9. parasitologie Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le parasitisme

A

Mode de vie consistant à vivre à l’intérieur/en
surface d’un autre organisme (hôte) et à tirer
bénéfice de celui-ci

Plusieurs catégories différentes de micro- et macroorganismes sont capables de parasitisme
→ Ex.: bactéries, virus, champignons,
protozoaires, insectes, etc.

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2
Q

caractéristiques des parasites

A

Grand groupe très vaste
* Apparences et tailles variées (micromètres au mètre!)

  • Cycle de développement plus ou moins complexe
  • Stades sexués et/ou asexués
  • Besoin d’un hôte vs plusieurs

Gamme d’hôtes possible

Effets sur l’hôte légers à sévères

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3
Q

quels sont les grand groupe de parasite

A

protozoaires

vers
- nématodes
- cestodes
- trématodes

arthropode

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4
Q

protozoaires

A
  • Organismes unicellulaires
  • Apparence variable
  • Taille du micromètre
  • Reproduction asexuée et/ou sexuée
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5
Q

nématodes

A
  • Vers ronds en coupe transversale
  • Taille et morphologie variable (du mm au mètre)
  • Effilés aux deux bouts
  • Tube digestif complet
  • Deux sexes distincts
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6
Q

cestodes

A
  • Vers plats, enrubannés et segmentés
  • Tête, cou et corps
  • Taille du cm à plusieurs mètres
  • Hermaphrodites (mâle et femelle à la fois)
  • Absence de tube digestif
  • Attachement: crochets et ventouses
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7
Q

trématodes

A
  • Vers plats
  • Symétrie bilatérale
  • Taille du cm
  • Hermaphrodites (mâle et femelle à la fois)
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8
Q

arthropode

A
  • Petits insectes (taille du mm)
  • «Pattes articulées»
  • Vivent en surface de l’hôte (ectoparasite)
  • Ex.: puce du chat, punaise de lit
  • Parasite, mais peut aussi être un vecteur (ex. porteur de l’agent de la maladie de Lyme)
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9
Q

quel groupe de parasite vit à la surface de l’hote

A

arthropode

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10
Q

implication du parasitisme

A
  • Le parasite se nourrit des tissus de son hôte ou des aliments que celui-ci a ingéré
  • Le parasite est d’une taille plus petite que l’hôte (sauf exceptions)
  • Le parasite vit à l’intérieur de l’animal/à sa surface durant au moins une des phases de son cycle de vie (localisation/tissu spécifique au parasite)
  • Le parasite cible un hôte d’une espèce différente à la sienne
  • Le parasite ne se multiplie pas seul dans l’environnement (sauf exceptions)
  • Le nombre d’espèces servant d’hôte est habituellement restreint (variable selon l’espèce du parasite)
  • Un parasite n’a pas intérêt à mettre en danger son hôte puisqu’il compromet sa propre survie.
  • Le développement du parasite se fait au dépens de l’hôte (ex.: vol de nutriments), mais cela ne cause pas
    nécessairement de signes visibles
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11
Q

reconnaitre les protozoaires

A
  • Cycle de vie pouvant faire intervenir plusieurs hôtes → formes multiples du même organisme

De manière simplifiée:
* Fèces: œufs (ex.: oocystes, kystes, etc.)
* Dans l’animal: Forme(s)infectieuse(s) (variable d’un
parasite à l’autre)

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12
Q

reconnaitre les nématodes

A
  • Dans les fèces
    → sous forme d’œufs
  • Dans l’animal
    → sous forme de vers
  • Dans l’environnement
    → sous forme d’œufs ou de vers

stade L3 : important pour entrer dans l’hôte

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13
Q

reconnaitre les cestodes

A
  • Extérieur de l’hôte: Œuf
  • Intestin: vers segmenté
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14
Q

reconnaitre les trématodes

A

Plusieurs stades chez des hôtes différents

  • Adulte (ver plat) chez l’hôte
  • Autres formes hors de l’hôte (dont l’œuf)
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15
Q

reconnaitre les arhtropodes

A

seul qui ne fait pas intervenir les fèces de l’animal

  • Œuf (environnement)
  • Larve (environnement)
  • Pupe(environnement)
  • Adulte (hôte)
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16
Q

quand la maladie survient-elle

A
  • Rappel: Le développement du parasite se fait au dépens de l’hôte (ex.: vol de nutriments), mais cela ne cause pas nécessairement de signes visibles
  • Lorsque l’équilibre entre le parasite et l’hôte est rompu (ex. capacité immunitaire diminuée), il y a développement d’une maladie.
  • La régie peut favoriser le parasitisme (ex. pâturage en continu)
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17
Q

Conséquences possibles d’une infection parasitaire

A
  • Baisse du taux de croissance
  • Anémie
  • Diminution de la performance à l’effort
  • Anorexie
  • Blocage intestinal ou diarrhée
  • Inflammation
  • Granulomes ou lésions dans les organes internes
  • Inconfort et effets sur le bien-être
  • Risque de transmission zoonotique (à l’homme et entre espèce animal)
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18
Q

Test pour déterminer le niveau d’anémie chez l’animal

A

FAMACHA

muqueuse de l’oeil rouge : ok
muqueuse de l’oeil blanche : anémie

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19
Q

Indicateurs cliniques de parasitisme et du besoin de traitement

A
  • Couleur de la conjonctive (muqueuse de l’œil) : vérifier anémie
  • Diminution de l’état de chair, poids et croissance
  • Aspect des fèces, diarrhée, souillure de l’arrièretrain
  • Œdème (ex.: signe de la bouteille chez le mouton)
  • Variations selon l’espèce (animal et parasite), la charge parasitaire, l’âge des animaux, les conditions concomitantes, etc.
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20
Q

exemple de réaction ; allergie aux piqures de puces

A
  • Commun chez les chiens et les chats
  • Beaucoup de prurit (démangeaisons)
  • Inconfort, automutilation (traumas, plaies, hématomes)
  • La puce se nourrit du sang
    → Anémie
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21
Q

définition hôte

A

Animal/humain qui est parasité

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22
Q

définition hôte définitif

A

Organisme chez qui le parasite atteint sa maturité sexuelle

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23
Q

définition hôte intermédiaire

A

Organisme chez qui le parasite se développe, mais sans atteindre sa maturité sexuelle. Cet hôte est indispensable au cycle de vie du parasite.

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24
Q

définition hôte paraténique

A

Hôte d’attente permettant la survie du parasite, mais où il n’y a pas d’étapes de développement

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25
Q

définition vecteur

A

Structure mécanique de transport du parasite ou d’une structure du parasite d’un endroit à l’autre.

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26
Q

objectif du parasite

A

sortir de l’hôte, résister et persister dans l’environnement puis trouver un nouvel hôte.

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27
Q

transmission des parasites

A
  • Ingestion du parasite
  • Par l’intermédiaire d’un vecteur biologique
  • Passage à travers le placenta (parasites qui migrent dans les tissus ex.: Toxoplasma)
  • Passage dans le colostrum
  • Par contacts physiques (ectoparasites)
  • Pénétration active de la peau (rare!)
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28
Q

Facteurs favorisant le parasitisme
* Température

A

Idéale pour le développement du parasite → 10-25 °C

Température < 10 °C → prolonge la survie du parasite

Température > 25 °C → accélère le développement et augmente la mortalité du parasite

Alternance gel-dégel → Nocif pour le parasite!

Ensoleillement → Nocif pour le parasite (rayons UV)

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28
Q

Facteurs favorisant le parasitisme
* Humidité

A

100% d’humidité → Généralement nocive

<50% d’humidité → Tue le parasite en quelques jours

Entre 50 et 100% → Favorise le parasite

Attention à la présence de potentiels microclimats (ex.:
fumier, tapis, etc.)

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28
Q

facteurs favorisant le parasitisme

A

Caractéristiques des animaux

Nutrition (alimentation non adéquate)

Âge: animaux très jeunes ou très âgés plus à risque

Hormones: gestation et début de lactation → recrudescence du parasitisme (ex. Neospora chez la vache)

Maladie concomitante: Pathogène opportuniste

Surpopulation
* Facilite la transmission
* Contamine plus rapidement le milieu
* Stress chez les animaux

Protection physique
* Ex.: matières fécales

Déplacement du parasite
* Ex.: lessivage par les pluies
* Ex.: migration des larves en périphérie du tas de fumier (<30 cm du tas) et en hauteur sur les herbes (jusqu’à 20 cm du sol)

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28
Q

VRAI OU FAUX
Les bovins et les chevaux évitent normalement de brouter près des matières fécales sauf si l’herbe est rare

A

VRAI
peut voir un patron de broutage

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29
Q

existe-t-il des vaccins pour les parasites

A

non ; difficile et peu disponible
- parasites ; non cultivable en labo
- parasites : complexes
- développés des adaptations pour déjouer le système immunitaire

Exemple de vaccin très répandu:
* Vaccin contre la coccidiose chez la volaille

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30
Q

vermifugation

A

Buts:
* Diminuer la contamination de l’environnement
* Favoriser le développement d’une résistance naturelle chez les animaux
* Curatif pour les animaux cliniquement affectés

Ce que l’on veut éviter: résistance des parasites aux vermifuges (usage judicieux des vermifuges)

31
Q

pourquoi peut-il rester des parasites après un traitement vermifuge

A

à cause de l’hypobiose

  • Hiver → Froid, destruction des larves présentes dans l’environnement
  • Printemps → Réserves nutritives épuisées et mort des parasites restants

Pour perdurer, certaines espèces de parasites adoptent un comportement d’hypobiose
* Hôte de maintien
* Attente du printemps dans un état similaire à la dormance → réactivation au printemps ou lors de stress

32
Q

Est-ce qu’on doit vermifuger à l’hiver

A

NON

  • Les larves de plusieurs parasites sont en hypobiose donc peu susceptibles au traitement (car leur métabolisme est très ralenti)
  • Perte de refuge parce qu’on traite tous les animaux
  • Possibilité de traitement individuel pour les animaux cliniquement affectés
33
Q

résistance aux antiparasitaires

A

Capacité des parasites à survivre à la dose thérapeutique recommandée (sélection des parasites résistants)

34
Q

facteurs favorisant la résistance au antiparasitaires

A
  • Produits à effets résiduels
  • Traitements à des intervalles rapprochés
  • Sous-doser l’animal
  • Parasites à temps de développement court
  • Peu de traitements disponibles et peu de nouveaux traitements
35
Q

résistance croisée

A

Un parasite résiste à une substance, mais aussi à celles présentant le même mode d’action

juste 3 groupes d’antiparasitaires

Recommandation actuelle: utiliser le même tant qu’il est efficace

36
Q

comment diminuer la vitesse de sélection pour une résistance

A
  • Laisser agir les facteurs nocifs de l’environnement (ex.: ensoleillement)
  • Rotation des pâturages, diminution de la densité animale, faire paître des espèces différentes
  • Laisser les animaux développer leur immunité
  • Antiparasitaires: diminuer l’utilisation et les utiliser judicieusement
  • S’assurer de diluer les parasites résistants avec des parasites sensibles → Refuge
37
Q

concept de refuge

A

Refuge: Réservoir de parasites sensibles au vermifuge

Dilution des parasites potentiellement résistants avec des parasites sensibles

Refuge au niveau des animaux ou des pâturages:
* Saison de pâturage: refuge au pâturage (endroit où les animaux excrète des parasites sensibles)
* Saison hivernale ou si très chaud et sec: refuge chez les animaux (certains animaux non traités → parasites sensibles)

Choisir les animaux les plus adaptes à tolérer les parasites comme «animal refuge»

38
Q

règle de 80/20

A
  • 80% des parasites sont excrétés par 20% des animaux dans le troupeau
  • On veut identifier et traiter les super-excréteurs (20% des animaux) pour diminuer la quantité globale de parasites
39
Q

Sans refuge, il y a _____________ de parasites résistants au cours des réinfections

A

il y a de plus en plus

40
Q

application du refuge

A

Lorsqu’un groupe est déplacé vers un pâturage nonparasité, il faut attendre au moins une semaine avant d’en vermifuger les animaux
* Permettre la recontamination du pâturage avec des
parasites sensibles

Lorsqu’un groupe doit être traité, il faut le laisser dans la même parcelle pendant une semaine après le traitement
* Permettre aux animaux de se recontaminer avec des parasites sensibles avant d’être déplacés

41
Q

analyses coprologiques

A
  • Analyses de fèces pour évaluer la charge parasitaire (OPG) d’un animal ou d’un groupe et décider si un traitement est requis
  • Pour dépister des infections sous cliniques chez des animaux en santé
  • Poser un diagnostic (animal malade)
  • Pour choisir le médicament le plus approprié ou vérifier l’efficacité d’un traitement
42
Q

but : Lutte intégrée contre le parasitisme

A

Ralentir le développement de résistance tout en favorisant la santé des animaux

43
Q

comment peut-on faire de la lutte intégrée contre le parasitisme

A

suivi de l’efficacité thérapeutique

refuge

résilience des animaux

traitements ciblés et sélectifs

monitoring et suivis cliniques

gestion des pâturages

44
Q

diagnostic en laboratoire de coprologie

A

Le plus souvent → Démonstration de la présence de structures du parasite (ex. œufs, kystes, larves) par observation directe
* Grattage cutané

Plus rarement, recherche d’anticorps (sérologie) ou de substances excrétées par le parasite
ex.: Analyse ELISA

Nouvelles alternatives: PCR, immunohistochimie

45
Q

analyse coprologique

A
  • Frottis direct, sédimentation ou centrifugation
  • Observation au microscope
  • Selles fraîches et envoyées au frais
  • Si délais → Conserver au réfrigérateur (pas idéal)
46
Q

quantité d’échantillon requis pour chaque espèce pour analyse coprologique

A
  • Chats et chiens : selle complète
  • Ruminants : une poignée
  • Cheval : taille d’un pamplemousse (provenant de plusieurs crottins)
47
Q

à quoi sert l’analyse coprologique

A

Permet de vérifier l’efficacité d’un traitement
* Prise d’un échantillon avant le traitement
* Prise d’un échantillon 7-14 jours après le traitement
* Si traitement efficace, diminution du nombre
d’œufs dans les fèces

Judicieux de le faire chez les petits ruminants, chez les chevaux et chez tout animal fortement affecté par
des parasites

Permet de déterminer s’il y a apparition d’une résistance de ce parasite envers le traitement

48
Q

examen microscopique

A

Parasites à l’apparence très différente les uns des autres!

Identification des structures selon plusieurs aspects:
* Parois distincte
* Contenu distinct
* Forme
* Couleur
* Taille

49
Q

étapes de l’analyse coprologique

A
  1. Concentration des œufs par ZnSO4 ou solution sucrée
  2. Mélange de l’échantillon et pesée
  3. Mélange et filtration (enlever les gros débris)
  4. Ajout de la solution (ZnSO4 ou sucrée) et suspension
  5. Mise sur lamelle
    * Incubation pour permettre aux parasites de remonter
    en surface (↓ temps si centrifugé)
    * Parasites à niveau du ménisque → dépôt d’une lamelle
    de verre pour les récupérer
  6. observation au microscope
    * Identification et dénombrement des œufs
    * Conversion des comptes en œufs par gramme de fèces
    * Interprétation selon l’espèce animale et son âge, le type de parasite, les signes cliniques associés, etc.
50
Q

interprétation des résultats de l’analyse coprologique

A
  • Certains parasites sont tolérés (leur observation n’indique pas forcément la nécessité d’administrer un traitement) ex: coccidies en faibles nombres
  • D’autres parasites ne sont jamais tolérés ex.: organismes responsables de zoonose
  • Le nombre d’œufs corrélé avec le nombre de femelles fertiles → Nombre de mâles? Larves en développement ou en dormance?
    → À interpréter avec prudence!
51
Q

variation possible entre les résulats

A
  • Au niveau d’un même individu (ex.: chez Giardia,l’excrétion est intermittente)
  • Au niveau du troupeau (Règle du 20/80: 20% des animaux hébergent 80% des parasites)
  • Important d’avoir un échantillon représentatif
  • Les animaux fortement parasités peuvent avoir quand même besoin d’un traitement (même si le
    niveau d’excrétion est globalement faible dans la
    population)
52
Q

qu’est ce qui influence les résultats d’une analyse coprologique

A

Selon l’âge de l’animal
* Individus en bas âge ou plus âgés plus fortement parasités
* Individu d’âge moyen avec une forte concentration
de parasites → Situation problématique?

Selon la période de l’année
* Ex. animaux souvent dehors

53
Q

VRAI OU FAUX
des animaux bien alimentés contrôlent mieux le parasitisme

A

VRAI

54
Q

Vrai ou faux: Le domaine de la parasitologie s’intéresse à tous les organismes capables de parasitisme.

A

faux
Le parasitisme peut être fait par une panoplie d’organismes différents.

Cependant, la parasitologie ne s’intéresse qu’à une portion restreinte de ceux-ci (protozoaires, vers et arthropodes).

55
Q

Vrai ou faux: Le parasite ne se multiplie pas seul dans l’environnement.

A

VRAI

56
Q

Vrai ou faux: Tous les animaux infectés par un parasite doivent être traités.

A

FAUX
Seulement les animaux malades et les super-excréteurs de parasites doivent être traités.
De cette façon, on peut maintenir un refuge et éviter le développement de résistance.

57
Q

Est-il possible de vacciner les animaux contre la plupart des parasites?

A

Non

58
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on généralement les protozoaires dans l’animal

A

formes infectieuses

59
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on généralement les protozoaires dans les fèces

A

oeufs

60
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les nématodes dans l’environnement

A

oeufs ou vers

61
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les nématodes dans l’animal

A

vers

62
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les nématodes dans les fèces

A

oeufs

63
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les cestodes à l’extérieur de l’hôte

A

oeufs

64
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les cestodes dans l’animal

A

vers segmentés

65
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les trématodes hors de l’hôte

A

autres formes (oeufs)

66
Q

Sous quelle forme retrouve-t-on les trématodes dans l’hôte

A

Vers plats

67
Q

Où se retrouve ce stade du cycle de vie de la puce ; adulte

A

hôte

68
Q

Où se retrouve ce stade du cycle de vie de la puce ; larve

A

environnement

69
Q

Où se retrouve ce stade du cycle de vie de la puce ; pupe

A

environnement

70
Q

Où se retrouve ce stade du cycle de vie de la puce ; oeuf

A

environnement

71
Q

arthropode ; apparence

A

insecte

72
Q

cestodes ; apparence

A

vers plats segmentés

73
Q

protozoaires ; apparence

A

morphologie variées selon le genre et l’espèce

74
Q

trématodes ; apparence

A

vers plats à symétrie bilatérale

75
Q

nématodes ; apparence

A

vers ronds

76
Q

Capacité des parasites à adopter un état de dormance dans un hôte de maintien en attente de conditions plus favorables

A

hypobiose

77
Q

Capacité des parasites à survivre à la dose thérapeutique recommandée

A

résistance

78
Q

Pratique visant à créer un réservoir de parasites sensibles au vermifuge

A

refuge