Normalité et tr adaptation Flashcards
(436 cards)
Nommer et décrire les notations habituelles de la normalité
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la quantitié
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Notations habituelles de la normalité: Notation en lien avec la supériorité
- Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité. (Conformité au type le plus fréquent : notion quantitative et statistique. Ce qui est « normal » renvoie au plus grand nombre)
—— Ex : il est normal de s’habiller pour sortir. - Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur. (La conformité à une norme : notion qualitative qui renvoie à une culture particulière. Ce qui est « normal » l’est en référence d’un ordre supérieur.)
—— Ex : Il est normal de payer pour obtenir un produit.
Nommez les différentes définitions de la santé mentale
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon FREUD
-
Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon FREUD
- que veut dire Freud par “c’est aimer, travailler et jouer?”
-
Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon OMS
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
- Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition de la santé mentale: Selon COMITÉ DE LA SANTÉ MENTALE AU QUÉBEC
- Freud : c’est aimer, travailler et jouer
o Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
o Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
o Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées - Pour l’OMS, la santé mentale est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Un état de bien-être dans lequel la personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et fructueux et contribuer à la vie de sa communauté.
-
Pour le Comité de la santé mentale au Québec (2015), l’état d’équilibre psychique d’une personne s’apprécie à l’aide de :
o Le niveau de bien-être subjectif
o L’exercice des capacités mentales et la qualité des relations avec le milieu. La santé mentale résulte d’interactions entre les facteurs de trois ordres : biologiques (génétique et physiologie), psychologique (cognitif, affectif et relationnel) et contextuel (relations entre la personne et son environnement).
Ces facteurs sont en constante évolution et s’intègrent de façon dynamique chez la personne.
Définition d’un trouble mental selon DSM
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: qu’est-ce qu’un trouble mental selon le DSM?
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: ce qui différencie trouble mental et normalité
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Définition d’un trouble mental selon DSM: exemples de réactions qui ne sont pas reliées à des troubles mentaux
- Voici la transcription de la définition d’un trouble mental selon le DSM-5… (même concept + détaillé)
- Un trouble mental est un syndrome caractérisé par une perturbation cliniquement significative de la cognition d’un individu, de sa régulation émotionnelle ou de son comportement, et qui reflète l’existence d’un dysfonctionnement dans les processus psychologiques, biologiques ou développementaux sous-tendant le fonctionnement mental.
- Les troubles mentaux sont le plus souvent associés à une détresse ou une altération importante des activités sociales, professionnelles ou des autres domaines importants du fonctionnement.
- Les réponses attendues ou culturellement approuvées à un facteur de stress commun ou à une perte, comme la mort d’un proche, ne constituent pas des troubles mentaux.
- Les comportements déviants sur le plan social (p. ex. sur les plans politique, religieux ou sexuel) ainsi que les conflits qui concernent avant tout le rapport entre l’individu et la société ne constituent pas des troubles mentaux, à moins…
Caractéristiques nécessaires pour avoir titre de trouble mental selon DSM
Trouble mental selon le DSM-V :
a. Rupture fonctionnelle (individu ne peut plus fonctionner N à cause des sx)
b. Souffrance cliniquement significative
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau PERSONNEL
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
FDR pour la santé mentale: Les nommer
Au niveau SOCIAL
Un facteur de risque reconnu de trouble à la santé mental des individus et des communautés serait des pressions socio-économiques persistantes.
Les meilleurs indicateurs sont :
1. Au niveau personnel :
o Mauvaise santé physique
o Mode de vie malsain
o Faible niveau scolaire
2. Au niveau social :
o Changement social rapide
o Conditions de travail éprouvantes
o Pauvreté
o Exclusion sociale
o Discrimination à l’égard des femmes
o Risque de violence
o Violation des droits de la personne.
De quelle manière la notion de santé mentale peut devenir sexiste?
- La notion de santé mentale peut devenir sexiste si les caractéristiques de santé mentale et de normalité s’appuient sur des stéréotypes sexistes, par exemple si l’on se fie, pour qualifier quelqu’un de sain, du rôle traditionnel de chaque sexe dans notre société (homme travaillant et femme au foyer).
- Ceci entraîne des biais d’évaluation et de thérapie pour les cliniciens.
- Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
VS - Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
Notion de santé mentale existe: caractéristiques attendues des H vs F
Caractéristiques de santé mentale et de normalité peuvent s’appuyer sur des stéréotypes sexistes, car traditionnellement…
- Homme N = compétence, affirmation de soi, indépendance, objectivité, activité, compétitivité, logique et rationalité & attend de lui qu’il travaille, pourvoie aux besoins de sa famille et apporte sa contribution à la société
VS - Femme N = chaleur, douceur, expressivité, émotivité, générosité, préoccupation du sort des autres (instinct maternel), soumission et besoin de sécurité & attend d’elle qu’elle s’occupe des enfants et entretienne le foyer familial
Lien entre la normalité et la capacité d’adaptation à son milieu
- Si la normalité est considérée comme l’adaptation au milieu, alors le conformisme social risque de devenir la norme.
- Dans ce cas, toute déviation devient pathologique, ce qui peut entraîner une psychiatrisation excessive de tout comportement perçu comme mésadapté ou déviant (p/e l’homosexualité DSM 2).
Lien entre normalité et le bonheur
- Si la normalité est définie comme le bien-être et l’harmonie intérieure (et donc le mieux-être), le bonheur devient la norme et toute forme de détresse et d’angoisse humaine devient pathologique.
- La psychiatrie ne peut pas se donner comme objectif l’atteinte du bonheur.
Pourquoi s’intéresser à Freud et Erickson?
- Pourquoi s’intéresser à ces deux vielles barbes? N’y a-t-il pas des auteurs plus… je ne sais pas moi…à la mode, plus cool ou plus sexy… plus moderne quoi!
- Bien-sûr que si… Mais il reste que ces derniers nous ont donné quelque chose de bien… l’un « invente » l’inconscient, les mécanismes de défenses, et l’autre met en lien l’individu avec son environnement.
- Très critiqués, souvent avec raison, mais aussi surtout dans le cas de Freud, par lui-même (de là des concepts qui évoluent au gré des ouvrages), ces auteurs nous apportent des notions indissociables de la vision que nous avons de la psyché humaine.
Freud: Sur quoi se base sa théorie du développement de la personnalité?
- La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
- Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
Théorie du dév de la personnalité de Freud: Qu’est-ce qui peut provoquer une psychopathologie chez un enfant?
- La théorie du développement de la personnalité de Freud dérive d’un modèle biologique centré sur les processus instinctuels liés aux phases du développement que traverse l’être humain lors de sa croissance physique.
- Si un enfant subit trop de frustration ou de gratification durant un des stades de développement, il est à risque de développer une psychopathologie.
Selon Freud: Quelles sont les sources d’énergie?
-
Freud explique que deux sources d’énergie ou forces qui modulent le processus psychique
- L’instinct de survie (Éros) : tous les moyens que l’individu utilise pour atteindre ses buts ainsi que la libido.
- Instinct de mort ou de destructivité (Thanatos) : désir de retourner à l’état primaire, soit le chaos, qui explique principalement l’agressivité
- Il pense que ces deux instincts, ainsi que leurs forces pulsionnelles associées (libido et agressivité), sont en continuelles interactions dans un jeu de forces dynamiques, et ce dans le but de rétablir l’homéostasie afin d’obtenir le plaisir et d’éviter la douleur.