Lésions génitales Flashcards

1
Q

Papules perlées du pénis: c’est quoi?

A
  • Papules filiformes en rangées (1 ou +) à la couronne du gland
  • Fréquentes (~1/3)
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Bénignes
  • À différencier des condylomes
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2
Q

Papules perlées du pénis: fréquence

A
  • Papules filiformes en rangées (1 ou +) à la couronne du gland
  • Fréquentes (~1/3)
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Bénignes
  • À différencier des condylomes
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Q

Papules perlées du pénis: débute quand?

A
  • Papules filiformes en rangées (1 ou +) à la couronne du gland
  • Fréquentes (~1/3)
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Bénignes
  • À différencier des condylomes
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4
Q

Papules perlées du pénis: risques associés

A
  • Papules filiformes en rangées (1 ou +) à la couronne du gland
  • Fréquentes (~1/3)
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Bénignes
  • À différencier des condylomes
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5
Q

Papules perlées du pénis: Décrire les lésions

A
  • Papules filiformes en rangées (1 ou +) à la couronne du gland
  • Fréquentes (~1/3)
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Bénignes
  • À différencier des condylomes
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6
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce)

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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7
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce): décrire les lésions

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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8
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce): c’est quoi?

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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9
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce): débute quand?

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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10
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce): qui est touché?

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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11
Q

Glandes sébacées libres (Fordyce): risques associés

A
  • Papules (1-2mm) plus pâles que la peau, discrètement jaunâtres
  • Donnent aspect «peau de poulet»
  • = glandes sébacées normales vue en transparence
  • Apparaissent à l’adolescence
  • Retrouvées chez majorité (à degrés divers)
  • Bénignes
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12
Q

Angiokératomes

A
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13
Q

Angiokératomes: décrire les lésions

A
  • Papules violacées
  • Généralement multiples au scrotum ou à la vulve
  • = Dilatations capillaires
  • Plus fréquents chez le sujet âgé
  • Bénins
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14
Q

Angiokératomes: localisation + nombre

A
  • Papules violacées
  • Généralement multiples au scrotum ou à la vulve
  • = Dilatations capillaires
  • Plus fréquents chez le sujet âgé
  • Bénins
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15
Q

Angiokératomes: c’est quoi?

A
  • Papules violacées
  • Généralement multiples au scrotum ou à la vulve
  • = Dilatations capillaires
  • Plus fréquents chez le sujet âgé
  • Bénins
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16
Q

Angiokératomes: qui est touché?

A
  • Papules violacées
  • Généralement multiples au scrotum ou à la vulve
  • = Dilatations capillaires
  • Plus fréquents chez le sujet âgé
  • Bénins
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17
Q

Angiokératomes: risques associés

A
  • Papules violacées
  • Généralement multiples au scrotum ou à la vulve
  • = Dilatations capillaires
  • Plus fréquents chez le sujet âgé
  • Bénins
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18
Q

Balanite: définir

A

Balanite = Inflammation du gland

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19
Q

Posthite: définition

A

Posthite = Inflammation du prépuce
– Donc n’existe pas chez le circoncis

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20
Q

Posthite: chez qui?

A

Posthite = Inflammation du prépuce
– Donc n’existe pas chez le circoncis

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21
Q

Causes de balanoposthite

A

Inflammatoires

  • Dermatite
    – Séborrhéique
    – Atopique
    – De contact
    ——— Allergique
    ——— Irritative
  • Psoriasis
  • Balanite de Zoon
  • Lichen scléreux
  • Lichen plan

Infectieuses

  • Candidosique
  • Bactérienne
    – Streptocoque
    – Staphylocoque
    – Anaérobies
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22
Q

Causes de balanoposthite: nommez les causes INFLAMMATOIRES

A

Inflammatoires
* Dermatite
– Séborrhéique
– Atopique
– De contact
——— Allergique
——— Irritative
* Psoriasis
* Balanite de Zoon
* Lichen scléreux
* Lichen plan

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23
Q

Causes de balanoposthite: nommez les causes INFECTIEUSES

A

Infectieuses
* Candidosique
* Bactérienne
– Streptocoque
– Staphylocoque
– Anaérobies

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24
Q

Balanites eczémateuses: Présentation clinique

A
  • 2 tableaux:
  • Aigu:
    – Œdème et érythème importants
  • Chronique:
    – Squames et lichenification
    – Moins d’inflammation
  • Plus fréquent chez le non-circoncis
  • Plus fréquent chez l’atopique (rechercher autres localisations et questionner)
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25
Q

Balanites eczémateuses: différencier les lésions en aigu vs chronique

A
  • 2 tableaux:
  • Aigu:
    Œdème et érythème importants
  • Chronique:
    Squames et lichenification
    Moins d’inflammation
  • Plus fréquent chez le non-circoncis
  • Plus fréquent chez l’atopique (rechercher autres localisations et questionner)
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26
Q

Balanites eczémateuses: FDR

A
  • 2 tableaux:
  • Aigu:
    – Œdème et érythème importants
  • Chronique:
    – Squames et lichenification
    – Moins d’inflammation
  • Plus fréquent chez le non-circoncis
  • Plus fréquent chez l’atopique (rechercher autres localisations et questionner)
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27
Q

Balanoposthite de contact: FDR

A
  • Plus fréquente chez le patient atopique
  • Plus fréquente en présence d’un prépuce long
  • Allergique
    – Revue des substances appliquées
    – Topiques, gels, latex, spermicides, savons,…
    – Y penser surtout dans les cas récidivants
  • Irritative
    – Soins d’hygiène en excès ou en manque – toujours questionner…
    – Iatrogène
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28
Q

Balanoposthite de contact: Nommez les types

A
  • Plus fréquente chez le patient atopique
  • Plus fréquente en présence d’un prépuce long
  • Allergique
    – Revue des substances appliquées
    – Topiques, gels, latex, spermicides, savons,…
    – Y penser surtout dans les cas récidivants
  • Irritative
    – Soins d’hygiène en excès ou en manque – toujours questionner…
    – Iatrogène
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29
Q

Balanoposthite de contact: ALLERGIQUES - questionnaire + causes + quand y penser?

A
  • Plus fréquente chez le patient atopique
  • Plus fréquente en présence d’un prépuce long
  • Allergique
    Revue des substances appliquées
    Topiques, gels, latex, spermicides, savons,…
    Y penser surtout dans les cas récidivants
  • Irritative
    – Soins d’hygiène en excès ou en manque – toujours questionner…
    – Iatrogène
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30
Q

Balanoposthite de contact: IRRITATIVES
- questionner quoi?
- cause

A
  • Plus fréquente chez le patient atopique
  • Plus fréquente en présence d’un prépuce long
  • Allergique
    – Revue des substances appliquées
    – Topiques, gels, latex, spermicides, savons,…
    – Y penser surtout dans les cas récidivants
  • Irritative
    Soins d’hygiène en excès ou en manque – toujours questionner…
    Iatrogène
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31
Q

Balanoposthite séborrhéique: c’est quoi?

A
  • = Dermatite séborrhéique
  • Souvent autres localisation atteintes – à rechercher
    – cuir chevelu, glabelle, sourcils, plis nasogéniens,…
  • Tableau clinique:
    – Souvent subaigu avec poussées
    ——– S’aggrave en périodes d’hygiène moins fréquente
    – Prurigineuse
    – Souvent posthite prédominante
  • Traitements:
    – Antifongiques topiques (shampoing?) ou inhibiteurs de calcineurine
    – Dermocorticoïdes faibles si poussée
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32
Q

Balanoposthite séborrhéique: structures atteintes

A
  • = Dermatite séborrhéique
  • Souvent autres localisation atteintes – à rechercher
    cuir chevelu, glabelle, sourcils, plis nasogéniens,…
  • Tableau clinique:
    – Souvent subaigu avec poussées
    ——– S’aggrave en périodes d’hygiène moins fréquente
    – Prurigineuse
    – Souvent posthite prédominante
  • Traitements:
    – Antifongiques topiques (shampoing?) ou inhibiteurs de calcineurine
    – Dermocorticoïdes faibles si poussée
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33
Q

Balanoposthite séborrhéique: présentation clinique

A
  • = Dermatite séborrhéique
  • Souvent autres localisation atteintes – à rechercher
    – cuir chevelu, glabelle, sourcils, plis nasogéniens,…
  • Tableau clinique:
    Souvent subaigu avec poussées
    —— S’aggrave en périodes d’hygiène moins fréquente
    Prurigineuse
    Souvent posthite prédominante
  • Traitements:
    – Antifongiques topiques (shampoing?) ou inhibiteurs de calcineurine
    – Dermocorticoïdes faibles si poussée
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34
Q

Balanoposthite séborrhéique: traitement

A
  • = Dermatite séborrhéique
  • Souvent autres localisation atteintes – à rechercher
    – cuir chevelu, glabelle, sourcils, plis nasogéniens,…
  • Tableau clinique:
    – Souvent subaigu avec poussées
    ——– S’aggrave en périodes d’hygiène moins fréquente
    – Prurigineuse
    – Souvent posthite prédominante
  • Traitements:
    Antifongiques topiques (shampoing?) ou inhibiteurs de calcineurine
    Dermocorticoïdes faibles si poussée
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35
Q

Balanoposthite psoriasique: fréquence / prévalence

A
  • Le psoriasis atteint fréquemment les OGE
    Retrouvée chez 33-49% des hommes psoriasiques
    2-5% psoriasis génital isolé
  • = psoriasis inversé
    – Axillaire, inguinal, pli interfessier, sous-mammaire
  • Gland > > scrotum-fourreau
  • La non circoncision en complique le diagnostic
  • Il faut parfois s’aider de la présence d’autres localisations de psoriasis pour le diagnostic
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36
Q

Balanoposthite psoriasique: autre nom

A
  • Le psoriasis atteint fréquemment les OGE
    – Retrouvée chez 33-49% des hommes psoriasiques
    – 2-5% psoriasis génital isolé
  • = psoriasis inversé
    – Axillaire, inguinal, pli interfessier, sous-mammaire
  • Gland&raquo_space; scrotum-fourreau
  • La non circoncision en complique le diagnostic
  • Il faut parfois s’aider de la présence d’autres localisations de psoriasis pour le diagnostic
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37
Q

Balanoposthite psoriasique: structures du pénis atteinte

A
  • Le psoriasis atteint fréquemment les OGE
    – Retrouvée chez 33-49% des hommes psoriasiques
    – 2-5% psoriasis génital isolé
  • = psoriasis inversé
    – Axillaire, inguinal, pli interfessier, sous-mammaire
  • Gland > > scrotum-fourreau
  • La non circoncision en complique le diagnostic
  • Il faut parfois s’aider de la présence d’autres localisations de psoriasis pour le diagnostic
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38
Q

Balanoposthite psoriasique: ce qui complique le dx

A
  • Le psoriasis atteint fréquemment les OGE
    – Retrouvée chez 33-49% des hommes psoriasiques
    – 2-5% psoriasis génital isolé
  • = psoriasis inversé
    – Axillaire, inguinal, pli interfessier, sous-mammaire
  • Gland&raquo_space; scrotum-fourreau
  • La non circoncision en complique le diagnostic
  • Il faut parfois s’aider de la présence d’autres localisations de psoriasis pour le diagnostic
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39
Q

Balanoposthite psoriasique: dx

A
  • Le psoriasis atteint fréquemment les OGE
    – Retrouvée chez 33-49% des hommes psoriasiques
    – 2-5% psoriasis génital isolé
  • = psoriasis inversé
    – Axillaire, inguinal, pli interfessier, sous-mammaire
  • Gland&raquo_space; scrotum-fourreau
  • La non circoncision en complique le diagnostic
  • Il faut parfois s’aider de la présence d’autres localisations de psoriasis pour le diagnostic
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40
Q

Balanoposthite psoriasique: Traitement

A
  • Dermocorticoïdes faibles à modérés
  • La seule localisation génitale peut justifier un traitement systémique
    – Atteinte de la qualité de vie++
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41
Q

Balanoposthite psoriasique: Indication de tx

A
  • Dermocorticoïdes faibles à modérés
  • La seule localisation génitale peut justifier un traitement systémique
    – Atteinte de la qualité de vie++
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42
Q

Balanoposthite de Zoon: C’est quoi?

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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43
Q

Balanoposthite de Zoon: aigu ou chronique? risque associé?

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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44
Q

Balanoposthite de Zoon: touche qui?

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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45
Q

Balanoposthite de Zoon: décrire les lésions

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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46
Q

Balanoposthite de Zoon: localisation

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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47
Q

Balanoposthite de Zoon: sx

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    – Phimosis
    – Synéchies balanopréputiales
    – Hygiène insuffisante
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48
Q

Balanoposthite de Zoon: favorisé par quoi?

A
  • Balanite du sujet âgé
  • Chronique et bénin
  • Pathologie du non circoncis
  • Plaque unique, lisse, vernissée, bien limitée, orangée- érythémateuse
  • Souvent aspect pétéchial, poivre de Cayenne
  • Classiquement à cheval sur le sillon balanopréputial
  • Asymptomatique
  • Favorisé par:
    Phimosis
    Synéchies balanopréputiales
    Hygiène insuffisante
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49
Q

Balanoposthite de Zoon: Investigation

A
  • S’assurer qu’hygiène adéquate
  • S’assurer que la balanite n’est pas secondaire à une autre pathologie devant être traitée (lichen scléreux,…)
  • Tenter de rassurer – Tx facultatif
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50
Q

Balanoposthite de Zoon: Traitement

A
  • S’assurer qu’hygiène adéquate
  • S’assurer que la balanite n’est pas secondaire à une autre pathologie devant être traitée (lichen scléreux,…)
  • Tenter de rassurer – Tx facultatif
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51
Q

Balanoposthite candidosique: pathogène en cause

A
  • Causée par Candida albicans
  • 1re cause de balanite infectieuse
  • Quasi le seul agent étiologique fongique
  • Favorisée par:
    – Diabète
    – Absence de circoncision
    – Antibiothérapie
    – Corticothérapie
  • Papules, pustules, collerette épidermique
  • +/- exsudat crémeux
  • Léger prurit/brûlure
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52
Q

Balanoposthite candidosique: fréquence

A
  • Causée par Candida albicans
  • 1re cause de balanite infectieuse
  • Quasi le seul agent étiologique fongique
  • Favorisée par:
    – Diabète
    – Absence de circoncision
    – Antibiothérapie
    – Corticothérapie
  • Papules, pustules, collerette épidermique
  • +/- exsudat crémeux
  • Léger prurit/brûlure
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53
Q

Balanoposthite candidosique: favorisée par quoi?

A
  • Causée par Candida albicans
  • 1re cause de balanite infectieuse
  • Quasi le seul agent étiologique fongique
  • Favorisée par:
    Diabète
    Absence de circoncision
    Antibiothérapie
    Corticothérapie
  • Papules, pustules, collerette épidermique
  • +/- exsudat crémeux
  • Léger prurit/brûlure
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54
Q

Balanoposthite candidosique: décrire les lésions

A
  • Causée par Candida albicans
  • 1re cause de balanite infectieuse
  • Quasi le seul agent étiologique fongique
  • Favorisée par:
    – Diabète
    – Absence de circoncision
    – Antibiothérapie
    – Corticothérapie
  • Papules, pustules, collerette épidermique
  • +/- exsudat crémeux
  • Léger prurit/brûlure
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55
Q

Balanoposthite candidosique: sx

A
  • Causée par Candida albicans
  • 1re cause de balanite infectieuse
  • Quasi le seul agent étiologique fongique
  • Favorisée par:
    – Diabète
    – Absence de circoncision
    – Antibiothérapie
    – Corticothérapie
  • Papules, pustules, collerette épidermique
  • +/- exsudat crémeux
  • Léger prurit/brûlure
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56
Q

Balanoposthite candidosique: Traitement

A
  • Traitement topique
    – Nystatine – Azole – Ciclopirox olamine
    – Éviter terbinafine
  • Traitement systémique
    – Envisageable pour les cas réfractaires ou graves
  • Si réfractaire ou récidivant:
    – Toujours questionner le diagnostic
    – Cultiver
    – Suspendre l’antifongique
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57
Q

Balanoposthite candidosique: Traitement topique vs sytémique

A
  • Traitement topique
    Nystatine – Azole – Ciclopirox olamine
    Éviter terbinafine
  • Traitement systémique
    Envisageable pour les cas réfractaires ou graves
  • Si réfractaire ou récidivant:
    – Toujours questionner le diagnostic
    – Cultiver
    – Suspendre l’antifongique
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58
Q

Balanoposthite candidosique: Traitement si réfractaire / récidivant

A
  • Traitement topique
    – Nystatine – Azole – Ciclopirox olamine
    – Éviter terbinafine
  • Traitement systémique
    – Envisageable pour les cas réfractaires ou graves
  • Si réfractaire ou récidivant:
    Toujours questionner le diagnostic
    Cultiver
    Suspendre l’antifongique
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59
Q

Balanites bactériennes: pathogènes en cause

A
  • Streptocoque bêtahémolytique gr. A et B
  • Staphylocoque
  • Anaérobies (Bacteroides)
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60
Q

Balanites bactériennes: Investigation

A
  • Culture
    – Colonisation fréquente
    – Ne retenir que les cultures pures avec plusieurs
    colonies
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61
Q

Balanites bactériennes: Culture

A
  • Culture
    – Colonisation fréquente
    – Ne retenir que les cultures pures avec plusieurs colonies
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62
Q

Balanites bactériennes: tableau clinique

A
  • Tableau variable
    – Érythème – Érosions – Écoulement – Douleur
    – Assez diffus
    – Toujours y penser face à une balanite aiguë du non circoncis
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63
Q

Balanites bactériennes: décrire les lésions

A
  • Tableau variable
    – Érythème – Érosions – Écoulement – Douleur
    – Assez diffus
    – Toujours y penser face à une balanite aiguë du non circoncis
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64
Q

Causes d’ulcération génitale

A
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65
Q

Causes d’ulcération génitale: Causes INFECTIEUSES - nommez-les

A

Infectieuses
* Syphilis
* Herpès
* Chancre mou
* Donovanose
* Lymphogranulomatose vénérienne

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66
Q

Causes d’ulcération génitale: Causes NON-INFECTIEUSES - nommez-les

A

Non-infectieuses
* Aphtes
* Maladie de Behçet
* Maladie de Crohn
* Dermatoses bulleuses
* Pyoderma gangrenosum
* Physique (traumatisme, caustique,…)
* Néoplasies

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67
Q

Ulcération génitale: éliminer quoi?

A
  • Si aiguë:
    toujours éliminer une cause infectieuse d’abord (herpès et syphilis en particulier)
    – L’aspect clinique est souvent peu spécifique (sauf pour la présence de vésicules dans l’herpès)
    Un fort pourcentage des ulcérations aiguës demeurent inexpliquées malgré une investigation appropriée
  • Si chronique:
    toujours éliminer une cause néoplasique d’abord
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68
Q

Ulcération génitale: déterminer la cause

A
  • Si aiguë:
    – toujours éliminer une cause infectieuse d’abord (herpès et syphilis en particulier)
    L’aspect clinique est souvent peu spécifique (sauf pour la présence de vésicules dans l’herpès)
    Un fort pourcentage des ulcérations aiguës demeurent inexpliquées malgré une investigation appropriée
  • Si chronique:
    – toujours éliminer une cause néoplasique d’abord
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69
Q

Lichen scléreux: c’est quoi?

A
  • Processus inflammatoire
  • Évolution cicatricielle
  • Cause inconnue
  • Apparition insidieuse
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Q

Lichen scléreux: évolution

A
  • Processus inflammatoire
  • Évolution cicatricielle
  • Cause inconnue
  • Apparition insidieuse
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71
Q

Lichen scléreux: cause

A
  • Processus inflammatoire
  • Évolution cicatricielle
  • Cause inconnue
  • Apparition insidieuse
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72
Q

Lichen scléreux: apparition

A
  • Processus inflammatoire
  • Évolution cicatricielle
  • Cause inconnue
  • Apparition insidieuse
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73
Q

Lichen scléreux: qui est touché?

A
  • 2 pics d’incidence
  • Tropisme génital
  • Plus fréquent chez non-circoncis
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74
Q

Lichen scléreux: présentation clinique

A
  • Hypopigmentation
  • Sclérose
  • Perte d’élasticité
  • Fragilité
  • Prurit
  • Modifications anatomiques
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75
Q

Lichen scléreux: présentation clinique / sx

A
  • Asymptomatique
  • Symptômes spontanés
    – Prurit
    – Brûlure
    – Douleur
    – Difficulté à décalotter
  • Modifications anatomiques
    – Sténose vulvaire
    – Effacement lèvres, frein
    – Synéchies
  • Dyspareunie
    – Déchirure
    – Saignement
    – Parfois 2° au phimosis
  • Phimosis/Paraphimosis
  • Dysurie/Rétention urinaire
  • Cancer
    – Risque 3-6%
    – LS retrouvé dans 50-66% des néoplasies péniennes/vulvaires
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76
Q

Lichen scléreux: Nommer les sx spontanés

A
  • Symptômes spontanés
    – Prurit
    – Brûlure
    – Douleur
    – Difficulté à décalotter
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77
Q

Lichen scléreux: Nommer les modifications anatomiques

A
  • Modifications anatomiques
    – Sténose vulvaire
    – Effacement lèvres, frein
    – Synéchies
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78
Q

Lichen scléreux: décrire la dyspaneurie

A
  • Dyspareunie
    – Déchirure
    – Saignement
    – Parfois 2° au phimosis
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79
Q

Lichen scléreux: phimosis

A

Phimosis/Paraphimosis

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80
Q

Lichen scléreux: sx urinaires

A
  • Dysurie/Rétention urinaire
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81
Q

Lichen scléreux: cancer - prévalence

A
  • Cancer
    – Risque 3-6%
    – LS retrouvé dans 50-66% des néoplasies péniennes/vulvaires
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82
Q

Lichen scléreux: Traitement

A
  • Initial:
    – Dermocorticoïdes de classe 1 (très puissants)
  • Entretien:
    – On diminue la fréquence d’application ou
    – On diminue la puissance
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83
Q

Lichen scléreux: Traitement INITIAL

A
  • Initial:
    Dermocorticoïdes de classe 1 (très puissants)
  • Entretien:
    – On diminue la fréquence d’application ou
    – On diminue la puissance
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84
Q

Lichen scléreux: Traitement D’ENTRETIEN

A
  • Initial:
    – Dermocorticoïdes de classe 1 (très puissants)
  • Entretien:
    On diminue la fréquence d’application ou
    On diminue la puissance
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85
Q

Lichen scléreux: Traitement chirurgical

A

Traitement chirurgical
(Correction anomalies fonctionnelles)
* Circoncision
* Méatotomie
* Plastie du frein
* Lyse de synéchies rarement utile

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86
Q

Lichen plan génital: fréquence de la localisation au niveau génital

A
  • Localisation fréquente
  • Nettement moins fréquent que le lichen scléreux
  • Asymptomatique
  • Souvent annulaire/réticulé
  • Papules polygonales, planes, «purple»
  • Rechercher autres localisations
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87
Q

Lichen plan génital: fréquence vs lichen SCLÉREUX

A
  • Localisation fréquente
  • Nettement moins fréquent que le lichen scléreux
  • Asymptomatique
  • Souvent annulaire/réticulé
  • Papules polygonales, planes, «purple»
  • Rechercher autres localisations
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88
Q

Lichen plan génital: sx

A
  • Localisation fréquente
  • Nettement moins fréquent que le lichen scléreux
  • Asymptomatique
  • Souvent annulaire/réticulé
  • Papules polygonales, planes, «purple»
  • Rechercher autres localisations
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89
Q

Lichen plan génital: décrire les lésions

A
  • Localisation fréquente
  • Nettement moins fréquent que le lichen scléreux
  • Asymptomatique
  • Souvent annulaire/réticulé
  • Papules polygonales, planes, «purple»
  • Rechercher autres localisations
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90
Q

Lichen plan génital: chercher quoi?

A
  • Localisation fréquente
  • Nettement moins fréquent que le lichen scléreux
  • Asymptomatique
  • Souvent annulaire/réticulé
  • Papules polygonales, planes, «purple»
  • Rechercher autres localisations
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91
Q

Néoplasies génitales externes: nommez-les

A
  • Carcinome spinocellulaire in situ
  • Carcinome spinocellulaire invasif
  • Mélanome
  • Autres
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92
Q

Carcinome spinocellulaire OGE: FDR

A

Facteurs de risque
* Infection par le VPH (~50%) - multiplie risque d’au moins 5 fois
* Lichen scléreux (~50%)
* Absence de circoncision
* Rétention de smegma/phimosis/hygiène inadéquate
* Immunodépression/VIH
* Tabagisme
* Rayons UV

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93
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: autre nom

A
  • = Néoplasie intraépithéliale
  • PIN, VIN (équivalent de CIN au col utérin)
  • Plaque érythémateuse fixe bien délimitée, souvent de topographie asymétrique
  • Pas d’amélioration malgré traitements usuels pour balanite/vulvite
  • Risque de transformation en carcinome spinocellulaire invasif
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94
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: nommez-les

A
  • = Néoplasie intraépithéliale
  • PIN, VIN (équivalent de CIN au col utérin)
  • Plaque érythémateuse fixe bien délimitée, souvent de topographie asymétrique
  • Pas d’amélioration malgré traitements usuels pour balanite/vulvite
  • Risque de transformation en carcinome spinocellulaire invasif
95
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: décrire la lésion

A
  • = Néoplasie intraépithéliale
  • PIN, VIN (équivalent de CIN au col utérin)
  • Plaque érythémateuse fixe bien délimitée, souvent de topographie asymétrique
  • Pas d’amélioration malgré traitements usuels pour balanite/vulvite
  • Risque de transformation en carcinome spinocellulaire invasif
96
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: traitement

A
  • = Néoplasie intraépithéliale
  • PIN, VIN (équivalent de CIN au col utérin)
  • Plaque érythémateuse fixe bien délimitée, souvent de topographie asymétrique
  • Pas d’amélioration malgré traitements usuels pour balanite/vulvite
  • Risque de transformation en carcinome spinocellulaire invasif
97
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: risque associé

A
  • = Néoplasie intraépithéliale
  • PIN, VIN (équivalent de CIN au col utérin)
  • Plaque érythémateuse fixe bien délimitée, souvent de topographie asymétrique
  • Pas d’amélioration malgré traitements usuels pour balanite/vulvite
  • Risque de transformation en carcinome spinocellulaire invasif
98
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: causes

A
  • 50% liés au VPH
  • 50% liés au LS
  • Traitement topique
    – 5-fluorouracile
    – Imiquimod
  • +/- posthectomie
  • Découverte précoce risque d’éviter une pénectomie
  • Suivi à long terme essentiel
99
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: traitement topique

A
  • 50% liés au VPH
  • 50% liés au LS
  • Traitement topique
    5-fluorouracile
    Imiquimod
  • +/- posthectomie
  • Découverte précoce risque d’éviter une pénectomie
  • Suivi à long terme essentiel
100
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: importance du dx

A
  • 50% liés au VPH
  • 50% liés au LS
  • Traitement topique
    – 5-fluorouracile
    – Imiquimod
  • +/- posthectomie
  • Découverte précoce risque d’éviter une pénectomie
  • Suivi à long terme essentiel
101
Q

Carcinome spinocellulaire in situ: suivi

A
  • 50% liés au VPH
  • 50% liés au LS
  • Traitement topique
    – 5-fluorouracile
    – Imiquimod
  • +/- posthectomie
  • Découverte précoce risque d’éviter une pénectomie
  • Suivi à long terme essentiel
102
Q

Carcinome spinocellulaire invasif: Présentation clinique

A
  • 2 grandes présentations cliniques:
    – Tumeur exophytique verruqueuse
    – Plaque érythémateuse indurée, parfois ulcérée
103
Q

Carcinome spinocellulaire invasif: traitement

A
  • Excision large
  • Hémivulvectomie
  • Pénectomie (partielle/totale) si grande taille ou si envahissement corps spongieux/caverneux
104
Q

Carcinome spinocellulaire: pronostic

A
  • Relativement bon pronostic lorsque diagnostiqué tôt (in situ)
  • Si plaque persistante, penser à adresser en spécialité ou biopsier
105
Q

Carcinome spinocellulaire: indications de référer

A
  • Relativement bon pronostic lorsque diagnostiqué tôt (in situ)
  • Si plaque persistante, penser à adresser en spécialité ou biopsier
106
Q

Syphilis: c’est quoi?

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
107
Q

Syphilis: microbe en cause

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
108
Q

Syphilis: variation de l’incidence

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
109
Q

Syphilis: déclaration

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
110
Q

Syphilis: évolution

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
111
Q

Syphilis: type possible autre

A
  • MST
  • Causé par Treponema pallidum (bactérie spiralée)
  • Incidence en augmentation après avoir atteint plus bas taux fin années 1990
  • X 10 entre 2002-2010
  • MADO
  • 3 stades (1°-2°-3°) + période de latence
  • Syphilis congénitale possible
112
Q

Syphilis primaire: décrire les lésions

A
  • Chancre syphilitique au point d’inoculation 10-90 jours après le contact (3 sem en moyenne)
  • Ulcération indolore, propre, unique, bordure indurée
  • Attention, se présente rarement avec les caractéristiques classiques
  • Disparaît spontanément, mais la syphilis n’est pas guérie pour autant
113
Q

Syphilis primaire: présentation clinique

A
  • Chancre syphilitique au point d’inoculation 10-90 jours après le contact (3 sem en moyenne)
  • Ulcération indolore, propre, unique, bordure indurée
  • Attention, se présente rarement avec les caractéristiques classiques
  • Disparaît spontanément, mais la syphilis n’est pas guérie pour autant
114
Q

Syphilis primaire: disparition = traitée?

A
  • Chancre syphilitique au point d’inoculation 10-90 jours après le contact (3 sem en moyenne)
  • Ulcération indolore, propre, unique, bordure indurée
  • Attention, se présente rarement avec les caractéristiques classiques
  • Disparaît spontanément, mais la syphilis n’est pas guérie pour autant
115
Q

Syphilis primaire: incubation

A
  • Chancre syphilitique au point d’inoculation 10-90 jours après le contact (3 sem en moyenne)
  • Ulcération indolore, propre, unique, bordure indurée
  • Attention, se présente rarement avec les caractéristiques classiques
  • Disparaît spontanément, mais la syphilis n’est pas guérie pour autant
116
Q

Syphilis secondaire: c’est quoi?

A
  • Due à la dissémination septicémique des tréponèmes
  • Survient chez 1/3 des patients non traités au stade primaire
  • Vers le 2e-6e mois en général
117
Q

Syphilis secondaire: fréquence

A
  • Due à la dissémination septicémique des tréponèmes
  • Survient chez 1/3 des patients non traités au stade primaire
  • Vers le 2e-6e mois en général
118
Q

Syphilis secondaire: quel moment dans l’évolution?

A
  • Due à la dissémination septicémique des tréponèmes
  • Survient chez 1/3 des patients non traités au stade primaire
  • Vers le 2e-6e mois en général
119
Q

Syphilis secondaire: La grande imitatrice

A
  • Papules cuivrées, asymptomatiques, squameuses prédominant au visage, au tronc, au paumes et aux plantes, disposées de façon symétrique
  • Plaques muqueuses érosives ou végétantes
  • Grand polymorphisme clinique:
    Alopécie, pustules, ulcérations, nécroses,…!
  • Peut mimer un psoriasis, une éruption virale, une éruption médicamenteuse, un lichen plan,…
  • Lésions très contagieuses
120
Q

Syphilis secondaire: décrire les lésions

A

La grande imitatrice

  • Papules cuivrées, asymptomatiques, squameuses prédominant au visage, au tronc, au paumes et aux plantes, disposées de façon symétrique
  • Plaques muqueuses érosives ou végétantes
  • Grand polymorphisme clinique:
    Alopécie, pustules, ulcérations, nécroses,…!
  • Peut mimer un psoriasis, une éruption virale, une éruption médicamenteuse, un lichen plan,…
  • Lésions très contagieuses
121
Q

Syphilis secondaire: polymorphisme

A

La grande imitatrice
* Papules cuivrées, asymptomatiques, squameuses prédominant au visage, au tronc, au paumes et aux plantes, disposées de façon symétrique
* Plaques muqueuses érosives ou végétantes
* Grand polymorphisme clinique:
Alopécie, pustules, ulcérations, nécroses,…!
* Peut mimer un psoriasis, une éruption virale, une éruption médicamenteuse, un lichen plan,…
* Lésions très contagieuses

122
Q

Syphilis secondaire: contagiosité

A

La grande imitatrice
* Papules cuivrées, asymptomatiques, squameuses prédominant au visage, au tronc, au paumes et aux plantes, disposées de façon symétrique
* Plaques muqueuses érosives ou végétantes
* Grand polymorphisme clinique:
– Alopécie, pustules, ulcérations, nécroses,…!
* Peut mimer un psoriasis, une éruption virale, une éruption médicamenteuse, un lichen plan,…
* Lésions très contagieuses

123
Q

Syphilis secondaire: signes généraux

A
  • Parfois on note des signes généraux:
    – Polyadénopathies
    – Hépatosplénomégalie
    – Hépatite
    – Fièvre
    – Altération de l’état général
    – Douleurs osseuses
    – Céphalées
    – Arthralgies
    – Pharyngite
    – Perte de poids
124
Q

Syphilis tertiaire: fréquence

A
  • Maintenant exceptionnelle
  • Atteinte cardiovasculaire (insuffisance aortique)
  • Atteinte neurologique (neurosyphilis)
    – Démence, paralysies, myélites,…
    – Diagnostic par ponction lombaire
  • Atteinte oculaire (névrite optique, uvéite…)
  • Peut atteindre n’importe quel organe…
125
Q

Syphilis tertiaire: systèmes atteints

A
  • Maintenant exceptionnelle
  • Atteinte cardiovasculaire (insuffisance aortique)
  • Atteinte neurologique (neurosyphilis)
    – Démence, paralysies, myélites,…
    – Diagnostic par ponction lombaire
  • Atteinte oculaire (névrite optique, uvéite…)
  • Peut atteindre n’importe quel organe…
126
Q

Syphilis tertiaire: décrire l’attente cardiovasculaire

A
  • Maintenant exceptionnelle
  • Atteinte cardiovasculaire (insuffisance aortique)
  • Atteinte neurologique (neurosyphilis)
    – Démence, paralysies, myélites,…
    – Diagnostic par ponction lombaire
  • Atteinte oculaire (névrite optique, uvéite…)
  • Peut atteindre n’importe quel organe…
127
Q

Syphilis tertiaire: décrire l’attente neuro

A
  • Maintenant exceptionnelle
  • Atteinte cardiovasculaire (insuffisance aortique)
  • Atteinte neurologique (neurosyphilis)
    Démence, paralysies, myélites,…
    Diagnostic par ponction lombaire
  • Atteinte oculaire (névrite optique, uvéite…)
  • Peut atteindre n’importe quel organe…
128
Q

Syphilis tertiaire: décrire l’attente oculaire

A
  • Maintenant exceptionnelle
  • Atteinte cardiovasculaire (insuffisance aortique)
  • Atteinte neurologique (neurosyphilis)
    – Démence, paralysies, myélites,…
    – Diagnostic par ponction lombaire
  • Atteinte oculaire (névrite optique, uvéite…)
  • Peut atteindre n’importe quel organe…
129
Q

Diagnostic de la syphilis

A
  • Recherche du tréponème par microscopie à fond noir sur les lésions 1° ou 2° érodées
  • Sérologies
    – Tests tréponémiques (EIA, TPPA, FTA)
    —— Se positivent autour jour 5-10
    —— Sont spécifiques pour les tréponèmes
    – Tests non-tréponémiques (VDRL, RPR)
    —— Se positivent autour jour 8-10
    —— Sont moins spécifiques
    —— Le suivi des titres permet de s’assurer de la réponse au traitement (suivi à long terme)
130
Q

Diagnostic de la syphilis: comment faire?

A
  • Recherche du tréponème par microscopie à fond noir sur les lésions 1° ou 2° érodées
  • Sérologies
    – Tests tréponémiques (EIA, TPPA, FTA)
    —— Se positivent autour jour 5-10
    —— Sont spécifiques pour les tréponèmes
    – Tests non-tréponémiques (VDRL, RPR)
    —— Se positivent autour jour 8-10
    —— Sont moins spécifiques
    —— Le suivi des titres permet de s’assurer de la réponse au traitement (suivi à long terme)
131
Q

Diagnostic de la syphilis: types de tests possibles

A
  • Recherche du tréponème par microscopie à fond noir sur les lésions 1° ou 2° érodées
  • Sérologies
    Tests tréponémiques (EIA, TPPA, FTA)
    —— Se positivent autour jour 5-10
    —— Sont spécifiques pour les tréponèmes
    Tests non-tréponémiques (VDRL, RPR)
    —— Se positivent autour jour 8-10
    —— Sont moins spécifiques
    —— Le suivi des titres permet de s’assurer de la réponse au traitement (suivi à long terme)
132
Q

Diagnostic de la syphilis: Tests tréponémiques

A
  • Recherche du tréponème par microscopie à fond noir sur les lésions 1° ou 2° érodées
  • Sérologies
    Tests tréponémiques (EIA, TPPA, FTA)
    —— Se positivent autour jour 5-10
    —— Sont spécifiques pour les tréponèmes
    – Tests non-tréponémiques (VDRL, RPR)
    —— Se positivent autour jour 8-10
    —— Sont moins spécifiques
    —— Le suivi des titres permet de s’assurer de la réponse au traitement (suivi à long terme)
133
Q

Diagnostic de la syphilis: Tests NON-troponémiques

A
  • Recherche du tréponème par microscopie à fond noir sur les lésions 1° ou 2° érodées
  • Sérologies
    – Tests tréponémiques (EIA, TPPA, FTA)
    —— Se positivent autour jour 5-10
    —— Sont spécifiques pour les tréponèmes
    Tests non-tréponémiques (VDRL, RPR)
    —— Se positivent autour jour 8-10
    —— Sont moins spécifiques
    —— Le suivi des titres permet de s’assurer de la réponse au traitement (suivi à long terme)
134
Q

Traitement de la syphilis 1° et 2°

A
  • Benzathine pénicilline G 2,4 millions d’unités IM en 1 dose – 1er choix
  • Doxycycline 100mg, 2 fois/j pendant 14jours (si VIH- et pas enceinte) – 2e choix
    ______________
  • Syphilis neurologique
    – Pénicilline G intraveineuse pendant 10 à 15 jours
135
Q

Traitement de la syphilis 1° et 2°: si syphilis neurologique

A
  • Benzathine pénicilline G 2,4 millions d’unités IM en 1 dose – 1er choix
  • Doxycycline 100mg, 2 fois/j pendant 14jours (si VIH- et pas enceinte) – 2e choix
    ______________
  • Syphilis neurologique
    Pénicilline G intraveineuse pendant 10 à 15 jours
136
Q

Condylomes: cause

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    – Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    – Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
137
Q

Condylomes: fréquence

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    – Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    – Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
138
Q

Condylomes: utilité des condoms

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    – Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    – Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
139
Q

Condylomes: prévalence des gens exposés

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50 ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    – Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    – Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
140
Q

Condylomes: nommez les VPH bas risques vs hauts risques

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    – Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    – Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
141
Q

VPH bas risques vs hauts risques:
- nommez les chiffres
- ce qu’ils causent

A
  • Causés par les papillomavirus humains (VPH)
  • MST la plus fréquente
  • Condom ne protège que partiellement
  • 80% des gens y sont exposés avant l’âge de 50ans
  • VPH à bas risque (6, 11,…)
    Causent les condylomes
  • VPH à haut risque (16, 18, 31, 33…)
    Sont associés au développement de lésions précancéreuses et cancéreuses OGE et ORL
142
Q

Condylomes: décrire les lésions

A
  • Papules exophytiques papillomateuses
  • Parfois plutôt plans
  • Roses, beiges, bruns
143
Q

Condylomes: chercher quoi?

A
  • Infection volontiers multifocale
  • Faire bilan d’extension (penser au col utérin en particulier, zone périanale +/- canal anal)
  • Favorisés par immunodépression
  • Penser aux partenaires
  • Dépistage des autres MST
144
Q

Condylomes: investigation

A
  • Infection volontiers multifocale
  • Faire bilan d’extension (penser au col utérin en particulier, zone périanale +/- canal anal)
  • Favorisés par immunodépression
  • Penser aux partenaires
  • Dépistage des autres MST
145
Q

Condylomes: favorisés par quoi?

A
  • Infection volontiers multifocale
  • Faire bilan d’extension (penser au col utérin en particulier, zone périanale +/- canal anal)
  • Favorisés par immunodépression
  • Penser aux partenaires
  • Dépistage des autres MST
146
Q

Condylomes: élément important du tx

A
  • Infection volontiers multifocale
  • Faire bilan d’extension (penser au col utérin en particulier, zone périanale +/- canal anal)
  • Favorisés par immunodépression
  • Penser aux partenaires
  • Dépistage des autres MST
147
Q

Condylomes: Bilan locorégional

A
148
Q

Condylomes: Bilan locorégional
- Urètre

A
  • Fréquemment atteint
  • Parfois la seule localisation (35% cas)
  • Atteinte très distale le plus souvent
  • Urétroscopie
    – Non systématique (risque autoinoculation)
    ——- Symptômes urinaires
    ——- Atteinte récidivante
    ——- Pôle supérieur non visible (< 10% cas)
149
Q

Condylomes: Bilan locorégional - Urètre
- fréquence atteinte

A
  • Fréquemment atteint
  • Parfois la seule localisation (35% cas)
  • Atteinte très distale le plus souvent
  • Urétroscopie
    – Non systématique (risque autoinoculation)
    ——- Symptômes urinaires
    ——- Atteinte récidivante
    ——- Pôle supérieur non visible (< 10% cas)
150
Q

Condylomes: Bilan locorégional - Urètre
- atteint où?

A
  • Fréquemment atteint
  • Parfois la seule localisation (35% cas)
  • Atteinte très distale le plus souvent
  • Urétroscopie
    – Non systématique (risque autoinoculation)
    ——- Symptômes urinaires
    ——- Atteinte récidivante
    ——- Pôle supérieur non visible (< 10% cas)
151
Q

Condylomes: Bilan locorégional - Urètre
- utéroscopie

A
  • Fréquemment atteint
  • Parfois la seule localisation (35% cas)
  • Atteinte très distale le plus souvent
  • Urétroscopie
    Non systématique (risque autoinoculation)
    ——- Symptômes urinaires
    ——- Atteinte récidivante
    ——- Pôle supérieur non visible (< 10% cas)
152
Q

Condylomes: Bilan locorégional
- Anus

A
  • Examen périanal systématique
  • Anuscopie
    – Lésions périanales
    – Rapports réceptifs anaux
    – Homos et bisexuels
    – Immudéprimés
153
Q

Condylomes: Bilan locorégional - Anus
- examen à faire

A
  • Examen périanal systématique
  • Anuscopie
    – Lésions périanales
    – Rapports réceptifs anaux
    – Homos et bisexuels
    – Immudéprimés
154
Q

Condylomes: Bilan locorégional - Anus
- anuscopie

A
  • Examen périanal systématique
  • Anuscopie
    Lésions périanales
    Rapports réceptifs anaux
    Homos et bisexuels
    Immudéprimés
155
Q

Condylomes: Traitement

A
156
Q

Condylomes: Traitement CHIMIQUES

A
  • Chimiques
    – Podophyllotoxine
    – 5-fluorouracile
    – Acide trichloroacétique
157
Q

Condylomes: Traitement IMMUNOMODULATEUR

A
  • Immunomodulateurs
    – Imiquimod
    – Synécatéchines
158
Q

Condylomes: Traitement PHYSIQUE ET CHIRURGICAL

A
  • Physiques et chirurgicaux
    – Cryothérapie
    – Laser CO2 et Nd-YAG
    – Excision chirurgicale
    – Électrocoagulation
159
Q

Condylomes: Traitement NON PHARMAC

A

– Patience, constance!
– Récidives fréquentes
– Ne pas raser les poils!

160
Q

Condylomes: Vaccination

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
161
Q

Condylomes: Vaccination
- nommez-les + ce qu’ils couvrent

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en
    secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
162
Q

Condylomes: Vaccination
- quand la faire?

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en
    secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
163
Q

Condylomes: Vaccination
- offert quand?

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en
    secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
164
Q

Condylomes: Vaccination
- indiquée pour qui?

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en
    secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
165
Q

Condylomes: Vaccination
- traitement?

A
  • Gardasil-9 ® (nonavalent – types 6-11-16-18-31-33-45-52-58)
  • Cervarix ® (bivalent – types 16-18)
  • Idéalement avant début activité sexuelle
  • Offert gratuitement en 4e année (G) et en
    secondaire 3 (C)
  • Indiqué 9-45 ans (H+F)
  • N’est pas thérapeutique
166
Q

Herpès génital: causé par quoi?

A
  • Causé par virus herpès simplex
    – Type 1 généralement orofacial
    – Type 2 généralement génital
167
Q

Herpès génital: les types + ce qu’ils causent

A
  • Causé par virus herpès simplex
    – Type 1 généralement orofacial
    – Type 2 généralement génital
168
Q

Herpès génital: déroulement de l’infection

A
  • Le virus infecte les terminaisons nerveuses des neurones sensitifs puis remonte jusqu’au noyau neuronal des ganglions sensitifs locorégionaux
  • Il y persiste en état de latence et échappe à la surveillance immunitaire
  • Divers facteurs favorisent sa réactivation (stress, rayons UV, traumatismes, menstruations, fièvre)
  • La réactivation peut être symptomatique ou non
169
Q

Herpès génital: latence

A
  • Le virus infecte les terminaisons nerveuses des neurones sensitifs puis remonte jusqu’au noyau neuronal des ganglions sensitifs locorégionaux
  • Il y persiste en état de latence et échappe à la surveillance immunitaire
  • Divers facteurs favorisent sa réactivation (stress, rayons UV, traumatismes, menstruations, fièvre)
  • La réactivation peut être symptomatique ou non
170
Q

Herpès génital: facteurs favorisant sa réactivation

A
  • Le virus infecte les terminaisons nerveuses des neurones sensitifs puis remonte jusqu’au noyau neuronal des ganglions sensitifs locorégionaux
  • Il y persiste en état de latence et échappe à la surveillance immunitaire
  • Divers facteurs favorisent sa réactivation (stress, rayons UV, traumatismes, menstruations, fièvre)
  • La réactivation peut être symptomatique ou non
171
Q

Herpès génital: sx réactivation

A
  • Le virus infecte les terminaisons nerveuses des neurones sensitifs puis remonte jusqu’au noyau neuronal des ganglions sensitifs locorégionaux
  • Il y persiste en état de latence et échappe à la surveillance immunitaire
  • Divers facteurs favorisent sa réactivation (stress, rayons UV, traumatismes, menstruations, fièvre)
  • La réactivation peut être symptomatique ou non
172
Q

Herpès génital: fréquence

A
  • Cause #1 d’ulcération génitale
  • Séroprévalence dans pays industrialisés de 5-
    30% pour l’HSV-2
  • En augmentation
  • Type 1 génital de plus en plus fréquent, mais récidives moins fréquentes
173
Q

Herpès génital: séroprévalence

A
  • Cause #1 d’ulcération génitale
  • Séroprévalence dans pays industrialisés de 5-
    30% pour l’HSV-2
  • En augmentation
  • Type 1 génital de plus en plus fréquent, mais récidives moins fréquentes
174
Q

Herpès génital: changement dans l’incidence

A
  • Cause #1 d’ulcération génitale
  • Séroprévalence dans pays industrialisés de 5-
    30% pour l’HSV-2
  • En augmentation
  • Type 1 génital de plus en plus fréquent, mais récidives moins fréquentes
175
Q

Herpès génital: type le plus fréquent

A
  • Cause #1 d’ulcération génitale
  • Séroprévalence dans pays industrialisés de 5-
    30% pour l’HSV-2
  • En augmentation
  • Type 1 génital de plus en plus fréquent, mais récidives moins fréquentes
176
Q

Herpès génital: Primo-infection

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    – Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes
    – Douloureux++
    – Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
177
Q

Herpès génital: Primo-infection
- après quoi?

A
  • Primo-infection
    = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    – Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes
    – Douloureux++
    – Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
178
Q

Herpès génital: Primo-infection
- symptômes

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    – Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes
    Douloureux++
    Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
179
Q

Herpès génital: Primo-infection
- durée de l’incubation

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    Incubation 3-7 jours en moyenne
    – Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes
    – Douloureux++
    – Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
180
Q

Herpès génital: Primo-infection
- présentation clinique

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes

    Douloureux++
    Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
181
Q

Herpès génital: Primo-infection
- décrire les lésions

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes

    Douloureux++
    – Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
182
Q

Herpès génital: Primo-infection
- sx

A
  • Primo-infection
    – = Premier contact avec HSV-1 ou HSV-2
    – Elle est souvent asymptomatique (50-90%)
    – Incubation 3-7 jours en moyenne
    – Maculopapules suivies de vésicules (en bouquets)
    ou de pustules puis d’érosions et de croûtes
    Douloureux++
    Peut être accompagné de malaise, fièvre, d’adénopathies inguinales, de dysurie
183
Q

Herpès génital: Présentation clinique de la réactivation

A

Réactivations
* Asymptomatiques
– Fréquentes et surviennent chez la majorité
– Est mode majeur de transmission
* Cliniques
– Fréquence variable
– Prodromes de type dysesthésies, prurit
– Récidive toujours au même endroit
– Moins sévère et moins étendue qu’infection initiale

184
Q

Herpès génital: Présentation clinique de la réactivation
- asx

A

Réactivations
* Asymptomatiques
– Fréquentes et surviennent chez la majorité
– Est mode majeur de transmission
* Cliniques
– Fréquence variable
– Prodromes de type dysesthésies, prurit
– Récidive toujours au même endroit
– Moins sévère et moins étendue qu’infection initiale

185
Q

Herpès génital: Présentation clinique de la réactivation
- clinique

A

Réactivations
* Asymptomatiques
– Fréquentes et surviennent chez la majorité
– Est mode majeur de transmission
* Cliniques
– Fréquence variable
– Prodromes de type dysesthésies, prurit
– Récidive toujours au même endroit
– Moins sévère et moins étendue qu’infection initiale

186
Q

Herpès génital: Traitement

A

Traitement
– Analogues nucléosidiques:
* Aciclovir, valaciclovir, famciclovir
– Débuter le traitement dès les prodromes
– Peut être pris de façon continuelle si récidives fréquentes

187
Q

Chlamydia trachomatis: type de bactérie

A
  • Bactérie intracellulaire obligatoire
  • MADO
  • Homme:
    – Urétrite subaiguë
    – Écoulement peu abondant, séreux, goutte
    matinale
  • Femme:
    – Cervicite le plus souvent asymptomatique
    – Col oedémacié, friable
188
Q

Chlamydia trachomatis: déclaration

A
  • Bactérie intracellulaire obligatoire
  • MADO
  • Homme:
    – Urétrite subaiguë
    – Écoulement peu abondant, séreux, goutte
    matinale
  • Femme:
    – Cervicite le plus souvent asymptomatique
    – Col oedémacié, friable
189
Q

Chlamydia trachomatis: présentation homme vs femme

A
  • Bactérie intracellulaire obligatoire
  • MADO
  • Homme:
    Urétrite subaiguë
    Écoulement peu abondant, séreux, goutte
    matinale
  • Femme:
    Cervicite le plus souvent asymptomatique
    Col oedémacié, friable
190
Q

Chlamydia trachomatis: complications

A
  • Souvent paucisymptomatique ce qui explique la fréquence de complications:
    – Orchiépididymite
    – Salpingite
    —— Stérilité
    —— GEU
    —— Douleurs pelviennes chroniques
191
Q

Chlamydia trachomatis: dépistage

A
  • Dépistage par TAAN sur 1er jet d’urine
192
Q

Chlamydia trachomatis: tx

A

Traitement:
* Azithromycine 1g PO dose unique
* Doxycycline 100mg PO BID x 7 jours

193
Q

Chlamydia trachomatis: tx

A

Traitement:
* Azithromycine 1g PO dose unique
* Doxycycline 100mg PO BID x 7 jours

194
Q

Gonococcie: pathogène en cause

A
  • Causée par Neisseria gonorrhoeae
  • Diplocoque Gram négatif
  • Incubation courte, 2 à 5 jours
195
Q

Gonococcie: Gram quoi?

A
  • Causée par Neisseria gonorrhoeae
  • Diplocoque Gram négatif
  • Incubation courte, 2 à 5 jours
196
Q

Gonococcie: durée d’incubation

A
  • Causée par Neisseria gonorrhoeae
  • Diplocoque Gram négatif
  • Incubation courte, 2 à 5 jours
197
Q

Gonococcie: Présentation clinique - HOMMES

A

Hommes:
* Urétrite très symptomatique
* Écoulement purulent abondant
* Dysurie importante («chaude pisse»)

198
Q

Gonococcie: Présentation clinique - FEMMES

A

Femmes:
* Symptômes moins importants (aSx chez 50%)
* Leucorrhées
* Dysurie
* Risque de salpingite

199
Q

Gonococcie: Présentation clinique - HOMMES et FEMMES

A

Hommes et femmes:
* Portage pharyngé aSx
* Anorectite (aSx chez 2/3)
* Conjonctivite
* Septicémie
– Fièvre, oligoarthrite, pustules hémorragiques périarticulaires aux extrémités

200
Q

Gonococcie: Dx

A

Diagnostic
* Test d’amplification des acides nucléiques (TAAN)
* Culture indispensable (antibiogramme)
* MADO

201
Q

Gonococcie: Déclaration

A

MADO

202
Q

Gonococcie: Traitement

A
  • Ceftriaxone 250mg IM dose unique
  • Céfixime 800mg po dose unique + azithromycine 2g po dose unique (si non pharyngé)
  • Traiter pour chlamydia trachomatis de façon présomptive (co-infection fréquente)
  • Faire recherche de contrôle
203
Q

Intertrigo: définir

A

Intertrigo = inflammation des plis

204
Q

Intertrigo: décrire les lésions

A
  • Squames moins fréquentes dans les plis
    – Humidité
    – Friction
205
Q

Intertrigo inguinal: causes fréquentes

A
  • Causes fréquentes
    – Dermatite irritative
    – Dermatite séborrhéique
    – Psoriasis inversé
    – Érythrasma
    – Candidose
    – Dermatophytose
    – Streptococcique
206
Q

Psoriasis inversé: atteint quelles régions?

A
  • Atteint les plis plutôt que les extenseurs
  • Peu squameux
  • Plaques peu épaisses bien limitées, saumonées
  • Aisselles, aines, infra-mammaire
  • Traitement
    – Dermocorticoïdes faibles
    – Analogues vitamine D
207
Q

Psoriasis inversé: décrire les lésions

A
  • Atteint les plis plutôt que les extenseurs
  • Peu squameux
  • Plaques peu épaisses bien limitées, saumonées
  • Aisselles, aines, infra-mammaire
  • Traitement
    – Dermocorticoïdes faibles
    – Analogues vitamine D
208
Q

Psoriasis inversé: régions atteintes

A
  • Atteint les plis plutôt que les extenseurs
  • Peu squameux
  • Plaques peu épaisses bien limitées, saumonées
  • Aisselles, aines, infra-mammaire
  • Traitement
    – Dermocorticoïdes faibles
    – Analogues vitamine D
209
Q

Psoriasis inversé: Traitement

A
  • Atteint les plis plutôt que les extenseurs
  • Peu squameux
  • Plaques peu épaisses bien limitées, saumonées
  • Aisselles, aines, infra-mammaire
  • Traitement
    Dermocorticoïdes faibles
    Analogues vitamine D
210
Q

Érythrasma: Pathogène en cause

A
  • Infection bactérienne à Corynebacterium minutissimum
  • Plaques rouge-brun, finement squameuses, aspect plissé
  • Atteinte interdigitale fréquente
  • Fluorescence rouge corail à la lampe de Wood
  • Traitement = antibactériens et limiter humidité
211
Q

Érythrasma: Décrire les lésions

A
  • Infection bactérienne à Corynebacterium minutissimum
  • Plaques rouge-brun, finement squameuses, aspect plissé
  • Atteinte interdigitale fréquente
  • Fluorescence rouge corail à la lampe de Wood
  • Traitement = antibactériens et limiter humidité
212
Q

Érythrasma: régions atteintes

A
  • Infection bactérienne à Corynebacterium minutissimum
  • Plaques rouge-brun, finement squameuses, aspect plissé
  • Atteinte interdigitale fréquente
  • Fluorescence rouge corail à la lampe de Wood
  • Traitement = antibactériens et limiter humidité
213
Q

Érythrasma: lampe de Wood

A
  • Infection bactérienne à Corynebacterium minutissimum
  • Plaques rouge-brun, finement squameuses, aspect plissé
  • Atteinte interdigitale fréquente
  • Fluorescence rouge corail à la lampe de Wood
  • Traitement = antibactériens et limiter humidité
214
Q

Érythrasma: traitement

A
  • Infection bactérienne à Corynebacterium minutissimum
  • Plaques rouge-brun, finement squameuses, aspect plissé
  • Atteinte interdigitale fréquente
  • Fluorescence rouge corail à la lampe de Wood
  • Traitement = antibactériens et limiter humidité
215
Q

Candidose: décrire les lésions

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
216
Q

Candidose: sx

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
217
Q

Candidose: régions atteintes

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
218
Q

Candidose: association

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
219
Q

Candidose: favorisée par quoi?

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
220
Q

Candidose: Traitement

A
  • Plaques rouge vif, lisses, parfois érosives
  • Prurit / brûlure
  • Pustules et papules satellites
  • Atteint souvent scrotum
  • Parfois surajoutée à une autre dermatose
  • Favorisé par diabète, occlusion, ATB, stéroïdes
  • Traitement = antifongiques azolés topiques
221
Q

Dermatophytose: autre nom

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
222
Q

Dermatophytose: pathogène en cause

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    Epidermophyton floccosum
    Trichophyton rubrum
    Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
223
Q

Dermatophytose: régions touchées

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
224
Q

Dermatophytose: sx

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
225
Q

Dermatophytose: association

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
226
Q

Dermatophytose: Traitement

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
227
Q

Dermatophytose: décrire les lésions

A
  • = Tinea cruris
  • Dermatophytes
    – Epidermophyton floccosum
    – Trichophyton rubrum
    – Trichophyton mentagrophytes
  • S’étend souvent à la face interne de la cuisse
  • Scrotum/grande lèvre peu atteints
  • Prurit
  • Très bien limité avec bordure plus papuleuse, plus active, extension centrifuge
  • Très souvent associé à tinea pedis et onychomycose - il faut donc les rechercher
  • Traitement: antifongiques topiques (ou systémiques x 2 semaines si plus sévère)
228
Q

Intertrigo streptococcique: frome la plus fréquente

A
  • Le plus souvent = anite (région péri-anale)
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    – Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
229
Q

Intertrigo streptococcique: qui est le plus touché?

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    – Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
230
Q

Intertrigo streptococcique: décrire les lésions

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    – Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
231
Q

Intertrigo streptococcique: sx

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    – Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
232
Q

Intertrigo streptococcique: dx

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
233
Q

Intertrigo streptococcique: tx

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    – Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale
234
Q

Intertrigo streptococcique: pathogène en cause

A
  • Le plus souvent = anite
  • Plus fréquent en pédiatrie
  • Érythème vif bien limité
  • Douleur à la défécation
  • Diagnostic confirmé à la culture bactérienne
    Streptocoque groupe A
  • Traitement: ATB orale