Troubles reliés à l'utilisation de substances Flashcards
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes
Identifier, en se référant aux critères utilisés dans le DSM 5, les manifestations cliniques en relation avec l’intoxication et le sevrage liés aux substances suivantes (Lalonde 874 à 908) :
- Amphétamines
- Cannabis
- Cocaïne
- Anxiolytiques, hypnotiques, sédatifs
- Phencyclidine (PCP)
- Nicotine
- Inhalants et hallucinatoires
- Caféine
- Procéder à l’application de la démarche clinique dans un cas d’abus de substances présenté sur vignette
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- décrire l’effets de la substance
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- susbtance légale ou illégale?
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Substance psychoactive (SPA)
- différence avec terme “drogue”?
- Substance qui, une fois ingérée, modifie certains processus mentaux tel la cognition ou l’affect.
- Cette expression est neutre et désigne une catégorie complète de substances licites et illicites.
- L’expression « substance psychoactive » est préférée au terme « drogue » qui, dans le langage courant, désigne une substance illicite.
Définir: Addiction
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- origine du mot
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- lien avec médiéval
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- c’est quoi?
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Addiction
- addiction psychologique
- Anglicisme médiéval désignant la servitude où tombe un vassal incapable d’honorer ses dettes envers son suzerain.
- Dépendance à l’égard d’un toxique (toxicomanie), mais aussi, par extension, d’une pratique (achats compulsifs) ou d’une situation sociale (relations affectives, travail intense).
- Sur le plan psychologique, l’addiction implique du désarroi devant la répétition d’un rapport à un objet vidé de sens par sa consommation abusive.
Définir: Craving ou appétence
- Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
Définir: Craving ou appétence
- c’est quoi?
- Besoin impérieux du produit, ressenti par le sujet, en période de sevrage ou en période d’abstinence.
Définir: Comorbidité
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Comorbidité
- c’est quoi?
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Comorbidité
- définition en psychiatrie
- Présence simultanée de deux ou plusieurs diagnostics chez un même patient sans nécessité de lien causal.
- En psychiatrie, fait référence de façon générale à la concomitance de trouble lié à l’utilisation de substance et d’un autre diagnostic de l’axe I ou II.
Définir: Réduction des méfaits
- Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
Définir: Réduction des méfaits
- c’est quoi?
- Approche de santé publique qui met principalement l’accent sur la réduction des conséquences négatives de la consommation plutôt que sur l’élimination de celle-ci ou sur l’abstinence.
Dépendance / abus: DSM V
- Dépendance et Abus sont des termes du DSM IV remplacés par Trouble de l’usage de (…).
- Vous verrez en plénière la signification de ces termes que vous retrouverez dans les dossiers médicaux et encore dans le langage de certains cliniciens.
Définir: Dépendance et Abus
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Définir: Dépendance et Abus
- terme dans DSM-5
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Définir: Dépendance et Abus
- représentation dans le DSM-5
- Le DSM-5 offre une réforme des diagnostics des troubles des substances.
- Il présente maintenant ces troubles sous la forme d’un continuum, dont le spectre de sévérité débute par la consommation nocive de l’individu (abus), allant jusqu’à un tableau clinique plus grave incluant la prise compulsive d’alcool, la tolérance ou les symptômes de sevrage (dépendance).
Substance la plus consommée
L’alcool
Substance causant le plus de tr liés à l’usage dans la population générale
- L’alcool.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route
Alcool
- L’alcool est la substance causant le plus de trouble liés à l’usage dans la population générale et est la substance la plus consommée.
- On prend en considération qu’environ 90 % de la population consomme de l’alcool au Canada, les hommes en consommant plus que les femmes.
- L’âge moyen de la première consommation se situe à 18.2 ans, et c’est d’ailleurs dans le groupe 15-24 ans et 18-34 ans que l’on trouve les plus gros buveurs, notamment en raison des boissons gazeuses sucrées et alcoolisées (#FourLoko).
- En 2002, 2.6 % de la population présentait une dépendance à l’alcool (3.9 % H et 1.3 % F), quoique la prévalence de dépendance à l’alcool soit plus faible au Québec qu’au Canada (1.9 %).
- En 2010, 25 % des hommes et 10 % des femmes font de la consommation excessive d’alcool (+ de 5 conso en 1 occasion…, au moins 1 fois / mois dans la dernière année).
- Il est à noter que l’alcool est mis en cause dans 40 % des décès de la route