Module 6 : Influences sociales sur le comportement alimentaire et l'image corporelle Flashcards

1
Q

À l’enfance et à l’adolescence, ce sont surtout ___________ qui forgent les habitudes alimentaires

A

les parents

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2
Q

une étude réalisée au Québec a montré que le __________________ de la part du partenaire amoureux était positivement associé à une alimentation plus intuitive, notamment grâce à une régulation plus autodéterminée de l’alimentation, chez des femmes adulte

A

soutien à l’autonomie

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3
Q

Par qui sont influencés les comportements alimentaires à l’âge adulte?

A

le/la partenaire

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4
Q

Un des cadres théoriques les plus mobilisés dans les recherches sur les influences sociales en lien avec l’image corporelle et les comportements alimentaires est le

A

Modèle d’influence tripartite

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5
Q

Quelles sont les 3 sources d’influences sociale selon le Modele d’influence tripartite ?

A
  • Pairs
  • Médias
    -Famille
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6
Q

Ces trois sources d’influence ont également un effet indirect sur l’insatisfaction corporelle par le biais de deux variables importantes

A
  • l’internalisation des standards de beauté
  • une tendance excessive à comparer son apparence à celle d’autrui.
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7
Q

Les hypothèses du Modèle d’influence tripartite ont surtout été validées auprès d’échantillons composés de

A

‘adolescentes et de femmes blanches

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8
Q

il a été démontré que les aliments consommés par la mère durant la grossesse influencent l’acceptation future des aliments par son enfant via:

A

par la transmission in utero des saveurs dans le liquide amniotique dans lequel se développe le fœtus

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9
Q

Les saveurs des aliments consommés par la mère passent également par le lait maternel et influencent : (2)

A
  • la consommation de lait par l’enfant
  • possiblement l’acceptation et le plaisir, lors de la diversification alimentaire (qui survient autour de l’âge de 6 mois), à consommer des aliments qui ont des saveurs auxquelles l’enfant a été exposé via le lait maternel
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10
Q

Qu’est-ce qui favorise une plus grande acceptation et une préférence pour le goût des fruits et légumes? (2)

A

L’accessibilité et la disponibilité dans le domicile familial

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11
Q

Des évidences transversales suggèrent que _______________________ est le prédicteur le plus important de la qualité nutritionnelle de l’enfant d’âge préscolaire

A

l’alimentation de la mère

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12
Q

Les pratiques alimentaires parentales peuvent être classées en trois grandes catégories, soit :

A

le contrôle coercitif,
la structure
le soutien à l’autonomie de l’enfant

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13
Q

Qu’est-ce que le controle coercitif?

A

l’usage de pressions et de dominance de la part du parent par rapport au comportement alimentaire de l’enfant

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14
Q

Qu’est-ce que la structure?

A

l’organisation de l’environnement alimentaire familial pour augmenter les compétences alimentaires de l’enfant

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15
Q

Qu’est-ce que le soutien?

A

le soutien à l’autonomie encourage l’autonomie de l’enfant dans le contexte alimentaire

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16
Q

Selon la figure de Classification des pratiques alimentaires parentales selon le modèle proposé par Vaughn, qu’est-ce qui est inclus dans le controle coercitif? (4)

A
  • Restrictions
  • Pressions à manger
  • Récompenses et menaces
  • Alimentation émotionnelle
17
Q

Selon la figure de Classification des pratiques alimentaires parentales selon le modèle proposé par Vaughn, qu’est-ce qui est inclus dans la structure? (7)

A
  • Limites claires
  • Choix prédéterminés
  • Surveillance
  • Disponibilité des aliments
  • Accessibilité des aliments
  • Préparation des aliments
  • Pratiques non structurées
18
Q

Selon la figure de Classification des pratiques alimentaires parentales selon le modèle proposé par Vaughn, qu’est-ce qui est inclus dans l’autonomie (soutien) ? (6)

A
  • Éducation nutritionnelle
  • Implication de l’enfant
  • Encouragements
  • Félicitations
  • Raisonner
  • Négociations
19
Q

L’efficacité des différentes pratiques individuelles de l’enfant est dépendante de :

A

des caractéristiques individuelles de l’enfant

20
Q

Les parents qui utilisent davantage de pratiques alimentaires parentales coercitives rapporte que leur enfant a une tendance à

A

la surconsommation alimentaire

21
Q

Une récente étude a montré qu’un _____________________ et un fort ___________________________ favoriseraient une plus grande utilisation de pratiques liées à la structure et au soutien à l’autonomie de l’enfant

A

engagement de la part des deux parents
degré d’accord entre les deux parents en lien avec leurs pratiques parentales liées à l’alimentation

22
Q

. La cohabitation implique pour les partenaires de joindre leurs systèmes alimentaires et de négocier le partage des tâches entourant les repas (par exemplep. ex., l’achat des aliments, la préparation des repas, etc.), ce qui peut engendrer une certaine _____________ dans les habitudes alimentaires 2, mais aussi des _________

A
  • convergence
  • divergences
23
Q

À vérifier

Certains partenaires vont plutôt opter pour une …

A

individualisation de leurs apports alimentaires

24
Q

préférences alimentaires plus restreintes puissent trouver les compromis alimentaires plus difficiles 6. Pour certains couples, le fait d’habiter sous le même toit peut favoriser une ___________________ et __________

A
  • amélioration de la qualité nutritionnelle de leurs choix alimentaire
  • augmenter l’importance accordée aux repas
25
Q

Une revue de la littérature montre que l’influence d’autrui sur nos comportements alimentaires, et aussi sur nos perceptions corporelles, s’explique par divers mécanismes incluant : (3)

A
  • la facilitation sociale
  • la volonté de faire bonne impression
  • la conformité
26
Q

. La convergence des systèmes alimentaires des deux partenaires amoureux lors de la cohabitation peut également avoir comme effet d’introduire des habitudes alimentaires moins favorables comme une :

A

plujs grande consommation d’alcool

27
Q

Le modèle de la facilitation sociale propose que :

A

la présence d’autres personnes influence à la fois le choix et la quantité des aliments que l’on mange (p.ex on mange plus en présence des autres)

28
Q

les études basées sur le modèle de la conformité montrent que :

A

la présence d’autres personnes peut à la fois favoriser ou inhiber la consommation d’aliments selon la quantité d’aliments consommés par les autres personnes autour de la table

29
Q

L’effet de la conformité est particulièrement important lorsque :

A

l’individu souhaite s’affilier avec la personne avec qui il mange ou encore s’il se considère sur le même pied d’égalité que cette personne

30
Q

Enfin, des études basées sur le modèle de la gestion des impressions ont montré que les femmes :

A

mangent moins lorsqu’elles souhaitent faire une bonne impression ou si elles croient se faire observer ou juger, par exemple, par un partenaire masculin

31
Q

Certaines études suggèrent d’ailleurs que les femmes qui mangent de petites portions d’aliments sont perçues comme :

A

étant plus féminines et plus attirante

32
Q

Qu’est -ce que propose le modèle ‘ inhibitory norm model of social influence of eating’’

A

la prémisse que les propriétés organoleptiques des aliments (les aliments appétissants) incitent à la consommation alimentaire, alors que les influences sociales dictent le moment où l’individu cesse de manger

33
Q

La théorie de la comparaison sociale stipule que

A

les individus comparent leurs caractéristiques à celles d’autres personnes lorsqu’il n’y a pas de standards physiques concrets avec lesquels se comparer

34
Q

Un individu peut se comparer avec des individus jugés « supérieurs » (« upward comparison ») ou avec des individus jugés « inférieurs » (« downward comparison »). Ces deux types de comparaisons peuvent engendrer à la fois des effets psychologiques positifs ou négatifs chez l’individu qui se compare à autrui. Comment cette comparaison nous influence?

A

Il a été démontré que la comparaison de nos aliments avec ceux des autres influence le degré d’appréciation de notre repas et la quantité que l’on mange.
Par exemple, on apprécie davantage notre repas si l’on considère que ce que l’autre a reçu à manger est pire que ce que l’on a reçu (« downward comparison »), ce qui nous encourage à manger plus, alors que l’effet inverse se produit dans le cas où on considère que ce que l’autre personne a reçu est mieux que ce que l’on a (« upward comparison »)

35
Q

Plusieurs études en laboratoire ont montré que l’exposition à des images de personnes minces (dans un film, dans des publicités, dans des magazines ou dans la vraie vie) influence la quantité d’aliments qui est consommée, et que cet effet varie selon le niveau de restriction cognitive du mangeur. Expliquez :

A

Par exemple, des mangeurs restreints mangent moins lorsqu’ils sont exposés à des images de personnes minces et pour lesquelles la minceur semble atteignable ou qu’ils s’identifient à ces personnes, alors qu’ils vont manger davantage en réponse à une exposition à des images de personnes minces s’ils considèrent leur apparence physique inatteignable ou s’ils ne s’identifient pas à ceux-ci