdent des capsules polysaccharidiques (Pneumocoque, hemophilus influenzae, méningocoque) 4- Anaphylatoxine dépenden de celliule mast degranulation
47
Bactéries intracellulaires ex
Bactéries intracellulaires
48
Bactéries intracellulaires efficcaité, improtance,système
* Peu d’efficacité des anticorps * Importance de l’immunité à médiation cellulaire * Les systèmes microbicides du macrophage ne sont capables de tuer les bactéries que s’il y a eu exposition à l’interféron gamma
49
Mycobacterium tuberculosis
-Cell TDTH -Macrophages activé -Macrophage bacilli -Cellule caseous de extérieur vers centre
50
Les maladies auto-immunes c'est quoi
réponse immunitaire innaproprié • Inflammations chroniques dans lesquelles les lésions sont dues à une réaction immunitaire contre des antigènes du soi • Selon les maladies, la part respective de l’un et de l’autre varie considérablement
51
Organe possible avec autoimmune possible
Tous
52
Cause defs maladies auto-immune
• Résultent généralement d’une interaction de l’environnement avec un contexte génétique particulier
53
Les principales victimes des maladies | auto-immunes
-Touchent environ 10% de la population mondiale -3e cause de morbidité après les maladies cardiovasculaires et les cancers -Occupent le 3e poste du budget de la santé dans les pays développés (plus femme que homme)
54
Deux grands types de maladies autoimmunitaires
• Les maladies auto-immunes spécifiques à un organe - Exemple : diabète de type I, thyroïdite, Biermer • Les maladies auto-immunes systémiques avec atteinte de plusieurs organes ubiquistes -Lupus, sclérodermie
55
La pathogénie des deux types de maladies autoimmunitaires est en grande partie distincte (spécifique)
• Autoimmunité spécifique d’un organe -Événement fortuit provoquant la rupture de tolérance, système immunitaire ~ normal (Infection et mimétisme moléculaire...)
56
La pathogénie des deux types de maladies autoimmunitaires est en grande partie distincte (systémique)
Autoimmunité systémique • Anomalie intrinsèque de la différenciation des lymphocytes B • L’autoimmunité n’est qu’une des manifestations du problème • Selon les cas, elle est au centre ou bien joue un rôle marginal dans l’affection.
57
Trois mécanismes additionnels de contrôle dans thymus
* L’ignorance : concerne les épitopes des cellules qui n’expriment pas le CMH : les hématies et le tissus adipeux * L’anergie : état de non réponse induit par la présence de signal 1, sans signal 2 – lymphocyte T inactivé * La suppression : existence de lymphocytes T suppresseurs (Treg)
58
Mécanismes de l’auto-immunisation
* Court-circuit des lymphocytes Th tolérants : Le même antigène peut porter un épitope du soi et un du non-soi – coopération avec lympho B * Expresison anormale des CMH de classe II à la surface de cellules normalement négatives : infections virales * Hyperactivité des lympho T et/ou B : présence de superantigènes, traitement par IL-2 * Absence de tolérance des antigènes de l’œil, cerveau, testicules * Mimétisme moléculaire
59
Épitopes T et B du soi et du non-soi sur la même molécule ou même pahtogène
L’épitope du soi est reconnu par le lymphocyte B, qui endocytose l’antigène et présente l’épitope du non-soi sur son CMH. Le lymphocyte Th est activé et active le lymphocyte B
60
Présence de superantigènes
Il est attaché à la membrane | force une stimulation de cytokine nonspécifique
61
Anticorps antinucléaires
* Tous les individus produisent des anticorps capables de se lier à des antigènes nucléaires * La pathogénicité de ces anticorps dépend de : * Leurs titres * Leurs affinités * L’antigène reconnu * Leurs isotypes
62
Les auto-anticorps
Principaux marqueurs des maladies auto-immunes – cause ou conséquence ? (dépend de ce qu'ils reconnaissent) Rôles dans les lésions : • Lyse de la cellule par complément (voir cours sur complément) • Osponisation (voir cours sur complément) • Modification du signal transmis par récepteur – activation ou inhibition • Formation de complexes immuns -Circulants : vascularites -Déposés – syndrôme de Goodpasture
63
ex d'auto anticorp
Grave's disease
64
Effet des auto-anticorps
peuvent bloquer le flux nerveux dans l'activation des muscles en bloquant des récepteurs dasns le post-synaptique
65
D'ou viennet les autoanticorp
sont souvent une conséquence parmi d’autres de l’anomalie de régulation de la réponse adaptative
66
Pourquoi c'est durw de dire l'origine dse autto-anticorps
* Pas nécessairement spécifiques d’une maladie donnée (anticorps antinucléaires dans de multiples maladies) * N’explique pas nécessairement toutes les manifestations cliniques de l’affection * Les autoantigènes reconnus ne sont pas nécessairement les mêmes chez tous les malades qui présentent la même maladie * Dans la plupart des cas, la mise en évidence d’un autoanticorps a peu de valeur en dehors d’un contexte clinique
67
Aspects épidémiologiques
``` Incidence variable selon maladie • Sex ratio – souvent plus chez la femme • Facteurs génétiques - CMH (HLA-B27, DR1 et DR4) -NOD-2 • Facteurs hormonaux • Facteurs environnementaux - Infections (mimétisme moléculaire) - Alimentation -UV, médicaments (procaïnamide et lupus) -Substances toxiques ```
68
Mimétisme moléculaire
* Certains agents infectieux ont des antigènes très proches d’antigènes du soi (homologie de séquence ou de structure) * Il peut s’agir d’antigènes T ou d’antigènes B * Dans le contexte infectieux propice à la rupture de tolérance, un tel agent risque de stimuler l’activation de lymphocytes capables de reconnaître le soi
69
Exemple de maladies auto-immunes spécifiques
La maladie de Crohn | Interactions anormales de l’immunité naturelle avec les PAMPs de bactéries commensales ?
70
Exemple de maladies auto-immunes systémique
L’arthrite rhumatoïde
71
Traitements d'autoimmune but
Buts: • Éviter les poussées • Limiter l’évolution • Guérir si possible
72
Traitements d'autoimmune fonctionnement
Fonctionnement: • Diminuer l’inflammation aigue (NSAIDs) • Éliminer les auto-anticorps (plasmaphérèse) • Éviter l’activation des lymphocytes (cyclosporine A, corticostéroïdes) • Modifier la réponse biologique (anti-TNFα, IL-4, anti-CD28)
73
Récepteur soluble
Etanercept (2 récepteurs p75 avec portion Fc Ig pour stabiliser)
74
Anticorps monoclonal
Infliximab (IgG1 chimérique)
75
Le problème avec les mAb murins ou chimérique
- Diminue nombre d'épitome | - Diminue résistance
76
Signes d’une immunodéficience
``` •  8 otites nouvelles en un an •  2 sinusites sévères en un an •  2 mois d’antibiotiques sans effet •  2 pneumonies en un an •  2 infections profondes dans la vie (septicémie, méningite, cellulite) Carré= plus ou égal à ```
77
Signes d’une immunodéficience
* retard de croissance staturo- pondérale * abcès profonds récidivants (peau, organes) * muguet persistant ou mycose cutanée  âge d’un an * histoire familiale de déficit immunitaireàcarré = plus grand ou égal a
78
Donc, selon les cas, infections
* inhabituellement fréquentes * inhabituellement longues * inhabituellement profondes * inhabituellement résistantes aux antibiotiques • dans des sites inhabituels * avec des germes inhabituels
79
Conséquences de l’activation du complément
- Lyse - opsonization - Activation de réponse açinflammatoire - Clairance de ciomplexe immubne
80
deux activités antimicrobiennes du complément :
* fournir des opsonines (C3b et iC3b) pour aider la phagocytose * lyser directement les bactéries (Gram-) par le complexe d’attaque membranaire
81
Sévérité d'une immunodéficience dépend de
Selon le facteur du complément affecté, l’immundéficience sera plus ou moins sévère • C1, C2, C4 : peu d’infections • C3 : infections à germes encapsulés (défaut d’opsonisation) • C5 à C9 : infections bactériennes (souvent à Neisseria)
82
Déficit des phagocytes
* Germes : E. Coli, Klebsiella pneumoniae, Pseudomonas aeruginosa, enterobacter, serratia, Staph. Epidermidis, Candida, Aspergillus * Déficits quantitatifs * Neutropénies et agranulocytoses * Importancefondamentale * Déficits qualitatifs * Migration, phagocytose, dégranulation, explosion oxydative
83
Déficits qualitatifs des phagocytes
Acquis • Leucémies : LMA, LLA, LMC, LLC, syndromes myélodysplasiques • Médicaments : corticoïdes • Atopie : cytokines de type Th2 et fonctions microbicides - Syndrome de Job (hyperIgE) • Diabète • Carence en zinc?
84
Déficits génétique des phagocytes
* Génétiques * Maladies granulomateuses chroniques * Déficit en myélopéroxydase, NAPDH oxydase • Déficit en récepteur pour iC3b * Leukocyte Adhesion Deficiency
85
Traitement des déficits phagocytaires
* Facteurs de croissance (GM-CSF ou G-CSF) * Interféron gamma * Transfusion de granulocytes * Greffe de moelle osseuse
86
Déficits de l’immunité humorale (bactérienne)
``` Surtout infections bactériennes • Germes encapsulés - Streptococcuspneumoniae - Hemophilusinfluenzae - StreptococoquesdugroupeB • Staphylococcus aureus • Bacilles entériques gram- ```
87
Déficits de l’immunité humorale (virale)
Infections virales • Souvent primo-infections normales en fréquence et en sévérité • Déficit de la mémoire à long terme • Rougeoles et varicelles à répétition • Infections sévères à entérovirus (atteintes neurologiques) • Infections parasitaires : giardiases
88
Causes des déficits de l’immunité humorale
``` Phénomènes lymphoprolifératifs • Myélome • Leucémie lymphoïde chronique B Perte de protéines • Syndrome néphrotique • Brûlures • Entéropathie avec perte de protéines • Malnutrition ```
89
Exemple, déficit en IgA (déficit de immunité humorale)
Présentation • IgA sériques indétectables (<0.05g/l) • Pas d’IgA salivaire, présence d’IgG et d’IgM • Souvent bénin (sauf si déficit associé IgG2) • Infections ORL fréquentes, plus rarement bronchectasies, diarrhée chronique (giardiases) • Phénomènes allergiques (IgE accrues) et autoimmunitaires • Réactions transfusionnelles
90
Immunité cellulaire
Germes intracellulaires • parce que seul la présentation par des molécules de CMH de classe I ou II permet au système immunitaire de percevoir ces agents qui se cachent dans les cellules (les anticorps ne peuvent les atteindre) • les systèmes de microbicidie oxydative des macrophages ont besoin des cytokines de type Th1 (IFN-gamma, IL-12) pour être activés • infections mycotiques (candidose mucocutanée,...) • infections virales (souvent virus latents de la famille herpès) • pneumocystoses • bactéries intracellulaires (mycobactéries) • souvent déficits qualitatifs de l’immunité humorale - taux d’anticorps normal mais anticorps de mauvaise classe (rôle des lymphocytes T dans l’immunopoïèse B)
91
On peut déduire le déficit selon les symptômes
• Infections bactériennes extracellulaires : immunité innée (neutrophiles, complément) • Infections bactériennes intracellulaires : immunité acquise (lymphocytes T, macrophages) • Infections virales : immunité acquise (lymphocytes T, B)
92
Les syndromes auto-inflammatoires
• Maladies génétiques rares • Inflammation systémique récurrente non provoquée • Symptômes similaires aux maladies rhumatismales auto-immunes systémiques (MRAS) • Hyperactivation du système immunitaire inné • Hyper-sécrétion de cytokines
93
Les syndromes auto-inflammatoires sx
* Fièvres récurrentes non-provoquées * Arthrite * Problèmes cutanés (dermatite, pyoderme, acné) * Inflammation neurologique (surdité, perte visuelle, etc) * Présence de plus d’un symptôme, et symptômes récurrents