Trouble de l'humeur 1 Flashcards
(497 cards)
Objectif du cours: Médicaments
En plus, nommer le nom générique et commercial utilisés au Canada ainsi que les doses usuelles et le mécanisme d’action pour la Vanlafaxine, le Citalopram, le Bupropion, le Lithium et l’Acide valproique et la lamotrigine
Tr de l’humeur: Lecture des chapitres
Cet objectif semble assez large. Je ne vous suggère PAS de commencer à lire ce chapitre en ordre tout de suite. Tentons d’y aller de façon progressive, en regardant les plus gros concepts en premier et en y ajoutant par la suite les connaissances nécessaires.
Tr de l’humeur: Quels termes est-il important de différencier?
- Dans un premier temps, il est primordial que vous soyez capable de distinguer un « Épisode affectif » d’un « Trouble affectif ».
- Avant de débuter votre lecture, je vous suggère de regarder les critères des trois Épisodes affectifs possibles dans votre DSM, sous le chapitre Troubles bipolaires et apparentés (qui sont les épisodes pouvant survenir chez un patient souffrant de maladie bipolaire de type I)
Tr de l’humeur: Que faut-il savoir?
- De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
- Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
- Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
Tr de l’humeur: Définir épisode thymique
- De manière générale, les troubles de bipolaires concernant des présentations cliniques et des entités beaucoup plus vastes que l’alternance maniaque et dépressive classique.
- Sa présentation peut être subtile, atypique ou encore camouflée et aucun marqueur biologique ne permet de poser un diagnostic.
- Notons qu’un épisode thymique fait référence à un épisode de l’un ou l’autre des pôles de l’humeur opposés (maniaque / hypomaniaque ou dépressif).
Critères diagnostiques de MANIE
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes de base nécessaires
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes nécessaires: nommez-les
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- durée
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitalisation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- impacts
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- exclure quoi?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- si survient lors traitement antidépresseur
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet physiologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- nombre d’épisodes maniaques nécessaires
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de MANIE
- symptômes: nombre nécessaire
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité orientée vers un but ou de l’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins une semaine (ou toute autre durée si une hospitali sation est nécessaire).
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmenta tion de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent exposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (c.-à-d. que l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice (c.-à-d. activité sans objectif, non orientée vers un but).
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de consé quences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconsé quentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. La perturbation de l’humeur est suffisamment grave pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou des activités sociales, ou pour nécessiter une hospitalisation afin de prévenir des conséquences dommageables pour le sujet ou pour autrui, ou bien il existe des caractéristiques psychotiques.
- D. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une subs tance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement) ou à une autre affection médicale.
- N.B.:Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, électroconvulsivothérapie) mais qui per siste et remplit les critères complets d’un épisode au delà du simple effet phy siologique de ce traitement, doit être considéré comme un épisode maniaque et conduire, par conséquent, à un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
- N.B.:Les critères A à D définissent un épisode maniaque. Au moins un épisode maniaque au cours de la vie est nécessaire pour un diagnostic de trouble bipolaire de type I.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- c’est quoi?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- durée
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes: nommez-les
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- impacts
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- ce que les autres voient
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- hospitalisation?
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.
Critères diagnostiques de l’hypomanie
- symptômes psychotiques
- A. Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur est élevée, expansive ou irritable de façon anormale et persistante, avec une augmentation anormale et persistante de l’activité ou du niveau d’énergie, persistant la plupart du temps, presque tous les jours, pendant au moins 4 jours consécutifs.
- B. Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et d’augmentation de l’énergie ou de l’activité, au moins 3 des symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont présents avec une intensité significative et représentent un changement notable par rapport au comportement habituel :
- 1.Augmentation de l’estime de soi ou idées de grandeur.
- 2.Réduction du besoin de sommeil (p. ex., le sujet se sent reposé après seulement 3 heures de sommeil).
- 3.Plus grande communicabilité que d’habitude ou désir constant de parler.
- 4.Fuite des idées ou sensations subjectives que les pensées défilent.
- 5.Distractibilité (p. ex., l’attention est trop facilement attirée par des stimuli extérieurs sans importance ou non pertinents) rapportée ou observée.
- 6.Augmentation de l’activité orientée vers un but (social, professionnel, scolaire ou sexuel) ou agitation psychomotrice.
- 7.Engagement excessif dans des activités à potentiel élevé de conséquences dommageables (p. ex., la personne se lance sans retenue dans des achats inconsidérés, des conduites sexuelles inconséquentes ou des investissements commerciaux déraisonnables).
- C. L’épisode s’accompagne de modifications indiscutables du fonctionnement, qui diffère de celui du sujet hors période symptomatique.
- D. La perturbation de l’humeur et la modification du fonctionnement sont manifestes pour les autres.
- E. La sévérité de l’épisode n’est pas suffisante pour entraîner une altération marquée du fonctionnement professionnel ou social, ou pour nécessiter une hospitalisation. S’il existe des caractéristiques psychotiques, l’épisode est, par définition, maniaque.
- F. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance (p. ex., substance donnant lieu à abus, médicament ou autre traitement).
- N.B.:Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur (p. ex., médicament, sismothéraphie), mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà du simple effet physiologique de ce traitement doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque. Toutefois, la prudence s’impose car un ou deux symptômes (en particulier une augmentation de l’irritabilité, de la nervosité, ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur) ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque, et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire.
- N.B.:Les critères A à F définissent un épisode hypomaniaque. Les épisodes hypomaniaques sont fréquents dans le trouble bipolaire I mais ne sont pas nécessaires pour poser ce diagnostic.