Troubles reliés à l'utilisation de substances Flashcards

1
Q

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes

A

Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :

  1. Amphétamines
  2. Cannabis
  3. Cocaïne
  4. Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs
  5. Phencyclidine (PCP)
  6. Nicotine
  7. Inhalants et hallucinatoires
  8. Caféine
  9. Procéder à l’application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette
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2
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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3
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- décrire l’effets de la substance

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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4
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- susbtance légale ou illégale?

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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5
Q

Définir: Substance psychoactive (SPA)
- différence avec terme “drogue”?

A
  • Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
  • Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
  • L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
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6
Q

Définir: Addiction

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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7
Q

Définir: Addiction
- origine du mot

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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8
Q

Définir: Addiction
- lien avec médiéval

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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9
Q

Définir: Addiction
- c’est quoi?

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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10
Q

Définir: Addiction
- addiction psychologique

A
  • Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
  • Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
  • Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
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11
Q

Définir: Craving ou appétence

A
  • Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
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12
Q

Définir: Craving ou appétence
- c’est quoi?

A
  • Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
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13
Q

Définir: Comorbidité

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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14
Q

Définir: Comorbidité
- c’est quoi?

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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15
Q

Définir: Comorbidité
- définition en psychiatrie

A
  • Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
  • En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
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16
Q

Définir: Réduction des méfaits

A
  • Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
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17
Q

Définir: Réduction des méfaits
- c’est quoi?

A
  • Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
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18
Q

Dépendance / abus: DSM V

A
  • Dépendance et Abus sont des termes du DSM IV remplacés par Trouble de l’usage de (…).
  • Vous verrez en plénière la signification de ces termes que vous retrouverez dans les dossiers médicaux et encore dans le langage de certains cliniciens.
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19
Q

Définir: Dépendance et Abus

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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20
Q

Définir: Dépendance et Abus
- terme dans DSM-5

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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21
Q

Définir: Dépendance et Abus
- représentation dans le DSM-5

A
  • Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
  • Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
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22
Q

Substance la plus consommée

A

L’alcool

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23
Q

Substance causant le plus de tr liés à l’usage dans la population générale

A
  • L’alcool.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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24
Q

Alcool

A
  • L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
  • On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
  • L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
  • En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
  • En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
  • Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
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25
Alcool: Proportion de la population consommant de l'alcool
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * **On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.** * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année). * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
26
Alcool: Âge moyen de la 1ère consommation
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * **L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans**, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année). * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
27
Alcool: Groupes d'âge où se trouvent les plus grands buveurs de boissons alcoolisées et sucrées
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans **le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko)**. * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année). * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
28
Alcool: Proportion de la population ayant une dépendance à l'alcool
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * **En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %)**. * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année). * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
29
Alcool: Proportion de la pop ayant une conso excessive d'alcool
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * **En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).** * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
30
Alcool: Définition d'une conso excessive d'alcool
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (**+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).** * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
31
Alcool: Conso excessive d'alcool - H vs F
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * **En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année)**. * Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
32
Alcool: Lien avec accidents de la route
* L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l'usage dans la population générale et est la substance la plus consommée. * On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes. * L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko). * En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %). * En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année). * **Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route**
33
TUS: NT impliqués
- Effets lors de la consommation (aigu) - Facilitateur de la transmission du système GABA - Canaux CA2+ et K+ - Augmentation de la libération de peptides opioïdes - Augmentation de la DA dans le système limbique - Effet chronique - Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques - Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate - Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
34
TUS: NT impliqués - Effet lors de la consommation (aigu)
- **Effets lors de la consommation (aigu)** - **Facilitateur de la transmission du système GABA** - **Canaux CA2+ et K+** - **Augmentation de la libération de peptides opioïdes** - **Augmentation de la DA dans le système limbique** - Effet chronique - Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques - Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate - Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale
35
TUS: NT impliqués - Effet chronique
- Effets lors de la consommation (aigu) - Facilitateur de la transmission du système GABA - Canaux CA2+ et K+ - Augmentation de la libération de peptides opioïdes - Augmentation de la DA dans le système limbique - **Effet chronique** - **Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques** - **Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate** - **Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale**
36
TUS: NT impliqués - Effet aigu: impacts sur GABA
Facilitateur de la transmission du système GABA - Blocage des récepteurs NMDA - Trous de mémoire - Erreurs de jugement - Action sur les récepteurs GABA - Sédation - Incoordination
37
TUS: NT impliqués - Effet aigu: impacts sur GABA - expliquez
**Facilitateur de la transmission du système GABA** - Blocage des récepteurs NMDA - Trous de mémoire - Erreurs de jugement - Action sur les récepteurs GABA - Sédation - Incoordination
38
TUS: NT impliqués - Effet aigu: impacts sur GABA - éléments
Facilitateur de la transmission du système GABA - **Blocage des récepteurs NMDA** - Trous de mémoire - Erreurs de jugement - **Action sur les récepteurs GABA** - Sédation - Incoordination
39
TUS: NT impliqués - Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs NMDA
Facilitateur de la transmission du système GABA - **Blocage des récepteurs NMDA** - **Trous de mémoire** - **Erreurs de jugement** - Action sur les récepteurs GABA - Sédation - Incoordination
40
TUS: NT impliqués - Effet aigu: impacts sur GABA - récepteurs GABA
Facilitateur de la transmission du système GABA - Blocage des récepteurs NMDA - Trous de mémoire - Erreurs de jugement - **Action sur les récepteurs GABA** - **Sédation** - **Incoordination**
41
TUS: NT impliqués - Effet aigu: 5-HT - expliquez
**Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3** - À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens
42
TUS: NT impliqués - Effet aigu: 5-HT - détaillez
Potentialisation de l’action de la 5-HT sur les récepteurs 5-HT3 - **À faible dose, cause les effets stimulants de l’alcool, et augmente la DA dans le moyau accumbens**
43
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Canaux
Canaux CA2+ et K+ - Modification de leur activité
44
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Canaux - nommez ceux impliqués
**Canaux CA2+ et K+** - Modification de leur activité
45
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Canaux - expliquez
Canaux CA2+ et K+ - **Modification de leur activité**
46
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Peptides opioïdes
Augmentation de la libération de peptides opioïdes - Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
47
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Peptides opioïdes - expliquez l'effet
**Augmentation de la libération de peptides opioïdes** - Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)
48
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Peptides opioïdes - donnez des exemples
Augmentation de la libération de peptides opioïdes - **Ex : ß-endorphines et corticolibérine (CRF)**
49
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Dopamine
Augmentation de la DA dans le système limbique - Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
50
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Dopamine - expliquez l'effet
**Augmentation de la DA dans le système limbique** - Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)
51
TUS: NT impliqués - Effet aigu: Dopamine - expliquez
Augmentation de la DA dans le système limbique - **Pouvoir toxicomanogène de l’alcool (effet de renforcement)**
52
TUS: NT impliqués - Effet chronique: expliquez
* La consommation prolongée de grandes quantités d’alcool pourrait entraîner des changements adaptatifs durables, voire permanents, de la transmission synaptique cérébrale et modifier ainsi la réponse de l’individu à l’alcool
53
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Récepteurs ionotropiques
Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques - Responsable de la tolérance acquise
54
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - expliquez l'effet
**Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques** - Responsable de la tolérance acquise
55
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Récepteurs ionotropiques - rôle
Diminution de l’effet sur les récepteurs ionotropiques - **Responsable de la tolérance acquise**
56
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Glutamate
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate - Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
57
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Glutamate - expliquez l'effet
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate - Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage
58
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Glutamate - expliquez
Concentration des récepteurs NMDA aux synapses activées par le glutamate - **Favorisation de la crise convulsive chez la personne en sevrage**
59
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Amygdale
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale - Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
60
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Amygdale - expliquez l'effet
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale - Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif
61
TUS: NT impliqués - Effet chronique: Amygdale - expliquez
Augmentation de la CRF et de ses récepteurs sur l’amygdale - **Augmentation de la sensibilité au stress et création d’un état émotif négatif**
62
Étylisme: Rôle de la génétique
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool. - Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool. - On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : - 1.Le métabolisme de l’alcool - 2.Le niveau de réponse - 3.Les traits de personnalité - 4.La présence de comorbidités psychiatriques
63
Étylisme: Importance de la génétique
- **La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool**. - Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool. - On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : - 1.Le métabolisme de l’alcool - 2.Le niveau de réponse - 3.Les traits de personnalité - 4.La présence de comorbidités psychiatriques
64
Étylisme: Gènes
- **La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool.** - **Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool.** - On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : - 1.Le métabolisme de l’alcool - 2.Le niveau de réponse - 3.Les traits de personnalité - 4.La présence de comorbidités psychiatriques
65
Étylisme: Rôle de la génétique - caractéristiques phénotypiques
- La génétique est responsable d’environ 50 – 60 % de la prédisposition d’un individu à développer une dépendance à l’alcool. - Ces gènes interagissent avec l’environnement pour amener le trouble relié à l’alcool. - **On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles** : - 1.**Le métabolisme de l’alcool** - 2.**Le niveau de réponse** - 3.**Les traits de personnalité** - 4.**La présence de comorbidités psychiatriques**
66
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
67
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Nommez-les
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. **Le métabolisme de l’alcool** (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. **Le niveau de réponse** (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. **Les traits de personnalité** (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. **La présence de comorbidités psychiatriques** (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
68
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d'alcool
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. **Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population)** N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
69
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d'alcool - ethnicité
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (**10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population**) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
70
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Métabolisme d'alcool - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. **Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population)** N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
71
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. **Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)** 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
72
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. **Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)** 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
73
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Niveau de réponse - éléments
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. **Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA)** 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
74
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. **Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)** 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
75
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - expliquez
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. **Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)** 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
76
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Traits de personnalité - lesquels?
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. **Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale)** 4. La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)
77
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. **La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)**
78
Étylisme: Génétique - Caractéristiques phénotypiques: Présence de comorbidités psychiatriques - lesquelles?
On pense notamment à 4 caractéristiques phénotypiques qui favorise la survenue de troubles : 1. Le métabolisme de l’alcool (10 % des Asiatiques portent les 2 allèles du gène ALDH 2 et ne peuvent métaboliser l’acétaldéhyde, 90 % étant généralement hétérozygote et ayant une capacité plus faible à la consommation d’alcool que le reste de la population) N.B. : Chez les Noirs, Asiatiques et Juifs, une mutation génétique favorise le métabolisme de l’alcool et le rend plus rapide (production d’acétaldéhyde plus rapide), ce qui les protège contre le risque de troubles liés à l’alcool. 2. Le niveau de réponse (une diminution de la réponse à l’alcool favorise un alcoolisme, puisque la personne s’expose à des doses plus élevées pour atteindre un effet semblable ; récepteurs GABA) 3. Les traits de personnalité (impulsivité / recherche de sensation / TP antisociale) 4. **La présence de comorbidités psychiatriques (TDA/H / TP antisocial / trouble anxieux / MAB et troubles des conduites)**
79
Éthylisme: Étiologie
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. - La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool. - Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure. - Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne. - De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
80
Éthylisme: Étiologie - expliquez
- **Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool.** - Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure. - Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne. - De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
81
Éthylisme: Étiologie
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool. - Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure. - Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne. - De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
82
Éthylisme: Étiologie - durée métabolisation
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool. - **Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure.** - **Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.** - De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
83
Éthylisme: Étiologie - durée métabolisation: exemple FourLoko
- Ce n’est qu’à travers des interactions plus ou moins favorables (social) que l’influence génétique peut exercer son effet. La consommation d’alcool à elle seule n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition d’un trouble lié à l’alcool. - **Il est à noter que l’alcool est métabolisé au rythme approximatif d’une consommation à l’heure**. - **Exemple à titre indicatif : une FourLoko prend environ 4h – 5h à être métabolisé en moyenne.** - De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
84
Exposition prénatale à l'alcool
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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Exposition prénatale à l'alcool: Proportion des femmes enceintes continuant de boire
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (**il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte**), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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Exposition prénatale à l'alcool: Risques associés
- De plus, l’exposition prénatale à l’alcool (il est à noter que jusqu’à 15 % des femmes continuent à consommer enceinte), en plus du risque d’alcoolisation fœtale, augmente le risque de trouble reliés à l’alcool : - Prédisposition à un mode de comportement déviant ou antisocial - Développement d’une vulnérabilité biologique spécifique à l’alcool
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Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité individuelle face à l’alcool
1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif) 2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles. 3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue. - *Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).*
88
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool - nommez-les
1. **Théorie de la réduction de la tension** : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif) 2. **Théorie de l’amortissement de la réponse au stress** : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles. 3. **Hypothèse de l’automédication** : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue. - *Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).*
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Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool - Théorie de la réduction de la tension
1. **Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif)** 2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles. 3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue. - *Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).*
90
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool - Théorie de l’amortissement de la réponse au stress
1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif) 2. **Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles**. 3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue. - *Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).*
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Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool - Hypothèse de l’automédication
1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif) 2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles. 3. **Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue**. - *Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif).*
92
Modèles cognitivo-comportemental pour expliquer la vulnérabilité iondividuelle face à l’alcool - ce que les modèles ont en commun
- **Ces trois modèles ont en commun de proposer que l’alcool entraîne une réduction de l’état de vigilance ou de l’anxiété physiologique et cognitive, constituant ainsi un renforcement négatif de la prise d’alcool (renforcement par la diminution d’un stimulus négatif)**. 1. Théorie de la réduction de la tension : L’alcool crée un renforcement par sa capacité à réduire la tension (association entre l’alcool et la diminution de son état émotionnel négatif) 2. Théorie de l’amortissement de la réponse au stress : limitation de la consommation aux moments où l’individu anticipe ou vit du stress (association à une diminution du stress). Il est à noter que cette théorie reconnaît les différences individuelles. 3. Hypothèse de l’automédication : les effets psychotropes de l’alcool sur l’état psychologique de l’individu poussent certaines personnes à développer une dépendance à cette drogue.
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Profils de Cloninger: Nommez-les
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Profils de Cloninger: Type 1 vs 2
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - Présentent peut de recherche de sensation - Anxiété et dépression souvent comorbides - Pronostic généralement meilleur - Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
95
Profils de Cloninger: Type 1
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - Présentent peut de recherche de sensation - Anxiété et dépression souvent comorbides - Pronostic généralement meilleur
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Profils de Cloninger: Type 1 - âge de début
- Type 1 - **À début tardif (après 25 ans)** - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - Présentent peut de recherche de sensation - Anxiété et dépression souvent comorbides - Pronostic généralement meilleur
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Profils de Cloninger: Type 1 - facteurs en cause
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - **Facteurs héréditaires moins lourds** - **Facteurs psychosociaux à l’avant-plan** - Présentent peut de recherche de sensation - Anxiété et dépression souvent comorbides - Pronostic généralement meilleur
98
Profils de Cloninger: Type 1 - ce que la personne recherche
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - **Présentent peut de recherche de sensation** - Anxiété et dépression souvent comorbides - Pronostic généralement meilleur
99
Profils de Cloninger: Type 1 - comorbidités
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - Présentent peut de recherche de sensation - **Anxiété et dépression souvent comorbides** - Pronostic généralement meilleur
100
Profils de Cloninger: Type 1 - pronostic
- Type 1 - À début tardif (après 25 ans) - Facteurs héréditaires moins lourds - Facteurs psychosociaux à l’avant-plan - Présentent peut de recherche de sensation - Anxiété et dépression souvent comorbides - **Pronostic généralement meilleur**
101
Profils de Cloninger: Type 2
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
102
Profils de Cloninger: Type 2 - FDR
- Type 2 - **Facteurs de risques importants (héréditaires)** - **H avec profil de délinquance** - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
103
Profils de Cloninger: Type 2 - Homme
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - **H avec profil de délinquance** - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
104
Profils de Cloninger: Type 2 - début
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - **Connaît un début précoce** - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
105
Profils de Cloninger: Type 2 - ATCD
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - **Forts antécédents familiaux d’alcoolisme** - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
106
Profils de Cloninger: Type 2 - ce que la personne recherche
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - **Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté** - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - Pronostic généralement plus mauvais
107
Profils de Cloninger: Type 2 - comorbidités
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - **Comorbidité avec personnalité antisociale** - **Agressivité et haut niveau d’impulsivité** - **Plus de problèmes judiciaires** - Pronostic généralement plus mauvais
108
Profils de Cloninger: Type 2 - ATCD judiciaire
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - **Plus de problèmes judiciaires** - Pronostic généralement plus mauvais
109
Profils de Cloninger: Type 2 - pronostic
- Type 2 - Facteurs de risques importants (héréditaires) - H avec profil de délinquance - Connaît un début précoce - Forts antécédents familiaux d’alcoolisme - Recherche avide de sensations fortes et de nouveauté - Comorbidité avec personnalité antisociale - Agressivité et haut niveau d’impulsivité - Plus de problèmes judiciaires - **Pronostic généralement plus mauvais**
110
Éthylisme: Étiologie psychologique
* Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation. * Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
111
Éthylisme: Étiologie psychologique - quand le risque débute-t-il?
* Un mot sur l’étiologie psychologique : le risque de développer un trouble relié à l’alcool commence bien avant la première consommation. * Un style parental inadéquat et l’association à des pairs utilisateurs de substances favorise la survenue d’un trouble.
112
Éthylisme: Étiologies sociales - éléments
1. Adversité psychosociale 2. Importance des facteurs environnementaux 3. Facteurs culturels 4. Facteurs protecteurs 5. Différence H vs F
113
Éthylisme: Étiologies sociales - Adversité psychosociale
- Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool - Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
114
Éthylisme: Étiologies sociales - Adversité psychosociale: expliquez
- **Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool** - Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation
115
Éthylisme: Étiologies sociales - Adversité psychosociale: Nommez des exemples
- Si elle est importante durant l’enfance ou l’adolescence elle est associée à un risque accru de trouble lié à l’alcool - **Ex : exposition à des stresseurs majeurs, agressions, psychopathologie parentale, décès d’un parent, statut socio-économique familial défavorisé, instabilité résidentielle, difficultés d’apprentissage et de socialisation**
116
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
117
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Son importance
- **L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir.** - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
118
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Nommez ceux particulièrement importants
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - **La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants** - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
119
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Famille
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - **Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux**. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
120
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Ados et adultes
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - **Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs**. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
121
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Initiation à l'alcool
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - **L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur)** - **Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans**. - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
122
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Âge d'initiation au ROH - quel âge?
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - **Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans.** - Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.
123
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs environnementaux: Étudiants collégiaux et universitaires
- L’influence environnementale est obligatoire pour que la génétique et les phénotypes puissent agir. - La culture, les attitudes générales envers l’alcool, les habitudes de consommation des pairs, le niveau de stress et les mécanismes adaptation de ceux-ci sont particulièrement importants - Un environnement familial à faible risque peut moduler l’impact d’un haut niveau génétique, prouvé par des études sur des jumeaux. - Les adolescents et adultes démontrent une forte association de leur consommation à celle de leurs pairs. - L’initiation à l’alcool selon l’âge est associée à des figures différentes ( ex : premières années du primaire → parent ou autre membre de la famille buveur) - Si consommation à 11-14 ans → 4X plus de risque de développer le trouble à 20 ans. - **Les étudiants de niveau collégial et universitaire sont influencés par des perceptions erronées qui surévaluent la consommation normale.**
124
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme. - La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine. - Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
125
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels: Groupes ethniques
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme. - La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine. - Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
126
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels: Nommez les groupes dévalorisant l'ivresse
- **Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme**. - La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine. - Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
127
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels: Groupes ethniques ayant un faible taux d'alcoolisme + raison
- **Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme.** - La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine. - Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
128
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels: Groupes favorisant ivresse
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme. - **La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine**. - Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.
129
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs culturels: Attitude face à ROH
- Les groupes ethniques comme les Juifs, les Français, les Italiens et les Portugais, qui font boire à leurs enfants de petites quantités d’alcool lors de réunions familiales et qui dévalorisent l’ivresse tendent à avoir de plus faibles taux d’alcoolisme. - La culture irlandaise ou autochtone incite souvent à l’intoxication hors du foyer, ce qui aboutit à une ivresse importante, mais limitée à la fin de semaine. - **Les attitudes envers la prise d’alcool ou l’état d’ivresse, le contexte d’initiation à la prise d’alcool, ainsi que la responsabilité personnelle envers les conséquences de l’alcoolisation sont parmi les facteurs culturels contribuant à l’installation ou non de troubles liés à l’alcool.**
130
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs
- Encadrement parental supportant - Accès limité à l’alcool - Association à des pairs dont la consommation est faible - Chez les femmes - Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool - Perception de sanctions sociales plus sévères
131
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Parents
- **Encadrement parental supportant** - Accès limité à l’alcool - Association à des pairs dont la consommation est faible - Chez les femmes - Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool - Perception de sanctions sociales plus sévères
132
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Accessibilité
- Encadrement parental supportant - **Accès limité à l’alcool** - Association à des pairs dont la consommation est faible - Chez les femmes - Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool - Perception de sanctions sociales plus sévères
133
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Entourage
- Encadrement parental supportant - Accès limité à l’alcool - **Association à des pairs dont la consommation est faible** - Chez les femmes - Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool - Perception de sanctions sociales plus sévères
134
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Chez les femmes
- Encadrement parental supportant - Accès limité à l’alcool - Association à des pairs dont la consommation est faible - **Chez les femmes** - **Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool** - **Perception de sanctions sociales plus sévères**
135
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Chez les femmes - effets de l'alcool
- Encadrement parental supportant - Accès limité à l’alcool - Association à des pairs dont la consommation est faible - **Chez les femmes** - **Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool** - Perception de sanctions sociales plus sévères
136
Éthylisme: Étiologies sociales - Facteurs protecteurs: Chez les femmes - vision sociale
- Encadrement parental supportant - Accès limité à l’alcool - Association à des pairs dont la consommation est faible - **Chez les femmes** - Sensibilité accrue aux effets sédatifs de l’alcool - **Perception de sanctions sociales plus sévères**
137
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
138
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Particularités des F
- **La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale**. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
139
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Lien avec cycle menstruel
- **La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale**. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
140
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Au niveau des FDR
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - **Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut**. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
141
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Prévalence
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les **H accusent des taux d’alcoolisme plus haut**. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
142
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Prédisposition génétique
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - **Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent**. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
143
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - **Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique**. - **Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine** - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
144
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Conséquences négatives de la prise de ROH - Femmes
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - **Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique**. - **Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine** - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
145
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Concentrations sanguines de ROH
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - **Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme**. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
146
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Neurotoxicité
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. - **Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes**. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
147
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Comorbidités
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - **Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H**. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
148
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: Complications
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. - **On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications**. - En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes.
149
Éthylisme: Étiologies sociales - Différences H vs F: En conclusion
- La réponse à l’alcool varie subtilement durant le cycle menstruel. On peut dire que les femmes l’apprécient plus durant la phase lutéale. - Les mêmes facteurs de risque génétique sont en cause chez les H et les F, bien que les H accusent des taux d’alcoolisme plus haut. - Les F doivent avoir un niveau de prédisposition génétique plus élevé pour que les troubles reliés à l’alcool apparaissent. - Les F de tous âges sont plus à risque des conséquences négatives associées à des niveaux élevés de prise d’alcool sur les plans physique, médical, social et psychologique. - Le risque est particulièrement élevé chez la F âgée, surtout s’il y a utilisation de benzodiazépine - Les femmes atteignent de plus hautes concentrations sanguines d’alcool à consommation égale qu’un homme. Une plus grande neurotoxicité est également démontrée chez les femmes. - Le taux de comorbidité des femmes souffrant d’un trouble lié à l’alcool (cirrhose, trouble anxieux, etc.) est de 72,4% vs 56,8% des H. On comprend que les femmes sont plus sujettes à développer des complications. - **En conclusion : les femmes sont plus sensibles aux impacts bio-psycho-sociaux de l’alcool que les hommes**.
150
Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance
- Intoxication - Sevrage * Autres troubles induits (…)
151
Catégories diagnostiques DSM-5 définissant les troubles liés à l’usage d’une substance: Nommez-les
- Intoxication - Sevrage * Autres troubles induits (…)
152
Délirium de sevrage: C'est quoi?
- Il est à noter que lorsque l’on parle de délirium de sevrage, on fait référence aux critères de délirium, mais avec le spécificateur « causé par une substance ».
153
Critères dx du delirium
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
154
Critères dx du delirium - c'est quoi un déliurim?
- A. **Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement)**. - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
155
Critères dx du delirium - comment s'installe-t-il?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. **La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée.** - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
156
Critères dx du delirium - durée de temps sur laquelle s'installe le délirium
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. **La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours),** représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
157
Critères dx du delirium - symptômes qui s'installent au moment de la perturbation
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), **représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée**. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
158
Critères dx du delirium - types de perturbation
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. **Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions).** - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
159
Critères dx du delirium - exclure quoi?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. **Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma.** - E. Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes.
160
Critères dx du delirium - il faut mettre en évidence quoi?
- A. Une perturbation de l’attention (c.-à-d. diminution de la capacité de diriger, focaliser, soutenir et déplacer son attention) et de la conscience (diminution de l’orientation dans l’environnement). - B. La perturbation s’installe en un temps court (habituellement quelques heures ou quelques jours), représente un changement par rapport à l’attention et à la conscience de base et tend à fluctuer en sévérité tout au long de la journée. - C. Une autre perturbation cognitive (p. ex., un déficit de la mémoire, de l’orientation, du langage, des habiletés visuospatiales ou des perceptions). - D. Les perturbations des critères A et C ne sont pas mieux expliquées par un trouble neurocognitif préexistant, stabilisé ou en évolution et ne doivent pas survenir dans le contexte d’un niveau de vigilance très réduit, comme dans un coma. - E. **Mise en évidence d’après les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires que la perturbation est la conséquence physiologique directe d’une autre affection médicale, d’une intoxication ou d’un sevrage d’une substance (c.-à-d. une drogue ou un médicament) ou d’une exposition à un produit toxique, ou est due à de multiples causes**.
161
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
162
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - c'est quoi?
- A. **Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois** : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
163
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Impacts
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool **conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative**, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
164
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool: Nombre de manifestations nécessaires
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’**au moins deux des manifestations** suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
165
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - durée
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’**une période de 12 mois** : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
166
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - quantité alcool
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.**L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu**. - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
167
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - contrôle sur consommation
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.**Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool**. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
168
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - perte de temps
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.**Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets**. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
169
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - craving
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.**Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool**. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
170
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - conséquences
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.**Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison**. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
171
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - consommation continue malgré quoi?
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.**Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool**. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
172
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - conséquences sur sphères de vie
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.**Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool.** - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
173
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - danger associé
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.**Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux**. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
174
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - problèmes associés et réponse à ces problèmes
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.**L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool**. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
175
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - tolérance
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.**Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants** : - a. **Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré**. - b. **Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool**. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
176
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - tolérance: nommez les sx
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.**Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants** : - a. **Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré**. - b. **Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool**. - 11.Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes : - a. Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4). - b. L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - sevrage
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.**Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes** : - a. **Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4)**. - b. **L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.**
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Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - sevrage: nommez les sx
- A. Mode d’usage problématique de l’alcool conduisant à une altération du fonctionnement ou à une souffrance cliniquement significative, caractérisée par la présence d’au moins deux des manifestations suivantes au cours d’une période de 12 mois : - 1.L’alcool est souvent consommé en quantité plus importante ou pendant une période plus prolongée que prévu. 3) - 2.Il y a un désir persistant, ou des efforts infructueux, pour diminuer ou contrôler la consommation d’alcool. - 3.Beaucoup de temps est passé à des activités nécessaires pour obtenir de l’alcool, à utiliser de l’alcool ou à récupérer de ses effets. - 4.Envie impérieuse (craving), fort désir ou besoin pressant de consommer de l’alcool. - 5.Consommation répétée d’alcool conduisant à l’incapacité de remplir des obligations majeures, au travail, à l’école ou à la maison. - 6.Consommation continue d’alcool malgré des problèmes interpersonnels ou sociaux, persistants ou récurrents, causés ou exacerbés par les effets de l’alcool. - 7.Des activités sociales, professionnelles ou de loisirs importantes sont abandonnées ou réduites à cause de l’usage de l’alcool. - 8.Consommation répétée d’alcool dans des situations où cela peut être physiquement dangereux. - 9.L’usage de l’alcool est poursuivi bien que la personne sache avoir un problème psychologique ou physique persistant ou récurrent susceptible d’avoir été causé ou exacerbé par l’alcool. - 10.Tolérance, définie par l’un des symptômes suivants : - a. Besoin de quantités notablement plus fortes d’alcool pour obtenir une intoxication ou l’effet désiré. - b. Effet notablement diminué en cas de l’usage continu de la même quantité d’alcool. - 11.**Sevrage caractérisé par l’une ou l’autre des manifestations suivantes** : - a. **Syndrome de sevrage caractéristique de l’alcool (voir les critères A et B du tableau 37.4)**. - b. **L’alcool (ou une substance très proche, telle qu’une benzodiazépine) est pris pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage.**
179
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - Spécifier la sévérité actuelle - Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90 - Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90 - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
180
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: rémission
- **Spécifier si** : - **En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).** - **En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli)**. - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - Spécifier la sévérité actuelle - Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90 - Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90 - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
181
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Rémission précoce
- **Spécifier si** : - **En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli).** - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - Spécifier la sévérité actuelle - Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90 - Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90 - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
182
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Rémission prolongée
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - **En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli)**. - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - Spécifier la sévérité actuelle - Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90 - Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90 - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
183
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Environnement protégé
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - **En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité**. - Spécifier la sévérité actuelle - Léger : Présence de 2-3 symptômes 303.90 - Moyen : Présence de 4-5 symptômes 303.90 - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
184
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Sévérité actuelle
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - **Spécifier la sévérité actuelle** - **Léger : Présence de 2-3 symptômes** - **Moyen : Présence de 4-5 symptômes** - **Grave :Présence de 6 symptômes ou plus**.
185
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Sévérité actuelle - léger
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - **Spécifier la sévérité actuelle** - **Léger : Présence de 2-3 symptômes** - Moyen : Présence de 4-5 symptômes - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
186
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Sévérité actuelle - moyen
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - **Spécifier la sévérité actuelle** - Léger : Présence de 2-3 symptômes - **Moyen : Présence de 4-5 symptômes** - Grave :Présence de 6 symptômes ou plus.
187
Critères dx du tr de l’usage de l’alcool - Spécifications: Sévérité actuelle - grave
- Spécifier si : - En rémission précoce : Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 3 mois mais pendant moins de 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - En rémission prolongée :Après que tous les critères du trouble de l’usage de l’alcool aient été préalablement remplis, plus aucun ne l’a été pendant au moins 12 mois (à l’exception du critère A4, « Envie impérieuse [craving], fort désir ou besoin pression de consommer de l’alcool », qui peut être rempli). - Spécifier si : - En environnement protégé : Cette spécification supplémentaire est utilisée si le sujet est dans un environnement où l’accès à l’alcool est limité. - **Spécifier la sévérité actuelle** - Léger : Présence de 2-3 symptômes - Moyen : Présence de 4-5 symptômes - **Grave :Présence de 6 symptômes ou plus**.
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Critères dx de l’intoxication à l’alcool
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
189
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - critère de base
- A. **Ingestion récente d’alcool.** - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
190
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - changements
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool.** - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
191
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - changements: types
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques**, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
192
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - changements: intensité
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, **cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement)** qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
193
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - changements: débutent quand?
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) **qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool**. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
194
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - sx nécessaires
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. **Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool** : - 1.**Discours bredouillant.** - 2.**Incoordination motrice**. - 3.**Démarche ébrieuse**. - 4.**Nystagmus**. - 5.**Altération de l'attention ou de la mémoire**. - 6.**Stupeur ou coma**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
195
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - sx nécessaires: nommez-les
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. **Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool** : - 1.**Discours bredouillant**. - 2.**Incoordination motrice**. - 3.**Démarche ébrieuse**. - 4.**Nystagmus**. - 5.**Altération de l'attention ou de la mémoire**. - 6.**Stupeur ou coma**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance.
196
Critères dx de l’intoxication à l’alcool - exclure quoi?
- A. Ingestion récente d’alcool. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex., comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération de l'attention ou de la mémoire. - 6.Stupeur ou coma. - D. **Les symptômes ne sont pas dus à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication par une autre substance**.
197
Critères dx du sevrage de l’alcool
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
198
Critères dx du sevrage de l’alcool - critère de base
- A. **Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé**. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
199
Critères dx du sevrage de l’alcool - manifestations
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. **Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A** : - 1.**Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes)**. - 2.**Augmentation du tremblement des mains**. - 3.**Insomnie**. - 4.**Nausée ou vomissements**. - 5.**Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives**. - 6.**Agitation psychomotrice**. - 7.**Anxiété**. - 8.**Crises convulsives généralisées tonicocloniques**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
200
Critères dx du sevrage de l’alcool - manifestations: nommez-les
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. **Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A** : - 1.**Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes)**. - 2.**Augmentation du tremblement des mains**. - 3.**Insomnie**. - 4.**Nausée ou vomissements**. - 5.**Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives**. - 6.**Agitation psychomotrice**. - 7.**Anxiété**. - 8.**Crises convulsives généralisées tonicocloniques**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
201
Critères dx du sevrage de l’alcool - manifestations: débute dans quel contexte?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes **se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A** : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
202
Critères dx du sevrage de l’alcool - impacts
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. **Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
203
Critères dx du sevrage de l’alcool - exclure quoi?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance**. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
204
Critères dx du sevrage de l’alcool -
- Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
205
Critères dx du sevrage de l’alcool - spécifications
- Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
206
Critères dx du sevrage de l’alcool - manifestations: sont quand?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage d’alcool qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes **se développent de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage d’alcool décrit dans le critère A** : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex., transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minutes). - 2.Augmentation du tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausée ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives généralisées tonicocloniques. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. - Spécifier si : - Avec perturbations des perceptions : Cette spécification s’applique dans le rare cas où le sujet présente des hallucinations (habituellement visuelles ou tactiles) sans altération de l’appréciation de la réalité, ou des illusions auditives, visuelles ou tactiles en l’absence d’un état confusionnel (delirium).
207
Liste des troubles liés à l’alcool
- Troubles de l’usage de l’alcool - Intoxication par l’alcool - Sevrage de l’alcool - État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l'alcool - État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l'alcool - Trouble neurocognitif induit par l'alcool - Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations - Trouble lié à l’alcool non spécifié
208
Liste des troubles liés à l’alcool - nommez-les
- Troubles de l’usage de l’alcool - Intoxication par l’alcool - Sevrage de l’alcool - État confusionnel (delirium) dû à une intoxication par l'alcool - État confusionnel (delirium) dû au sevrage à l'alcool - Trouble neurocognitif induit par l'alcool - Trouble psychotique induit par une substance, avec idées délirantes ou hallucinations - Trouble lié à l’alcool non spécifié
209
Sevrage simple: Traitement - types de tx
1. Traitements biologiques 2. Traitements psychologiques 3. Interventions sociales
210
Sevrage simple: Traitement Biologique - nommez les options
1. Benzodiazépine 2. Naltrexone 3. Acamprostate 4. Baclofène 5. Disulfirame
211
Sevrage simple: Traitement Biologique - Le plus utilisé
- **Benzodiazépine** - Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
212
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
213
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: fréquence utilisation
- **Les plus utilisées** - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
214
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: indications
- Les plus utilisées - **Préviennent les crises convulsives et le DT** - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
215
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Efficacité de l'effet convulsif
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - **Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules** - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
216
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Efficacité des différentes molécules
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - **Les différentes molécules sont une efficacité comparable** - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
217
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: La posologie dépend de quoi?
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - **La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage** - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
218
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Durée de traitement
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - **La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours** - Quelques ajouts sont parfois nécessaires - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
219
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Ajouts nécessaires
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - **Quelques ajouts sont parfois nécessaires** - **Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants** - **Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)**
220
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Ajouts nécessaires - indication de phénobarbital
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - **Quelques ajouts sont parfois nécessaires** - **Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants** - Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)
221
Sevrage simple: Traitement Biologique - Benzo: Ajouts nécessaires - indications antipsychotiques
- Les plus utilisées - Préviennent les crises convulsives et le DT - Outre la rapidité d’action, l’action anticonvulsive serait comparable aux autres molécules - Les différentes molécules sont une efficacité comparable - La posologie suit l’intensité des symptômes et vise l’atténuation voire la disparition des symptômes de sevrage - La durée de traitement ne dépasse pas 7 jours - **Quelques ajouts sont parfois nécessaires** - Addition de phénobarbitol pour les cas graves et/ou résistants - **Addition d’antipsychotique comme l’haldol pour le DT (mais toujours avec une benzo)**
222
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone
- Antagoniste des récepteurs opioïdes - Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement) - Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations - Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT - La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
223
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone: classe de Rx
- **Antagoniste des récepteurs opioïdes** - Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement) - Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations - Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT - La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
224
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone: mécanisme d'action
- Antagoniste des récepteurs opioïdes - **Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement)** - Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations - Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT - La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
225
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone: effets positifs
- Antagoniste des récepteurs opioïdes - Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement) - **Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations** - Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT - La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans
226
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone: E2
- Antagoniste des récepteurs opioïdes - Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement) - Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations - **Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT** - **La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans**
227
Sevrage simple: Traitement Biologique - Naltrexone: suivi / bilan à faire
- Antagoniste des récepteurs opioïdes - Atténue le renforcement fait pas l’alcool (médication adjuvante au traitement) - Diminue le risque de rechute, augmente le temps avant la rechute, et une diminution de jours où la personne boit et du nombre de consommations - Les effets secondaires incluent : Vo, diarrhée, somnolence, élévation des AST et ALT - **La toxicité hépatique est rare, mais il est conseillé de tout même surveiller par bilans**
228
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
229
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: c'est quoi?
- **Acide aminé dérivé de la taurine** - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
230
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: type de molécules
- **Acide aminé dérivé de la taurine** - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
231
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Mécanisme d'action
- Acide aminé dérivé de la taurine - **Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA** - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
232
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Effets sur les récepteurs + noms des récepteurs
- Acide aminé dérivé de la taurine - **Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA** - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
233
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Impacts positifs
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - **Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés** - **Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent** - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
234
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Indications
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - **Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence** - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
235
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Tolérance
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - **Bien toléré** et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
236
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Métabolisation
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et **non métabolisé par le foie** - **Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée** - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
237
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: Excrétion
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - **Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée** - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
238
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: ce qui doit être évalué
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - **Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée** - Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit
239
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: E2
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - **Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit**
240
Sevrage simple: Tx Biologique - Acamprosate: E2 - selon leur fréquence
- Acide aminé dérivé de la taurine - Atténue l’activité glutaminergique au niveau du SNC par un antagonisme des RNMDA - Prolonge l’abstinence chez les patients sevrés et motivés - Réduit la consommation d’alcool chez ceux qui rechutent - Choix de remplacement de la naltrexone et un bon choix pour ceux qui désirent l’abstinence - Bien toléré et non métabolisé par le foie - Excrétion rénale et donc évaluation de la fonction rénale recommandée - **Principaux effets secondaires : diarrhée > prurit**
241
Sevrage simple: Tx Biologique - Baclofène
- Agoniste sélectif des R-GABA-B - Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation
242
Sevrage simple: Tx Biologique - Baclofène: Classe de Rx
- **Agoniste sélectif des R-GABA-B** - Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation
243
Sevrage simple: Tx Biologique - Baclofène: Efficacité
- Agoniste sélectif des R-GABA-B - **Résultats contradictoires pour réduire la consommation chez les sujets avec trouble de consommation**
244
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame
- Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique - Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs. - Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866) - Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
245
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame: Mécanisme d'action
- **Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique** - Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs. - Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866) - Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
246
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame: Effets sur système
- Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique - **Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs**. - Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866) - Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
247
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame: Fonctionne comment?
- Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique - **Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs**. - Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866) - Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique.
248
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame: E2
- Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique - Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs. - **Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866)** - **Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique**.
249
Sevrage simple: Tx Biologique - Disulfirame: fréquemment utilisé?
- Effet aversif sur la consommation d’alcool dont l’action principale est l’inhibition de l’aldéhyde-désydrogénase hépatique - Induit une augmentation de l’acétaldéhyde par le métabolisme de l’alcool et entraîne chez le consommateur de bouffées de chaleur, des céphalées, des No et Vo dissuasifs. - Des effets secondaires sont rares, mais possibles et parfois graves (voir page 866) - **Compte tenu des effets graves et parfois mortels, cette médication NE CONSTITUE PAS un premier choix thérapeutique**.
250
Sevrage simple: Tx psychologique - son importance
* Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée. * Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool. * La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)
251
Sevrage simple: Tx psychologique - son effet
* Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée. * **Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool**. * **La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)**
252
Sevrage simple: Tx psychologique - son efficacité
* Traitements psychologiques : chaque rencontre avec un patient est une occasion de procéder à une intervention personnalisée. * **Chaque intervention influence potentiellement l’évolution du trouble lié à l’alcool.** * **La psychothérapie est aussi efficace pour les troubles liés à l’alcool que globalement pour tous les troubles psychiatriques (efficacité légère-modérée)**
253
Sevrage simple: Tx psychologique - Types d'intervention
1. Interventions brèves 2. Traitement en 12 étapes des Alcooliques Anonymes 3. TCC
254
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève - Habituellement 1 à 4 séances - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
255
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: ce qui est fait?
- **La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique** - La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève - Habituellement 1 à 4 séances - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
256
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: types d'intervention
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - **La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève** - Habituellement 1 à 4 séances - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
257
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: thérapie motivationnelle
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - **La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève** - **Habituellement 1 à 4 séances** - **Aussi efficace que des traitements plus intensifs** - **A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence** - **Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif**
258
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: thérapie motivationnelle - nb de séances
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - **La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève** - **Habituellement 1 à 4 séances** - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
259
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: thérapie motivationnelle - efficacité
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - **La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève** - Habituellement 1 à 4 séances - **Aussi efficace que des traitements plus intensifs** - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
260
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: thérapie motivationnelle - objectif
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - **La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève** - Habituellement 1 à 4 séances - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - **A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence** - Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif
261
Sevrage simple: Tx psychologique - Interventions brèves: thérapie motivationnelle - indication
- La seule action de s’intéresser à la consommation du patient à un effet thérapeutique - La thérapie motivationnelle et ses approches apparentées sont un type particulier d’intervention brève - Habituellement 1 à 4 séances - Aussi efficace que des traitements plus intensifs - A pour but d’aider le patient à trouver sa motivation intrinsèque au changement par l’exploration de l’ambivalence - **Peut être utilisée comme prélude à un traitement intensif**
262
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - Grande disponibilité et gratuit - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
263
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: fréquence utilisation
- **Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels**. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - Grande disponibilité et gratuit - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
264
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: données par qui?
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, **même si elle n’est pas donnée par des professionnels**. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - Grande disponibilité et gratuit - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
265
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: qu'est-ce que les AA?
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels. - **Les AA sont un groupe d’entraide qui offre** - **Un soutien par les pairs** - **Des modèles de rôle** - **De l’espoir** - **Des avis pratiques de résolution de problème** - **Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool** - **Une activité sobre et structurée** - Grande disponibilité et gratuit - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
266
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: accessibilité
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - **Grande disponibilité et gratuit** - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
267
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: vise quoi?
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - Grande disponibilité et gratuit - **Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier)** - Voir page 867 pour les 12 étapes - Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.
268
Sevrage simple: Tx psychologique - 12 étapes des AA: pour qui?
- Intervention la plus connue et la plus recommandée, même si elle n’est pas donnée par des professionnels. - Les AA sont un groupe d’entraide qui offre - Un soutien par les pairs - Des modèles de rôle - De l’espoir - Des avis pratiques de résolution de problème - Un réseau social qui ne valorise pas l’alcool - Une activité sobre et structurée - Grande disponibilité et gratuit - Vise plutôt la croissance personnelle que l’alcool directement, mais centré sur une approche spirituelle théiste (fait référence à un dieu, mais aucun en particulier) - Voir page 867 pour les 12 étapes - **Comme toute intervention, les AA ne sont pas pour tout le monde, certains étant mal à l’aise avec le format de groupe ou la connotation religieuse.**
269
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC
- Généralement connu pour prévenir les rechutes - Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool - Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même. - Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
270
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC: utilité
- **Généralement connu pour prévenir les rechutes** - Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool - Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même. - Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
271
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC: objectif principal
- Généralement connu pour prévenir les rechutes - **Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool** - Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même. - Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
272
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC: type précis
- Généralement connu pour prévenir les rechutes - Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool - **Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même**. - Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût
273
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC: Alcoochoix+
- Généralement connu pour prévenir les rechutes - Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool - **Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même.** - **Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût**
274
Sevrage simple: Tx psychologique - TCC: thérapie d'auto-contrôle
- Généralement connu pour prévenir les rechutes - Son objectif principal est d’enseigner au patient à identifier les situations à haut risque de rechute et à apprendre des comportements alternatifs pour arriver à gérer ces situations sans recourir à l’alcool - Une TCC spécifique pour les gens qui n’ont pas encore de trouble de consommation, mais qui consomme trop existe, il s’agit de la thérapie Alcochoix+. L’approche est principalement psychoéducative et vise à enseigner une meilleure gestion de la consommation d’alcool par le patient lui-même. - **Thérapie d’auto-contrôle qui vise le principe de la modération à bien meilleur goût**
275
Sevrage simple: Tx psychologique - Efficacité
* Ces 3 techniques (interventions brèves, 12 étapes des AA, TCC) ont montré une efficacité semblable en monothérapie pour une durée de 12 semaines. * Ceci se traduit principalement par une diminution de 60 – 80 % des jours de consommation d’alcool et une diminution de la quantité de consommation lors de ces journées
276
Sevrage simple: Tx psychologique - Effets sur les sx
* Ces 3 techniques (interventions brèves, 12 étapes des AA, TCC) ont montré une efficacité semblable en monothérapie pour une durée de 12 semaines. * **Ceci se traduit principalement par une diminution de 60 – 80 % des jours de consommation d’alcool et une diminution de la quantité de consommation lors de ces journées**
277
Sevrage simple: Interventions sociales - éléments
- Intervention familales ou de couple - Interventions communautaires
278
Sevrage simple: Interventions sociales - définir / décrire
* Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement. * Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu.
279
Sevrage simple: Interventions sociales - Efficacité
* Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement. * Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu.
280
Sevrage simple: Interventions sociales - Efficacité des interventions familiales
* Interventions sociales : les données sont de plus en plus probantes concernant l’implication de la famille ou du réseau social de l’individu dans le plan de traitement. * **Les interventions familiales conduisent à une évolution favorable tant chez l’individu atteint du trouble lié à l’alcool que chez la famille de cet individu**.
281
Sevrage simple: Interventions familiales
Les interventions familiales peuvent être classées en 3 catégories : 1. Le travail avec les membres de la famille pour aider à l’entrée en thérapie de l’individu 2. Le travail conjoint avec les membres de la famille et l’individu en question 3. L’aide apportée aux membres de la famille pour eux-mêmes.
282
Sevrage simple: Interventions familiales - nommez les catégories
Les interventions familiales peuvent être classées en 3 catégories : 1. Le travail avec les membres de la famille pour aider à l’entrée en thérapie de l’individu 2. Le travail conjoint avec les membres de la famille et l’individu en question 3. L’aide apportée aux membres de la famille pour eux-mêmes.
283
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
284
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - couple behavioural couples therapy (BCT)
Interventions de couple ou familiale : - **La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.** - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
285
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - couple behavioural couples therapy (BCT): consiste en quoi?
Interventions de couple ou familiale : - **La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication.** Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
286
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - couple behavioural couples therapy (BCT): efficacité
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. **Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles.** - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
287
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA)
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - **L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence**. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
288
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA): efficacité
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - **L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données.** Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
289
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA): vise quoi?
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. **Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence**. - Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!
290
Sevrage simple: Interventions de couple ou familiale - ce qui augmente les résultats
Interventions de couple ou familiale : - La TCC de couple behavioural couples therapy (BCT) consiste principalement à évaluer et améliorer les interactions positives comportementales entre l’individu alcoolique et son partenaire et aussi améliorer les capacités de communication. Elle permet des meilleurs résultats que les approches individuelles. - L’approche de renforcement communautaire community reinforcement approach (CRA) serait l’une des interventions les plus efficaces selon les données. Elle vise une restructuration des aspects sociaux, familiaux et vocationnels de la vie des personnes souffrant de trouble lié à l’alcool. Elle permet un renforcement sélectif de l’abstinence. - **Le seul fait d’inclure un membre de la famille ou le conjoint dans la thérapie augmente les résultats!**
291
Sevrage simple: Interventions communautaires
Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool. - La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques. - Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
292
Sevrage simple: Interventions communautaires - moyens utilisés
**Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool.** - La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques. - Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
293
Sevrage simple: Interventions communautaires - efficacité
Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool. - **La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques**. - Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition).
294
Sevrage simple: Interventions communautaires - mode de fonctionnement
Interventions communautaires : les moyens utilisés sont multiples, mais les plus fréquents sont la mobilisation d’un groupe social pour la prévention de la prise d’alcool chez les mineurs ou les accidents de la route reliés à la prise d’alcool, ainsi que la publicité sur le contrôle de l’alcool. - La littérature semble dire que ces approches sont bénéfiques. - **Ces interventions renforcent l’entraide et le soutien communautaire et valorisent les comportements positifs à l’égard de la communauté (plutôt que de prôner une plus grande coercition)**.
295
Delirium de sevrage: Synonyme
- Délirium tremens
296
Delirium de sevrage (délirium tremens)
* Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale). * On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême. * Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
297
Delirium de sevrage (délirium tremens) - c'est quoi?
* **Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale).** * On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême. * Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
298
Delirium de sevrage (délirium tremens) - risque associé
* Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (**urgence médicale**). * On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême. * Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.
299
Delirium de sevrage (délirium tremens) - Traitement
* Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale). * **On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême**. * **Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes**.
300
Delirium de sevrage (délirium tremens) - Traitement: ce qu'il ne faut pas faire
* Il s’agit de la manifestation la plus grave du sevrage (urgence médicale). * On peut donner des benzodiazépines et de l’halopéridol (ou autre antipsychotique) si l’agitation est extrême. * **Il est à noter qu’il ne faut pas donner d’halopéridol sans benzodiazépine, sous peine d’aggraver les symptômes.**
301
Convulsions de sevrage - Traitement habituel
Traitement habituel : Benzodiazépines
302
Intoxication aiguë: Traitement
- Maintenir les fonctions vitales - Correction des anomalies biologiques - Sédation chez le patient agité/violent - La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
303
Intoxication aiguë: Traitement - général
- **Maintenir les fonctions vitales** - **Correction des anomalies biologiques** - **Sédation chez le patient agité/violent** - La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)
304
Intoxication aiguë: Traitement - médicament
- Maintenir les fonctions vitales - Correction des anomalies biologiques - Sédation chez le patient agité/violent - **La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)**
305
Intoxication aiguë: Traitement - métadoxine
- Maintenir les fonctions vitales - Correction des anomalies biologiques - Sédation chez le patient agité/violent - **La métadoxine (bien que non approuvée ni commercialisée) pourrait accélérer l’élimination de l’acétaldéhyde et améliorer l’état clinique des patients intoxiqués (possibilité de diminuer le hangover …?)**
306
TNC associé à conso prolongée d'alcool
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie. * Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
307
TNC associé à conso prolongée d'alcool - nommez-le
* **Syndrome de Wernicke-Korsakoff**. * Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie. * Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
308
Syndrome de Wernicke-Korsakoff
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie. * Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
309
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * **Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie**. * **Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs**. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
310
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë - symptômes
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * **Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie**. * **Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs**. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
311
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation aiguë - symptômes classiques
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * **Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie**. * Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs. * Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation. * On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif
312
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présentation dans la phase tardive
* Syndrome de Wernicke-Korsakoff. * Dans sa phase aiguë (Wernicke), les symptômes classiques sont la confusion, l’ophtalmoplégie et l’ataxie. * Il est à noter que les patients peuvent montrer des signes de malnutrition, un nystagmus, une polynévrite avec faiblesse musculaire, des paresthésies et des douleurs à la partie distale des membres inférieurs. * **Dans sa phase tardive (Korsakoff), qui survient chez 85 % des patients non-traités, des lésions cérébrales mènent à des troubles mnésiques antérograde persistants avec éléments de confabulation**. * **On peut aussi voir un comportement désorganisé et agressif**
313
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho
* Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine). * Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus. * Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
314
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho - mécanisme en cause
* **Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine).** * Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus. * Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
315
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Physiopatho - génétique
* Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine). * **Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus**. * Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque
316
Syndrome de Wernicke-Korsakoff: Présent juste chez les alcooliques?
* Ce syndrome est causé par une malabsorption qui amène un déficit en vitamine B1 (thiamine). * Il existe une fragilisation génétique possible qui prédisposent certains individus. * **Il est à noter que le syndrome de WernickeKorsakoff n’est pas exclusivement présent chez les alcooliques, quoique cette population soit particulièrement à risque**
317
Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool
- TP antisociale - Troubles de l’humeur - Troubles anxieux - TP limite / histrioniques / évitante - N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi
318
Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool - évolution de la maladie psychiatrique
- TP antisociale - Troubles de l’humeur - Troubles anxieux - TP limite / histrioniques / évitante - **N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi**
319
Tr psychiatriques les plus fréquemment associés à l’alcool: Nommez-les
- **TP antisociale** - **Troubles de l’humeur** - **Troubles anxieux** - **TP limite / histrioniques / évitante** - N.B. : L’amélioration de la maladie psychiatrique est la norme avec la résolution du problème d’alcool, si le traitement est bien suivi
320
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon vs mauvais pronostic
321
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
322
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - TP
- **Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide** - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
323
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - Autres TUS
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - **Absence d’un trouble lié à d’autres substances** - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
324
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - style de vie
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - **Un style de vie stable avec maintien d’un emploi** - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
325
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - réseau social
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - **Relations sociales et familiales aidantes** - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
326
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - ATCD judiciaire
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - **Absence de conséquences judiciaires importantes** - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
327
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - traitement
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - **Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme** - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
328
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - stabilité sociale
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - **Stabilité sociale** - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
329
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - ATCD familiaux
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - **Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool** - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
330
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - traitement antérieur d'alcool
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - **Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool**. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
331
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - observance
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - **Bonne observance** - Absence de trouble mental grave - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
332
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - comorbidités
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - **Absence de trouble mental grave** - Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation
333
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de bon pronostic - Trouble usage découvert quand?
- Absence de trouble de la personnalité antisociale prémorbide - Absence d’un trouble lié à d’autres substances - Un style de vie stable avec maintien d’un emploi - Relations sociales et familiales aidantes - Absence de conséquences judiciaires importantes - Persistance en traitement (ne pas arrêter avant la fin), également associé à une période d’abstinence à long terme - Stabilité sociale - Absence de proches parents souffrant d’un problème d’alcool - Absence d’échecs répétés à des traitements antérieurs pour l’alcool. - Bonne observance - Absence de trouble mental grave - **Découverte du trouble tôt dans l’histoire de consommation**
334
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic
- TP antisociale - Présence dépendance grave à d’autres substances - Début précoce de dépendance (avant 20 ans) - Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement - Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool - Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
335
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic - TP
- **TP antisociale** - Présence dépendance grave à d’autres substances - Début précoce de dépendance (avant 20 ans) - Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement - Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool - Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
336
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic - dépendance à autres substances
- TP antisociale - **Présence dépendance grave à d’autres substances** - Début précoce de dépendance (avant 20 ans) - Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement - Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool - Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
337
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic - débute quand?
- TP antisociale - Présence dépendance grave à d’autres substances - **Début précoce de dépendance (avant 20 ans)** - Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement - Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool - Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
338
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic - Ressources psychosociales
- TP antisociale - Présence dépendance grave à d’autres substances - Début précoce de dépendance (avant 20 ans) - **Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement** - Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool - Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic.
339
Traitement de l'abus d'alcool: Facteurs de mauvais pronostic - comorbidités
- TP antisociale - Présence dépendance grave à d’autres substances - Début précoce de dépendance (avant 20 ans) - Moindres ressources psychosociales, telles l’absence de logement stable, la désinsertion sociale ou isolement - **Présence d’un épisode dépressif majeur actif diminue les probabilités de rémission de la dépendance d’alcool** - **Des ATCD dépressifs avant la consommation ou durant le sevrage sont également de mauvais pronostic**.
340
Traitement de l'abus d'alcool: Mortalité
* Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale. * L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies. * Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
341
Traitement de l'abus d'alcool: Populations chez lesquelles le risque de mortalité est augmenté
* **Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale**. * L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies. * Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
342
Traitement de l'abus d'alcool: Mortalité associée
* Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale. * **L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies**. * Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs.
343
Traitement de l'abus d'alcool: Pronostic / évolution
* Il est à noter que la mortalité serait doublée chez la population de buveurs excessifs, comparativement à la population générale. * L’alcool constitue d’ailleurs une des plus grandes causes de blessures et de maladies. * **Suite au traitement, ¼ des patients demeurent totalement abstinents, 1/10 utilisent l’alcool de façon modérée et sans conséquences négatives et 87 % diminuent leur consommation et s’abstiennent ¾ jours. 1/3 des patients voient leurs problèmes associés disparaître à 1 an, et le reste (2/3) voient, en moyenne, une diminution de leur consommation et des problèmes associés significatifs**.
344
Démence alcoolique
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
345
Démence alcoolique: Régions touchées
- **De nature frontale et/ou sous-corticale**, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
346
Démence alcoolique: Déficits / symptômes
- De nature frontale et/ou sous-corticale, **les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale**. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
347
Démence alcoolique: Dans quel contexte poser le dx?
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - **Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence** - **L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs** - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
348
Démence alcoolique: Usage d'alcool doit respecter quels critères de temps?
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - **L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs** - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
349
Démence alcoolique: Intensité de la consommation
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - **La consommation doit être importante** - **Plus de 35 par semaine pour les H** - **Plus de 21 par semaine pour les F** - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
350
Démence alcoolique: Intensité de la consommation d'alcool - H vs F
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - **La consommation doit être importante** - **Plus de 35 par semaine pour les H** - **Plus de 21 par semaine pour les F** - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
351
Démence alcoolique: Sévérité des déficits
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - **Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence**. - Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)
352
Démence alcoolique: Mécanisme en cause
- De nature frontale et/ou sous-corticale, les déficits typiques comprennent l’abstraction, la mémoire à court terme et la fluidité verbale. - Le diagnostic ne peut être posé qu’après une période de 60 jours d’abstinence - L’usage d’alcool doit avoir été d’au minimum 5 ans et pendant au moins 3 ans avant l’apparition des déficits cognitifs - La consommation doit être importante - Plus de 35 par semaine pour les H - Plus de 21 par semaine pour les F - Les troubles sont généralement moins graves que dans les cas de démences et peuvent s’améliorer avec l’abstinence. - **Il y est difficile de savoir si l’alcool est responsable via toxicité directe ou indirecte (déficit pancréatique, hépatique, etc.)**
353
Syndrome d’alcoolisation fœtale
* L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal. * La prévalence serait de 1% des naissances. * C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux. * 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
354
Syndrome d’alcoolisation fœtale - Mécanisme en cause
* **L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal.** * La prévalence serait de 1% des naissances. * C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux. * 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
355
Syndrome d’alcoolisation fœtale: Prévalence
* L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal. * **La prévalence serait de 1% des naissances**. * C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux. * 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
356
Syndrome d’alcoolisation fœtale: Évitable?
* L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal. * La prévalence serait de 1% des naissances. * **C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux**. * 15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.
357
Syndrome d’alcoolisation fœtale: Femmes enceintes consommant de l'alcool
* L’alcool traverse facilement la barrière placentaire et une exposition à l’alcool peut affecter négativement le développement fœtal. * La prévalence serait de 1% des naissances. * C’est la principale cause évitable de retard mental, de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux. * **15 % des femmes consomment de l’alcool pendant leur grossesse, et 3 % maintiennent leurs habitudes de consommation.**
358
Trouble psychotique induit
- Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique. - L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose. - On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme. - Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques : - Ont commencé leur consommation étant plus jeunes - Consomment davantage d’alcool par occasion - Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool - Ont utilisés plus de drogues dans leur vie - Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
359
Trouble psychotique induit: Mécanisme provoquant les sx psychotiques
- **Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique**. - L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose. - On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme. - Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques : - Ont commencé leur consommation étant plus jeunes - Consomment davantage d’alcool par occasion - Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool - Ont utilisés plus de drogues dans leur vie - Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
360
Trouble psychotique induit: Effet de l'alcool sur le risque de psychose
- Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique. - **L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose**. - On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme. - Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques : - Ont commencé leur consommation étant plus jeunes - Consomment davantage d’alcool par occasion - Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool - Ont utilisés plus de drogues dans leur vie - Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
361
Trouble psychotique induit: Lien entre hallucinations et alcoolisme
- Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique. - L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose. - **On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme**. - Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques : - Ont commencé leur consommation étant plus jeunes - Consomment davantage d’alcool par occasion - Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool - Ont utilisés plus de drogues dans leur vie - Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles
362
Trouble psychotique induit: Caractéristiques des patients avec hallucinose
- Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique. - L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose. - On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme. - **Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques** : - **Ont commencé leur consommation étant plus jeunes** - **Consomment davantage d’alcool par occasion** - **Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool** - **Ont utilisés plus de drogues dans leur vie** - **Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles**
363
Trouble psychotique induit: Types d'hallucinations
- Les mécanismes pouvant provoquer des symptômes psychotiques secondaire à l’utilisation d’alcool sont multiples et comprennent l’intoxication, le sevrage, le délirium tremens, le syndrome de Wernicke-Korsakoff, le trouble psychotique induit persistant et la démence alcoolique. - L’alcool doublerait le risque de provoquer la psychose. - On estime la prévalence de l’hallucinose à 7,4% chez les patients suivant un programme de traitement de l’alcoolisme. - Les patients avec hallucinose présentent quelques caractéristiques : - Ont commencé leur consommation étant plus jeunes - Consomment davantage d’alcool par occasion - Sont pris avec des problèmes de vie reliés à l’alcool - Ont utilisés plus de drogues dans leur vie - **Les hallucinations sont surtout auditives et parfois visuelles**
364
Tr usage alcool: Selon âge et sexe
- La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté. - Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée). - L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool - Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
365
Tr usage alcool: Selon âge et sexe - Prévalence tr usage alcool selon âge
- **La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté**. - Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée). - L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool - Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
366
Tr usage alcool: Selon âge et sexe - Binge drinking
- La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté. - **Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée).** - L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool - Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
367
Tr usage alcool: Selon âge et sexe - impact fonctionnel
- La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté. - Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée). - **L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool** - Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.
368
Tr usage alcool: Selon âge et sexe - dépistage
- La prévalence de trouble lié à l’alcool diminue progressivement avec l’âge, mais reste tout de même de 4% chez les personnes de 65 ans et habitant dans leur logement dans la communauté. - Le « binge drinking » est plus fréquent que la dépendance chez cette clientèle (il est à noter que la consommation de FourLoko dépassée 65 ans est malheureusement peu recommandée). - L’impact fonctionnel est souvent marqué puisque d’autres maladies s’ajoutent souvent à la prise d’alcool - **Il est donc recommandé de procéder à un dépistage systématique chez cette clientèle.**
369
Substances psychoactives: Classes
1. Stimulants SNC 2. Dépresseurs du SNC 3. Perturbateurs du SNC
370
Substances psychoactives: Stimulants du SNC - Nommez-les
- Cocaïne et dérivés (crack p/e) - Amphétamine - Nicotine - Caféine
371
Substances psychoactives: Dépresseurs du SNC - Nommez-les
- Alcool - Benzodiazépines (ainsi que les anxiolytiques, hypnotiques et sédatifs) - Opioïdes - Solvants volatiles
372
Substances psychoactives: Perturbateurs du SNC - Nommez-les
- Hallucinogènes - Cannabis - PCP - LSD
373
Connaître l’action pharmacologique, les effets recherchés, les voies d’utilisation, et la durée de l’effet des principales substances psychoactives
cf : Tableau en annexe
374
Cannabis - Substance active - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
375
Cannabis - Substance active
- **Substance active: THC** - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
376
Cannabis - Mécanisme d'action
- Substance active: THC - **Mécanisme d'action** - **Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)** - **Type protéine G --> Sites** : - **Noyaux de la base** - **Hyppocampe** - **Cervelet** - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
377
Cannabis - Mécanisme d'action: récepteurs en jeu
- Substance active: THC - **Mécanisme d'action** - **Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1)** - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
378
Cannabis - Mécanisme d'action: Types de protéines
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - **Type protéine G --> Sites** : - **Noyaux de la base** - **Hyppocampe** - **Cervelet** - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
379
Cannabis - Mécanisme d'action: Sites des récepteurs / protéines
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - **Type protéine G --> Sites** : - **Noyaux de la base** - **Hyppocampe** - **Cervelet** - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
380
Cannabis - Effet recherché
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - **Effet recherché** - **Perceptions augmentées** - **Sensation d’irréalité** - **Diminution d’anxiété** - **Somnolence** - **Euphorie** - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
381
Cannabis - Voie d'utilisation
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - **Voie d'utilisation** - **Inhalée** - **Orale** - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
382
Cannabis - Durée de l'effet
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - **Durée de l'effet** - **Pic 30 min**. - **Total ~ 2-4h** - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
383
Cannabis - Durée de l'effet: Pic et total
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - **Durée de l'effet** - **Pic 30 min**. - **Total ~ 2-4h** - Furée de détection urinaire - ~ 10 jours (usage court terme) - > 3 semaines (usage chronique)
384
Cannabis - Durée de détection urinaire
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - **Durée de détection urinaire** - **~ 10 jours (usage court terme)** - **> 3 semaines (usage chronique)**
385
Cannabis - Durée de détection urinaire: usage court terme vs chronique
- Substance active: THC - Mécanisme d'action - Liaison aux récepteurs cannabinoïdes (CB1) - Type protéine G --> Sites : - Noyaux de la base - Hyppocampe - Cervelet - Effet recherché - Perceptions augmentées - Sensation d’irréalité - Diminution d’anxiété - Somnolence - Euphorie - Voie d'utilisation - Inhalée - Orale - Durée de l'effet - Pic 30 min. - Total ~ 2-4h - **Durée de détection urinaire** - **~ 10 jours (usage court terme)** - **> 3 semaines (usage chronique)**
386
Cocaïne: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
387
Cocaïne: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Blocage de la recapture** - **NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine** - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
388
Cocaïne: - Mécanisme d'action: récepteurs en jeu
- **Mécanisme d'action** - **Blocage de la recapture** - **NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine** - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
389
Cocaïne: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - **Effet recherché** - **Euphorie** - **Sentiment de toute-puissance, énergie** - **Diminution d’appétit** - **Augmentation de libido** - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
390
Cocaïne: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - **Voie d'utilisation** - **Inhalée (freebase/ crack)** - **Intranasale** - **Intraveineuse** - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
391
Cocaïne: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **Pic 15 minutes** - **Total 1,5 heure** - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
392
Cocaïne: - Durée de l'effet: Pic et total
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **Pic 15 minutes** - **Total 1,5 heure** - Durée de détection urinaire - 3 à 7 jours
393
Cocaïne: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Blocage de la recapture - NA-5HT-DA en bloquant le transporteur de la dopamine - Effet recherché - Euphorie - Sentiment de toute- puissance, énergie - Diminution d’appétit - Augmentation de libido - Voie d'utilisation - Inhalée (freebase/ crack) - Intranasale - Intraveineuse - Durée de l'effet - Pic 15 minutes - Total 1,5 heure - **Durée de détection urinaire** - **3 à 7 jours**
394
Methamphétamine: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
395
Methamphétamine: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé** - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
396
Methamphétamine: - Mécanisme d'action: Récepteurs en jeu
- **Mécanisme d'action** - **Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé** - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
397
Methamphétamine: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé - **Effet recherché** - **Euphorie** - **Diminution de fatigue** - **Diminution de l’appétit** - **Augmentation de l’attention** - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
398
Methamphétamine: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - **Voie d'utilisation** - **Orale** - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
399
Methamphétamine: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - Voie d'utilisation - Orale - **Durée de l'effet** - **~ 6 heures** - Durée de détection urinaire - 1 – 3 jours
400
Methamphétamine: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Libération de NA-5HT-DA nouvellement synthétisé - Effet recherché - Euphorie - Diminution de fatigue - Diminution de l’appétit - Augmentation de l’attention - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - **Durée de détection urinaire** - **1 – 3 jours**
401
Crystal-Meth: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure) - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
402
Crystal-Meth: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)** - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
403
Crystal-Meth: - Forme
- **Mécanisme d'action** - **Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure)** - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
404
Crystal-Meth: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure) - **Effet recherché** - **Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité** - **Diminution de fatigue** - **Augmentation de l’attention** - **Anorexie** - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
405
Crystal-Meth: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure) - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - **Voie d'utilisation** - **Inhalée** - **Intraveineuse** - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
406
Crystal-Meth: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure) - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **Jusqu'à 16h** - Durée de détection urinaire - 1 - 3 jours
407
Crystal-Meth: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Forme cristallisée de l’amphétamine (plus pure) - Effet recherché - Sensation de bien-être, euphorie, sociabilité - Diminution de fatigue - Augmentation de l’attention - Anorexie - Voie d'utilisation - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Jusqu'à 16h - **Durée de détection urinaire** - **1 - 3 jours**
408
MDMA: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Libération de 5-HT - Effet recherché - Élévation de l’humeur - Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie - Propriétés hallucinogènes - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 4 jours
409
MDMA: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Libération de 5-HT** - Effet recherché - Élévation de l’humeur - Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie - Propriétés hallucinogènes - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 4 jours
410
MDMA: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Libération de 5-HT - **Effet recherché** - **Élévation de l’humeur** - **Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie** - **Propriétés hallucinogènes** - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 4 jours
411
MDMA: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Libération de 5-HT - Effet recherché - Élévation de l’humeur - Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie - Propriétés hallucinogènes - **Voie d'utilisation** - **Orale** - Durée de l'effet - ~ 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 4 jours
412
MDMA: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Libération de 5-HT - Effet recherché - Élévation de l’humeur - Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie - Propriétés hallucinogènes - Voie d'utilisation - Orale - **Durée de l'effet** - **~ 6 heures** - Durée de détection urinaire - 2 – 4 jours
413
MDMA: - Durée détection urinaire
- Mécanisme d'action - Libération de 5-HT - Effet recherché - Élévation de l’humeur - Augmentation de la confiance, de la sociabilité, de l’empathie - Propriétés hallucinogènes - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - ~ 6 heures - **Durée de détection urinaire** - **2 – 4 jours**
414
PCP: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 7 jours (usage court terme) - 30 jours (usage chronique)
415
PCP: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques)** - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 7 jours (usage court terme) - 30 jours (usage chronique)
416
PCP: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - **Effet recherché** - **Euphorie** - **Dissociation, hallucinations, accélération psychique** - **Augmentation de l’acuité sensorielle** - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 7 jours (usage court terme) - 30 jours (usage chronique)
417
PCP: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - **Voie d'utilisation** - **Orale** - **Inhalée** - **Intraveineuse** - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - Durée de détection urinaire - 2 – 7 jours (usage court terme) - 30 jours (usage chronique)
418
PCP: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **~ 4- 6 heures** - Durée de détection urinaire - 2 – 7 jours (usage court terme) - 30 jours (usage chronique)
419
PCP: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - **Durée de détection urinaire** - **2 – 7 jours (usage court terme)** - **30 jours (usage chronique)**
420
PCP: - Durée de détection urinaire: usage court terme vs chronique
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (sous-type de récepteurs glutamatergiques) - Effet recherché - Euphorie - Dissociation, hallucinations, accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4- 6 heures - **Durée de détection urinaire** - **2 – 7 jours (usage court terme)** - **30 jours (usage chronique)**
421
Kétamine: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (« PCP – like ») - Effet recherché - ~ Idem au PCP - Dissociation, hallucinations - Rappel PCP: - Euphorie - Dissociation - Hallucinations - Accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4 heures - Durée de détection urinaire - < 3 jours
422
Kétamine: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Antagoniste NMDA (« PCP – like »)** - Effet recherché - ~ Idem au PCP - Dissociation, hallucinations - Rappel PCP: - Euphorie - Dissociation - Hallucinations - Accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4 heures - Durée de détection urinaire - < 3 jours
423
Kétamine: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (« PCP – like ») - **Effet recherché** - **~ Idem au PCP** - **Dissociation, hallucinations** - **Rappel PCP**: - **Euphorie** - **Dissociation** - **Hallucinations** - **Accélération psychique** - **Augmentation de l’acuité sensorielle** - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4 heures - Durée de détection urinaire - < 3 jours
424
Kétamine: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (« PCP – like ») - Effet recherché - ~ Idem au PCP - Dissociation, hallucinations - Rappel PCP: - Euphorie - Dissociation - Hallucinations - Accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - **Voie d'utilisation** - **Orale** - **Inhalée** - **Intraveineuse** - Durée de l'effet - ~ 4 heures - Durée de détection urinaire - < 3 jours
425
Kétamine: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (« PCP – like ») - Effet recherché - ~ Idem au PCP - Dissociation, hallucinations - Rappel PCP: - Euphorie - Dissociation - Hallucinations - Accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **~ 4 heures** - Durée de détection urinaire - < 3 jours
426
Kétamine: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Antagoniste NMDA (« PCP – like ») - Effet recherché - ~ Idem au PCP - Dissociation, hallucinations - Rappel PCP: - Euphorie - Dissociation - Hallucinations - Accélération psychique - Augmentation de l’acuité sensorielle - Voie d'utilisation - Orale Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - ~ 4 heures - **Durée de détection urinaire** - **< 3 jours**
427
GHB: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Structure similaire au GABA endogène - ↑ taux de dopamine - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
428
GHB: - structure
- **Mécanisme d'action** - **Structure similaire au GABA endogène** - ↑ taux de dopamine - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
429
GHB: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Structure similaire au GABA endogène** - **↑ taux de dopamine** - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
430
GHB: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Structure similaire au GABA endogène - ↑ taux de dopamine - **Effet recherché** - **Euphorie** - **Désinhibition** - **Relaxation** - **Somnolence** - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
431
GHB: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Structure similaire au GABA endogène - ↑ taux de dopamine - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - **Voie d'utilisation** - **Orale** - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
432
GHB: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Structure similaire au GABA endogène - ↑ taux de dopamine - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - Voie d'utilisation - Orale - **Durée de l'effet** - **2 - 4 heures** - Durée de détection urinaire - < 10 – 12 heures
433
GHB: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Structure similaire au GABA endogène - ↑ taux de dopamine - Effet recherché - Euphorie - Désinhibition - Relaxation - Somnolence - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 2 - 4 heures - **Durée de détection urinaire** - **< 10 – 12 heures**
434
Hallucinogènes: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques - Effet recherché - Perceptions intenses et distorsionnées - Hallucinations - Expériences introspectives - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 8 - 12 heures - Durée de détection urinaire - Non mesuré
435
Hallucinogènes: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques** - Effet recherché - Perceptions intenses et distorsionnées - Hallucinations - Expériences introspectives - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 8 - 12 heures - Durée de détection urinaire - Non mesuré
436
Hallucinogènes: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques - **Effet recherché** - **Perceptions intenses et distorsionnées** - **Hallucinations** - **Expériences introspectives** - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 8 - 12 heures - Durée de détection urinaire - Non mesuré
437
Hallucinogènes: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques - Effet recherché - Perceptions intenses et distorsionnées - Hallucinations - Expériences introspectives - **Voie d'utilisation** - **Orale** - Durée de l'effet - 8 - 12 heures - Durée de détection urinaire - Non mesuré
438
Hallucinogènes: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques - Effet recherché - Perceptions intenses et distorsionnées - Hallucinations - Expériences introspectives - Voie d'utilisation - Orale - **Durée de l'effet** - **8 - 12 heures** - Durée de détection urinaire - Non mesuré
439
Hallucinogènes: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Agoniste partiel des récepteurs sérotoninergiques post- synaptiques - Effet recherché - Perceptions intenses et distorsionnées - Hallucinations - Expériences introspectives - Voie d'utilisation - Orale - Durée de l'effet - 8 - 12 heures - **Durée de détection urinaire** - **Non mesuré**
440
Opiacés: - Mécanisme d'action - Effet recherché - Voie d'utilisation - Durée de l'effet - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - Effet indirect sur dopamine - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
441
Opiacés: - Mécanisme d'action
- **Mécanisme d'action** - **Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)** - **Effet indirect sur dopamine** - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
442
Opiacés: - Mécanisme d'action: nommez les récepteurs en jeu
- **Mécanisme d'action** - **Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ)** - Effet indirect sur dopamine - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
443
Opiacés: - Mécanisme d'action: NT
- **Mécanisme d'action** - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - **Effet indirect sur dopamine** - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
444
Opiacés: - Effet recherché
- Mécanisme d'action - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - Effet indirect sur dopamine - **Effet recherché** - **Euphorie (rush « orgasmique »)** - **Soulagement de la tension, sédation, analgésie** - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
445
Opiacés: - Voie d'utilisation
- Mécanisme d'action - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - Effet indirect sur dopamine - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - **Voie d'utilisation** - **Orale** - **Inhalée** - **Intraveineuse** - Durée de l'effet - Dépend des substances - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
446
Opiacés: - Durée de l'effet
- Mécanisme d'action - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - Effet indirect sur dopamine - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - **Durée de l'effet** - **Dépend des substances** - Durée de détection urinaire - Dépend des substances
447
Opiacés: - Durée de détection urinaire
- Mécanisme d'action - Liaison au récepteurs opioïdes (µ, κ, δ) - Effet indirect sur dopamine - Effet recherché - Euphorie (rush « orgasmique ») - Soulagement de la tension, sédation, analgésie - Voie d'utilisation - Orale - Inhalée - Intraveineuse - Durée de l'effet - Dépend des substances - **Durée de détection urinaire** - **Dépend des substances**
448
Nouveau diagnostic (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5
* Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique » * Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis ».
449
Nouveau dx (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5 - Dx déplacé
* **Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique »** * Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis ».
450
Nouveau dx (catégorie des tr addictifs) dans DSM-5 - Vrai dx ajouté
* Celui qui n’a en fait été que déplacé est la catégorie de « jeu pathologique » * **Un diagnostic ajouté au DSM-V non présent dans le DSM-IV est le diagnostic de « sevrage du cannabis »**.
451
Cannabis
* Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa. * Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes. * Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
452
Cannabis: Synonymes
* **Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich** sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa. * Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes. * Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
453
Cannabis: Dérivé de quoi?
* Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich **sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa**. * Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes. * Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
454
Cannabis: Contient quoi?
* Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa. * **Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes**. * Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
455
Cannabis: Phytocannabinoïdes
* Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa. * **Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes**. * Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970.
456
Cannabis: Concentration de la substance
* Substance communément appelée pot, cannabis, marijuana, haschich sont des dérivés de la plantes Cannabis sativa. * Contient plusieurs dizaines de phytocannabinoïdes, les plus connus étant le THC associé aux effets psychotropes. * **Les produits actuels atteignent parfois des concentrations de 20%, alors qu’ils se situaient préférablement sous 5% en 1970**.
457
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Critère de base nécessaire
- A. **Usage récent de cannabis**. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
458
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Changements
- A. Usage récent de cannabis. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple** : - 1.**Altération de la coordination motrice**. - 2.**Euphorie**. - 3.**Anxiété**. - 4.**Sensation de ralentissement du temps**. - 5.**Altération du jugement**. - 6.**Retrait social**. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
459
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Nommez des exemples de changements
- A. Usage récent de cannabis. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple** : - 1.**Altération de la coordination motrice**. - 2.**Euphorie**. - 3.**Anxiété**. - 4.**Sensation de ralentissement du temps**. - 5.**Altération du jugement**. - 6.**Retrait social**. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
460
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Quand surviennent les changements?
- A. Usage récent de cannabis. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
461
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes
- A. Usage récent de cannabis. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis** : - 1.**Conjonctives injectées**. - 2.**Augmentation de l’appétit**. - 3.**Sécheresse de la bouche**. - 4.**Tachycardie**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
462
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes - nommez-les
- A. Usage récent de cannabis. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis** : - 1.**Conjonctives injectées**. - 2.**Augmentation de l’appétit**. - 3.**Sécheresse de la bouche**. - 4.**Tachycardie**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
463
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Signes et symptômes - quand doivent-il apparaître?
- A. Usage récent de cannabis. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis** : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
464
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Spécifications
- Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
465
Critères dx de l’intoxication au cannabis: Exclure quoi?
- A. Usage récent de cannabis. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques cliniquement significatifs, par exemple : - 1.Altération de la coordination motrice. - 2.Euphorie. - 3.Anxiété. - 4.Sensation de ralentissement du temps. - 5.Altération du jugement. - 6.Retrait social. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du cannabis. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans les 2 heures qui suivent l’usage du cannabis : - 1.Conjonctives injectées. - 2.Augmentation de l’appétit. - 3.Sécheresse de la bouche. - 4.Tachycardie. - D. **Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance. Idem à DSM-5**. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
466
Critères dx du sevrage au cannabis
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A : - 1.Irritabilité, colère, ou agressivité. - 2.Nervosité ou anxiété. - 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants). - 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids. - 5.Fébrilité. - 6.Thymie dépressive. - 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
467
Critères dx du sevrage au cannabis - critère de base
- A. **Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois).** - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A : - 1.Irritabilité, colère, ou agressivité. - 2.Nervosité ou anxiété. - 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants). - 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids. - 5.Fébrilité. - 6.Thymie dépressive. - 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
468
Critères dx du sevrage au cannabis - symptômes
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. **Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A**: - 1.**Irritabilité, colère, ou agressivité**. - 2.**Nervosité ou anxiété**. - 3.**Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).** - 4.**Diminution de l’appétit ou perte de poids**. - 5.**Fébrilité**. - 6.**Thymie dépressive**. - 7.**Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées.** - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
469
Critères dx du sevrage au cannabis - symptômes: apparaissent quand?
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent **dans un délai d’environ une semaine après le critère A** : - 1.Irritabilité, colère, ou agressivité. - 2.Nervosité ou anxiété. - 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants). - 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids. - 5.Fébrilité. - 6.Thymie dépressive. - 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
470
Critères dx du sevrage au cannabis - symptômes: nommez-les
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A : - 1.**Irritabilité, colère, ou agressivité**. - 2.**Nervosité ou anxiété**. - 3.**Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants).** - 4.**Diminution de l’appétit ou perte de poids**. - 5.**Fébrilité**. - 6.**Thymie dépressive**. - 7.**Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
471
Critères dx du sevrage au cannabis - impacts
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A : - 1.Irritabilité, colère, ou agressivité. - 2.Nervosité ou anxiété. - 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants). - 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids. - 5.Fébrilité. - 6.Thymie dépressive. - 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées. - C. **Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
472
Critères dx du sevrage au cannabis - exclure quoi?
- A. Arrêt d’un usage du cannabis qui a été massif et prolongé (c.-à-d. consommation habituellement quotidienne ou presque durant une période d’au moins quelques mois). - B. Au moins trois des signes et symptômes se développent dans un délai d’environ une semaine après le critère A : - 1.Irritabilité, colère, ou agressivité. - 2.Nervosité ou anxiété. - 3.Troubles du sommeil (p. ex. insomnie, rêves perturbants). - 4.Diminution de l’appétit ou perte de poids. - 5.Fébrilité. - 6.Thymie dépressive. - 7.Au moins un des symptômes physiques suivants cause de l’inconfort significatif : douleurs abdominales, instabilité/tremblements, sueurs, fièvre, frissons ou céphalées. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance**.
473
Cocaïne et amphétamines
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
474
Cocaïne et amphétamines: Effets sur SNC
* **Ce sont des stimulants du SNC**. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
475
Cocaïne et amphétamines: - effet de la cocaïne
* Ce sont des stimulants du SNC. * **Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant** qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
476
Cocaïne et amphétamines: - Cocaïne: voie d'administration
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui **peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau**. * Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
477
Cocaïne et amphétamines: qu'est-ce que le crack?
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * **Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée**. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
478
Cocaïne et amphétamines: Nom scientifique du crack
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la forme cristalline (**cocaïne alcaloïde**) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
479
Cocaïne et amphétamines: Voie d'aministration du crack
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la **forme cristalline** (cocaïne alcaloïde) **qui peut être fumée**. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
480
Cocaïne et amphétamines: Qu'est-ce que le crack?
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la **forme cristalline** (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant.
481
Cocaïne et amphétamines: Nommez les amphétamines
* Ce sont des stimulants du SNC. * Le chlorhydrate de cocaïne est un psychostimulant qui peut être inhalé par le nez sous la forme de poudre ou injecté après dilution dans l’eau. * Le crack correspond à la forme cristalline (cocaïne alcaloïde) qui peut être fumée. * **L’amphétamine, la dexamphétamine et la méthamphétamine font tous parties de ce groupe de stimulant**.
482
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines
- A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. : - euphorie ou émoussement affectif ; - changement de la sociabilité ; - hypervigilance ; - sensibilité interpersonnelle ; - anxiété, tension ou colère ; - comportements stéréotypés ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant : - 1.Tachycardie ou bradycardie. - 2.Dilatation pupillaire. - 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle. - 4.Transpiration ou frissons. - 5.Nausées ou vomissements. - 6.Perte de poids avérée. - 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques. - 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
483
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - critère de base
- A. **Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant**. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. : - euphorie ou émoussement affectif ; - changement de la sociabilité ; - hypervigilance ; - sensibilité interpersonnelle ; - anxiété, tension ou colère ; - comportements stéréotypés ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant : - 1.Tachycardie ou bradycardie. - 2.Dilatation pupillaire. - 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle. - 4.Transpiration ou frissons. - 5.Nausées ou vomissements. - 6.Perte de poids avérée. - 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques. - 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
484
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - nommez les changements
- A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex**. : - **euphorie ou émoussement affectif** ; - **changement de la sociabilité** ; - **hypervigilance** ; - **sensibilité interpersonnelle** ; - **anxiété, tension ou colère** ; - **comportements stéréotypés** ; - **altération du jugement**. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant : - 1.Tachycardie ou bradycardie. - 2.Dilatation pupillaire. - 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle. - 4.Transpiration ou frissons. - 5.Nausées ou vomissements. - 6.Perte de poids avérée. - 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques. - 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
485
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - quand les changements doivent-ils survenir?
- A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. : - euphorie ou émoussement affectif ; - changement de la sociabilité ; - hypervigilance ; - sensibilité interpersonnelle ; - anxiété, tension ou colère ; - comportements stéréotypés ; - altération du jugement. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant : - 1.Tachycardie ou bradycardie. - 2.Dilatation pupillaire. - 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle. - 4.Transpiration ou frissons. - 5.Nausées ou vomissements. - 6.Perte de poids avérée. - 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques. - 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
486
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - signes et sx
- A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. : - euphorie ou émoussement affectif ; - changement de la sociabilité ; - hypervigilance ; - sensibilité interpersonnelle ; - anxiété, tension ou colère ; - comportements stéréotypés ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant** : - 1.**Tachycardie ou bradycardie**. - 2.**Dilatation pupillaire**. - 3.**Augmentation ou diminution de la pression artérielle.** - 4.**Transpiration ou frissons**. - 5.**Nausées ou vomissements**. - 6.**Perte de poids avérée**. - 7.**Agitation ou ralentissement psychomoteur**. - 8.**Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques**. - 9.**Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
487
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - exclure quoi?
- A. Usage récent d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs (p. ex. : - euphorie ou émoussement affectif ; - changement de la sociabilité ; - hypervigilance ; - sensibilité interpersonnelle ; - anxiété, tension ou colère ; - comportements stéréotypés ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage du stimulant. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant durant ou peu de temps après l’usage du stimulant : - 1.Tachycardie ou bradycardie. - 2.Dilatation pupillaire. - 3.Augmentation ou diminution de la pression artérielle. - 4.Transpiration ou frissons. - 5.Nausées ou vomissements. - 6.Perte de poids avérée. - 7.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - 8.Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleurs thoraciques ou arythmies cardiaques. - 9.Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonies ou coma. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, y compris une intoxication par une autre substance**. - Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
488
Critères dx de l’intox à la cocaïne aux amphétamines - spécifications
- Spécifier le stimulant spécifique (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant). - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
489
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
490
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - critère de base
- A. **Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant**. - B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
491
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - nommez les symptômes
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. **Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A** : - 1.**Épuisement**. - 2.**Rêves intenses et déplaisants**. - 3.**Insomnie ou hypersomnie**. - 4.**Augmentation de l’appétit**. - 5.**Agitation ou ralentissement psychomoteur**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
492
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - symptôme de base
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. **Humeur dysphorique** et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
493
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - sx apparaissent quand?
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, **apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A** : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
494
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - impacts
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. **Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5. - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
495
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - exclure quoi?
- A. Arrêt (ou réduction) de l’usage prolongé d’une substance amphétaminique, de cocaïne ou d’un autre stimulant. - B. Humeur dysphorique et deux (ou plus) des modifications physiologiques suivantes, apparaissant de quelques heures à plusieurs jours après le critère A : - 1.Épuisement. - 2.Rêves intenses et déplaisants. - 3.Insomnie ou hypersomnie. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Agitation ou ralentissement psychomoteur. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance. Idem à DSM-5.** - Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage(c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
496
Critères dx du sevrage de la cocaïne ou aux amphétamines - spécifications
- Spécifier la substance spécifique qui cause le syndrome de sevrage (c.-à-d. substance amphétaminique, cocaïne ou autre stimulant.
497
Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques
* Ce sont des dépresseurs du SNC. * Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques
498
Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques: Effets sur SNC
* **Ce sont des dépresseurs du SNC**. * Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques
499
Sédatifs, hypnotiques et anxiolytiques - nommez les substances
* Ce sont des dépresseurs du SNC. * **Ces substances comprennent les benzodiazépines, les carbamates, les barbituriques et les substances hypnotiques de type barbituriques**
500
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique
- A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple : - comportement sexuel ou agressivité inappropriée ; - labilité de l’humeur ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire). - 6.Stupeur ou coma. - D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
501
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique - critère de base
- A. **Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique**. - B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple : - comportement sexuel ou agressivité inappropriée ; - labilité de l’humeur ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire). - 6.Stupeur ou coma. - D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
502
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique - nommez les changements
- A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple** : - **comportement sexuel ou agressivité inappropriée** ; - **labilité de l’humeur**; - **altération du jugement**. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique**. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire). - 6.Stupeur ou coma. - D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
503
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique - quand les changements doivent-ils survenir?
- A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple : - comportement sexuel ou agressivité inappropriée ; - labilité de l'humeur ; - altération du jugement. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique**. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire). - 6.Stupeur ou coma. - D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
504
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique - nommez les sx ou signes
- A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple : - comportement sexuel ou agressivité inappropriée ; - labilité de l’humeur ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - C. **Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique** : - 1.**Discours bredouillant**. - 2.**Incoordination motrice**. - 3.**Démarche ébrieuse**. - 4.**Nystagmus**. - 5.**Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire).** - 6.**Stupeur ou coma**. - D. Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
505
Critères dx de l’intox à un sédatif, hypnotique ou anxiolytique - exclure quoi?
- A. Usage récent d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - B. Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, cliniquement significatifs, par exemple : - comportement sexuel ou agressivité inappropriée ; - labilité de l’humeur ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique. - C. Au moins un des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après l’usage d’un sédatif, d’un hypnotique ou d’un anxiolytique : - 1.Discours bredouillant. - 2.Incoordination motrice. - 3.Démarche ébrieuse. - 4.Nystagmus. - 5.Altération cognitive (p. ex. de l’attention ou de la mémoire). - 6.Stupeur ou coma. - D. **Les signes et symptômes ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance**.
506
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
507
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - critère de base
- A. **Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé**. - Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
508
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
509
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - manifestations
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - B. **Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A** : - 1.**Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute).** - 2.**Tremblement des mains**. - 3.**Insomnie**. - 4.**Nausées ou vomissements**. - 5.**Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives**. - 6.**Agitation psychomotrice**. - 7.**Anxiété**. - 8.**Crises convulsives de type grand mal**. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
510
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - manifestations doivent débuter quand?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se **développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A** : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
511
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - impacts
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. **Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
512
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - exclure quoi?
- A. Arrêt (ou réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique qui a été massif et prolongé. - B. Au moins deux des manifestations suivantes se développant de quelques heures à quelques jours après l’arrêt (ou la réduction) d’un usage de sédatif, hypnotique ou anxiolytique décrit dans le critère A : - 1.Hyperactivité neurovégétative (p. ex. transpiration ou fréquence cardiaque supérieure à 100 battements/minute). - 2.Tremblement des mains. - 3.Insomnie. - 4.Nausées ou vomissements. - 5.Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives. - 6.Agitation psychomotrice. - 7.Anxiété. - 8.Crises convulsives de type grand mal. - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les signes et symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, incluant l’intoxication par une autre substance**. - Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
513
Critères dx du sevrage d’un sédatif, hypnotique ou anxiolytique DSM-5 - spécifications
- Spécifier si : Avec perturbations des perceptions
514
Phencyclidine: Abréviation
PCP
515
Phencyclidine
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
516
Phencyclidine: Classe de Rx
* **La PCP est un anesthésique dissociatif.** * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
517
Phencyclidine: Formes possibles
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * **Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules**. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
518
Phencyclidine: Avantages
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * **Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues**. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
519
Phencyclidine: Son utilisation
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, **elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues**. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
520
Phencyclidine: Mode d'action / récepteurs en jeu
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * **C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA**. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
521
Phencyclidine: Type d'effet
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * **Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance**. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
522
Phencyclidine: Dépendance
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * **Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance**. * Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes.
523
Phencyclidine: Sevrage
* La PCP est un anesthésique dissociatif. * Se présente sous forme de poudre, comprimés, liquide ou capsules. * Son accessibilité est grande et peu couteuse, elle est souvent utilisée pour diluer d’autres drogues. * C’est une arylcyloalkylamine synthétique non compétitif des récepteurs NMDA. * Il est à noter que pour les perturbateurs du SNC, il est rare de voir apparaître une véritable dépendance. * **Il n’y a pas de réel syndrome de sevrage connu en ce qui concerne les hallucinogènes**.
524
Critères dx de l’intox à la phencyclidine
- A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique). - B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.: - bagarres, agressivité ; - impulsivité, imprévisibilité ; - agitation psychomotrice ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit : - 1.Nystagmus horizontal ou vertical. - 2.Hypertension ou tachycardie. - 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur. - 4.Ataxie. - 5.Dysarthrie. - 6.Rigidité musculaire. - 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
525
Critères dx de l’intox à la phencyclidine - critère de base
- A. **Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique).** - B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.: - bagarres, agressivité ; - impulsivité, imprévisibilité ; - agitation psychomotrice ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit : - 1.Nystagmus horizontal ou vertical. - 2.Hypertension ou tachycardie. - 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur. - 4.Ataxie. - 5.Dysarthrie. - 6.Rigidité musculaire. - 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
526
Critères dx de l’intox à la phencyclidine - nommez les changements
- A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique). - B. **Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex**.: - **bagarres, agressivité** ; - **impulsivité, imprévisibilité** ; - **agitation psychomotrice** ; - **altération du jugement**. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit : - 1.Nystagmus horizontal ou vertical. - 2.Hypertension ou tachycardie. - 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur. - 4.Ataxie. - 5.Dysarthrie. - 6.Rigidité musculaire. - 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
527
Critères dx de l’intox à la phencyclidine - quand les changements débutent-ils?
- A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique). - B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.: - bagarres, agressivité ; - impulsivité, imprévisibilité ; - agitation psychomotrice ; - altération du jugement. - **[Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit : - 1.Nystagmus horizontal ou vertical. - 2.Hypertension ou tachycardie. - 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur. - 4.Ataxie. - 5.Dysarthrie. - 6.Rigidité musculaire. - 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
528
Critères dx de l’intox à la phencyclidine - nommez les signes et sx
- A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique). - B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.: - bagarres, agressivité ; - impulsivité, imprévisibilité ; - agitation psychomotrice ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit** : - 1.**Nystagmus horizontal ou vertical**. - 2.**Hypertension ou tachycardie**. - 3.**Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur.** - 4.**Ataxie**. - 5.**Dysarthrie**. - 6.**Rigidité** **musculaire**. - 7.**Crises convulsives ou coma**. - 8.**Hyperacousie**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
529
Critères dx de l’intox à la phencyclidine - exclure quoi?
- A. Usage récent de phencyclidine (ou d’une substance similaire sur le plan pharmacologique). - B. Changements comportementaux problématiques, cliniquement significatifs (p. ex.: - bagarres, agressivité ; - impulsivité, imprévisibilité ; - agitation psychomotrice ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant ou peu après l’usage de phencyclidine. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants, se développant dans l’heure qui suit : - 1.Nystagmus horizontal ou vertical. - 2.Hypertension ou tachycardie. - 3.Engourdissement ou diminution de la réponse à la douleur. - 4.Ataxie. - 5.Dysarthrie. - 6.Rigidité musculaire. - 7.Crises convulsives ou coma. 8. Hyperacousie. - D. **Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance**.
530
Nicotine
C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.
531
Nicotine: c'est quoi?
C’est un alcaloïde retrouvé dans les feuilles de tabac.
532
Nicotine: Classe de molécules
C’est un **alcaloïde** retrouvé dans les feuilles de tabac.
533
Nicotine: Source / provenance
C’est un alcaloïde retrouvé dans les **feuilles de tabac.**
534
Trouble de l'usage du tabac
535
Critères dx du sevrage de la nicotine - critère de base
- A. **Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines**. - B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants : - 1.Irritabilité, frustration ou colère. - 2.Anxiété. - 3.Difficultés de concentration. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Fébrilité. - 6.Humeur dépressive. - 7.Insomnie. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
536
Critères dx du sevrage de la nicotine - cause
- A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines. - B. **Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée**, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants : - 1.Irritabilité, frustration ou colère. - 2.Anxiété. - 3.Difficultés de concentration. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Fébrilité. - 6.Humeur dépressive. - 7.Insomnie. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
537
Critères dx du sevrage de la nicotine - nommez les symptômes
- A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines. - B. **Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants** : - 1.**Irritabilité, frustration ou colère**. - 2.**Anxiété**. - 3.**Difficultés de concentration**. - 4.**Augmentation de l’appétit**. - 5.**Fébrilité**. - 6.**Humeur dépressive**. - 7.**Insomnie**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
538
Critères dx du sevrage de la nicotine - quand débutent les symptômes?
- A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines. - B. **Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants** : - 1.Irritabilité, frustration ou colère. - 2.Anxiété. - 3.Difficultés de concentration. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Fébrilité. - 6.Humeur dépressive. - 7.Insomnie. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
539
Critères dx du sevrage de la nicotine - impacts
- A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines. - B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants : - 1.Irritabilité, frustration ou colère. - 2.Anxiété. - 3.Difficultés de concentration. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Fébrilité. - 6.Humeur dépressive. - 7.Insomnie. - C. **Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
540
Critères dx du sevrage de la nicotine - exclure quoi?
- A. Usage quotidien de tabac pendant au moins plusieurs semaines. - B. Arrêt brutal de la consommation, ou réduction de la quantité de tabac utilisée, suivi, dans les 24 heures, d’au moins quatre des signes ou symptômes suivants : - 1.Irritabilité, frustration ou colère. - 2.Anxiété. - 3.Difficultés de concentration. - 4.Augmentation de l’appétit. - 5.Fébrilité. - 6.Humeur dépressive. - 7.Insomnie. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel, ou dans d’autres domaines importants. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas imputables à une affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance**.
541
Tr usage de tabac: Dans le DSM-5
* Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine. * Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope
542
Tr usage de tabac: Dans les DSM-5 - intox nicotine
* **Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine**. * Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope
543
Nommez les symotômes d'une intox à la nicotine
* Dans le DSM-V, il existe un trouble de l’usage du tabac, comme pour l’alcool, mais aucune catégorie diagnostique pour une intoxication à la nicotine. * **Les symptômes d’une intoxication à la nicotine sont des nausées / vomissements, sécheresse buccale, palpitations, céphalées, insomnie, lipothymie et syncope**
544
Solvants volatils
* Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables. * Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols. * L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées. * Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
545
Solvants volatils: Décrire
* **Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables.** * Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols. * L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées. * Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
546
Solvants volatils: Nommez-les
* Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables. * **Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols**. * L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées. * Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5.
547
Solvants volatils: Symptômes d'arrêt
* Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables. * Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols. * **L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées**. * **Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5**.
548
Solvants volatils: Symptômes d'arrêt - DSM-5
* Comprennent une vaste gamme de produits chimiques dont les effets physiques et psychologiques sont semblables. * Dans cette catégorie, on retrouve les hydrocarbure aliphatique et aromatiques (essence, colle, diluant à peinture, etc.), les hydrocarbures halogénés (gaz d’aérosol, liquide correcteur, produit de nettoyage, etc.) et les autres produits contenant des esters, cétones et glycols. * L’arrêt brusque de ces substances (sevrage) peut entraîner des symptômes dépressifs et anxieux, une perte d’appétit, de l’irritabilité, des étourdissements, des tremblements et des nausées. * **Ces manifestations ne sont toutefois pas décrites dans le DSM-5**.
549
Critères dx de l’intox aux solvants
- A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple : - bagarre, agressivité ; - apathie ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées : - 1.Étourdissements. - 2.Nystagmus. - 3.Incoordination motrice. - 4.Discours bredouillant. - 5.Démarche ébrieuse. - 6.Léthargie. - 7.Diminution des réflexes. - 8.Ralentissement moteur. - 9.Tremblements. - 10.Faiblesse musculaire généralisée. - 11.Vision trouble ou diplopie. - 12.Stupeur ou coma. - 13.Euphorie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
550
Critères dx de l’intox aux solvants - critère de base
- A. **Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence.** - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple : - bagarre, agressivité ; - apathie ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées : - 1.Étourdissements. - 2.Nystagmus. - 3.Incoordination motrice. - 4.Discours bredouillant. - 5.Démarche ébrieuse. - 6.Léthargie. - 7.Diminution des réflexes. - 8.Ralentissement moteur. - 9.Tremblements. - 10.Faiblesse musculaire généralisée. - 11.Vision trouble ou diplopie. - 12.Stupeur ou coma. - 13.Euphorie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
551
Critères dx de l’intox aux solvants: Nommez les changements
- A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence. - B. **Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple** : - **bagarre, agressivité** ; - **apathie** ; - **altération du jugement**. - **[Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées.** - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées : - 1.Étourdissements. - 2.Nystagmus. - 3.Incoordination motrice. - 4.Discours bredouillant. - 5.Démarche ébrieuse. - 6.Léthargie. - 7.Diminution des réflexes. - 8.Ralentissement moteur. - 9.Tremblements. - 10.Faiblesse musculaire généralisée. - 11.Vision trouble ou diplopie. - 12.Stupeur ou coma. - 13.Euphorie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
552
Critères dx de l’intox aux solvants - quand sont les changements?
- A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple : - bagarre, agressivité ; - apathie ; - altération du jugement. - **[Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées**. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées : - 1.Étourdissements. - 2.Nystagmus. - 3.Incoordination motrice. - 4.Discours bredouillant. - 5.Démarche ébrieuse. - 6.Léthargie. - 7.Diminution des réflexes. - 8.Ralentissement moteur. - 9.Tremblements. - 10.Faiblesse musculaire généralisée. - 11.Vision trouble ou diplopie. - 12.Stupeur ou coma. - 13.Euphorie. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
553
Critères dx de l’intox aux solvants - signes et sx
- A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple : - bagarre, agressivité ; - apathie ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées. - C. **Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées** : - 1.**Étourdissements**. - 2.**Nystagmus**. - 3.**Incoordination motrice**. - 4.**Discours bredouillant**. - 5.**Démarche ébrieuse**. - 6.**Léthargie**. - 7.**Diminution des réflexes**. - 8.**Ralentissement moteur**. - 9.**Tremblements**. - 10.**Faiblesse musculaire généralisée**. - 11.**Vision trouble ou diplopie**. - 12.**Stupeur ou coma**. - 13.**Euphorie**. - D. Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
554
Critères dx de l’intox aux solvants - exclure quoi?
- A. Usage intentionnel ou récent ou exposition accidentelle de courte durée aux substances inhalées à forte dose, incluant les hydrocarbures volatils comme le toluène ou l’essence. - B. Changements comportementaux ou psychologiques problématiques, cliniquement significatifs, par exemple : - bagarre, agressivité ; - apathie ; - altération du jugement. - [Ces changements] se sont développés pendant, ou peu après, l’exposition aux substances inhalées. - C. Au moins deux des signes ou symptômes suivants se développant pendant ou peu après l’usage ou l’exposition aux substances inhalées : - 1.Étourdissements. - 2.Nystagmus. - 3.Incoordination motrice. - 4.Discours bredouillant. - 5.Démarche ébrieuse. - 6.Léthargie. - 7.Diminution des réflexes. - 8.Ralentissement moteur. - 9.Tremblements. - 10.Faiblesse musculaire généralisée. - 11.Vision trouble ou diplopie. - 12.Stupeur ou coma. - 13.Euphorie. - D. **Les symptômes ne sont pas dus à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance**.
555
Caféine
* La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines. * On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
556
Caféine: Type de molécules
* La caféine est un **alcaloïde** de la famille des méthylxanthines. * On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
557
Caféine: Dans quelle famille?
* La caféine est un alcaloïde de la **famille des méthylxanthines.** * On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.
558
Caféine: On y retrouve quoi?
* La caféine est un alcaloïde de la famille des méthylxanthines. * **On la retrouve dans les graines, les feuilles et les fruits de nombreuses plantes.**
559
Critères dx de l’intox à la caféine
- A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg). - B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine : - 1.Fébrilité. - 2.Nervosité. - 3.Excitation. - 4.Insomnie. - 5.Faciès vultueux. - 6.Augmentation de la diurèse. - 7.Troubles gastro-intestinaux. - 8.Soubresauts musculaires. - 9.Pensées et discours décousus. - 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque. - 11.Périodes d’infatigabilité. - 12.Agitation psychomotrice. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
560
Critères dx de l’intox à la caféine - critère de base
- A. **Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg).** - B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine : - 1.Fébrilité. - 2.Nervosité. - 3.Excitation. - 4.Insomnie. - 5.Faciès vultueux. - 6.Augmentation de la diurèse. - 7.Troubles gastro-intestinaux. - 8.Soubresauts musculaires. - 9.Pensées et discours décousus. - 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque. - 11.Périodes d’infatigabilité. - 12.Agitation psychomotrice. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
561
Critères dx de l’intox à la caféine - nombre de mg consommés
- A. Consommation récente de caféine (**typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg**). - B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine : - 1.Fébrilité. - 2.Nervosité. - 3.Excitation. - 4.Insomnie. - 5.Faciès vultueux. - 6.Augmentation de la diurèse. - 7.Troubles gastro-intestinaux. - 8.Soubresauts musculaires. - 9.Pensées et discours décousus. - 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque. - 11.Périodes d’infatigabilité. - 12.Agitation psychomotrice. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
562
Critères dx de l’intox à la caféine: - nommez les sx
- A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg). - B. **Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine** : - 1.**Fébrilité**. - 2.**Nervosité**. - 3.**Excitation**. - 4.**Insomnie**. - 5.**Faciès vultueux**. - 6.**Augmentation de la diurèse**. - 7.**Troubles gastro-intestinaux**. - 8.**Soubresauts musculaires**. - 9.**Pensées et discours décousus**. - 10.**Tachycardie ou arythmie cardiaque**. - 11.**Périodes d’infatigabilité**. - 12.**Agitation psychomotrice**. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
563
Critères dx de l’intox à la caféine - impacts
- A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg). - B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine : - 1.Fébrilité. - 2.Nervosité. - 3.Excitation. - 4.Insomnie. - 5.Faciès vultueux. - 6.Augmentation de la diurèse. - 7.Troubles gastro-intestinaux. - 8.Soubresauts musculaires. - 9.Pensées et discours décousus. - 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque. - 11.Périodes d’infatigabilité. - 12.Agitation psychomotrice. - C. **Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants**. - D. Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance.
564
Critères dx de l’intox à la caféine - exclure quoi?
- A. Consommation récente de caféine (typiquement une dose élevée bien supérieure à 250 mg). - B. Au moins cinq des signes ou symptômes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation de caféine : - 1.Fébrilité. - 2.Nervosité. - 3.Excitation. - 4.Insomnie. - 5.Faciès vultueux. - 6.Augmentation de la diurèse. - 7.Troubles gastro-intestinaux. - 8.Soubresauts musculaires. - 9.Pensées et discours décousus. - 10.Tachycardie ou arythmie cardiaque. - 11.Périodes d’infatigabilité. - 12.Agitation psychomotrice. - C. Les signes ou symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. **Les symptômes ne sont pas imputables à une autre affection médicale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication par une autre substance**.
565
Critères dx du sevrage à la caféine
- A. Usage prolongé et quotidien de caféine. - B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants : - 1.Céphalées. - 2.Fatigue ou somnolence importante. - 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité. - 4.Difficultés de concentration. - 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire). - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
566
Critères dx du sevrage à la caféine - critère de base
- A. **Usage prolongé et quotidien de caféine**. - B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants : - 1.Céphalées. - 2.Fatigue ou somnolence importante. - 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité. - 4.Difficultés de concentration. - 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire). - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
567
Critères dx du sevrage à la caféine - nommez les signes et sx
- A. Usage prolongé et quotidien de caféine. - B. **Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants** : - 1.**Céphalées**. - 2.**Fatigue ou somnolence importante**. - 3.**Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité**. - 4.**Difficultés de concentration**. - 5.**Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire).** - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
568
Critères dx du sevrage à la caféine - impacts
- A. Usage prolongé et quotidien de caféine. - B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants : - 1.Céphalées. - 2.Fatigue ou somnolence importante. - 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité. - 4.Difficultés de concentration. - 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire). - C. **Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants**. - D. Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance.
569
Critères dx du sevrage à la caféine - exclure quoi?
- A. Usage prolongé et quotidien de caféine. - B. Arrêt brutal ou réduction de la prise de caféine, suivi dans les 24 heures par trois (ou plus des signes ou symptômes suivants : - 1.Céphalées. - 2.Fatigue ou somnolence importante. - 3.Humeur dysphorique, humeur dépressive ou irritabilité. - 4.Difficultés de concentration. - 5.Symptômes pseudo-grippaux (nausées, vomissements ou raideur/douleur musculaire). - C. Les symptômes du critère B causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants. - D. **Les signes ou symptômes ne sont pas associés aux effets psychologiques d’une autre affection médicale (comme la migraine ouune maladie virale) et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental, dont une intoxication ou un sevrage d’une autre substance**.
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TUS de d'autres substances
* Il est à noter que plusieurs autres substances sont abordées dans le livre. * De plus, le traitement pour chaque problème de chaque substances, l’épidémiologie ainsi que d’autres informations sont abordées dans le Lalonde. * Par contre, ces informations semblent déborder le contenu de ce cours, puisqu’elles ne sont pas présentes dans le guide de lecture, dans les PowerPoint ainsi que dans les objectifs.
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